De me branler ainsi ouvertement dans un lieu public, à côté d’une jeune fille que je ne
connaissais pas, qui en faisait autant de son côté, m’excitait formidablement…Je dus même m’arrêter de crainte de partir tout de suite…
La fille, à présent, avait baissé son string de manière à bien dégager son
sexe…
Je crois qu’à partir de ce moment, il eût été réellement impoli de ma part de ne pas
intervenir…
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Ma main gauche frôla la cuisse de ma voisine que je sentis frémir toute lorsque je m’y
appliquai d’une pression ferme…Elle glissa sur sa peau, jusqu’à la dentelle de son string qu’elle escalada pour mêler ses doigts aux siens sur un coin de chair brûlante et
moite…
Comme on pouvait s’y attendre, la jolie branleuse n’opposa pas la moindre résistance à mon
action. Au contraire, sa main se retira pour me céder toute la place…
*
* *
Mes doigts, heureux d’avoir ainsi le champ libre, cherchèrent un moment leur chemin au travers
des petites boucles frisées pour y trouver le creux du vallon…
Un doigt, glissant entre les lèvres, venait de trouver une intersection où il sentit une petite
dureté qu’il frotta avec science, puis pénétra doucement à l’intérieur d’un vagin étroit…
Je sentis ma voisine frémir toute à ce geste précis et s’ouvrir d’avantage…Sa main droite
baissa carrément son slip à mi-cuisse et ses jambes s’ouvrirent mieux, tandis qu’elle se renversait un peu plus en arrière…
Mon doigt revint de son exploration des profondeurs pour se fixer sur le bouton et une longue
caresse au rythme régulier commença…
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De mon côté, j’avais toujours ma main droite crispée sur ma bite, mais sans bouger, sinon je
serais parti tout de suite, ce que je tenais à éviter pour l’instant. Mais la main droite de ma voisine étreignit soudain mon bras gauche…Ses ongles s’enfoncèrent dans ma peau…Sous la mienne, sa
chatte palpitait de soubresauts violents…
Cette main qui me griffait le bras, sut se porter sur mon sexe et le branler vigoureusement, et
ainsi nous avons pu jouir tous les deux ensemble…Je me souviens de mon foutre qui gicla contre le velours du dossier du fauteuil placé devant moi où il laissa une traînée
blanchâtre…
*
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Après quelques secondes d’inconscience, je sortis de ma poche un mouchoir avec lequel
j’épongeai le con ruisselant de ma nouvelle amie…Puis je m’en essuyai la bite avant de la rentrer dans sa cage.
Cette opération menée à bonne fin, je pris dans la mienne la main droite de ma jolie voisine et
nous suivîmes le film comme les amoureux les plus classiques…
Je me penchai pour dire à l’oreille de la jeune fille :
- Vous ne croyez pas que nous serions plus à
l’aise chez moi ?
- Oh ! oui…D’autant plus que le film ne vaut
plus rien à présent !
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*
Lorsque nous nous sommes retrouvés au grand jour, la première chose qui nous sauta aux yeux
fut, d’une part, mon jean tout taché de foutre et, de l’autre, sa robe toute mouillée juste à l’endroit qu’il fallait…ou qu’il ne fallait pas.
Quelques passants, des passantes surtout, nous jetèrent des regards horrifiés, ou amusés,
suivant les caractères et l’humeur du jour !
Nous nous sommes regardés tous les deux…La fille me sourit…Elle devait me trouver à son goût.
Je la trouvai encore plus jolie qu’au ciné…
Grande, mince, sous sa robe on voyait plus qu’on devinait une mignonne poitrine…de visage, elle
ressemblait un peu à un mannequin connu…Elle valait bien toutes les Nicky, Esther et Violaine du monde !
Son âge ?...une vingtaine d’années !
Dans la rue, les passants regardaient nos vêtements maculés d’un drôle
d’air…
- Vous habitez un bel hôtel ! me dit la
fille quand nous fûmes arrivés. Vous êtes en vacances ?
- Oui ! et
vous ?
- Moi aussi !
- Nous n’avions pas envie d’en dire plus…Nous ne
connaissions ni nos noms, ni rien de nous…Quelle importance !
- Au contraire, j’ai toujours trouvé terriblement
excitant cette profonde intimité de quelques heures de deux êtres qui ne se sont jamais vus et ne se reverront probablement plus…
A peine arrivés dans la chambre, nous nous étreignîmes fougueusement…Nos bouches s’écrasèrent,
nos langues se cherchèrent…, se trouvèrent et jouèrent longtemps…
Lorsque ce baiser se rompit, la jeune fille se dégagea doucement…
- Attends, je vais quitter ma
robe…
Ah ! Non, pas de ça ! J’en avais la nausée de la chair nue…Pas
question !...
- Non, je t’en prie, ma chérie ! Ote ton
string, d’accord, mais ne te déshabille pas, je t’en supplie !!!
FIN
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