PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
Débauche
Il rencontra la jeune femme dans une réunion de travail et ils éprouvèrent une attirance sexuelle immédiate. Ils firent l’amour dès le premier soir dans sa voiture puis dehors contre la carrosserie. Après cette rencontre passionnée, ils se revirent régulièrement, malgré leurs attachements du moment. Des chambres d’hôtel accueillaient tout d’abord leurs ébats. Seul le plaisir les guidait car leur milieu social était très différent et leurs intérêts, leurs conversations communes limitées, mais le sexe ne les lâchait pas. Ils ne se lassaient pas de leurs étreintes et leurs unions allaient crescendo. Ils s’essayaient à de nouvelles positions, de nouvelles pénétrations, à de nouveaux fantasmes, à des situations chaque fois renouvelées. Depuis qu’il l’avait possédée pour la première fois dans la rue, ils aimaient les étreintes exposées, à la limite de l’exhibitionnisme. Au détour d’un porche ou dans un endroit peu passant, la nuit ou le jour, il l’enlaçait et l’embrassait furieusement, puis il sortait son sexe et lui demandait de se baisser pour le sucer. Elle se pliait à la demande, excitée elle aussi par le risque d’être surprise. Elle s’agenouillait alors et saisissait le pénis dressé entre ses lèvres pour commencer une fellation qu’il terminait en général par une éjaculation sans remords. Elle avalait alors le sperme et se redressait en souriant tandis qu’il se rajustait. D’autres fois il l’emmenait dans les quartiers chauds et ils visitaient les sex-shops où ils passaient dans des cabines projetant des vidéos X. Il aimait se placer derrière elle, et serrés dans l’étroit cagibi il remontait sa jupe, sortait son sexe, et la pénétrait en écartant le slip sur le côté, quand elle en portait un… Elle était déjà mouillée, excitée par les images et la situation. Quand il avait joui en elle, ils ressortaient, les habits froissés et encore dégrafés, et s’amusaient du regard inquisiteur des hommes seuls qui hantaient ces lieux et avaient observé leur manège. Parfois encore ils allaient au restaurant après qu’il lui eut demandé d’enlever son slip et de le mettre dans son sac. Il voulait qu’elle s’asseye sur la banquette la jupe tirée en arrière pour que son sexe, ses fesses et ses cuisses nues épousent la moleskine, comme il l’avait lu dans ‘O’, sa lecture favorite d’adolescent avec Emmanuelle. Là au milieu du repas sous la nappe qui les masquait il lui demandait de le caresser, de dégager son sexe et de le masturber doucement sans alerter les clients. Plusieurs fois, il jouit ainsi, éclaboussant le dessous de la table, et serrant les dents pour ne pas laisser voir son orgasme. Il finit par désirer des rapports plus pervers, faisant intervenir d’autres acteurs. Il lui demanda d’abord de l’accompagner avec une jeune et belle prostituée qu’il avait trouvée dans un bar. Dans une chambre d’hôtel, il les fit mettre toutes deux à quatre pattes sur le lit, lui présentant leurs croupes nues. Il commença à prendre la fille par derrière, puis se retira pour faire l’amour à son amie, et continua à alterner de l’une à l’autre. Il aimait les sensations diverses recueillies dans ces deux vagins qui se refermaient sur son sexe différemment. Il aimait surtout l’idée de posséder les deux femmes en même temps, de disposer de leurs corps au gré de son désir. Il fit retourner sa compagne qui présenta son visage devant lui, toujours dans la même position à quatre pattes, et il pénétra la pute devant elle. Il se retira d’elle tout gluant et présenta son sexe au visage de son amie pour qu’elle l’enfourne. Elle le suça avec un peu de réticence, et il continua à passer de l’une à l’autre, abandonnant les fesses de la première pour la bouche de la seconde et ainsi de suite. Puis il contourna le lit, et prit la prostituée dans la bouche et ensuite enfila l’autre. Il jouit finalement dans la bouche de la fille qu’il avait payée.
Il compliqua l’opération, cette fois avec un couple de leurs amis, qui avait manifesté des tendances échangistes. Ils se retrouvèrent chez ceux-ci et il abandonna sa compagne à l’homme, pendant qu’il emmenait la jeune femme de celui-ci dans une chambre. C’était une petite blonde potelée mais appétissante, qui se déchaîna rapidement entre ses bras. Après l’avoir copieusement baisée, il lui suggéra d’aller voir l’autre couple, qu’ils trouvèrent en pleine activité : l’homme était à genoux entre les cuisses de la femme et lui léchait le sexe, la faisant gémir sous le plaisir. Ils attendirent en voyeur qu’elle atteigne l’orgasme en observant son corps magnifique étalé sur le lit et ses seins rouler dans les mouvements incontrôlés qui l’agitaient. Il proposa alors aux deux femmes de prendre la position alternée à quatre pattes sur le lit, un homme se présentant de chaque côté et ayant devant lui à sa disposition une paire de fesses ou un visage. Lui se plaça tout d’abord du côté de la croupe de son amie et de la tête de la blonde. Il prit celle-ci entre ses mains et pénétra de sa verge ses lèvres entr’ouvertes, pendant que l’autre homme s’enfonçait dans la bouche de sa compagne. Puis les deux hommes changèrent au gré de leur caprice, passant, en restant du même côté du lit, du palais de l’une au sexe de l’autre femme, revenant au visage de la première, sans se coordonner. Il arrivait qu’une femme soit prise à la fois dans la bouche par l’un et dans son vagin par l’autre, et donc que la deuxième attende, regardant la double pénétration dont l’autre faisait l’objet ; ou bien qu’elles soient toutes deux envahies dans leurs sexes, pouvant jouir en même temps du spectacle, juste à côté de leur visage, de la pénétration de l’autre et du sexe de l’homme qui s’enfonçait comme un piston entre les fesses, dans la vulve ; ou encore qu’elles aient les fesses libres mais leurs deux bouches occupées en même temps par le bâillon de chair virile.
Chacun des deux hommes était dans un état d’excitation incontrôlable qui maintenait leur érection et retardait paradoxalement la jouissance. La possibilité qu’ils avaient chacun de prendre un sexe ou une bouche, et en même temps la vue de l’autre homme en face en train de fourrager l’une ou l’autre dans les mêmes orifices, décuplait leurs forces et exacerbait leur frénésie. Ils vivaient leurs fantasmes et leur cœur battait à se rompre. Le sexe devenait comme il doit l’être un moment sublime de délire.
Ils jouirent enfin au même moment entre les fesses des deux femmes s’arc-boutant à leurs hanches et gémissant ensemble comme des enfants. Ils s’affalèrent sur le lit, foudroyés. Peu après revenant à leur sens et à leur vigueur, ils allèrent encore plus loin. Les quatre corps enlacés sur le grand lit incitèrent à des contacts homosexuels. Les femmes tout d’abord sans doute insatisfaites de la pénétration insatiable des mâles, se mirent à se caresser et montrèrent à leurs compagnons comment elles pouvaient se passer d’eux et se donner du plaisir. Elles se firent jouir à tour de rôle en passant leur langue sur le sexe de leur partenaire. Les hommes les regardaient et le spectacle les excitait à nouveau. Ils bandaient et l’un d’eux se présenta à la croupe de la femme penchée sur le sexe qu’elle léchait. L’autre homme facilita l’intromission en prenant le pénis pour le guider vers l’entrée. Le contact d’un mâle lui procura aussitôt une sensation nouvelle et il se prit d’un fantasme homosexuel à son tour. Il fit signe à son compagnon de se retirer de la femme qu’il commençait à besogner, et quand l’autre s’exécuta, il prit son sexe et commença à le masturber, comme seul un homme peut le faire. L’autre un peu surpris se laissait faire tandis que les deux femmes continuaient à s’occuper d’elles-mêmes. Puis cessant de branler son ami, il se baissa et commit ce geste inimaginable avant cette soirée de saisir entre ses lèvres la queue bandée, et commencer une lente fellation. Du coup les femmes s’arrêtèrent pour les observer, émoustillées par ce spectacle peu commun pour elles. Il se consacra avec attention à glisser sur le sexe, à aller et venir en le caressant en même temps de sa langue, en le laissant sortir par moment pour le lécher et mieux l’enfourner ensuite jusqu’au fond de sa gorge. L’homme qui n’avait jusque-là été sucé que par des femmes se laissa aller à cette nouvelle forme de plaisir et finit par jouir sans retenue dans la bouche de son compagnon qui reçut le sperme comme une récompense et l’avala sans dégoût. Les femmes applaudirent amusées au moment où elles le virent se raidir et visiblement décharger dans son compagnon. Ils échangèrent leurs positions et ce fut au tour de celui qui venait de jouir de s’agenouiller et d’offrir une fellation, qu’il mena aussi jusqu’à l’orgasme de son partenaire, ce dernier le saisissant par les cheveux au moment où il se gonflait en lui, pour l’éclabousser au fond de sa gorge. Habituellement réticents à aller goûter leur propre sperme entre les lèvres de leur femme où ils venaient de jouir, ils n’hésitaient pas dans ce rôle, non seulement à recevoir tout le sperme d’un autre homme, mais encore à l’avaler, comme ils le réclamaient d’ailleurs des femmes dont ils utilisaient la bouche.
Le couple continua par la suite à s’engager dans « l’enfer du sexe », multipliant les expériences et les perversions, s’engageant dans des partouzes, jusqu’à ce qu’un beau jour elle lui annonce son départ. Elle le quittait, ayant trouvé un autre homme dont elle fit le père de ses enfants et qu’elle épousa pour mener une vie rangée. Il avança de son côté dans la débauche et devint progressivement blasé. Son excitation était de plus en plus difficile à obtenir, plus grand-chose ne le branchait en matière de sexe, il avait tout fait, tout connu, et se rendait désormais à une partie fine avec autant de lassitude que celle d’un homme marié depuis trente ans qui baiserait sa femme pour la dix millième fois.
Novembre 2024 | ||||||||||
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... Sublime écriture pour un récit excitant ... enfin, excitant pour le début de cette histoire qui peut arriver à n'importe lequel ou laquelle d'entre nous.
La chute de cette histoire me semble pratiquement inévitable et j'en parle en connaissance de cause !
En fait, mon commentaire aurait pu être celui-ci : " no comment " tellement il me parle !
Bisous très doux
Ton amie
Lorine
merci mon Amie
baisers doux
belle queue et du sperme !!!