Mouna me fait l'honneur de publier ses récits sur mon blog. Certains et certaines ont déjà lu les deux premiers, je les publie à nouveau pour ceux qui
seraient passés au travers
Merci Mouna (mounamouna75@yahoo.fr)
1. ANNE
M’INVITE
En m’invitant, Anne
m’avait prévenu :
- Tu ne seras pas déçue ! Les toiles sont magnifiques et le peintre inoubliable !
Et elle avait ajouté
:
- Juste un conseil, habille-toi d’un chemisier ou d’une veste, peu importe mais en tout cas mets un body bien
moulant à col roulé, blanc de préférence, sans soutien-gorge, une jupe et des bottes noires.
J’étais un peu
surprise de cette remarque mais après tout, pourquoi pas. Ma poitrine n’est pas bien forte et je peux sans doute me permettre de sortir ainsi sans soutien-gorge, mais je n’ai encore jamais
osé
- Pourquoi pas Anne ! Pas de problème pour la jupe et les bottes noires mais je n’ai pas de body
blanc.
- Appelle Amina, je l’ai invitée aussi. Elle pourra t’en prêter.
Amina était une amie
commune avec qui je m’entendais très bien. J’étais contente de savoir qu’elle aussi était invitée. Je décidais de lui téléphoner. Elle me proposa de passer chez elle avant d’aller à la
Galerie.
- Amina, tu connais ce peintre ?
- Il est connu mais je ne l’ai jamais rencontré. Je sais qu’Anne le voit souvent.
- Tu sais pourquoi elle nous a demandé de mettre un body blanc ?
- Non pas du tout. Un signe de reconnaissance peut-être ? Mais je n’en sais pas plus ! J’en ai plusieurs, je vais
t’en chercher un à ta taille.
Pas convaincue par
la forme du body, j’ai préféré lui emprunter un sous-pull blanc. Il était bien moulant et à col roulé comme m’avait recommandé Anne. Tout était donc ok. Une fois dehors, le fait de marcher me
faisait dresser les tétons à travers le sous-pull et ça m’excitait. Finalement c’était une bonne idée d’Anne !
La soirée bat son
plein. Les invités ont délaissé la galerie pour venir donner l'assaut au buffet froid qui se dresse dans la salle attenante. J'en profite pour contempler les toiles tranquillement. J'ai
l'impression d'être au musée, même si le nombre de tableaux n'est pas si important : ils occupent pourtant toute la grande salle et certains resplendissent comme des bijoux dans leur écrin,
savamment éclairés par des spots discrets. J'ai toujours pensé que l'éclairage d'un tableau est très important pour sa mise en valeur.
La peinture
représente pour moi un art très difficile, mais j'apprécie énormément la visite d'un tel endroit. J'ai d'ailleurs eu la joie de croiser beaucoup de personnes que je connais bien : Anne et Fabrice
sont là, Lise est également venue accompagnée d'un superbe étalon. Alexandre, mon sauveur, a aussi fait une apparition très discrète en début de soirée. Maintenant la fête se déroule à côté : la
galerie est un vieux bâtiment en pierre de taille, qui présente toute une enfilade de pièces. Les tableaux sont exposés dans la plus grande, celle du devant. Les pièces de l’arrière sont
réservées aux cocktails et autres manifestations sérieuses. Pour l'instant, je me promène et j'admire.
Le peintre,
Francisco, s'est perfectionné dans les nus. De superbes femmes ont posé pour lui et le résultat est splendide. Les poses alanguies mettent en valeur les corps dénudés et il a su exploiter ces
beautés dévoilées grâce à tout un jeu de lumières et d'artifices techniques. Le résultat est vraiment superbe et je suis presque jalouse de toutes ces femmes qui me regardent du haut de leur
beauté sans faille.
- Elles sont belles, n'est-ce pas ?
Je me retourne,
surprise. Un homme se tient derrière moi, un verre à la main. La quarantaine, grand et bien bâti, de longs cheveux gris rassemblés en queue de cheval, et surtout des yeux d'un gris envoûtant et
chaleureux.
- Très belles.
- Mais vous êtes également très jolie, me dit-il avec un petit sourire coquin au coin des lèvres et j’apprécie
beaucoup votre tenue. Je me présente, Francisco, l'auteur de ces croûtes. Je vous offre un verre ?
- Croûtes, vous êtes trop modeste. Quant au verre, qu'est-ce que je risque ?
Je le suis vers le
bar, excitée de connaître enfin ce grand homme. Je remarque que nous sommes plusieurs à porter un body blanc moulant à col roulé et les serveurs nous servent en priorité. Francisco me présente à
plusieurs de ses relations et quelques instants plus tard, un verre de whisky à la main, nous sommes en train de bavarder comme deux vieilles connaissances. J'ai l'impression que je ne le laisse
pas indifférent, d'ailleurs il me propose sans détours d'aller vers le fond de la galerie, un endroit bien plus calme. Après tout, pourquoi pas ? Soudain un attroupement se fait dans la salle,
tout près de la cheminée. Curieuse, je me laisse guider par le maître des lieux. Francisco fend la foule et nous nous retrouvons aux premières loges.
Les battements de
mon cœur s'accélèrent lorsque je découvre la cause de l'attroupement : une jeune femme est debout, face au mur, jambes écartées, bras tendus. Ses cheveux noirs et longs, sa peau très brune,
offrent un contraste saisissant avec la blancheur de son vêtement ainsi qu’avec les vieilles pierres contre lesquelles elle s'appuie. Elle aussi est en effet vêtue d'un body blanc moulant à col
roulé et d'une jupe noire en soie ainsi que de longues bottes noires. Pour l'instant, sa jupe est retroussée jusqu'à sa taille et nous laisse admirer une superbe croupe. Un homme est derrière
elle en train de lui faire l'amour. Il la tient par les hanches et s'enfonce dans son sexe à grands coups de bassin. Ses mouvements sont réguliers et la brune se met bientôt à gémir, la tête
rejetée en arrière. Son partenaire glisse les mains sous elle et remonte le body. Deux seins magnifiques en jaillissent, la pointe tendue. Lorsque les mains de l'homme se posent sur elles, les
gémissements deviennent des cris de jouissance pure. Je suis toute émoustillée par ce tableau qui dégage un érotisme torride et cette jeune femme vêtue comme moi m’excite beaucoup. La verge de
l'homme qui ressort pour aussitôt s'enfoncer dans la moiteur du sexe offert enflamme mes sens. D'ailleurs je ne suis pas la seule à ressentir ces choses : l'attention silencieuse du public s'est
transformée en froissements de tissu, bruits de fermetures Éclair. Quelqu'un a baissé l’intensité des éclairages, favorisant les étreintes et les caresses osées. A ma gauche, une blonde se laisse
tomber sur les dalles du sol et prend dans sa bouche un sexe masculin. Plus loin, deux hommes s'occupent d'une invitée : l'un est en train de lui lécher la chatte, la tête sous sa jupe, tandis
que l'autre a les mains sous son body et malaxe sa poitrine. Soudain quelqu'un se colle dans mon dos. Un souffle chaud me caresse le cou tandis que deux mains se glissent sous ma
jupe.
- C'est moi, Alexandre.
Je me décontracte et
reporte mon attention sur le spectacle. Un homme s'est rapproché de la brune : il a sorti un sexe impressionnant de son pantalon de smoking et il se caresse, les yeux fixés sur la jeune
femme.
- Elle s'appelle Albertine et c'est son mari, me murmure Alexandre.
La brune lève la
tête et s'aperçoit de la présence de son conjoint. Elle tend la main vers lui, les yeux noyés de plaisir. L'homme s'approche, elle saisit son sexe érigé et se met à le caresser. Puis elle se
casse en deux et ses lèvres se referment sur le sexe de son mari. Sa tête se met à monter et à descendre le long de la hampe rigide. Dans son dos, l'homme qui lui fait l 'amour se met à
ahaner.
J'ai de plus en plus
chaud. Les mains d'Alexandre sont remontées et se sont refermées sur mes seins. Il aguiche mes tétons qui durcissent. Je sens mon sexe s'ouvrir comme une fleur. Alexandre bande, sa tige dure
s'épanouit dans le sillon de mes fesses et je n'ai aucune difficulté à en percevoir la rigidité à travers le tissu de ma jupe. Devant la cheminée, le trio continue à s'activer : la brune se met à
geindre, les coups de boutoir de l'homme dans son dos deviennent de plus en plus violents. Il se retire brutalement d'elle et un jet de sperme vient maculer la croupe de sa partenaire. La soirée
est en train de virer à l'orgie. Le whisky qui circule dans mes veines accentue mes sensations. Une ombre surgit devant moi : Francisco. Il se penche sur moi et ses lèvres s'écrasent sur les
miennes. Sa langue agressive envahit ma bouche. C’est à ce moment qu’il m’explique que ma tenue l’excite très fort, en particulier le body moulant, particulièrement quand il est blanc, et qu’il
ressent une jouissance particulière à baiser les femmes ainsi vêtues. Dans l'état où je suis, je n'oppose plus aucune résistance : j'ai trop envie de me faire baiser. Mes mains errent sur sa
chemise, défont des boutons, une ceinture. Lorsque je peux enfin m'introduire dans son pantalon, j'y trouve un sexe déjà dressé, prêt à en découdre avec moi. Alexandre caresse toujours mes
mamelons érigés. Son sexe est de plus en plus gros. Je soupire de contentement lorsqu'il se décide à abandonner mes seins et à descendre plus bas. Il s’empare de ma chatte pleine de mouille. Ses
doigts explorent mes grandes lèvres sensibles et s'introduisent en moi. Je suis littéralement prise en sandwich entre les deux hommes. Je repousse lentement Francisco et me penche vers son
bas-ventre. Mes fesses se pressent encore plus contre le sexe d'Alexandre qui n'y tient plus. Au moment où mes lèvres emprisonnent la bite de Francisco, Alexandre s'introduit en moi d'une poussée
rectiligne et violente. Je sursaute sous cette intromission brutale : sa queue est très grosse et distend les parois de mon vagin. Il entame doucement un mouvement de va et vient et au bout de
quelques instants, mes chairs trempées se dilatent et accueillent l'intrus de mieux en mieux.
Ma langue
s'entortille autour de la hampe du peintre. Je la suce du mieux que je peux et lorsque je la sens palpiter, je me redresse, faisant du même coup sortir de moi le sexe d'Alexandre. Mes deux
partenaires sont frustrés. J'enlace Francisco et dans le même mouvement je me suspends à son cou, l’enlaçant de mes deux jambes. Comme il est plus grand que moi, je m'élève le long de son torse
et je me laisse doucement descendre sur son sexe, m’empalant le plus profondément possible. Il titube un peu sous mon poids, puis s'accote le long du mur, près d'Albertine. La jeune femme est en
train de subir l'assaut de Fabrice, le mari d’Anne. Elle me sourit, se penche vers moi et nos lèvres se réunissent en un long baiser plein de douceur. Derrière moi, Alexandre s'impatiente. Son
sexe se promène dans le sillon de mes fesses et se place en face de l'anneau resserré de mon anus. Il force lentement et me pénètre par là aussi. Les deux verges me possèdent maintenant
totalement. La langue d'Albertine étouffe mes gémissements. Je suis complètement empalée sur ces deux tiges qui me labourent, séparées seulement par une mince paroi qui envoie toutes sortes de
sensations affolantes dans tout mon corps. Je me mets à monter et à descendre sur ces pieux. Mon clitoris heurte le pubis de Francisco chaque fois que je redescends. C'est très fort. Albertine se
rapproche encore plus de moi. Sa bouche explore mon cou et accroche la pointe d'un de mes seins. Ç’en est trop. La jouissance me prend par surprise et je crie de plaisir une première fois,
violemment. La houle qui agite mon ventre provoque l'orgasme de Francisco. Je reste accrochée à lui car dans mon dos, Alexandre continue à me sodomiser. Mon fourreau étroit enserre son membre
congestionné. Il accélère brutalement et se fiche au plus profond de moi. Je sens un jet brûlant m'inonder et je jouis une seconde fois.
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