textes érotiques

Vendredi 18 février 5 18 /02 /Fév 18:39

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Si j’étais un animal, je serais un serpent pour ramper sur ton corps et dans ses moindres recoins m’insinuer pour de ma langue fourchue y goûter les fruits défendus.

 

Si j’étais une plante, une fleur carnivore pour mordre tes lèvres et m’introduire dans ton calice afin de me désaltérer à cette source sauvage et parfumée d’où s’échappe ta douce cyprine.

 

Si j’étais un objet, je me cacherais dans ta table de nuit afin que dans tes moments de solitude sexuelle tu me fasses partager tes jeux érotiques.

 

Si j’étais un dessert, je serais une glace pour que tu me prennes dans ta bouche et que je puisse y fondre doucement.

 

Si j’étais un arbre, je serais un chêne pour pouvoir t’abriter et mieux te protéger.

 

Si j’étais, si j’étais, si j’étais…ce que j’ai envie d’être, je serais moi pour que tu me choisisses, pour ce que je suis car je t’ai choisie pour ce que tu es...

 

Peter

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Hommage à la Féminité
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Jeudi 17 février 4 17 /02 /Fév 19:21

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Elle naquit un matin de l’union d’une perle de rosée avec un rayon de soleil.Une merveille, vous vous en doutez .L’ovale de son visage était aussi doux que le plus doux des nectars .Son petit nez mutin était surmonté par deux magnifiques lacs violets qui éclairaient toute sa face.

Une jolie petite vallée toute bordée de carmin s’entrouvrait sur une double rangée de notes blanches, plus éclatantes les unes que les autres.

Cet ensemble bougeait avec une grâce indescriptible, petite tour de contrôle au sommet d’un corps parfait que seules des mains douces et expertes seraient autorisées à visiter .La peau sur la peau, le chaud sur le chaud, les frissons sur les frissons, cinq, dix, quinze, vingt doigts qui se promènent, se rencontrent, se doublent, à la recherche d’un inconnu qu’ils ont toujours désiré.

Longue et ardente promenade sur un corps, naissance d’un désir, approche du plaisir et repartir dans une autre direction, à rechercher l’inconnu, l’innaccessible.

Pouvoir se dire : elle est mienne et je l’aime, et s’apercevoir que l’on n’est qu’un jouet entre ses doigts, que la maîtresse c’est elle et que l’esclave c’est soi-même : esclave de l’amour, esclave du désir, esclave du plaisir.

Mais qu’il est doux cet esclavage et peut-on vivre sans ?

Si chaque jour on la regarde avec un œil différent, si chaque jour, on la découvre, si chaque jour on l’étonne, alors les jours deviennent des semaines, des années, des siècles, car seul l’amour est indestructible et franchit les barrières du temps.

 

A la femme que j’aime

 

Peter

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Hommage à la Féminité
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Mardi 15 février 2 15 /02 /Fév 17:51

Par Mouna (mounamouna75@yahoo.fr)

 

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Deuxième récit : Le lendemain

 

 

2. LE LENDEMAIN

Il était tard et je pressais le pas pour rejoindre au plus vite mon rendez-vous, pris hier après la visite de la Galerie, fendant la nuit de ma démarche rapide bien que ce soir-là je portais mes longues cuissardes. J'étais vêtue comme convenu d'une jupe noire arrivant à peu près aux genoux, d'une veste de même couleur, sous laquelle je portais un chemisier de soie au-dessus de mon body moulant à col roulé. Alexandre l’avait beaucoup apprécié hier soir et m’avait demandé de revenir ainsi vêtue. Un petit vent frais agaçait mes tétons qui se durcissaient sous le tissu, et chaque pas me rappelaient en haut de mes cuisses la limite de mes bas.

 

Je me rendais donc en toute hâte chez Alexandre, avec qui je passais souvent des moments d'une grande intensité, et la simple évocation de ces instants en sa compagnie suffisait déjà à me rendre humide, alors que je ne faisais que marcher dans la rue. Le vent s'engouffrait parfois sous ma jupe, caressant ma chatte nue et me faisant toute entière frissonner. Une fois dans l'ascenseur, je me suis cambrée au maximum, tendant à l'extrême le tissu de mon chemisier sur ma poitrine que l’on devinait gonflée sous le body tendu. Mes yeux étaient légèrement opaques, et mes lèvres ainsi que mes pommettes rougies par l'excitation. Le reflet que me renvoyait le sempiternel miroir était clairement celui d'une femme prête à s'abandonner à la luxure.

 

Je suis arrivée à destination et la porte était déjà légèrement entrouverte, n'attendant plus que moi. Je suis entrée à pas feutrés, et j'ai tout de suite été happée par deux mains solides, qui ont saisi mon corps comme s'il s'était agi d'un fétu de paille pour le plaquer contre un mur sans plus de façons. Je n'ai pas résisté, me livrant avec délice à cette étreinte à la fois douce et brutale. Mon amant a enfoncé sa langue très loin dans ma bouche, puis l'a retirée et l'a enfoncée plus loin encore, déclenchant automatiquement chez moi un intense désir de recevoir sa queue. Il a léché le pourtour de ma bouche grande ouverte du bout bien dardé de sa langue, et son souffle semblait délicieusement frais sur mes lèvres recouvertes de salive. Mes seins étaient plaqués contre sa poitrine, et ses mains l'étaient sur mes fesses. Je sentais contre moi la barre de sa queue qui bandait très dur dans son pantalon.

 

Pendant quelques minutes, nous n'avons fait que nous embrasser. Sa bouche m'excitait énormément, je n'en avais jamais assez, et pendant ce temps je remuais doucement le bassin contre sa queue, dont la proximité me mettait dans tous mes états. J'ai attendu un moment avant de refermer dessus ma paume avide, et il a gémi alors que j'exerçais une pression de plus en plus ferme. En même temps, ses mains qui jusqu'alors tenaient mes fesses prisonnières ont commencé à remonter lentement, très lentement, le tissu de ma jupe le long de mes cuisses gainées de bas. Ce contact m'a fait frémir, car au travers des bas toute caresse est magnifiée jusqu'à parfois devenir presque insoutenable, et j'ai serré plus fort la queue qui ne faisait que grossir au creux de ma paume.

 

 

J’ai enlevé ma veste et j'ai attiré mon charmant comparse à ma suite en une pièce plus accueillante de son appartement, je l'ai fait asseoir au fond d'un canapé, puis je me suis installée à califourchon sur ses genoux. J'ai commencé à défaire lentement sa braguette, ouvrant d'abord le pantalon, puis le caleçon. En libérant sa queue de sa prison de tissu j'ai senti le feu s'emparer de mon ventre. Ma chatte était plus mouillée que jamais, et tandis que je m'occupais de son sexe il s'occupait toujours de ma jupe, faisant durer le plaisir en la remontant vers ma taille.

 

Il a doucement caressé les deux globes de mes fesses, puis a dirigé ses doigts vers ma fente brûlante. J'ai haleté, je pouvais déjà imaginer ses doigts s'immiscer en moi, caresser doucement mon clitoris avant d'enfoncer son index dans mon vagin. Il a écarté légèrement mes grandes lèvres afin de m'ouvrir à ses caresses pendant que je caressais doucement sa queue. Je le branlais d'un geste lent et ferme, dégageant son gland et tendant sa peau au maximum puis le recouvrant presque entièrement dans le mouvement contraire, avant de le dénuder à nouveau, implacable. De l'autre main, je caressais ses couilles, les massant doucement. Je me suis penchée pour l'embrasser à nouveau, chavirée par l'expression de plaisir qui se lisait sur son visage. Plus mes caresses lui plaisaient et plus il enfonçait rapidement ses doigts en moi, et plus je me mettais à penser que notre position était peu propice à ce que nous étions en train de faire. D'un bond je me suis dégagée de son étreinte et je me suis agenouillée devant lui, léchant avec avidité son gland luisant. Je n'ai pu m'empêcher de parsemer sa queue de baisers désordonnés avant de l'engloutir entièrement dans ma bouche, resserrant bien mes lèvres et ma langue autour de la hampe gonflée et palpitante.

 

Le sucer m'excitait tellement que je me sentais devenir liquide. J'ai porté une de mes mains à ma chatte et j'ai commencé à caresser délicatement mes petites lèvres et mon clitoris au rythme auquel je le suçais. J'étais si mouillée que mes doigts glissaient complètement sur ma chair chaude, et je sentais mon cœur battre de plus en plus vite. J'aimais particulièrement quand ses doigts venaient à la rencontre de mes lèvres écartelées autour de sa bite, les caressaient, puis s'attardaient sur ma joue. Mon complice a attrapé ma taille et m'a fait regrimper sur le sofa à ses côtés. Je me suis cambrée pour suivre le mouvement que sa poigne de fer imposait à mon corps, tout en ne lâchant pas sa queue dont je me régalais. Il s'est mis à me doigter la chatte avec trois doigts, et j'ai relevé la tête pour reprendre mon souffle, mise à mal par l'intensité de cette caresse. Je sentais ses doigts remuer en moi, habiter ma chatte peu habituée à ce traitement, et cette sensation était à la fois déconcertante et terriblement excitante. Je me sentais de plus en plus chaude, et je sentais mes petites lèvres et mon clito qui gonflaient de plaisir. J'ai tendu la main pour me toucher et toucher ses doigts, tout recouverts de mouille. J'ai massé mon clitoris et j'ai eu envie d'enfoncer plus loin sa queue dans ma bouche, de la sentir au fond de ma gorge, d'avoir les mâchoires grandes ouvertes, écartelées autour de cette imposante masse de chair.

 

Puis il s'est mis à faire aller et venir son autre index de ma chatte à mon cul, le barbouillant de mouille afin de faciliter l'intromission de son doigt. Une fois qu'il l'a eu enfoncé de quelques centimètres, il s'est mis à coordonner le mouvement de ses deux mains, me prenant de deux gestes complémentaires et jumeaux. J'étais de plus en plus excitée, et l'idée d'être ainsi offerte à sa vue, les cuisses largement écartées, les jambes ornées de bas, me gênait un tout petit peu et me rendait surtout complètement folle. Je sentais mes seins tout gonflés dont les tétons se dressaient vaillamment sous le tissu tendu du sous-pull. Dans ma bouche sa queue me semblait de plus en plus grosse, de plus en plus longue, et à mesure que je sentais venir l'orgasme j'avais une envie croissante de sentir tout son sperme jaillir comme d'un geyser au fond de ma gorge. Il me caressait de plus en plus fort, enfonçait ses doigts loin en moi, me mettait au supplice... Si je n'avais pas eu la bouche pleine j'aurais crié, mais je ne pouvais émettre que des gémissements étouffés.

 

Puis il a murmuré qu'il allait jouir, et ça a été le coup de grâce: pendant qu'il éjaculait dans ma bouche je me suis mise à jouir aussi, me laissant aller au feu d'artifice qui explosait dans mon ventre. Je suis restée un moment la tête sur son ventre, reprenant mon souffle. Ensuite je me suis réfugiée dans ses bras, m'abandonnant à la douceur de son étreinte. En songeant que je n'étais pas là depuis beaucoup plus de cinq minutes j'ai souri, une goutte de liqueur nacrée coulant sur ma lèvre inférieure. Tout s’était passé si vite. Comme un sauvage, il m’avait baisée toute habillée ou presque, pour augmenter encore plus mon excitation.

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Lundi 14 février 1 14 /02 /Fév 23:41

Mouna me fait l'honneur de publier ses récits sur mon blog. Certains et certaines ont déjà lu les deux premiers, je les publie à nouveau pour ceux qui seraient passés au travers

Merci Mouna (mounamouna75@yahoo.fr)

 

 

 

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1. ANNE M’INVITE

En m’invitant, Anne m’avait prévenu :

 

-          Tu ne seras pas déçue ! Les toiles sont magnifiques et le peintre inoubliable !

 

Et elle avait ajouté :

 

-          Juste un conseil, habille-toi d’un chemisier ou d’une veste, peu importe mais en tout cas mets un body bien moulant à col roulé, blanc de préférence, sans soutien-gorge, une jupe et des bottes noires.

 

J’étais un peu surprise de cette remarque mais après tout, pourquoi pas. Ma poitrine n’est pas bien forte et je peux sans doute me permettre de sortir ainsi sans soutien-gorge, mais je n’ai encore jamais osé

 

-          Pourquoi pas Anne ! Pas de problème pour la jupe et les bottes noires mais je n’ai pas de body blanc.

-          Appelle Amina, je l’ai invitée aussi. Elle pourra t’en prêter.

 

Amina était une amie commune avec qui je m’entendais très bien. J’étais contente de savoir qu’elle aussi était invitée. Je décidais de lui téléphoner. Elle me proposa de passer chez elle avant d’aller à la Galerie.

 

-          Amina, tu connais ce peintre ?

-          Il est connu mais je ne l’ai jamais rencontré. Je sais qu’Anne le voit souvent.

-          Tu sais pourquoi elle nous a demandé de mettre un body blanc ?

-          Non pas du tout. Un signe de reconnaissance peut-être ? Mais je n’en sais pas plus ! J’en ai plusieurs, je vais t’en chercher un à ta taille.

 

Pas convaincue par la forme du body, j’ai préféré lui emprunter un sous-pull blanc. Il était bien moulant et à col roulé comme m’avait recommandé Anne. Tout était donc ok. Une fois dehors, le fait de marcher me faisait dresser les tétons à travers le sous-pull et ça m’excitait. Finalement c’était une bonne idée d’Anne !

La soirée bat son plein. Les invités ont délaissé la galerie pour venir donner l'assaut au buffet froid qui se dresse dans la salle attenante. J'en profite pour contempler les toiles tranquillement. J'ai l'impression d'être au musée, même si le nombre de tableaux n'est pas si important : ils occupent pourtant toute la grande salle et certains resplendissent comme des bijoux dans leur écrin, savamment éclairés par des spots discrets. J'ai toujours pensé que l'éclairage d'un tableau est très important pour sa mise en valeur.

La peinture représente pour moi un art très difficile, mais j'apprécie énormément la visite d'un tel endroit. J'ai d'ailleurs eu la joie de croiser beaucoup de personnes que je connais bien : Anne et Fabrice sont là, Lise est également venue accompagnée d'un superbe étalon. Alexandre, mon sauveur, a aussi fait une apparition très discrète en début de soirée. Maintenant la fête se déroule à côté : la galerie est un vieux bâtiment en pierre de taille, qui présente toute une enfilade de pièces. Les tableaux sont exposés dans la plus grande, celle du devant. Les pièces de l’arrière sont réservées aux cocktails et autres manifestations sérieuses. Pour l'instant, je me promène et j'admire.

Le peintre, Francisco, s'est perfectionné dans les nus. De superbes femmes ont posé pour lui et le résultat est splendide. Les poses alanguies mettent en valeur les corps dénudés et il a su exploiter ces beautés dévoilées grâce à tout un jeu de lumières et d'artifices techniques. Le résultat est vraiment superbe et je suis presque jalouse de toutes ces femmes qui me regardent du haut de leur beauté sans faille.

 

-          Elles sont belles, n'est-ce pas ?

 

Je me retourne, surprise. Un homme se tient derrière moi, un verre à la main. La quarantaine, grand et bien bâti, de longs cheveux gris rassemblés en queue de cheval, et surtout des yeux d'un gris envoûtant et chaleureux.

 

-          Très belles.

-          Mais vous êtes également très jolie, me dit-il avec un petit sourire coquin au coin des lèvres et j’apprécie beaucoup votre tenue. Je me présente, Francisco, l'auteur de ces croûtes. Je vous offre un verre ?

-          Croûtes, vous êtes trop modeste. Quant au verre, qu'est-ce que je risque ?

 

Je le suis vers le bar, excitée de connaître enfin ce grand homme. Je remarque que nous sommes plusieurs à porter un body blanc moulant à col roulé et les serveurs nous servent en priorité. Francisco me présente à plusieurs de ses relations et quelques instants plus tard, un verre de whisky à la main, nous sommes en train de bavarder comme deux vieilles connaissances. J'ai l'impression que je ne le laisse pas indifférent, d'ailleurs il me propose sans détours d'aller vers le fond de la galerie, un endroit bien plus calme. Après tout, pourquoi pas ? Soudain un attroupement se fait dans la salle, tout près de la cheminée. Curieuse, je me laisse guider par le maître des lieux. Francisco fend la foule et nous nous retrouvons aux premières loges.

Les battements de mon cœur s'accélèrent lorsque je découvre la cause de l'attroupement : une jeune femme est debout, face au mur, jambes écartées, bras tendus. Ses cheveux noirs et longs, sa peau très brune, offrent un contraste saisissant avec la blancheur de son vêtement ainsi qu’avec les vieilles pierres contre lesquelles elle s'appuie. Elle aussi est en effet vêtue d'un body blanc moulant à col roulé et d'une jupe noire en soie ainsi que de longues bottes noires. Pour l'instant, sa jupe est retroussée jusqu'à sa taille et nous laisse admirer une superbe croupe. Un homme est derrière elle en train de lui faire l'amour. Il la tient par les hanches et s'enfonce dans son sexe à grands coups de bassin. Ses mouvements sont réguliers et la brune se met bientôt à gémir, la tête rejetée en arrière. Son partenaire glisse les mains sous elle et remonte le body. Deux seins magnifiques en jaillissent, la pointe tendue. Lorsque les mains de l'homme se posent sur elles, les gémissements deviennent des cris de jouissance pure. Je suis toute émoustillée par ce tableau qui dégage un érotisme torride et cette jeune femme vêtue comme moi m’excite beaucoup. La verge de l'homme qui ressort pour aussitôt s'enfoncer dans la moiteur du sexe offert enflamme mes sens. D'ailleurs je ne suis pas la seule à ressentir ces choses : l'attention silencieuse du public s'est transformée en froissements de tissu, bruits de fermetures Éclair. Quelqu'un a baissé l’intensité des éclairages, favorisant les étreintes et les caresses osées. A ma gauche, une blonde se laisse tomber sur les dalles du sol et prend dans sa bouche un sexe masculin. Plus loin, deux hommes s'occupent d'une invitée : l'un est en train de lui lécher la chatte, la tête sous sa jupe, tandis que l'autre a les mains sous son body et malaxe sa poitrine. Soudain quelqu'un se colle dans mon dos. Un souffle chaud me caresse le cou tandis que deux mains se glissent sous ma jupe.

 

-          C'est moi, Alexandre.

 

Je me décontracte et reporte mon attention sur le spectacle. Un homme s'est rapproché de la brune : il a sorti un sexe impressionnant de son pantalon de smoking et il se caresse, les yeux fixés sur la jeune femme.

 

-          Elle s'appelle Albertine et c'est son mari, me murmure Alexandre.

 

La brune lève la tête et s'aperçoit de la présence de son conjoint. Elle tend la main vers lui, les yeux noyés de plaisir. L'homme s'approche, elle saisit son sexe érigé et se met à le caresser. Puis elle se casse en deux et ses lèvres se referment sur le sexe de son mari. Sa tête se met à monter et à descendre le long de la hampe rigide. Dans son dos, l'homme qui lui fait l 'amour se met à ahaner.

J'ai de plus en plus chaud. Les mains d'Alexandre sont remontées et se sont refermées sur mes seins. Il aguiche mes tétons qui durcissent. Je sens mon sexe s'ouvrir comme une fleur. Alexandre bande, sa tige dure s'épanouit dans le sillon de mes fesses et je n'ai aucune difficulté à en percevoir la rigidité à travers le tissu de ma jupe. Devant la cheminée, le trio continue à s'activer : la brune se met à geindre, les coups de boutoir de l'homme dans son dos deviennent de plus en plus violents. Il se retire brutalement d'elle et un jet de sperme vient maculer la croupe de sa partenaire. La soirée est en train de virer à l'orgie. Le whisky qui circule dans mes veines accentue mes sensations. Une ombre surgit devant moi : Francisco. Il se penche sur moi et ses lèvres s'écrasent sur les miennes. Sa langue agressive envahit ma bouche. C’est à ce moment qu’il m’explique que ma tenue l’excite très fort, en particulier le body moulant, particulièrement quand il est blanc, et qu’il ressent une jouissance particulière à baiser les femmes ainsi vêtues. Dans l'état où je suis, je n'oppose plus aucune résistance : j'ai trop envie de me faire baiser. Mes mains errent sur sa chemise, défont des boutons, une ceinture. Lorsque je peux enfin m'introduire dans son pantalon, j'y trouve un sexe déjà dressé, prêt à en découdre avec moi. Alexandre caresse toujours mes mamelons érigés. Son sexe est de plus en plus gros. Je soupire de contentement lorsqu'il se décide à abandonner mes seins et à descendre plus bas. Il s’empare de ma chatte pleine de mouille. Ses doigts explorent mes grandes lèvres sensibles et s'introduisent en moi. Je suis littéralement prise en sandwich entre les deux hommes. Je repousse lentement Francisco et me penche vers son bas-ventre. Mes fesses se pressent encore plus contre le sexe d'Alexandre qui n'y tient plus. Au moment où mes lèvres emprisonnent la bite de Francisco, Alexandre s'introduit en moi d'une poussée rectiligne et violente. Je sursaute sous cette intromission brutale : sa queue est très grosse et distend les parois de mon vagin. Il entame doucement un mouvement de va et vient et au bout de quelques instants, mes chairs trempées se dilatent et accueillent l'intrus de mieux en mieux.

Ma langue s'entortille autour de la hampe du peintre. Je la suce du mieux que je peux et lorsque je la sens palpiter, je me redresse, faisant du même coup sortir de moi le sexe d'Alexandre. Mes deux partenaires sont frustrés. J'enlace Francisco et dans le même mouvement je me suspends à son cou, l’enlaçant de mes deux jambes. Comme il est plus grand que moi, je m'élève le long de son torse et je me laisse doucement descendre sur son sexe, m’empalant le plus profondément possible. Il titube un peu sous mon poids, puis s'accote le long du mur, près d'Albertine. La jeune femme est en train de subir l'assaut de Fabrice, le mari d’Anne. Elle me sourit, se penche vers moi et nos lèvres se réunissent en un long baiser plein de douceur. Derrière moi, Alexandre s'impatiente. Son sexe se promène dans le sillon de mes fesses et se place en face de l'anneau resserré de mon anus. Il force lentement et me pénètre par là aussi. Les deux verges me possèdent maintenant totalement. La langue d'Albertine étouffe mes gémissements. Je suis complètement empalée sur ces deux tiges qui me labourent, séparées seulement par une mince paroi qui envoie toutes sortes de sensations affolantes dans tout mon corps. Je me mets à monter et à descendre sur ces pieux. Mon clitoris heurte le pubis de Francisco chaque fois que je redescends. C'est très fort. Albertine se rapproche encore plus de moi. Sa bouche explore mon cou et accroche la pointe d'un de mes seins. Ç’en est trop. La jouissance me prend par surprise et je crie de plaisir une première fois, violemment. La houle qui agite mon ventre provoque l'orgasme de Francisco. Je reste accrochée à lui car dans mon dos, Alexandre continue à me sodomiser. Mon fourreau étroit enserre son membre congestionné. Il accélère brutalement et se fiche au plus profond de moi. Je sens un jet brûlant m'inonder et je jouis une seconde fois.

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Mardi 8 février 2 08 /02 /Fév 23:40

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Et si ainsi, il pense à elle,

Qu'elle est la femme tout en dentelle,

Celle qui le trouble dans ses pensées,

Qui alimente sa libido

Faisant monter en crescendo

Le désir qu'il ne peut plus cacher

Qui apparaît comme la rosée

Sur le méat qu'elle vient lécher.

 

Peter

 

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