textes érotiques

Vendredi 11 mars 5 11 /03 /Mars 18:36

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À ce moment-là, François reconnaît un couple qui passe et nous les présente, Françoise une collègue de travail et son mari Philippe. Antoine, toujours aussi amusant, les met immédiatement à l’aise et leur propose de partager un second gâteau avec nous. Tandis que nous papotons, Antoine devient plus entreprenant à mon égard. Ses mains parfois baladeuses viennent s’égarer sur mon corps et je devine qu’il aimerait bien aller voir sous la jupe ... Mais François m’attire plus, son charme est vraiment séduisant. La discussion s’anime avec nos invités surprise, ils me semblent vraiment sympathiques, spécialement Françoise avec qui nous discutons de mille choses. Nous leur proposons de rester avec nous pour dîner au resto. Finalement ils nous proposent d’aller dîner chez eux, ce sera plus convivial, nous disent-ils.

 

Ils n’habitent pas bien loin et c’est en effet une bonne idée ! Je ne sais pas comment tout cela va se terminer, mais j’aimerais bien me faire le timide François. Par contre, j’ai l’impression qu’Antoine s’accroche dur !

 

Pendant le dîner, Antoine met une ambiance d’enfer. De temps en temps, il rappelle une pensée de Wolinski qui nous fait réagir.

 

-          "Il y a deux sortes de femmes, celles qui sont trop bien pour moi et celles pour qui je suis trop bien".

 

Nous en discutons lorsqu’il nous en sort une autre :

 

-          "Il y a deux catégories de femmes : les baisables et les imbaisables. Les meilleures ce sont les imbaisables, elles pleurent de joie quand on les baise !".

 

À la fin du dîner, tous assez réchauffés par l’alcool, Antoine suggère que l’on fasse une partie de strip poker. Jamais je n’accepte de m’adonner à ce genre de jeux, mais l’idée de les voir nus devant moi m’excite alors grandement. Naturellement, plus la partie avance et plus nous perdons des vêtements. Alors que je me retrouve avec mon seul top, mes deux hommes viennent de perdre leur main et s’affairent à retirer le dernier morceau de leur attirail. Qu’il est excitant de voir les sexes d’Antoine et François côte à côte ! J’imagine que la situation les excite eux aussi car ils sont déjà au garde à vous. Il faut dire que depuis les dix dernières minutes, ils lorgnent sérieusement sur ma poitrine. Se sentant en désavantage, ils se décident à me retirer de force le dernier morceau qui me reste. Antoine me retient par derrière alors que François me retire mon top, non sans quelques difficultés tant il est moulant. Nos jeux excitent grandement mon cher François. Nous passons au salon. Je m’assois dans le fauteuil en face de lui. Ses yeux vont de mon visage à mon entre jambes et déshabillent ma chatte. Je suis très excitée et je n’en peux plus d’attendre, je ruissèle de plaisir. Enfin il se décide, il s'approche et m'embrasse d’un baiser fougueux et passionné. Il me caresse la poitrine, mes tétons sont durs et gonflés. François s’agenouille, mon clito est gonflé de désir. Sa langue me lèche maintenant, pénètre mon intimité. Ma chatte devient une fontaine d'où s'écoule la précieuse liqueur. Il me boit, le plaisir m'envahit et là j'ai moi aussi envie de le prendre dans ma bouche. Je le suce, aspire et j'insiste sur son gland que ma langue lèche avec volupté. Il est enfin à moi et je serai le premier à le baiser. J’en avais tant envie. Je cesse de le sucer car je le veux au fond de moi. Il me prend sur le sol. Je sens maintenant sa queue au fond de mes entrailles. Je le mords, crie, ne me maîtrise plus tant j’ai attendu. Je change de position et il me prend en levrette comme une chienne que je suis devenue.

 

-          Vas-y baise-moi, plus fort, plus loin, oui encore ...

 

Le plaisir m'envahit d’une jouissance longue et intense. Je devine que François va lui aussi jouir. Je me retourne et prend sa queue mouillée de mon plaisir dans ma bouche et quelques instants plus tard il m'honore de sa jouissance par de longs jets chauds et puissants. Je veux tout, son jus m'appartient, je le bois et lèche jusqu'à la dernière goutte. Comblés nous nous embrassons, mais ce n'est que le début d'une très chaude soirée.

 

Le pauvre Antoine était resté spectateur. Philippe prend maintenant sa femme Françoise. Tous les deux partent dans un délire qui les conduit à des orgasmes répétés. Philippe s’aperçoit qu’Antoine bande toujours.

-          Que dirais-tu de prendre Françoise ? Je te sens très tendu et j’aimerais que cette grosse queue retourne à son état normal.

Antoine ne se fait pas prier deux fois. Philippe est à peine sorti de Françoise que déjà il s’affaire à la prendre par-devant. Françoise lui rend la tâche facile, ouvrant ses longues jambes du plus grand qu’elle peut. Philippe entend les gémissements d’Antoine alors qu’il pénètre sa femme. Mais c’est surtout les cris de plaisir de Françoise qui le rendent fou. Philippe se positionne derrière Françoise et la reprend encore une fois. Françoise est comblée par ces deux grosses queues qui la pénètrent encore et encore. Jamais elle n’a éprouvé un tel plaisir et les deux hommes s’en rendent compte par la fureur de ses cris :

-          Ha, oui ... encore ... mmmmmmmm ... c’est tellement bon de vous avoir au fond de moi ... encore ... oui ... ouiiiiiiiiii... vous êtes tellement durs ... vos queues tellement bandées .... je vais jouir .... Oui !!!

Par la puissance de ses cris, Philippe comprend que sa femme atteint l’orgasme. Par contre, lui n’a pas encore joui, Antoine non plus. Délaissant Françoise à son plaisir, les deux adonis s’embrassent d’un baiser passionné. Philippe se met à quatre pattes et il ne faut que quelques secondes à Antoine pour commencer à l’enculer. Les deux hommes éprouvent énormément de plaisir. La queue d’Antoine n’arrête pas de bander à la vue du cul de Philippe. Plus il l’encule et plus sa queue devient grosse. Mais à la vue de ces deux hommes ainsi positionnés, Françoise ne peux résister et se positionne sous son mari, de façon à ce qu’il puisse la prendre alors qu’il se fait lui-même enculer. Jamais il n’avait ressenti un tel plaisir. Voir la poitrine de sa femme, sentir sa queue toute bandée la pénétrer alors qu’il se fait lui-même enculer en était trop. Lorsqu’il éjacule, c’est dans un long cri de satisfaction. Après avoir déchargé, Philippe remercie très gentiment sa femme et Antoine pour de tels plaisirs partagés.

Cette fille me plaît vraiment, j’ai vraiment envie d’elle aussi. Pourtant les filles ce n’est pas trop mon truc, mais là elle m’excite un max. Je vais la rejoindre dans la salle de bains. Elle sort d’une bonne douche. Toute fraîche ainsi, elle m’excite encore plus. Je me plaque contre elle le long du mur et un désir fou se propage en moi. J'ai envie de poser mes lèvres contre les siennes et d'échanger plus d'un baiser langoureux. Je vois qu’elle en a envie aussi !!....humm mm ! C'est fou comme elle se débrouille bien avec sa bouche et ses lèvres. J'ose imaginer ses mains se posant sur mon corps entier. Elles sont posées sur sa chatte pour de douces caresses. J'adore la voir faire, elle le fait si bien ! Françoise me demande de la rejoindre et d'y poser ma bouche, je la mange longuement, j’entends de petits gémissements qui sortent de sa bouche et qui me disent d'accélérer le mouvement ...Comme j'ai envie d’elle ! Je la couvre de baisers... Ma langue parcourt l’entrecuisse. Je m'installe tout près d’elle et c'est au tour de mes mains de la caresser. Des mouvements lents qui s'accélèrent de plus en plus vite se font sentir... Je suis tellement occupée avec ce beau corps doux, chaud et sensuel que je ne sais plus où donner de ta tête... Je prends sa main et la pose sur un de mes seins... Elle voit comme je suis excitée moi aussi. Je la désire et c’est réciproque. Sa langue maintenant se pose sur mes mamelons et suis bien les courbes de mon corps... Humm mm ! Comme c'est bon... elle m'écarte les jambes et découvre mon sexe rasé... Je sens les mouvements circulaires de sa langue sur mon clito, c’est délicieux... Grrrrr !!! Je pousse de longs gémissements et tout mon corps en frissonne. Son visage se rapproche du mien et nous échangeons quelques baisers. Nous nous surprenons à prendre un tel plaisir, elle me regarde me caresser le clitoris. Je vais exploser d'une minute à l'autre tellement c'est bon. Ses mains se posent de nouveau sur mes seins et les caressent. Je me branle de plus en plus vite. Nous avons toutes les deux très chaud ! Je pousse un gémissement de plaisir, je viens, et elle aussi.. Quelle synchro ! Je me pose sur elle et la couvre de mille et un baisers...Merci à toi mon amour ! Quelle délicieuse découverte !

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Jeudi 10 mars 4 10 /03 /Mars 14:31

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 (De Mouna, mounamouna75@yahoo.fr)

 

 

Car grâce à vous, je viens de passer un week-end délicieux. Mes récits publiés dernièrement, bien appréciés des lecteurs (merci !) en ont amené certains à m’écrire des mails pour me dire combien mes récits leur avaient plu. Notamment un correspondant, Antoine, qui m’a laissé mardi un message très sympa auquel j’ai répondu. Le lendemain, j’ai trouvé de nouveau un long message de sa part et un numéro de téléphone. La conversation fut très agréable et nous sommes convenus de nous retrouver samedi en fin d’après-midi pour prendre un pot.

J’avais répondu également à plusieurs autres correspondants dont un, François, qui m’avait expliqué qu’il avait eu une amie qui portait souvent elle aussi des débardeurs moulants à col roulé, et que cela l’excitait beaucoup. Je l’ai eu au téléphone vendredi et lui aussi m’invita à prendre un pot samedi. Sa façon de parler, sa douceur, m’attiraient beaucoup mais j’ai dû lui expliquer que j’avais déjà pris rendez-vous. Nous avions envie de nous rencontrer, aussi nous avons décidé de nous retrouver en début d’après-midi dans un centre commercial car j’avais prévu de faire du shopping.

J’ai alors téléphoné à Antoine pour lui préciser le lieu du rendez-vous pour le pot. Après lui avoir donné quelques explications, il m’a proposé lui aussi de m’accompagner, avec François, durant ces soldes. Cela m’excitait un peu d’être avec eux deux, bien qu’en même temps je fusse inquiète de savoir comment nous allions nous entendre. Sans trop réfléchir, je répondis :

 

-          Pourquoi pas !

 

Samedi en début d’après-midi, nous nous sommes donc retrouvés et heureusement le premier contact a été excellent. Antoine était très baraqué et, beurette de petite taille, je semblais toute petite à côté de lui. François, un grand blond mince m’a tout de suite séduite par son charme, sa prestance, sa douceur. Je ne suis pas exhib mais j’ai aimé me promener ainsi entre mes deux hommes. L’insolite de la situation était grisant, d’autant plus que cela se passa avec grand humour, voire de franches rigolades !

 

Il faisait froid samedi mais je me doutais qu’il allait faire chaud dans le centre commercial. Aussi dans ces cas, je m’habille légèrement et par contre je prends un gros manteau bien chaud. J’avais donc mis un top moulant à col roulé à même la peau, je savais que ça allait plaire à François, une jupe évasée et mes bottes. J’ai effectivement passé l’après-midi, le manteau sur le bras.

 

Nous arpentons de nombreuses boutiques, échangeant quelques baisers ou de furtives caresses qui étonnent les personnes que nous croisons. Mais Antoine, toujours très pince sans rire, met une ambiance d’enfer. Ses mots très drôles m’amusent beaucoup et en surprennent plus d’un ! C’est souvent qu’il cite une pensée de Wolinski. Il en connaît des tonnes !

 

Nous nous arrêtons dans une bijouterie. Je désirais acheter depuis longtemps un collier que je vois à prix réduit ce jour-là. C’était l’occasion donc ! Après l’avoir sorti de son écrin, la vendeuse le pose sur moi. Elle frôle mes tétons qui pointent sous la maille et qui durcissent immédiatement. François s’en aperçoit vite et bien que très réservé me fait un clin d’œil. Antoine n’en rate pas une pour sortir une blague qui nous fait tous rire, la vendeuse également. Ces blagues auraient pu être salaces mais dites si joliment, elles mettent de l’ambiance ! Je suis assise à une petite table face à un miroir, François, debout derrière moi, vient de passer ses bras par-dessus mes épaules et tout en admirant le collier, me caresse les seins. La vendeuse, assise à côté de moi en rougit ... Antoine en rajoute en plaisantant sur moi, ce qui fait encore plus rougir la vendeuse !

 

-          Vous êtes bien jolie ! "Un des derniers privilèges des hommes, c’est que nous n’avons pas besoin d’être beaux pour séduire" ... encore une pensée de Wolinski !

 

Poursuivant nos courses, je remarque qu’Antoine se retourne de temps en temps lorsque nous croisons une femme vêtue d’une jupe assez courte. Là aussi, ses remarques surprennent parfois l’intéressée, mais elles sont toujours très drôles et généralement cela amuse !

 

Passant devant une boutique de vêtements cuir, Antoine propose de m’offrir une jupe droite courte. C’est son truc me dit-il. En général, je préfère une jupe évasée, c’est plus facile pour s’asseoir.

 

-          "Ce qui m’intéresse chez une femme, c’est ce que je n’ose pas lui demander", encore Wolinski me dit-il. Mais là, j’ai osé te le dire !

 

Je me laisse tenter, il y a plusieurs modèles et nous nous dirigeons vers les cabines d’essayage. Là aussi, nos voisins de cabines s’étonnent du trio que nous formions. Après bien des essayages durant lesquels Antoine est entré dans la cabine pour me tenir les vêtements, et en profiter pour me faire quelques caresses ..., je me décide. Une fois la jupe achetée, Antoine demande à la caissière la possibilité de retourner dans la cabine de façon à ce que je la mette sur moi à la place de celle que je porte. Une fois le changement de jupes fait dans la cabine, Antoine me propose de retirer mon slip et de sortir ainsi. Il me le demande avec un tel entrain et un tel aplomb que je me laisse tenter. Ils sont tous les deux très sympas avec moi et j’aime me laisser ainsi séduire.

 

Quelque peu fatigués, nous nous arrêtons dans une croissanterie, attirés par la bonne odeur des pains qui cuisent. On s’asseoit à l’une des premières tables. François est un peu en retrait mais Antoine et moi en plein dans le passage. Une fois assise, ma jupe remontée laisse sans doute entrevoir mon intimité. Heureusement que je ne connais personne ici ! L’ambiance est au beau fixe et nous décidons de nous retrouver un peu plus tard pour dîner dans un resto voisin.

 

                                                                                                                  A  Suivre

 

 

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Vendredi 4 mars 5 04 /03 /Mars 15:36

Pour que Sophie ma putain se régale elle aussi

 

 

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Au fur et à mesure, alors que j'éprouvais un sentiment de chaleur depuis de longues minutes, je sentis une bouffée d'air frais parcourir mon entrejambe, ce contraste était divin. Il a retiré ma culotte et l'a portée à son visage. Mon mari haletait, et je lui demandais ce qu'il aimerait me faire. Il a répondu qu'il aimerait me lécher le sexe. Répétant à haute voix ce qu'il venait de me dire, Jérôme me fit un clin d'œil et approcha mon bassin du bord du lit. Il a alors enfoui sa tête sous ma jupe. Il s'est d'abord arrêter à quelques centimètres de ma chatte. Je sentais sa respiration, ou plutôt son souffle. Puis du bout de la langue il a commencé à agacer mon clitoris. Mariée depuis sept ans, et avec mon chéri depuis une dizaine d'années, à trente-trois ans cela faisait longtemps que quelqu'un d'autre n'avait pas eu la faveur de mon corps. Je gémissais, en guidant par mes paroles mon mari, mais surtout Jérôme. Je devais mouiller comme une folle, je ne cachais même plus mes jouissances.

 

Après quelques minutes, mon mari me demanda ce que moi je lui ferai. Jérôme s'est alors relevé, a défait son ceinturon, a baissé son pantalon, et s'est retrouvé en boxer short face à moi. J'ai compris ce qu'il attendait. Je l'ai attrapé par le boxer, et de ma main gauche l'ai descendu. Sa bite a jaillit, droite comme un I, elle était longue et assez large, sans commune mesure avec celles que j'avais connues. Il s'est allongé près de moi. Reprenant notre jeu, j'ai alors dit à mon mari que j'avais vraiment envie de le prendre dans ma bouche. Je me suis alors penché vers le sexe de Jérôme, et ai commencé à le mordiller sur les cotés. De ma main libre je caressais ses bourses, je les sentais se contracter sous mes doigts. Par petites poses, j'expliquais à mon incrédule mari ce que je faisais. J'ai alors pris complètement en bouche ce sexe qui me faisait tant envie. J'y mettais tout mon cœur, ne pouvant éviter des bruits de succions. Mon mari, trouvant cela plus que réaliste, m'a une nouvelle fois demandé si j'étais seule. Amusée, et devenue intrépide par tant d'excitation, je lui ai dit sur un ton sarcastique que je suçais un homme qui était dans ma chambre. Devant sa colère, j'ai coupé court et l'ai rassuré, en lui expliquant que pour me mettre parfaitement dans l'ambiance, je suçais mes doigts. Mon mari a tout gobé au quart de tour.

 

Jérôme semblait apprécier ma pipe, vu les soubresauts de son sexe. Je savais pertinemment qu'avec ces coupures, il ne pourrait pas jouir. Il s'est mis à cheval sur moi, et a mis son sexe entre mes seins. Les maintenant avec mes avant-bras, il se payait une bonne cravate de notaire. Je lançais vers son gland des coups de langues. Mon mari était toujours à notre histoire, il avait repris le cours des descriptions. Jérôme s'est relevé et a mis son bassin au dessus de mon visage. Je l'ai pris dans ma bouche. Il allait et venait se servant de mes lèvres comme d'une chatte. Je n'avais jamais connu ça...

 

Mon mari qui était au bord de la jouissance, m'a dit qu'il voulait me prendre. J'ai repoussé mon assaillant pour pouvoir lui répondre. Je lui ai dit que moi aussi je voulais le sentir en moi. Jérôme a compris le message, m'a laissé me retourner pour que je me mette à quatre pattes. Il a retroussé ma jupe, et j'ai senti son membre à l'entrée de ma chatte. Je me suis retournée et lui ai fait signe que « NON ». Il est alors allé vers son pantalon, et a sorti de son portefeuille un préservatif. Il l'a enfilé, et s'est présenté de nouveau derrière moi.

 

J'avais les fesses en l'air et le visage sur l'oreiller. J'ai dit à mon mari que je n'en pouvais plus, qu'il fallait qu'il me défonce. J'ai alors senti l'énorme bite de Jérôme me perforer. Je n'avais jamais été aussi remplie. J'ai dit à mon chéri que j'allais jouir, je ne mentais pas. Mon mari a voulu que je le prévienne pour que l'on jouisse en même temps. Jérôme variait admirablement les rythmes. Mon plaisir montait, montait, montait... Quand j'ai entendu mon mari crier, un orgasme me terrassa, tandis qu'au même moment Jérôme crispait ses mains sur mes hanches et se vidait dans le préservatif.

 

J'ai embrassé Benjamin en lui disant à demain et me suis écroulée sous le poids de mon amant sans même prendre la peine de raccrocher.

 

Il s'est retiré, puis nous nous sommes embrassés longuement à pleine bouche comme un jeune couple. Sa bite a recommencé à prendre de la vigueur. J'ai retiré le préservatif et, alors que je ne l'avais jamais fait auparavant, j'ai nettoyé son sexe de ma langue. Je me suis mis à le sucer, sans cette fois être interrompue. J'étais gourmande de sa queue. En peu de temps, il était de nouveau en forme, et je me suis empalée dessus pour le sentir en moi. Tout à mon plaisir je le chevauchais. Je lui ai demandé s'il avait d'autres capotes. Il m'a répondu qu'il en avait suffisamment pour ce soir.

 

Je me suis levée et ai pris un chapelet de préservatifs. Je lui en ai enfilé un à l'aide de mes lèvres. Nous avons baisé dans toutes les positions. A un moment, alors qu'il me prenait en levrette, il a caressé avec son majeur ma rosette. Je n'ai rien dit. Puis il a enfoncé son doigt dans mon cul. La sensation était étrange, mais encore une fois je n'ai rien dit. Il me dit enfin qu'il adorait mon cul et souhaitait y mettre sa bite. Je lui ai répondu que j'étais vierge de ce coté, et qu'il était certainement trop gros. Il était étonné qu'avec ce cul là, personne n'y ait pensé avant lui. Il m'a rassurée, puis convaincue.

 

J'ai senti son gland contre mon anneau. Il a poussé lentement, et peu à peu mon sphincter s'est ouvert. Il est rentré d'un coup, la douleur était là, une larme perlait au coin de mon œil, mais il y avait autre chose. Je sentais au loin une sorte de plaisir, j'ai caressé mon clitoris. La douleur et le plaisir s'inversaient proportionnellement. Jérôme était toujours immobile, tout au fond de moi. C'est moi qui aie commencé à bouger les fesses. Doucement, il prit mon relais, il n'y avait maintenant que du plaisir. Il a accéléré la cadence, je me sentais chienne. Après cinq bonnes minutes de besogne il s'est retiré et s'est couché près de moi, son torse au niveau de mon visage. Il a retiré le préservatif et a fait courir ses doigts le long de son sexe. De son autre main, il me caressait les cheveux. Il a pressé légèrement sur ma tête en direction de son sexe. Dans un état second, ma bouche a pris le relais de sa main. Il me caressait toujours les cheveux. Je l'ai vu se contracter, et ressenti un premier jet au fond de ma gorge. Même si sa main était sur ma nuque, et même si c'était une première, j'en avais envie. Je l'ai sucé plus fort, aspirant sa semence, jusqu'à ce qu'il ne reste rien.

 

Nous avons fait l'amour tout les soirs de la semaine avec et sans préservatifs. Je suis devenue une accro de la sodomie, mais mon mari ne le sait pas. Cette aventure extraconjugale a duré d'un commun accord que pendant le salon. Nos relations sont restées professionnelles. Mon mari n'a jamais rien suspecté, tant mieux. Une chose trotte pourtant dans ma tête, au mois de Septembre, toute la société est supposée aller au Packaging Show, le salon de l'emballage de Dusseldörf, et ce pour dix jours...

 

Par Chloé - Vos contributions

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Mercredi 2 mars 3 02 /03 /Mars 18:04

Un texte très chaud de Chloé, publié avec l'aimable autorisation de Sophie de R

 

http://sophie973.erog.fr

 

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Coup de folie, par Chloé

 

Bonjour, je m'appelle Emilie, je suis châtain, les yeux verts pour 1m68. Maman d'une petite fille, je suis mariée depuis sept ans et suis toujours restée fidèle.
 

Je travaille comme formatrice dans une société grenobloise spécialisée dans les aérosols. Il y 3 mois, je suis montée pour une semaine à Paris, à l'occasion du salon de l'emballage. En marge de la manifestation, et parce que l'entreprise n'avait fait une grande année, des réunions de stratégies était prévues. Dès le premier soir, le directeur commercial, nous a fait le point sur les résultats décevants, en mettant le doigt sur les supposées faiblesses...

 

De retour à notre hôtel, j'ai dîné avec un collègue de Montpellier, Jérôme. Fatiguée et nerveuse, moi qui ne bois jamais, j'ai accepté de prendre un apéritif, et même deux verres de blanc, à table. Arrivée au dessert, j'avais un peu chaud au visage et la tête embuée.

 

En regardant ma montre, je vis avec stupeur qu'il était 22h00 passées, et que je n'avais toujours pas téléphoné à mon mari, comme prévu.

 

Je me suis excusée auprès de Jérôme, lui expliquant que je devais monter dans ma chambre pour appeler mon chéri. Il a proposé de commander une bouteille de champagne et de la monter dans ma chambre. Sans explication, mais sans doute pour partir au plus vite, j'ai dit « oui ».

 

Prenant congé, je me suis dirigée vers l'ascenseur pendant que Jérôme attendait pour la note et le champagne. Arrivée dans ma chambre, j'ai laissé la porte entrouverte, puis j'ai déposé ma veste sur une chaise. J'ai vite composé le numéro de chez moi. La petite était couchée, et j'ai raconté ma journée à mon mari Benjamin.

 

Lorsque Jérôme est entré dans la chambre, j'ai été presque surprise. Occupée par notre conversation, j'avais oublié qu'il devait venir.

 

Comme il restait debout près de l'entrée, je lui ai fait signe discrètement de poser la bouteille et les deux coupes sur le bureau. Je ne voulais pas que mon mari sache que quelqu'un était dans ma chambre. A coté du bureau, ma valise était restée ouverte. J'ai vu Jérôme regarder dedans. Puis, en se penchant, il a sorti un soutien gorge blanc en dentelles. Il a commencé à l'agiter devant moi, avec un petit sourire en coin. J'étais furieuse, et lui lançai un regard noir. Je ne pouvais rien dire, à cause de mon mari, et Jérôme a profité de ma condamnation au silence, pour fouiller de nouveau dans mes sous-vêtements. Il en a sorti le string qui allait avec le soutien-gorge, et une paire de bas noirs. J'étais à la fois énervée et morte de honte. Du coup je n'étais plus trop à la conversation. Mon mari commença à me demander la raison de mon appel tardif, pourquoi je semblais un peu ailleurs. Je lui ai expliqué que cette longue journée m'avait usée, et que j'avais besoin d'une bonne nuit réparatrice.

 

En fait, je n'attendais qu'une chose: raccrocher pour dire à Jérôme son impolitesse et le foutre dehors. Malheureusement pour moi, Benjamin avait visiblement très envie de discuter. J'étais partie depuis moins de 24h et je lui manquais déjà. Il me détaillait tout ce qu'il désirait me faire à mon retour. J’étais mal à l'aise et n'entrait presque pas dans son jeu. Au bout d'un moment, mon mari suspicieux me demanda si j'étais seule. Effrayée, je lui ai dit que « oui » et essayais de participer normalement à la conversation. J'étais gênée par le fait que Jérôme fût en face de moi et qu'il me regarde.

 

Il est venu s'asseoir sur le lit non loin de moi, puis s'est allongé. Ne le voyant plus, je me suis un peu détendue. Je dis à Benjamin combien lui et la petite me manquaient, que j'avais hâte de rentrer à la maison. D'humeur câline, il m'expliquait qu'à mon retour il me couvrirait de baisers lorsque j'ai senti la main de Jérôme se poser sur ma hanche. Je l'ai repoussée sans pouvoir rien dire, mais il l'a remise aussi tôt. Je l'ai repoussé 3 ou 4 fois, sans succès. J'ai finalement décidé de le laisser faire de peur que mon mari ne s'aperçoive de quelque chose. Je continuais à parler à mon mari, la main de Jérôme me caressant et me massant doucement les hanches et le dos. Ce massage commençait à me détendre, je me sentais de mieux en mieux. Jérôme s'est relevé, puis s'est assis derrière moi. Avec ses deux mains il a commencé à me masser les épaules et la nuque. J'avais accepté son massage, mais j'essayais d'écourter la conversation avec mon chéri pour que cela n'aille pas plus loin.

 

Tout en me massant d'une main, il a, avec l'autre, commencé à essayer de déboutonner mon chemisier. J'ai tenté d'arrêter son geste, mais mon mari a demandé ce qui se passait, ce qu'était ce bruit. J'ai répondu que ce n'était rien et ai laissé Jérôme faire. Il a défait un à un les boutons, puis a fait glisser mon chemisier sur les épaules. Il a repris son massage. Il était doué, il a réussi à me détendre de nouveau, j'étais bien... Il a d'abord repoussé les bretelles de mon soutien-gorge, qui le gênait, puis il a carrément sorti mon chemisier de ma jupe. Sans le regarder, je l'ai laissé faire, je l'ai même aidé en changeant le téléphone de main pour qu'il puisse retirer complètement mon chemisier. Puis il a dégrafé mon soutien-gorge et l'a enlevé. Malgré cette situation incongrue, je n'avais plus envie que mon mari raccroche.

 

Etre au téléphone, "réduite au silence", me donnait l'excuse d'accepter sur mon corps les mains d'un homme qui, à priori, ne me plaisait pas et qui, jusque là, ne m'avait jamais fait connaître ses intentions.

 

Jérôme m'a saisi par les épaules, et m'a fait allonger sur le lit. Pendant que je parlais à mon mari, Jérôme faisait courir tout en délicatesse ses doigts sur mon ventre, s'arrêtant et jouant avec mon nombril. Les caresses et, peut être un peu l'alcool, me mettaient dans un état de relaxation total. Il me mangeait le corps de ces yeux et approcha ses mains de mes seins. Mes amies ont toujours jalousé ma plastique, avec ma poitrine, un 90 C, « en poire », comme elles disent, et mes fesses à faire virer sa cuti à n'importe quel homosexuel.

 

Jérôme excitait la pointe de mes tétons avec l'intérieur de sa paume. Des frissons me parcouraient de haut en bas. Il m'a regardé droit dans les yeux, s'est approché de mon visage, de mes lèvres et a déposé tout en silence un petit baiser. Il m'a regardé de nouveau et m'a embrassée. Sa langue me donnait une impression de douceur, et ma langue répondait à la sienne. Je fermais les yeux et profitais intensément de ce baiser; le téléphone collé à l'oreille mon mari continuait de me parler sans se douter de rien.

 

Pendant que je reprenais mon souffle, Jérôme, le plus discrètement possible, m'embrassait et me mordillait le cou, je me tortillais comme une anguille. Ses lèvres sont descendues vers mon ventre, passant sa langue dans mon nombril. Il est remonté vers ma poitrine, la couvrant de centaines de baisers. Prise au jeu, j'ai mis ma main sur sa nuque et ai appuyé sa bouche sur mes seins. Il était comme un fou, il les léchait et les suçait en alternance régulière.

 

Sans m'en rendre compte, j'ai poussé un petit gémissement que mon mari a entendu. Il m'a aussitôt demandé ce qui se passait, et qui était avec moi. Prise au dépourvu, je lui ai répondu que j'étais seule, que notre conversation m'avait excitée et que je me caressais. En entendant cela, Jérôme tout à son ouvrage, s'est relevé et m'a souri. Mon mari m'expliqua que lui aussi était excité et qu'il se mettait à l'aise pour se caresser. Jérôme s'est mis à genoux au pied du lit. Il a fait glisser ses mains le long de mes jambes, parcourant mes bas, glissant sous ma jupe, ralentissant au contact de ma peau jusqu'à arriver à l'élastique de mon string. Il l'agrippa fermement et le tira doucement vers lui. Pour lui faciliter la tâche, je me suis légèrement cambrée.

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Mardi 22 février 2 22 /02 /Fév 17:11

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3. LE CLUB

 

 

 

Alexandre m’avait convaincue de retourner dans ce club échangiste. C’est vrai que l’endroit était très sympa et le public plus « classe » que ceux des clubs que nous avions connus auparavant. Je décidais donc de l’accompagner. Nous y étions déjà allés ensemble mais, comme la plupart des participants, seulement comme « voyeurs ». Cette fois-ci j’y allais pour participer.

Après avoir fait un petit tour, nous nous retrouvons au bar. Beaucoup de couples étaient déjà là, en train de discuter. Quelques-uns étaient sur le point de passer à l’acte. Il fait toujours chaud dans ces clubs et j’avais juste mis une robe chemisier, pas de culotte, pas de soutien-gorge. C’est plus facile pour se déshabiller puis se rhabiller !

 

Je me suis retrouvée dans un salon dont les murs étaient couverts de miroirs. J’étais assise à côté d’un mec dont la beauté m’impressionnait. Il était grand, mince et blond comme j’aime, très « classe ». J'ai trinqué avec lui, jetant un œil au passage à sa braguette bien gonflée, tandis que lui restait strictement immobile. Sous ma paume je sentais une queue d'une taille extraordinaire, sans doute plus grosse que toutes celle que j'avais croisées jusqu’alors. Il a posé presque aussitôt sa main sur la mienne. Il tremblait légèrement.

 

J'ai alors entrepris d'ouvrir sa braguette, puis j'ai sorti de son pantalon une queue aussi impressionnante que ce à quoi je m'attendais. Instantanément une chaleur intense a vrillé mon bas-ventre. Cette vue déclenchait une vague de désir absolument irrépressible. J'ai essayé de faire comme si je n'avais pas instantanément oublié Alexandre, mais c'était trop tard. Sans un mot pour cet appétissant jeune homme, je me suis penchée et j'ai introduit son gland rose dans ma bouche. Aussitôt il a gémi de plaisir et ce son m'a fait mouiller encore davantage. J'ai glissé une main entre mes jambes et j'ai enfoncé deux doigts dans mon vagin brûlant de désir, faisant naître une intense envie d'être pénétrée par quelque chose de bien plus gros. Il gémissait tandis que j'engloutissais sa queue toute entière dans ma bouche. Elle était si grosse que mes lèvres étaient tendues au maximum autour de son pourtour impressionnant. Relevant la tête, j'ai observé mon reflet dans la glace en face du lit. Je baissais et relevais lentement la tête au rythme de la caresse que j'administrais et de ma bouche rose sortait un pieu impressionnant et palpitant de plaisir. Au bout d'un moment le jeune homme s'est mis à regarder également dans le miroir, il me regardait dans les yeux sous ses paupières à demi closes.

Je le fixais tout en le suçant, m'attachant à faire rentrer autant que je le pouvais ce membre entre mes lèvres, enfonçant son gland au fond de ma gorge. Chaque contact me faisait mouiller encore davantage.

Le suçant toujours je me suis mise à masser délicatement ses couilles de ma paume gauche, tandis que de l'autre main je le branlais pour prolonger la caresse de mes lèvres. Parfois, je ne faisais que sucer son gland en faisant coulisser ma main le long de sa hampe bien gonflée et veinée, puis je recommençais à l'avaler entièrement, ne m'arrêtant que lorsque mon nez butait contre son ventre. Ses gémissements de plus en plus intenses me montraient qu'il était plus que sensible au traitement que je lui faisais subir et j'ai décidé de faire une petite pause.

 

Je me suis remise sur le dos et j'ai largement écarté les cuisses, caressant mes petites lèvres de la main gauche tandis que la droite se concentrait que mon clito. Il me regardait avec attention, et bientôt il s'est mis à se branler. J'aimais le regarder, j'aimais comme toujours surprendre les gestes les plus intimes d'un homme, voir sa main sur sa queue, et découvrir la façon dont il se caresse secrètement. Quant à moi je me touchais toujours, titillant mon clito de l'index, plongeant quelques doigts de mon autre main dans mon vagin trempé. Soudain il s'est baissé et il a commencé à me lécher, faisant d'abord le tour de mon minou du bout de la langue, puis se concentrant sur mon clitoris pour le lécher d'une divine façon. Il s'est mis à me doigter en même temps qu'il me léchait et bientôt je n'ai plus pu me contrôler : je me suis mise à crier de plaisir comme si j'avais été sur une île déserte.

 

Ses doigts me remplissaient divinement, et sa langue savait bien comment me faire mouiller encore plus. Mon clito était maintenant tout gonflé par le plaisir, je n'allais pas tarder à jouir. Il l'avait attrapé doucement entre ses lèvres et tirait légèrement dessus. Cette tension était délicieuse. Ensuite il l'a lâché et s'est remis à le lécher d'un petit mouvement circulaire soutenu, avant de recommencer à doucement tirer dessus. Cette fois je pouvais sentir qu'il l'avait pris entre ses dents, et cette idée m'excitait terriblement. Il continuait toujours à me pénétrer de ses doigts et bientôt j'ai été traversée par un orgasme de toute beauté, un de ceux qui naissent au creux du ventre pour irradier tout le corps et venir mourir au creux de la gorge...

 

Je suis restée quelques instants immobile sur le lit avant de constater que la queue de mon jeune étalon était plus dure et plus grosse que jamais. Il ne m'en a pas fallu plus pour me relever et me mettre à quatre pattes, lui tendant ostensiblement les fesses. J'ai saisi sa queue et je l'ai dirigée vers ma chatte avide de plaisir, caressant ma vulve trempée de son gland avant de l'introduire en moi, gémissant tandis qu'il me pénétrait, lentement, très lentement...

 

J'ai relevé la tête pour bien me voir dans la glace. J'étais cambrée, les cuisses largement écartées, et il était derrière moi, les mains bien agrippées à mes hanches. Il me prenait bien à fond, et sur son visage je lisais une extase qui allait sans doute trouver son apogée d'ici peu. Je sentais sa queue bien dure dans mon ventre et j'avais même la sensation qu'elle devenait de plus en plus dure et de plus en plus grosse. A chaque coup de queue ses couilles claquaient contre ma chair avec un petit bruit net. J'étais littéralement pleine de mouille.

 

Je me suis mise à me toucher en même temps qu'il me prenait et c'était véritablement trop bon, si bon qu'au bout de quelques secondes j'ai été envahie par un orgasme surpuissant. Je me suis mise à crier et aussitôt il m'a baisée plus fort, répondant à mon excitation par la sienne à son paroxysme. Il a joui juste après moi, et j'ai senti de longs jets de foutre chaud gicler en moi. Je suis retombée sur le lit, épuisée. Quant à lui, il me remercia très sincèrement.

 

Après avoir repris mes esprits, je passais dans le salon voisin. Une dizaine de jeunes gens dansaient près d’une table sur laquelle se trouvaient un grand bol à punch et de nombreux verres. Ils étaient assez jeunes, il y avait des noirs des blancs et des métis, des hommes et des femmes, et tout le monde semblait beaucoup s'amuser.

 

Tout en sirotant mon verre de punch, je me suis mise à examiner le spectacle qui m'entourait. Non loin de moi, un couple s'étreignait passionnément. Je me suis laissé aller et cette idée m'a excitée plus que tout. Il était à noter que tout le monde paraissait dans le même état de lascivité que moi.

 

Une fille noire s’est mise à danser superbement. A voir ainsi son corps d'ébène remuer sensuellement au rythme des djembés, j'ai soudain eu envie de l'imiter. Je l'ai rejointe et sans même que je réfléchisse mon corps a commencé à bouger. Dans mes tympans résonnaient les rythmes lourds des tambours, le sang bourdonnait à mes oreilles. Elle s'est approchée de moi et a saisi le bas de ma robe. Sans s'arrêter de danser, elle l'a relevé au dessus de ma tête et l'a tout simplement ôtée. J'ai levé les bras pour l'y aider. J'étais nue dessous. Face à moi, elle caressait mes seins avec douceur, insistant bien sur mes tétons déjà tout durs, puis elle s'est mise dans mon dos et s'est collée à mon corps.

 

A l'orée de mon champ de vision je pouvais voir que le couple qui s'embrassait au début s'ébattait à présent sur le canapé. La fille se tenait allongée, les cuisses largement écartées, et le mec était en train de la lécher. A en juger par ses gémissements il ne se débrouillait pas mal. Toujours derrière moi, la fille noire s'est mise à toucher le haut de mes cuisses, là où la peau est insupportablement tendre, d'un geste si délicat qu'il me donnait envie de m'ouvrir comme une fleur à ses caresses. Elle a sans doute compris car de seconde en seconde son geste devenait plus intime, plus insidieux. Glissant l'index entre mes petites lèvres encore jointes, elle les a séparées puis s'est mise à caresser mon clitoris d'un geste expert.

Cela m'excitait, je mouillais comme une folle et j'avais envie de lui dire. Doucement elle m'a fait me mettre à quatre pattes. Perdant toute pudeur, je me suis mise à me caresser tandis qu'elle se plaçait derrière moi pour me lécher profondément. Je sentais sa langue s'immiscer au creux de mon vagin trempé, dure et tendue comme un doigt. Elle me lapait et me titillait comme une experte, me mettant au supplice, me faisant désirer avec violence d'être prise par quelque chose de plus gros et plus dur encore.

 

 

Me relevant, je l'ai saisie par la taille et je l'ai fait s'allonger sur le sol, me plaçant au dessus d'elle en 69. Sa chatte était entièrement épilée et avait une jolie forme bien nette. J'ai écarté ses petites lèvres brunes et lisses et j'ai découvert sa vulve rose, pleine de mouille. Son clito était bien gonflé et quand j'ai posé le bout de ma langue dessus elle a laissé un feulement sauvage. Excitée par ce bruit j'ai continué de la sucer tout en la doigtant de l'index. Elle était bien trempée et chaude, et bientôt j'ai ajouté le majeur et l'annulaire puis le petit doigt, la branlant jusqu'aux premières phalanges d'un mouvement ample et régulier qui la faisait crier. Pendant ce temps elle me léchait toujours, faisant tourbillonner sa langue de mon clito à l'entrée de mon vagin en une valse perverse qui faisait monter le plaisir au creux de mon ventre.

Un homme est venu s'agenouiller devant moi, la queue dure et tendue. La vue de ce braquemart juste devant mes yeux n'a fait que m'exciter encore plus: tendant le cou j'ai attrapé son gland entre mes lèvres et j'ai commencé à le sucer, avant d'avaler progressivement toute sa queue.

Je l'ai sucé un moment tout en branlant la noire. Avoir ainsi une chatte et une queue si près des yeux me mettait dans un état pas possible, je mouillais plus que jamais et la noire en faisait bon usage, si j'en jugeais par les sensations que sa langue me procurait.

Dans ma bouche la bite était de plus en plus dure, et bientôt j'ai cessé de la sucer pour la diriger vers la chatte trempée de ma complice. J'ai frotté le gland sur sa vulve luisante de mouille puis je l'ai dirigé vers son anus, lui faisant faire de petits cercles pour bien la lubrifier de sa propre cyprine.

Le mec est resté immobile quelques minutes puis il a entrepris de pénétrer lentement la noire. Tandis que je regardais sa queue bien dure s'enfoncer dans le cul, je doigtais et léchais toujours sa chatte, excitée comme jamais. Elle aussi semblait rendue plus chaude que jamais par le traitement qu'on lui faisait subir: sa chatte était toujours plus mouillée et de plus en plus souple. Sa langue également se déchaînait: elle me suçait à présent comme si sa vie en dépendant, lapait ma mouille, titillait mon clito, tirait doucement sur mes petites lèvres...

 

Pendant ce temps je la regardais se faire prendre, jouissant du spectacle qui s'offrait à moi. Mes doigts allaient et venaient dans le fourreau nacré de sa chatte et cette vision m'excitait déjà énormément, mais observer en plus le mouvement de l'énorme bite noire qui allait et venait entre ses fesses achevait de me mettre en transe. Au bout de quelques temps, je l'ai entendue gémir différemment, et alors qu'elle haletait j'ai senti son ventre se contracter autour de mes doigts, preuve qu'elle était pour le moment envahie par l'orgasme.

 

Sans chercher à me retenir plus longtemps, j'ai joui moi aussi, sous sa bouche de lécheuse experte qui n'avait pas interrompu ses caresses même en prenant son propre plaisir. Puis, nous relevant toutes les deux, nous nous sommes embrassées, les lèvres encore humides de nos sucs respectifs. Ses lèvres étaient chaudes et moelleuses, et exhalaient le même parfum entêtant de vanille que tout son corps.

 

"Tu m'as bien fait jouir..." a-t-elle soufflé à mon oreille durant cette étreinte.

 

Je lui ai rendu la politesse, sans trop chercher à me préoccuper des gens qui nous entouraient, tous plus ou moins engagés eux-mêmes dans des activités plus ou moins masturbatoires ou bien orgiaques.

 

Échaudée par l'entrée en matière, j'avais maintenant envie d'une queue à sucer et même de plusieurs queues, je les voulais toutes dures et grosses et tendues, les couilles bien pleines et prêtes à exploser pour moi. Sans façon, j'ai fait signe à quelques jeunes hommes de s'approcher de moi, Alexandre compris, et je les invitais à se mettre à genoux autour de moi. Saisissant la queue du premier mec j'ai commencé à lui lécher le gland, à le déguster lentement, à en titiller chaque point, avant de m'amuser avec son prépuce et son frein. Le jeune homme laissait échapper des gémissements qui me montraient que j'étais sur la bonne voie. J'ai pris sa queue toute entière dans ma bouche, la massant de la langue, du palais et de l'intérieur des joues.

Ma bouche était toute entière remplie par cette grosse bite et ça me faisait mouiller. J'aimais la sentir s'enfoncer loin en moi, puis la faire glisser le long de mes lèvres arrondies en un O de gourmandise.

Décidant de changer de friandise, j'ai continué à branler cette queue tout en en prenant une autre dans la bouche. J'avais envie de goûter un autre gland et d'entendre des gémissements différents répondre à mes caresses buccales. Celui-là avait un sexe beaucoup plus court que le précédent, mais aussi plus épais. Je devais vraiment ouvrir tout grand la bouche pour pouvoir le happer.

A ce moment la noire s'est agenouillée près de moi, apparemment désireuse de me prêter main forte. Elle s'est mise à lui lécher les couilles pendant que je suçais son gland, et les halètements de plaisir du mec ont redoublé. De temps à autre mes lèvres rencontraient celles de la noire et alors nous oubliions momentanément la belle bite dure que nous sucions pour nous abandonner en un baiser brûlant, pour le plus grand plaisir de tous ceux qui nous mataient, et qui apparemment se branlaient plus que jamais dès qu'ils nous voyaient faire des choses.

 

Je me suis remise à lécher le gland du type tout en branlant sa hampe épaisse, et la noire a pris ses deux couilles dans sa bouche. Je me suis vite rendu compte qu'il n'allait pas tenir longtemps, et en effet quelques secondes plus tard il s'est mis à jouir, éjaculant de longs jets de sperme nacré et chaud qui finirent dans ma bouche ou bien à côté.

Aussitôt la noire s'est relevée et s'est mise à lécher la semence répandue sur mon visage. Elle a d'abord léché mes lèvres, puis mon menton et mes joues, pour finir par m'embrasser langoureusement, mélangeant nos deux salives au sperme chaud.

Excitée comme une folle par ce concept, j'avais recommencé à mouiller abondamment, et je ne désirais plus qu'une chose, être prise...

 

J’allais dans le salon suivant. On y donnait un film porno américain de bonne facture, mettant présentement en scène une plantureuse blonde à seins énormes se faisant somptueusement pistonner en levrette par un homme vêtu en pompier. Les gros plans sur son visage la montraient la bouche grande ouverte, les lèvres brillantes et la langue frétillante, gémissant sous les coups de boutoir de son compagnon.

Ses gros seins remuaient en rythme et dansaient une sarabande infernale. Bientôt la caméra a glissé vers le théâtre principal des opérations, montrant les deux organes également rasés des protagonistes s'élançant à la rencontre l'un de l'autre avec une précipitation grandissante. La netteté de l'image rendait le tout extrêmement réaliste et peu après je me suis rendu compte que je mouillais abondamment. Mais quand la blonde héroïne s'est mise à sucer son partenaire, léchant voluptueusement son gros braquemart bien luisant de salive et de cyprine, j'ai commencé à me caresser, plongeant mes doigts dans mon intimité chaude et accueillante...

 

Deux hommes se tenaient près de moi. Un coup d'œil à leur musculature puissante de bonne bête de somme m'a convaincue de relever le défi. L'un des hommes a relevé ma robe, dénudant mes fesses qu'il a écartées de ses deux mains, me faisant me pencher instinctivement en avant alors qu'il révélait ma vulve trempée et rose d'excitation. Alors que je me branlais toujours, il m'a donné quelques petites tapes qui, faisant rosir mes fesses, m'ont littéralement donné comme des électrochocs. Je pouvais sentir sous mes doigts ma mouille augmenter.

Tirant un siège de je ne sais où, le type s'est assis dedans et m'a attirée sur lui, me faisant reposer à plat ventre sur ses genoux. Les cuisses toujours largement écartées je continuais de me caresser, rencontrant de temps à autre ses doigts qui s'aventuraient sur ma vulve et sur le pourtour de mon vagin trempé.

 

Pendant ce temps l'autre mec a défait sa braguette et baissé son pantalon. Il ne portait pas de sous-vêtements en dessous et sa bite bien dure s'est dressée sous mon nez comme un diable qui sort de sa boîte.

Ultra excitée par ce spectacle je l'ai saisie d'une main et l'ai approchée de ma bouche avide. De ma langue dardée j'ai léché son gland rose et luisant de quelques gouttelettes, en traçant le pourtour puis titillant alternativement son frein et son méat. Sa queue était animée de soubresauts involontaires et ses couilles se rétractaient délicieusement dans ma paume.

 

Quand je l'ai entièrement englouti dans ma bouche il s'est mis à me raconter des trucs entre ses dents, que je ne pouvais pas vraiment comprendre mais qui devaient se rapporter au bien que je lui faisais. Sa queue était bien longue, bien dure, légèrement recourbée vers la gauche, avec un gros gland rond très appétissant. Plus je l'enfonçais loin dans ma bouche et plus je mouillais, et plus le type sur les genoux de qui j'étais étalée me doigtait profondément.

Sur l'écran, la blonde ricaine se faisait maintenant prendre par deux hommes, et la vision de ces deux grosses queues enfoncée dans ses orifices m'excitait plus encore. Ouvrant les mâchoires au maximum, je suçais à présent le type en vraie gorge profonde, laissant son gland s'enfoncer loin dans ma gorge, jusqu'à ce que sa queue entière soit entrée dans ma bouche. Mes lèvres butaient contre son ventre et ses couilles, j'étais parfois au bord de l'asphyxie mais peu à peu je sentais monter en moi un orgasme dévorant.

Quant au mec qui me doigtait, il me travaillait maintenant de trois doigts, me donnant l'impression d'être remplie par quelque chose de bien plus gros et remuant qu'une bite. C'était si bon que j'en aurais crié si je n'avais pas eu la bouche totalement pleine de la queue de son collègue.

J'ai soudain senti sous mes lèvres que celui que je suçais n'allait pas tarder à jouir et au moment même où un geyser de foutre chaud et crémeux à jailli de sa queue directement au fond de ma gorge j'ai été traversée par un orgasme dévorant. Sans même me donner le temps de dire ouf, l'homme sur les genoux de qui je trônais s'est soudain levé, me portant dans ses bras, et m'a déposée sur la table.

A genoux sur le bord de la table, j'ai cambré les reins et lui ai présenté mon cul, désirant avec fureur me faire défoncer la chatte sur le champ. Il a joué à faire glisser sa queue très dure le long de ma vulve, titillant mon clito avant de revenir caresser ma chatte trempée. J'ai glissé une main entre mes cuisses pour aller tâter son membre, et j'ai été surprise de sa largeur : sans être spécialement long il était sans doute l'homme le mieux pourvu que j'aie jamais rencontré. Je ne pouvais pas faire le tour de sa hampe entre le majeur et l'index. Cette découverte, et la perspective de me faire prendre par une si impressionnante chose n'ont fait qu'augmenter mon excitation. Lentement je l'ai guidé en moi et bientôt j'étais en train de me faire pilonner comme la blonde ricaine du film, à grands coups de bite. Je criais de plaisir et plus je criais et plus l'autre me défonçait. Lorsque j'ai cru que j'allais perdre la tête il a ralenti la cadence pour adopter un rythme plus cool, mais toujours aussi jouissif.

 

Au bout d'un moment j'ai commencé à être dévorée par l'envie de le sucer lui aussi. Me dégageant de son étreinte, je me suis retournée, et j'ai ouvert grand la bouche pour accueillir son énorme bite, qui n'était pas moins grosse que ce que son toucher m'avait suggéré. Mes lèvres toutes tendues faisaient à grand peine le tour de son membre et je devais le sucer assez lentement pour garder le contrôle de ce que je faisais. L'autre s'est rapproché et j'ai pu voir qu'il avait recommencé à se branler, à nouveau dur cinq minutes après avoir joui. Il devait vraiment être en manque. Lui faisant signe pour qu'il s'approche encore davantage, je me suis mise à les sucer alternativement, goûtant avec plaisir leurs deux queues et leurs deux glands si différents. Je m'aventurais parfois vers leurs boules gonflées, les léchant, les prenant dans ma bouche, les massant de la langue et du palais, puis je revenais à leurs glands avides d'être léchés.

Après quelques minutes de cette activité, j'ai eu très envie d'être prise à nouveau. Comprenant tout de suite où je voulais en venir, Mr Très bien monté s'est rassis dans son siège tandis que je venais m'empaler la chatte sur sa queue dure et tendue. L'autre s'est placé à genoux derrière moi et a entamé un petit mouvement léger et circulaire sur mon anus avant de s'y enfoncer lentement. La sensation d'être ainsi totalement prise était irrésistible. Quelques secondes plus tard je n'étais plus que mouille, et je gémissais de plaisir tandis que les deux mecs m'enfonçaient alternativement leurs queues dans la chatte et dans le cul. Ils y allaient lentement, mais implacablement, et je n'ai pas mis longtemps à sentir le plaisir monter en moi.

 

J'ai ainsi connu l'orgasme final, double pénétrée par deux mecs. Il était temps de rentrer et j’allais chercher Alexandre dans un salon voisin. Le spectacle était à son comble. Deux jeunes femmes se faisaient prendre en sandwich ; double pénétrées elles aussi, et en même temps elles branlaient une queue dans chaque main.

 

Avant de quitter le club, Alexandre m’a présenté Catherine, une fille très classe dont il venait de faire la connaissance et dont il m’a dit le plus grand bien ... à suivre !

 

 

 

 

 

 

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