Mon maître avait empoigné mes cheveux. Il contrôlait le rythme de ma fellation. Chaque fois qu’il retirait ma bouche du sexe de son ami, il provoquait en moi une insoutenable frustration. Je me tendais encore plus fort, cambrant mes reins labourés par ses coups ininterrompus.
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La femme s’était enfin rapprochée. Elle regardait intensément la scène qui se déroulait devant elle. Sa main s’agitait entre ses cuisses. Les pupilles de ses yeux étaient dilatées, comme pour mieux s’imprégner de nos ébats.
Elle partit dans un grand cri, au moment où son compagnon éjaculait sur mon visage. La langue de la femme rencontra la mienne pour lécher cette liqueur exquise. Mon maître ne se retint plus, et je sentis enfin son chaud liquide jaillir au plus profond de moi.
S’il ne m’avait puissamment maintenue, la force de ses décharges m’eût projetée à terre.
Les hommes s’étaient retirés, tandis que la femme était venue se lover contre moi. Elle caressait mon dos, massait ma nuque et buvait le sperme qui coulait de moi. Rompue, je ne bougeais pas, me laissais faire, goûtais ces instants paisibles qui succédaient aux moments de folie que nous venions de vivre.
Je sentais sur nous le regard de nos deux compagnons. L’un et l’autre s’étaient assis dans des fauteuils placés de telle sorte qu’ils ne pouvaient rien perdre de ce qui se préparait. La femme se faisait plus insistante. Sa langue, après avoir excité la pointe de mes seins, cherchait dans les replis de mon sexe l’endroit le plus sensible. Elle eut tôt fait de le découvrir. Le contraire m’eût étonnée. Elle s’en empara et provoqua en moi presque instantanément une émotion presque in contrôlable. Mes ongles griffaient le tapis. J’oscillais sans cesse entre la volonté d’en prendre encore et celle de résister pour connaître quelque chose de plus intense. A vrai dire, elle ne me laissa guère le choix et manoeuvra tant et si bien que, mes reins paralysés dans un immense frisson, je connus encore un orgasme qui me fit perdre conscience.
Calés dans leurs fauteuils, nos partenaires prenaient un plaisir pas tout à fait solitaire et, en dépit de celui qu’ils venaient de connaître, ils avaient retrouvé une vigueur extraordinaire. Je me serais volontiers emparée à nouveau d’eux mais, de toute évidence, ils préféraient en rester là. Mon maître, jamais à court d’idées, exigea que je me fasse jouir devant eux et me tendit un godemiché qu’il gardait dissimulé sous un coussin.
Je le maniai avec tant de conviction que, très vite, je sentis remonter en moi des ondes de volupté. Je m’écartais pour qu’ils puissent voir, tous trois, cette pénétration que je leur offrais. La femme avait pris leur membre dans chacune de ses mains et les branlait avec une lenteur calculée. Je voyais fort bien ces sexes gonflés qui auraient pu me prendre. Ma bouche, mon cul, mon con les quémandaient, j’aurais voulu être pleine d’eux, et j’enfonçais encore plus profond l’instrument que l’on m’avait fourni pour m’assouvir.
Comme l’ami de mon maître allait jouir, sa compagne couvrit son gland de ses lèvres, me frustrant du spectacle du jaillissement du foutre. Elle pompait comme une folle et, de l’autre côté, sa main s’était crispée sur l’autre sexe. Je ne pus me retenir et me jetai sur lui, l’enfournant d’un seul coup.
Mon maître me saisit la tête, m’asséna un soufflet au visage, me rejeta en arrière tandis que sa semence inondait mes seins. Je partis à mon tour, pleurant de jouissance et de honte, de douleur et de plaisir. Mes larmes se mélangeaient au foutre que je recueillais avec mes doigts et que je suçais goulûment.
Allongée sur le sol, j’achevais de leur donner l’image de ce que j’étais : offerte et soumise, une femme dont le plaisir dépend en grande partie du regard des autres.
VÔTRE*****
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