textes érotiques

Mardi 5 juillet 2 05 /07 /Juil 11:11

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Je sais bien ce que c'est que d'être contraint d'écrire "en cachette", se sentir en fraude et comme un gamin...

 

 

Moi aussi je préférerais bien que tu me prennes sauvagement dans un vestiaire ou une cabine ou des toilettes : l'urgence de la situation, son côté incongru et interdit, savoir qu'on pourrait être surpris... c'est très excitant... et confère sûrement une intensité toute particulièrement à ce moment volé...

Une envie brutale d'être prise, l'obligation d'être quasiment muette, d'étouffer mes gémissements de plaisir au creux de ton épaule, pendant que tu me plaques contre le mur et que tes coups de bassin me soulèvent, que nous ne sommes même pas déshabillés...

 

 

Cette vision me donne encore plus envie... surtout maintenant que tu m'as dit t'être fait furtivement sucer hier... ! Je serais presque jalouse !

 

 

 

 

"Alors voilà : Pour une raison obscure, on se trouvait seuls dans le coin d'un vestiaire.

 

 

Mon amant m'a poussée à me mettre à genoux face à lui, déboutonnant son jean, et baissant son boxer, me laissant admirer sa queue déjà toute bandée.

Ses mains sur ma tête, il a enfoncé sa belle queue dans ma bouche, directement jusqu'au fond de ma gorge.

Ma bouche avide de lui le suçait avec délectation, j'aspirais son sexe en entier, puis je me suis reculée pour mieux téter son gland rougeoyant qui coulait déjà sur ma langue.

Mes mains caressaient ses cuisses, ses fesses, ses couilles...

 

 

Mais j'avais envie de plus dans cet endroit empreint de masculinité, je me sentais comme galvanisée :

Je voulais aussi qu'il exige de moi que je relève ma jupe, puis que je me penche en avant contre le mur... Sans doute un vieux fantasme d'adolescente qui resurgissait ?

Je le lui ai dit, il s'est pris au jeu, et s'est donc retrouvé face à ma croupe offerte.

 

 

Là, il a pris mes fesses dans ses mains, les a palpées, claquées...

Mon string était déjà trempé d'excitation.

Il a commencé à frotter son doigt sur mes lèvres, puis il a écarté mes jambes.

Par pur plaisir, il s'est caressé un instant, mélangeant nos deux jus dans sa main, qu'il a ensuite portée à sa bouche pour "nous" goûter : hm, plaisir sucré-salé...

 

 

Puis il a violemment enfoncé 2 puis 3 doigts dans ma chatte brûlante, pincé mon clito gonflé et hyper-sensibilisé.

Du jus recueilli au creux de sa paume il a rapidement enduit sa queue bien dure, et

d'un coup m'a enculée en écartant mes fesses de ses mains mouillées et chaudes.

 

 

Il ne m'a pas épargnée, bien au contraire...

Il savait combien cette situation me plaisait et m'excitait, je ne demandais pas mieux que de me retrouver ainsi prise.

Alors que j'avais encore en bouche le goût de son sexe, je le sentais qui allait et venait sans vergogne dans mon petit cul docile et aimant.

 

 

Tant d'excitation...

Je me suis retournée et à mon regard, il a compris que j'avais envie que nous explosions sans plus tarder...

 

 

Il a ralenti le rythme de sa pénétration, s'est retiré doucement pour finalement reprendre son pilonnage à un rythme encore plus soutenu.

Ses mains se sont crispées sur mes hanches juste comme je sentais que ma respiration devenait plus saccadée.

Et là...

Il a collé son bassin à mes fesses et déversé dans mon petit trou des journées d'excitation et de frustration...

Je n'en pouvais plus de retenir mes cris de plaisir, je tremblais...

Nous étions tous deux en nage : ces quelques minutes précieuses nous avaient vidés, c'était évident... à tous les sens du terme..."

 

 

Voilà ce que tu m'as inspiré ce soir...

J'ai envie de toi,

Je t'embrasse partout,

 

 

C

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Jeudi 16 juin 4 16 /06 /Juin 18:41

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As-tu déjà rêvé de te trouver à l'arrière d'un taxi (comme aurait pu le chanter Bashung), avec une presque inconnue ?

Elle aurait porté une petite robe d'été toute légère, des jolies sandales toutes fines.

Dessous, elle aurait porté juste un petit string, que la perspective de se trouver tout près de toi aurait rendu humide.

Tes mains auraient fait le tour de ses formes, auraient découvert ses courbes, effleuré un bras, une cuisse...

Les jambes de ton inconnue se seraient légèrement écartées, tout en suggestion, t'invitant à glisser une main plus haut.

Vos deux bouches auraient instinctivement trouvé, ou retrouvé leur chemin l'une vers l'autre.

Pendant que tes doigts auraient délicatement écarté le sous-vêtement de la passagère pour caresser ses lèvres, les ouvrir, sentir son clitoris déjà tout durci.

 

 

Pendant ce temps, ton inconnue caresserait ton sexe au travers de ton pantalon, et elle ne serait pas surprise de déjà le trouver déjà dressé et gonflé...

 

 

La nuit verrait défiler les lumières de la ville, et les deux amants feraient connaissance sur la banquette d'une voiture qui les emmènerait au hasard des rues d'un Paris endormi, fréquenté seulement par quelques touristes égarés...

 

Lui, jean ajusté, chemise blanche ouverte sur un torse bronzé, les manches retroussées sur des avant-bras nerveux se terminant par de longues mains aux doigts effilés…des mains de pianiste, des doigts de gynécologue…Il sortait tard du bureau et cherchait vainement un taxi quand par miracle, celui-ci ralentit quand il lui fit signe. Il ouvrit la portière et surpris s’aperçut qu’une jeune femme montait par l’autre côté dans un mouvement qui lui fit entrevoir le haut de ses cuisses ! Nullement gênée,  elle l’invita à monter et il accepta, sans doute attiré par le charme fou que dégageaient ses yeux verts qui le fixaient intensément !!!

Et maintenant, le voila en train de jouer avec sa langue dans sa bouche, tandis que ses doigts s’affairent dans son string de plus en plus trempé…

Elle de son côté n’est pas inactive, ses doigts s’attaquant au zip de son jean, tendu par une érection impossible à dissimuler…

Dans le rétroviseur, je pouvais voir le regard inquisiteur du chauffeur, un beau mec au demeurant, qui ne loupait rien de la scène…

Une idée germa dans mon esprit ; nous n’étions pas loin de chez moi, rue de l’Abbaye et pendant que C s’occupait à sortir ma queue de son écrin, j’échafaudais déjà un plan à trois

 

 

 

 

 

Je me suis donc retrouvée dans ce taxi, avec un homme dont je ne connaissais absolument rien... ou plutôt si, je commençais à bien connaître le goût de sa bouche, et la taille et l'allure supposées de sa queue, pour le moment emprisonnée sous son jean, mais... ce jean réclamait mes mains pour le déboutonner...

Le chauffeur du taxi commençait à lorgner sévèrement dans son rétroviseur, et ses yeux trahissaient son envie de se joindre à nous, me semblait-il...

Mon compagnon explorait sans gêne mon intimité, ma jambe relevée sur sa cuisse lui permettait de masser mon clitoris avec son pouce pendant que 3 autres doigts de sa main me fouillaient sans relâche, m'arrachant des gémissements que je ne pouvais dissimuler.

La seule chose dont j'avais envie, c'était juste d'écarter mes jambes davantage encore, d'ouvrir mes cuisses, ouvrir mon sexe, écarter mes lèvres pour qu'il fasse jouer ses doigts tout à l'intérieur de moi, encore et encore...

Toute à mes rêveries et à mes fantasmes, je l'ai entendu échanger quelques mots avec notre chauffeur, et j'ai cru deviner qu'ils s'entendaient pour descendre passer un moment au parking sous-terrain du boulevard saint-germain. Cette perspective ... me faisait couler de désir ...

Quelques minutes plus tard, le taxi était stationné dans un coin tranquille et isolé du parking.

Le chauffeur en est descendu, il a ouvert une portière arrière, et s'est simplement posté face à nous, a déboutonné son jean, nous imposant la vue de sa queue bandée et affamée. Il s'est approchée de moi et m'a demandé de le sucer, qu'il en crevait d'envie depuis que j'étais montée dans son taxi...

Il faut dire que j'adore sucer, vraiment. ça me procure un plaisir et une excitation terribles, et là, les caresses de mon compagnon m'avaient mise en appétit.

Ma robe retroussée jusqu'à la taille, agenouillée sur la banquette, me voilà affairée à sucer une belle queue, droite, gonflée, rouge d'envie, à lécher son gland, le pincer avec mes lèvre, caresser la verge sur toute sa longueur avec mon index, effleurer ses bourses gonflées elles aussi...

De me voir ainsi, mon compagnon a eu envie de venir me prodiguer lui aussi de belles caresses gourmandes : il s'est installé derrière moi, ses mains sur mes fesses, et a enfoui son visage entre mes cuisses.

J'ai cru défaillir lorsqu'il a commencé à passer et repasser sa langue entre mes lèvres, aspirant mon clitoris, ses doigts massant mes fesses, pressant mon sexe. Je frétillais littéralement ! J'avais envie de faire onduler mon bassin au rythme de sa langue, et souhaitais secrètement qu'il s'occupe ensuite de mon petit trou...

 

A suivre

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Jeudi 26 mai 4 26 /05 /Mai 17:39

Je dédie ce texte à Céline, car elle aurait très bien pu en être la narratrice et me le faire parvenir pour mon plus grand plaisir!!!

 

 

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Je ne peux pas dormir.....je pense à toi, il est 2 heures trente, je me lève, me penche sur tes écrits, les dévore des yeux. En certains je ne te reconnais pas, mais est ce que je te connais suffisamment pour pouvoir juger 'aime ce que je lis, tu me manques, une chaleur m'envahit, me porte, j'ai envie de toi dans l'instant. Il est bientôt 4 heures, je glisse mes doigts le long de mes cuisses, je frissonne, ferme les yeux essaie de te ressentir.Ouiiii, tu es là près de moi, je sens ta présence!Tu me bandes les yeux, me demande de me caresser, de parcourir mon corps de deviner mes formes;J'adore ta requête, je m'y prête sans pudeur sous ton regard si clair. Je ne le vois pas, mais le devine.

Mes doigts parcourent mon corps, s’arrêtent sur ma chatte. Elle est impudiquement trempée du désir permanent et indécent que j'ai pour toi. Tu me demandes de te décrire ce que je ressens.

Mes doigts pénètrent ma chatte, fouillent à la recherche de mon plaisir. Je deviens indécente, écarte mes lèvres, te demande de regarder le plaisir que je prends et que je t'offre. Bandes tu pour moi je ne le sais pas, mes yeux bandés m'empêchent de te voir!

Je t'offre la vision de mon cul, ecarte pour toi mes fesses, et glisse un doigt coquin autour de mon anus. Tu aimes ce que tu vois, me demande d'aller plus loin. Je t’obéis, n’es tu pas mon maître?

Glissant mon majeur entre mes lèvres offertes et innondées, je le mouille j en  pénètre mon cul, tu aimes tu me le dis, mes yeux te le traduisent, je jouis de la vision que tu as de moi. J’aime quand tu me traite de salope, ta salope, mais tu ne le fais pas, ne me le dis jamais.

Dans ces moments privilégiés qui n'appartiennent qu'à nous, je bande comme un homme, mon clitoris s'exprime gonflé par le plaisir que tu ne veux m'offrir.

Mon désir le plus profond, au risque que tu m'aimes serait de te sentir planté au fond de moi, te sentir exploser d'une jouissance suprême, m’inonder de ton sperme et le garder en moi. Ton désir en l'instant serait de m'enculer, j’adorerais je le sais déjà!

Suis je ainsi condamnée à des caresses solitaires, car en vérité autant te l'avouer, il n'y a que toi qui me fasse autant bander.

Je t'offre ma jouissance, si tu veux l'accepter et te la dédicace de mes lèvres gourmandes sur ta queue que je désire tant .....

J'adore être moi même et je le suis ici pour toi,si je te dis que je t'aime tu vas certainement détester, mais quand on baise ,on peut tout se dire et même celà ,mais finalement je ne traduis que ce que tu sais déjà. Alors je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiis et je te dis je t'aime, me le pardonneras tu?

 

Peter


 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Vendredi 20 mai 5 20 /05 /Mai 23:51

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Et brusquement, il écarte franchement la dentelle, dévoilant ma chatte trempée. Il a une mine gourmande, et sans plus hésiter, j’abaisse son boxer pour voir enfin l’objet de mon désir. Il jaillit, fier et insolent, raide comme la justice, le gland brillant de sa mouille… Instantanément, j’ai envie de le gober… Mais il me devance, en se penchant sur moi pour manger ma fleur qui n’attendait que ca…

 

Je sursaute sous la caresse douce et forte à la fois. Je ne m’étais pas trompée ! Sa langue est d’enfer. Il lape mon clito à tous petits coups très rapides. J’enserre sa belle bite entre mes doigts, j’en fais à peine le tour. Mon rêve ! Il ne doit guère mesurer plus de quinze centimètres, mais son diamètre me fait rêver…

 

Un doigt inquisiteur se glisse dans ma fente, et comme s’il devinait mes pensées, il en insère un second pour m’offrir bien profond à sa vue. Il recule un peu, regarde mon inimité profonde… Je suis en extase : j’aime être ainsi ouverte exhibée. J’imagine que le voisin nous regarde. Mais seul le soleil vient darder mes chairs ouvertes.

 

Il m’écarte encore plus, je me dilate sous ses mains expertes. Et il le faut, vu son diamètre ! Il enfonce sa langue aussi loin qu’il le peut, son nez venant branler mon clito.

Quel amant ! Je sais déjà que celui-là, je le reverrai ! Il devine mes pensées les plus intimes, mes envies les plus torrides. Il me glisse à l’oreille :

« Tu aimerais que mon pote Gary, tu sais, le petit chabin, vienne te perforer pendant que je te tiendrais ouverte comme ça ?

- Oh oui », ai-je peine à articuler…

 

Cette simple évocation agit comme un détonateur, et je jouis une première fois, étouffant mes cris dans la toile de coton.

« T’inquiète, me dit-il. A cette heure, il n’y a personne dans l’immeuble ! Tu peux crier tant que tu veux ! »

 

Pour toute réponse, je me relève un peu, pour enfin emboucher cette belle queue épaisse.

Je la gobe comme je peux, mais le gland pénètre à peine dans ma bouche, tant il est large. Je l’aspire, puis décide de le lécher sur toute la longueur, d’enrouler ma langue autour. II se met à gémir doucement, ce qui me donne du cœur à l’ouvrage…

Je continue une savante fellation sur le méat, la veine bleue (que je devine), le gland, la hampe, les couilles bien pleines. Il ne résiste pas bien longtemps à mon savoir-faire et bientôt, j'ai la bouche et la gorge remplies de sa liqueur, très abondante et chaude.

 

Je continue le massage buccal jusqu'à tout nettoyer et avaler, ce qui lui permet de reprendre forme. Visiblement, il a la forme, pour rebander aussi vite !
Ses mains parcourent mon corps, se crispent sur ma tête pour enfoncer toute sa hampe de chair dans ma bouche distendue, il est enfin à point.

 

Il me dit doucement : 

« Viens, j’ai envie de te prendre à fond !

- Oui, mais vas-y doucement, tu es si large… »

 

Il m’aide à m’extraire du hamac, pour rejoindre sa chambre. La position sera plus confortable, pour enfourner son bel engin.

 

Il m’allonge sur le lit, en travers, me regarde un moment, un sourire coquin au coin de l’œil :

« Toi, tu mérites que l’on soit deux à t’honorer ! »

 

Je frémis de désir à cette nouvelle évocation d’un trio avec son voisin.

Il s’écroule sur moi, fait glisser son chibre sur mon pubis vierge de toute pilosité et mon ventre, je sens la masse raide et ses poils frotter contre mes chairs.

 

Il embrasse mes seins, les pétrit sans cesse, il prend ma bouche dans un baiser infernal de sensualité. Puis il se met sur ses avant-bras, écarte de ses épaules mes jambes. Il glisse doucement sur mon bas ventre où je sens passer son membre arrogant jusqu'à l'entrée de ma grotte en feu.

D'un petit mouvement des reins, il place son gland turgescent sur ma chatte en feu, et, d'une poussée lente mais inexorable, introduit son mandrin dans mon con. Je le sens s’étirer sous l'assaut. Il reste en équilibre un instant pour que mon corps s'habitue, puis d'un puissant coup de reins, prend entièrement possession de moi.

 

Je ne peux que pousser un :

« Oh ! ouiiii » de plaisir intense.

 

Il agite lentement ses reins afin de s'habituer à mon antre et me lubrifier. Je sens son sexe taper au fond de mon con et sur mon utérus. J'agite mes reins à mon tour, allant au devant du mâle, l'empalant à fond. Je m'enhardis à glisser mes mains en dessous de ses cuisses et à caresser ses couilles, à sortir son sexe et à passer son gland sur mon clitoris turgescent et douloureux d'excitation. Je ne peux résister plus longtemps et me livre, à cet amant hors-pair :
« Oui ! Vas-y à fond, bourre-moi, cogne à fond. Crache ton jus ! »

Je mets mes bras autour de son cou et mes jambes autour de ses reins, mes pieds calés sur ses fesses. Mais il veut profiter de moi à fond, il se retire, me retourne et me prend en levrette, m'arrachant un cri, la pénétration étant encore plus violente et large que sur le dos. Sa main passe devant et caresse mon clitoris, prêt à exploser. Je ne peux résister au traitement et me mets à jouir violemment, secouée de spasmes que je ne peux contrôler. Je crie tant et plus, sans me soucier de quelque voisin que ce soit…

 

Il en profite pour me retourner et me reprendre sur le dos avec des grands coups de boutoir, et enfin épancher son plaisir en moi avec de longs jets chauds de sa semence que je sens éclater dans la capote. Il se retire de moi et s'allonge à coté.

 

Reprenant chacun notre souffle, il me caresse d'une main pour affirmer sa possession. Il ne semble pas vouloir me quitter et je crois qu'il en veut encore.

 

Mais l’heure tourne, et je dois retourner travailler.. Je me relève, il m’indique la douche. Je me lave rapidement, pendant qu’il en profite pour caresser sous l’eau ma chatte dévastée par ce membre si épais…

Je ne peux résister à cette caresse, et il le sent bien ! Alors, il se met à genoux, et entreprend de laper mes lèvres encore gonflées. Il ne lui faut que quelques secondes pour m’arracher ma troisième jouissance en moins d’une heure…

 

C’est presque à genoux que je sors de chez lui, pour retourner travailler.

« Tiens, je n’ai même pas mangé mon repas », me dis-je en reprenant le volant. Mais quelle pause !

 

Je sais que celui-là, pour une fois, je le reverrai. Pas question de laisser passer une telle bête de sexe !

 

Par Sophie de R. -

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Jeudi 19 mai 4 19 /05 /Mai 19:38

2011-S13-31

 

 

 

 

Un déjeuner inhabituel

 

Hier jeudi, je suis allée, une fois n’est pas coutume, acheter un plat tout préparé chez le traiteur chinois.

 

A mon arrivée, je vois le camion de la société qui entretient le réseau électrique dans ma boite. J’ai une pensée fugace pour deux des employés, qui passent souvent dans mon bureau. Un est vraiment top, comme j’aime !

Mais nous échangeons juste les données strictement nécessaires à leur mission. Après tout, je suis cadre sup dans cette société ! Et je préfère autant ne pas mélanger les genres…

 

Je rentre dans la boutique, et je les vois tout de suite, ils sont trois. Dont celui que j’apprécie, mais sans la tenue réglementaire. Ils me saluent, et une brève conversation s’engage :

« Bonjour Messieurs, vous allez bien ?

- Oui Madame, mais moi, je ne fais plus partie de l’entreprise, me répond celui sans uniforme.

- Ah bon, mais pourquoi donc, vous travailliez bien !

- Oui, merci madame, mais je viens de me mettre à mon compte.

- C’est bien d’avoir l’esprit d’initiative ! Comme cela, je saurai qui demander en cas de panne électrique chez moi ! »

 

Intérieurement, je pense déjà : « il ne bosse plus pour ma boite…  yèèèh…. »

 

Notre petite conversation se poursuit à deux, car ses collègues partent du restaurant.

« Alors, comment je vous joindrais, au cas où ?

- A ce numéro, madame, me dit-il en me tendant une carte de visite. Il a un sourire d’enfer.

- Je fais du dépannage 24/24, vous pouvez m’appeler quand vous voulez », poursuit-il, plantant ses yeux dans les miens.

 

Là, je n’ai plus aucun doute : je lui plais autant qu’il me plait !

 

Mon plat est prêt. Il me demande alors :

« Vous allez le manger où ?

- Dans ma voiture, près de la plage, comme d’habitude.

- C’est vrai, je crois que vous ai déjà vue par là-bas, mais je n’osais pas venir vous parler. Vous êtes un chef…

- Je suis chef au bureau, pas dans la vie dehors !

- Oui, mais moi, je ne suis qu’un ouvrier. Enfin, un artisan, ajoute-t-il en bombant le torse.

- Je vous en félicite. Allez, je vous laisse, j’ai peu de temps », et je quitte la boutique à regret.

 

Il me suit, et pose alors sa main sur mon bras.

« Ca vous dirait de manger avec de la clim ? Il fait très chaud aujourd’hui…. »

 

Je ne réponds rien, tant la chaleur qui envahit aussitôt mon bas-ventre est intense.

« Allez, venez, j’habite à cent mètres d’ici… »

 

Sans pouvoir articuler un mot, j’acquiesce d’un signe de tête.

 

Je remonte en voiture, il s’assied de l’autre coté « je suis à pied… »

Comme un automate, je mets le contact, et suis ses indications. Je suis liquide, tant depuis quelques minutes j’ai une furieuse envie de baiser. En moins de trois minutes, nous sommes devant un petit immeuble blanc et orange. Nous sortons ensemble de la voiture, et il m’ouvre la porte de l’immeuble. Second étage. Quatre portes, il tourne à gauche.

J’entre, ôte mes chaussures comme c’est la tradition ici, il met la clim à fond.

(Je rappelle à ceux qui ne me connaissent pas que je ne vis pas en France, mais dans une ville côtière du Nordeste du Brésil. Il y fait entre 30 et 32° toute l’année…)

 

Quand je ne suis pas chez moi, sur mon territoire, je suis un peu désarçonnée. Dans mes multiples aventures avec des inconnus, il est rare que je les suive chez eux... Question de prudence ! Enfin, ils ne viennent pas chez moi non plus, mais je choisis « mes endroits ».

 

Bref, je pose mon plat chinois sur la table.

Il se met alors devant moi, immobile. Nous restons face à face sans dire un mot, avec moins de vingt centimètres entre nous. Le souffle glacé de la climatisation balaye mon dos. Pendant ce moment qui semble durer une éternité, nous nous fixons droit dans les yeux, presque gravement, sans un mot, sans un geste. Je frissonne, autant de désir que du froid sur moi. C’est pour lui comme un signal :

« Tu as froid ?

- Non, j’ai juste…. »

 

Impossible de finir ma phrase, il a clos ma bouche de ses lèvres très épaisses. Il entoure mes épaules, je le serre à la taille. Le baiser est intense, passionné, dévorant, nos langues dansent une sarabande infernale… Je pense déjà qu’il doit bien savoir en jouer…

 

Sans presque m’en rendre compte, je n’ai plus ni chemisier, ni jupe, lui a ôté aussi son polo et son jean.

 

Nos mains parcourent nos corps pour nous découvrir. Il a la peau douce, ses bras sont musclés et saillants, tout comme j’aime… Un tatouage cerne son biceps. Sa peau noire est si lisse…. Je sens son sexe durcir contre mon ventre. Mon désir s’intensifie encore plus.

 

Il m’entraine sur la terrasse, et me fait coucher en travers du hamac. Ma jambe extérieure par rapport à lui remonte naturellement sur le bord, pour écarter la toile du hamac. Ainsi, mon string apparait bien en vue… Il en repousse le bord, laissant apparaitre ma courte toison et mon clito bien dur.

 

Il est resté debout. A hauteur de mes yeux, je vois son boxer déformé par une bosse prometteuse. Je la caresse doucement. Il vibre sous ma main... Il y a encore un moment de quasi immobilité….

 

A suivre

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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