textes érotiques

Jeudi 24 juin 4 24 /06 /Juin 14:41

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Et si ainsi, il pense à elle,

Qu'elle est la femme tout en dentelle,

Celle qui le trouble dans ses pensées,

Qui alimente sa libido

Faisant monter en crescendo

Le désir qu'il ne peut plus cacher

Qui apparaît comme la rosée

Sur le méat qu'elle vient lécher.

 

Peter

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Se dévoiler, se sentir vivre
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Lundi 21 juin 1 21 /06 /Juin 17:46

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De me branler ainsi ouvertement dans un lieu public, à côté d’une jeune fille que je ne connaissais pas, qui en faisait autant de son côté, m’excitait formidablement…Je dus même m’arrêter de crainte de partir tout de suite…

La fille, à présent, avait baissé son string de manière à bien dégager son sexe…

Je crois qu’à partir de ce moment, il eût été réellement impoli de ma part de ne pas intervenir…

 

                                       *

                                     *   *

 

Ma main gauche frôla la cuisse de ma voisine que je sentis frémir toute lorsque je m’y appliquai d’une pression ferme…Elle glissa sur sa peau, jusqu’à la dentelle de son string qu’elle escalada pour mêler ses doigts aux siens sur un coin de chair brûlante et moite…

Comme on pouvait s’y attendre, la jolie branleuse n’opposa pas la moindre résistance à mon action. Au contraire, sa main se retira pour me céder toute la place…

 

                                        *

                                      *   *

 

Mes doigts, heureux d’avoir ainsi le champ libre, cherchèrent un moment leur chemin au travers des petites boucles frisées pour y trouver le creux du vallon…

Un doigt, glissant entre les lèvres, venait de trouver une intersection où il sentit une petite dureté qu’il frotta avec science, puis pénétra doucement à l’intérieur d’un vagin étroit…

Je sentis ma voisine frémir toute à ce geste précis et s’ouvrir d’avantage…Sa main droite baissa carrément son slip à mi-cuisse et ses jambes s’ouvrirent mieux, tandis qu’elle se renversait un peu plus en arrière…

Mon doigt revint de son exploration des profondeurs pour se fixer sur le bouton et une longue caresse au rythme régulier commença…

 

                                          *

                                        *   *

 

De mon côté, j’avais toujours ma main droite crispée sur ma bite, mais sans bouger, sinon je serais parti tout de suite, ce que je tenais à éviter pour l’instant. Mais la main droite de ma voisine étreignit soudain mon bras gauche…Ses ongles s’enfoncèrent dans ma peau…Sous la mienne, sa chatte palpitait de soubresauts violents…

Cette main qui me griffait le bras, sut se porter sur mon sexe et le branler vigoureusement, et ainsi nous avons pu jouir tous les deux ensemble…Je me souviens de mon foutre qui gicla contre le velours du dossier du fauteuil placé devant moi où il laissa une traînée blanchâtre…

 

                                          *

                                        *   *

 

Après quelques secondes d’inconscience, je sortis de ma poche un mouchoir avec lequel j’épongeai le con ruisselant de ma nouvelle amie…Puis je m’en essuyai la bite avant de la rentrer dans sa cage.

Cette opération menée à bonne fin, je pris dans la mienne la main droite de ma jolie voisine et nous suivîmes le film comme les amoureux les plus classiques…

Je me penchai pour dire à l’oreille de la jeune fille :

-        Vous ne croyez pas que nous serions plus à l’aise chez moi ?

-        Oh ! oui…D’autant plus que le film ne vaut plus rien à présent !

 

                                       *

                                     *   *

 

Lorsque nous nous sommes retrouvés au grand jour, la première chose qui nous sauta aux yeux fut, d’une part, mon jean tout taché de foutre et, de l’autre, sa robe toute mouillée juste à l’endroit qu’il fallait…ou qu’il ne fallait pas.

Quelques passants, des passantes surtout, nous jetèrent des regards horrifiés, ou amusés, suivant les caractères et l’humeur du jour !

Nous nous sommes regardés tous les deux…La fille me sourit…Elle devait me trouver à son goût. Je la trouvai encore plus jolie qu’au ciné…

Grande, mince, sous sa robe on voyait plus qu’on devinait une mignonne poitrine…de visage, elle ressemblait un peu à un mannequin connu…Elle valait bien toutes les Nicky, Esther et Violaine du monde !

Son âge ?...une vingtaine d’années !

Dans la rue, les passants regardaient nos vêtements maculés d’un drôle d’air…

-        Vous habitez un bel hôtel ! me dit la fille quand nous fûmes arrivés. Vous êtes en vacances ?

-        Oui ! et vous ?

-        Moi aussi !

-        Nous n’avions pas envie d’en dire plus…Nous ne connaissions ni nos noms, ni rien de nous…Quelle importance !

-        Au contraire, j’ai toujours trouvé terriblement excitant cette profonde intimité de quelques heures de deux êtres qui ne se sont jamais vus et ne se reverront probablement plus…

A peine arrivés dans la chambre, nous nous étreignîmes fougueusement…Nos bouches s’écrasèrent, nos langues se cherchèrent…, se trouvèrent et jouèrent longtemps…

Lorsque ce baiser se rompit, la jeune fille se dégagea doucement…

-        Attends, je vais quitter ma robe…

Ah ! Non, pas de ça ! J’en avais la nausée de la chair nue…Pas question !...

-        Non, je t’en prie, ma chérie ! Ote ton string, d’accord, mais ne te déshabille pas, je t’en supplie !!!

 

 

                                FIN

 

 

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Hommage à la Féminité
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Mardi 15 juin 2 15 /06 /Juin 22:28

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Je pris une chambre au Négresco où je m’endormis presque tout de suite.

Je me réveillais vers midi. Après une bonne douche, je me tapais un repas copieux, toutes ces aventures ne m’ayant pas coupé l’appétit !

Je pensai un instant aller faire un tour sur la plage, mais le soleil me donnait la nausée…Il me fallait de l’ombre …Beaucoup d’ombre ! Et de la distraction à tout prix !

Où trouver cela ? Mais c’était simple ! Au ciné, parbleu !

Je me promenais à ce moment-là dans la rue de France…Au bout de quelques mètres, un ciné me tendit les bras : « L’île des femmes nues », grand film nudiste…

Ah ! Non, alors ! Surtout pas ça !

Décidément il n’y a rien d’intéressant dans cette rue. Tournons à droite ! Au bout de cinq minutes de marche, une affiche annonce  « Viol à Mexico », « interdit aux mineurs »….Allez, va pour « Viol à Mexico » !

 

                                       *

                                     *   *

 

Lorsque j’entre, bien sûr, le film est déjà commencé .Je  choisis une place au hasard dans le noir….A cette heure de l’après-midi, la salle est presque déserte, tout le monde est à la plage ou à la maison…

J’avance dans une rangée déserte pour arriver vers le milieu. Je m’arrête lorsque je bute contre un fauteuil occupé pour m’asseoir juste à côté…

Je réfléchis alors qu’avec la place qu’il y avait, c’est un peu bizarre que je m’asseoie juste à côté de quelqu’un…J’allais me déplacer, lorsque je m’aperçus que ce quelqu’un portait une jupe…

 

                                            *

                                          *   *

 

Mais que se passait-il sur l’écran ? L’action se déroulait, si je comprenais bien, dans un bordel de luxe dont les tenanciers pensaient tirer un bon prix en vendant les charmes de jeunes filles plus ou moins, plutôt moins, consentantes.

Pas bien formidable, ce qui se passe sur l’écran ! Mais peut-être que dans la salle je trouverai mieux.

Etant à présent habitué à l’obscurité, je jetai un coup d’œil rapide à ma gauche…Hé !hé…C’était une belle jeune fille brune aux cheveux longs flottants, paraissant plutôt jolie et assez grande…Elle était vêtue d’une légère robe d’été et semblait suivre les péripéties du film avec le plus vif intérêt…

Après l’avoir dévisagée, mon regard descendit….Sa robe était très décolletée et laissait apercevoir la naissance de deux seins fermes et ronds…Plus bas encore, sa jupe était un peu relevée sur des jambes haut croisées, ce qui me permit de bien voir  de forts jolis mollets, ainsi que l’un de ses genoux et la moitié d’une cuisse…Le tout, fort gracieux…

 

                                          *

                                        *   *

 

Ma voisine méritait certes plus d’intérêt que l’écran….Elle poussa un curieux soupir…Je me retournai et la vis décroiser les jambes…Le bas de sa robe était toujours remonté à mi-cuisse sur la partie de laquelle une main se posait qui cherchait à s’insinuer discrètement vers l’intérieur…

Un bref coup d’œil à l’écran me permit de constater que ce « viol à Mexico » était sur le point de s’accomplir…Mais je retournai tout de suite mon regard vers le fauteuil voisin où la jeune fille excitée par ce qu’elle voyait, était, cette fois, en train de se masturber très franchement !

Je regardai à ma droite…Personne ! Seulement une vieille femme une dizaine de sièges plus loin. Et à gauche de la belle branleuse ?...Personne !...

Il n’y avait pas à se gêner !...Entre ce que je voyais sur l’écran et ce que j’apercevais tout près de moi, il m’eût d’ailleurs été difficile de faire autrement…

Je déboutonnai rapidement mon jean pour en sortir une queue déjà toute raide qui souffrait atrocement dans sa prison de tissu…

Pour faire cela je m’efforçai de m’agiter suffisamment pour que la fille s’en aperçoive…Je l’observais…Elle avait vu et me reluquait du coin de l’œil de temps à autre…Elle non plus ne se gêna pas et elle s’allongea sur le fauteuil, les fesses au bord, jambes écartées…Elle releva sa robe jusqu’à la taille et je pus voir sa main fureter ardemment à l’intérieur d’un petit string qui paraissait bien trempé déjà

Moi aussi je m’assis les fesses au bord et me branlai ostensiblement…

 

A suivre

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Dimanche 13 juin 7 13 /06 /Juin 18:02

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Hébété, je regardai comme dans un songe le joli corps de Nicky disparaître derrière la porte qui se refermait.

Quelques secondes après, j’entendis une porte s’ouvrir, puis se refermer à son tour. Ensuite ce furent quelques éclats de voix…

-        salope !

-        Mais je n’ai rien fait !

-        C’est toi qui t’es jetée sur lui, hein ?

-        Mais pas du tout !

L’oreille collée à la porte je suivais attentivement la dispute des deux filles.

-        Dis-moi ce qui s’est passé exactement !...Je veux savoir !

-        Eh bien ! nous discutions tranquillement lorsqu’il a commencé à se branler devant moi…J’ai eu peur…Il m’a attrapé la tête…C’était tellement nouveau pour moi, tout ça, que je ne savais plus que penser…

-        C’est tout ! D’ailleurs, ça n’a pas grande importance, tout ça ! C’est fini !

-        Mais au fait, vous n’êtes pas sa femme !...Vous êtes celle de Bob ! Alors, qu’est ce que ça peut vous faire ?...

-        Je ne le suis plus maintenant !

-        Ah !

-        Au fait ! Je n’ai pas de chambre du coup… Où vais-je passer la nuit ?

-        Vous devriez retourner chez monsieur Gilles§

-        Ah ! non, celui-là, c’est fini !...Tu peux m’héberger chez toi ?

-        Mais bien sûr, avec plaisir !

-        Merci, tu es gentille !

Ce n’était plus la peine d’écouter…

Je me versai un grand verre de Scotch, en bus la moitié, posai le reste sur la table de nuit…Puis j’allumai une cigarette et m’allongeai sur le lit…

 

                                   *

                                 *   *

 

Cette Violaine, quelle petite salope, tout de même ! Elle l’aurait fait exprès, ça n’aurait pas pu être mieux…Chapeau ! Quelle maîtrise !

Evidemment, tout cela pouvait s’arranger, mais quelque chose me disait que cette soirée était un de ces moments privilégiés comme on en rencontre rarement et qui engagent, en quelques heures, les destinées des humains pour de longs mois et même des années…Parfois même toute une vie…

Ma décision était prise…Il n’était pas utile d’attendre une minute de plus.

J’éprouvai un certain plaisir à sentir sur ma peau le contact du tissu lorsque je mis pour la première fois depuis trois jours, mon jean et ma chemise…Je fis ma valise en hâte et pris la porte en poussant un soupir de soulagement.Ouf !

En  passant devant la chambre de Violaine quelques bruits de baisers mêlés de petits rires vinrent jusqu’à mes oreilles. C’était fatal et parfaitement logique que Nicky se tape la petite qui aurait pu être ma seule porte de sortie…

A part celle que je prenais en ce moment, bien entendu !

 

                                       *

                                     *   *

 

Je franchis le seuil de  « La Fleur d’Agave » avec la joie du prisonnier qui vient de signer sa levée d’écrou…Décidément je n’étais pas mûr pur la vie à poil…En tout cas pas sous cette forme.

Le retour à la vie édénique est une utopie pour les pauvres crétins que nous sommes devenus…Le grand air et le soleil ont le tort de dissiper trop d’illusions qui font le plus clair de nos tristes joies…

Je pris la route de Cagnes…J’aurais bien voulu faire du stop, mais la route était déserte. Je dus m’appuyer à pieds les cinq kilomètres qui me séparaient de cette ville.

J’avais l’intention de me rendre à Nice, car c’était précisément là que j’avais fait virer mon compte en banque parisien.

En une heure j’atteignis la gare de Cagnes. Il n’y avait plus de train, mais j’eus la chance d’y trouver un taxi qui me débarqua à deux heures du matin sur la Promenade des Anglais.

 

A suivre.

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Vendredi 21 mai 5 21 /05 /Mai 23:46

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-        Ce que c’est amusant ! On dirait un feu d’artifice…C’est joli !

Violaine était ravie !

-        Tu devrais y goûter…Tu verras, ce n’est pas mauvais…

-        Ah ! bon ?

-        Evidemment ! Prend le bout dans ta bouche et aspire fort tant que ça continue à couler…

Lorsque ses mignonnes lèvres s’approchèrent du bout de ma bite, et lorsque mon gland se trouva englouti dans ce merveilleux capuchon de chair, une vague, une onde, un frémissement de volupté me parcourut de la tête aux pieds…

Violaine me suçait, à présent, essayant d’engloutir tout ce qu’elle pouvait de ma grosse queue, quitte à s’écarteler la bouche.

Je posai mes deux mains sur sa tête…

 

                                   *

                                *   *

 

Sa langue se mettait de la partie à présent, me titillant le gland et le méat de petits coups qui me faisaient frissonner jusqu’à la plante des pieds…C’était terrible…

Au bout de quelques minutes que Violaine me suçait, tandis qu’elle se branlait avec frénésie, je sentis de nouveau le foutre monter avec force…

 

                                   *

                                 *   *

 

Au moment précis où j’allais décharger, la porte s’ouvrit. C’était Nicky !...Merde !...Je l’avais complètement oubliée, celle-là !

 

                                    *

                                 *   *

 

Elle resta un moment debout devant la porte, interloquée. Je la regardai avec des yeux complètement idiots…Je ne pouvais pas parler, tout d’abord parce que je ne savais pas trop quoi dire, et puis à cause de ma jouissance interrompue.

Violaine lâcha ma bite qui déchargea ridiculement dans le vide…

Ah ! Nous avions l’air fin, tous les trois !

 

                                       *

                                     *   *

 

Après quelque secondes d’hésitation, Violaine apeurée, les lèvres maculées et tremblantes, se leva d’un bond et sortit de la pièce en courant, au risque de bousculer Nicky.

Celle-ci était debout, bien droite et nue, bien entendu, pâle de colère…

-        Ah ! c’est ça, notre nuit d’amour ?

-        Ecoute, ma chérie, je vais t’expliquer…

-        C’est inutile ! C’est assez clair comme ça !

-        Pas du tout ! La petite est venue inopinément dans ma chambre…Je ne l’attendais pas !

-        Et elle s’est jetée sur ta queue pour te sucer de force ? Et tu étais trop faible pour te défendre ? Et tu avais complètement oublié que j’allais venir ! C’est bien cela n’est-ce pas que tu veux m’expliquer ?

-        Enfin mon amour, ce n’est pas bien grave ! Nous en avons fait d’autres ces jours-ci !

Je m’approchai d’elle pour essayer de l’embrasser…Elle se débattit violemment et se dégagea.

-        Je le sais bien que ce n’est pas grave, et à un autre moment, ça ne m’aurait pas gênée…Au contraire ! Mais c’est le jour…L’heure….Ce qui devait être notre nuit de noce, dont je rêvais depuis si longtemps.

Je viens de me fâcher définitivement avec Bob…C’est la rupture…Tu te rends compte ! Et j’ai fait ça pour toi ! Pendant ce temps, monsieur se faisait sucer la queue par une pucelle ! Si tu m’avais aimée réellement, tu n’aurais pas pu…Pas en ce moment où tu savais que je risquais de perdre mon mari pour rester avec toi…

-        Tu as fait ça, ma chérie ?

-        Oui, mais c’est bien terminé cette fois ! Tu m’as perdue en même temps que ta femme et c’est bien fini…Inutile de chercher à me reprendre !

-        Mais où vas-tu puisque tu dis avoir rompu ?

-        Je vais chez cette petite salope lui dire deux mots…Je me taille !...Sans rancune, mais sans « au revoir » !...Bonne chance quand même !...

Cette histoire idiote m’avait tellement abruti que je n’eus pas la force de réagir, incapable de trouver les mots ou les gestes qu’il aurait fallu pour la retenir…

 

A suivre

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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