PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
Monsieur
Mais non ! Je ne vous pousse pas au viol. Je ne suis tout de même pas perverse à ce point. Ma lettre vous racontait seulement quelque chose de plaisant et qui finissait bien. N’est-ce pas l’essentiel ? Je ne vous ai jamais suggéré de faire de même. Je m’étonnais simplement de votre force d’âme et de votre capacité de résistance. Vous savez ce que je pense du viol. Si je ne vous l’ai jamais écrit, vous le subodorez certainement. Peut-être vais-je vous faire bondir en affirmant ceci : la plupart des femmes ont, enfoui plus ou moins profondément en elles, un féroce désir d’être prise de force. Certes, elles n’imaginent pas être soumises de force par un monstre répugnant, mais elles se plaisent souvent, en songe du moins, à imaginer qu’un homme (plusieurs parfois) les prend avec vigueur, sans leur demander leur avis ; qu’elles supplient et qu’il ne les entend point ; qu’elles doivent céder à la force et non point consentir.
Savez-vous ce que cela veut dire en vérité ? Tout simplement qu’elles aiment s’émouvoir à la pensée que leur seule vue déclenche chez un homme un désir tel qu’il fait sauter toutes les conventions sociales, et que le plus parfait gentleman se transforme en bête pour elles.
Dans ce cas, qui domine l’autre en fait ? La femme, Monsieur, oui la femme ! Réussir à abolir ainsi par sa simple présence de femelle deux mille ans de civilisation, c’est tout de même un magnifique tour de force.
En ce qui me concerne, la part de l’amour qui m’excite le plus est probablement le passage de la civilité et des désirs convenus à la pulsion bestiale qui transforme les visages, détruit le masque de chacun d’entre nous, donne au regard un éclat parfois inquiétant et décuple les forces. La vue de deux corps secoués de spasmes n’est guère réjouissante hors d’un lit, mais lorsqu’il s’agit du plaisir suprême, quel bonheur ! Je mouille abondamment à vous écrire cela et je sens que j’ai besoin tout de suite de plaisirs plus concrets que celui qui consiste à écrire. Je vous laisse et demeure,
VÔTRE*****
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je partage le sentiment, l'envie d'etre des fois prise en force, mais mon homme le fait, des fois mes songes vont aussi à pluisieurs hommes en meme temps.......
bises
tania
et je sais que tu apprécies Tania
baisers chauds
Violée?
C'est quand on ne veut pas... ? !
Mais comme cela doit être bon, lorsque l'on veut !
d'accord avec toi Titia et le fantasme de l'homme violé? non?
baisers
Conscient ou non, ce fantasme de viol est pas mal répandu parmi la gent féminine.
Je suis totalement en accord avec les termes de cette " Femme amoureuse" et sur la manière - peut être abrupte- mais aythentique dont elle parle de cette envie, plus même de ce besoin d'être parfois ainsi prise d'assaut et investie.
La féminité qui se contengenterait à la seule grâce fragile ne serait pas complète à mes yeux sans cette part d'animalité femelle , ce besoin de se sentir objet d'un désir violent, de "subir" l'emprise mâle, d'être fouillée, investie de coups de boutoir et ... nec plus ultra d'être " emplie" ... Oui oui, je sais ces mots là n'ont rien de poétique mais ils recoupent aussi une réalité qui fait partie intégrante de cette féminité ainsi honorée.
Plein de baisers tout doux.
Excellent week end et à bientôt
Elise
je ne sais que répondre, tu dis tout et tu écris si bien
Marc est vraiment un homme heureux, il m'arrive de l'envier
des milliers de doux baisers
peter
le noir et blanc vous va si bien.
merci tessi et bienvenue
bises
La lune éblouit-elle à ce point que celle qui l'observe soit obligée de porter des lunettes??????
le coup de lune est effectivement parfois plus dangereux que le coup de soleil
bises
peter
très joli blog
superbe
bises
le blog est à l'image de son auteur
bienvenue "sacrée coquine"
bisosus
peter