textes érotiques

Vendredi 29 avril 5 29 /04 /Avr 19:40

200421_205997642758452_205996652758551_668331_4035231_n.jpg

 

 

 

Du mal à m’endormir hier soir ; je venais de relire ce texte torride que tu m’avais envoyé…J fermais les yeux, mais à chaque fois je voyais au-dessus de moi ton sexe béant tout dégoulinant de cyprine qui appelait ma bouche gourmande…Ta croupe altière s’agitait au-dessus de moi et me faisait admirer ton cul que tes doigts fébriles et lubrifiés avaient préparé pour une visite certaine….

Il fallait que ça cesse.

Mon épouse dormait à mes côtés….ironie du sort, seul à deux dans un grand lit…

Alors ma main descendit lentement vers mon sexe et alors que maintenant j’ai besoin  d’un contact charnel et de caresses, là je le sentis grossir et se gonfler .Je commençais à me branler doucement en pensant à ta main et à tous tes trésors...Ma queue devenait turgescente et appelait une bouche qui était absente.

Je n’en pouvais plus, accélérait le mouvement sur ma bite tendue à l’extrême et fermant les yeux je jouis en inondant mon ventre de foutre et en tendant mes lèvres vers toi…

Tu m’as fait jouir à distance ma douce, je ne te remercie pas mais te fais partager ce petit moment de plaisir

 

PETER

2011-S15-60.jpg

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
Ecrire un commentaire - Voir les 11 commentaires
Mercredi 20 avril 3 20 /04 /Avr 19:48

55662934 p

 

 

 

Il y a quelques années, je suis allée à l’étranger, dans la Caraïbe, pour mon boulot. Et dans l’avion à peine assise, je vois un superbe gars, assis à deux sièges de moi. Je suis comme hypnotisée par ses yeux. Je le regarde tant qu’il finit par lever les yeux. Nos regards ne se lâcheront plus pendant une heure, le temps d’arriver à une escale.

 

Et là, bonne surprise, les deux voyageurs qui nous séparaient quittent l’avion. Je suis à l’envers, ce mec me plait, comme rarement avant. Il me chavire le corps et le cœur. Il s’appelle Muss. Je ne l’ai jamais vu avant, et c’est comme si je le connaissais depuis toujours. A peine assise à coté de lui, il m’embrasse à pleine bouche, comme si c’était naturel, normal. Coup de foudre en plein vol !

 

Très vite, c’est comme si nous étions seuls au monde, nos baisers sont de plus en plus passionnés. Nous devons finalement faire appel à toute notre raison pour ne pas faire l’amour devant tout le monde, au milieu de l’avion. Mais nous n’allons pas au même endroit. A l’escale suivante, il doit descendre. Il faut faire vite.

 

Nous ouvrons les deux pochettes contenant une micro couverture, pour cacher nos hanches et no jambes. Il ouvre son pantalon, je remonte discrètement ma jupe très ample à la taille, et j’arrive à ôter mon string. Il est tard, la majorité des passagers dort.

 

J’écarte mes cuisses, et sous la couverture, Muss insère ses doigts entre mes lèvres intimes. Je suis tellement trempée qu’il entre avec une facilité déconcertante. Il roule entre son pouce et l’index mon clito, douloureux tant il est excité. Je ne suis pas en reste. J’ai réussi à faire sortir sa bite bandée de son boxer. Je le branle vivement, engluant mes doigts de son excitation qui humidifie son gland. J’écarte rapidement al couverture pour regarder l’objet de mon désir. Belle queue, pas très longue, au gros gland très rouge… j’en mangerais !

 

Nous nous masturbons l’un l’autre en rythme, nous laissant aller à nos sensations qui montent de plus en plus. Soudain Muss se relève un peu, regarde tout autour de lui. Personne à l’horizon, il se penche très vite, arrache la couverture et plonge entre mes cuisses. Sa langue est une délivrance, Elle apaise le feu qui me dévore, elle est d’une douceur incomparable. Il l’enroule sans répit sur mon clito dardé. Je n’en peux plus, et je jouis très vite, en contenant difficilement mes cris de plaisir.

 

Je suis comme assommée par cette jouissance rapide et intense. Mais lui n‘a rien eu.. Je me reprends, regarde à nouveau autour de nous. L’hôtesse arrive. Elle passe sans un regard pour nous. Dès qu’elle a tiré le rideau de séparation, c’est à mon tour de me jeter telle une affamée sur sa bite bien dure. J

e fais si vite que je l’enfourne en entier d’un seul coup. Il m’étouffe presque, son gland envahit mon arrière-gorge. Je dois me retirer pour respirer, et j’entame une longue succion de ce membre que j’aime déjà à la folie. Je le dévore comme si ma vie en dépendait. Je pompe, j’aspire, je lèche, je mordille, je branle tout en même temps….

Rarement j’ai autant aimé sucer une queue comme la sienne.

 

Sous mon traitement, il ne résiste pas très longtemps. Il se lâche dans ma gorge dans un soubresaut et un cri étouffé. Inutile de réveiller les autres passagers. J’avale son précieux liquide, mais il me redresse, et m’embrasse à pleine bouche. Nos salives st son foutre se mêlent dans un baiser qui dure une éternité.

 

Pendant la dernière heure de voyage, nous allons nous embrasser sans cesse, nous murmurant des paroles de sexe et d’amour. Le pilote annonce la descente sur Fort de France, son lieu d’arrivée à lui. Il se lève, et va demande à l’hôtesse de prolonger son voyage. Elle refuse, malgré son offre de payer le double du billet. Et moi, je ne peux absolument pas descendre de l’avion, j’ai un rendez-vous professionnel que je ne peux rater le lendemain.

La mort dans l’âme nous échangeons nos derniers baisers, nos mails et numéros de portables. Il me jure un amour eternel. Le pire est que j’en fais tout autant… J’ai l’impression d’aimer cet homme de toute mon âme…

 

Quand il quitte l’avion, c’est un vrai déchirement, comme si je quittais mon amour de toujours. Il ne doit pas encore être arrivé dans la zone bagage que j’ai déjà reçu un sms. Pendant l’heure d’escale nous nous parlons par téléphone, échangeons nos fantasmes à réaliser dès nos retrouvailles.

 

Nous décidons de nous écrire tous les jours. Ce sont quelques extraits de ses mails que je vous livre maintenant. Le dernier est de moi.

 

« J’espère te voir rapidement...! Je pense trop à toi, à tes formes, à ton cul splendide…

C’est vrai, quand je pense à tes caresses dans l'avion, j'ai hâte de te voir et te faire l'amour non-stop !!! Tu ne passes que ta langue sur ma queue bouillante ?

J'aimerai tant que tu la suces goulûment, que tu descendes entre mes cuisses en aspirant mon gland humide et chaud !!!

J'aurais tant aimé te coller dans l'avion contre a paroi, te soulever ta jupe et me frotter jusqu'à ce que ma longue tige disparaisse.... Te demander de te mettre à genoux et te présenter mon sexe, voir ta bouche me la réclamer..... Tu me dis. : « Je suis ta cochonne, laisse moi te pomper bien à fond !!! »

Humm... j'arrête car je vais encore devoir me branler.... Je t'embrasse tendrement et partout
à très bientôt envie de te lire. »

 

« A défaut de pouvoir te prendre de partout, je nous imagine, et même si c'est frustrant, c'est bon de se branler et de penser à toi !

De t'imaginer à genoux et moi devant, je me branle de plus en plus fort et toi, tu me regardes… Tu te glisses un puis deux doigt dans la chatte. J'approche mon sexe de plus en plus proche de ta bouche... Viens me la gober, me l'aspirer, me la sucer... C'est trop bon de t'imaginer !!!

Après, je te prends par les hanches et mes grands coups de queue de plus en plus fort te font crier, gémir et hurler de plaisir.... J'ai envie de mettre mon sexe dans tous tes trous.... AAAAHHHHH j'en bande de te l'écrire, j'en salive... J'ai trop envie de jouir partout... Dis-moi où... sur tes fesses, dans ta bouche...?

J’en peux plus.... »

 

« J’ai encore envie de me caresser, moi aussi j'ai des envies de toi qui montent, qui montent.... J'en ai la queue en feu, prête à te faire tous les supplices.... Prête à te grimper dessus pour ne plus te lâcher, et de pousser pour aller au plus profond de toi....!

Mais dis moi, pour tes envies à 4 avec un couple, je te prendrais bien par derrière et demander à la femme de me bouffer les couilles pendant que son homme lui bouffe la chatte...Et de temps en temps, je sortirai ma queue de ta chatte pour lui donner à sucer et à malaxer…

Tu peux continuer la suite, sauf si tu préfères 3 mecs, raconte-moi les points forts qui t'excite, ma cochonne... Ca y est, je vais me caresser en  pensant très fort à toi et à tout ce que tu vas me faire....

Des bisouxx par milliers et partout.... où tu veux ma chérie....!!! »

 

« Tu m'invites à une soirée où tes amis sont prêts à tout… Ca m'excite tellement, j'ai des idées cochonnes plein la tête… Je vois une autre femme avec toi. Viens me sucer avec elle pendant que vous êtes toutes les deux accroupies et que le mec vous bouffe à tour de rôle la chatte... Je vous sens gémir, ma queue dans votre bouche... A mon tour, je vous bouffe la chatte...

Allongée, la femme suce son mec pendant que tu lui manges le minou et moi derrière toi, je te défonce de plus en plus fort... Tes cris sont entremêlés avec le bruit de tes léchouilles... Tu te retournes pour me dire : « chéri, encore... continue... défonce-moi comme ta salope... »

Ca décuple mon envie et ma queue est énorme dans ta chatte... J'en profite pour te titiller le petit trou que j'humidifie entre chaque coup de bite.... Je crois que le mec veut baiser sa femme !!! 

A son tour, elle se met à 4 pattes et côte à côte, on baise... Je me retire pour te montrer l'effet que tu me fais, et je te prends légèrement par les cheveux et je guide ma queue à ta bouche... Vas-y pompe la queue de notre jus... avant que je revienne te défoncer !!!

A moins que tu ne veuilles que je baise la femme un peu, pendant qu'à son tour le mec veut te faire ta fête...

Dis-moi la suite de l'histoire, et rien que de savoir que tu vois un couple ce vendredi, je crois que je vais me branler en pensant à ça, ma chérie...  Et si tu m'envoyais des photos d'eux et surtout de toi ? Ou pourquoi pas de vous ?

Réponds-moi vite, chérie, tu m'excites terriblement… Dès que je me lève, J'ai envie de te prendre de partout !!! »

 

Pour finir, un mail que je lui envoyé…

 

« Tout l'après-midi, j'ai en plus supporté les gémissements et cris de plaisir de Patricia ma copine, qui a profité de la maison pour se faire un mini gang bang... avec 3 mecs pour elle toute seule. Je n'ai rien voulu faire avec eux quatre, même si je t'avoue que j'en mourrai d'envie. C’était « sa » journée, et je ne veux le faire qu'avec toi, si je dois recommencer ce genre de partouze.

 

J'ai pourtant parfois jeté un coup d'œil... Juste pour la voir se faire prendre en double pénétration, avec une autre belle queue dans la bouche... Prise par tous les trous... par trois blacks très bien montés... J'en devenais presque dingue...

J'ai pris mon gode et je suis retournée dans le salon, avec dans la tète cette image, et celle de toi me faisant faire la même chose...

Je repensais à tes mots, à tes phrases et je me suis fait jouir en pensant à toi, en pensant à ta queue me défonçant la chatte au maximum. J'aurais voulu que tu me prennes, sous les yeux envieux des autres mecs, leur bites aussi à la main, se branlant en nous regardant, en te regardant me prendre à fond, ta belle queue dans ma chatte, tes doigts dans mon cul, ou mon gode, bien enfoncé...

Qu'ils viennent juter sur moi, Ils auraient juste le droit de venir me lécher... Seul toi pourrais me prendre. Je mouille, si tu savais, en repensant à tout ca.

 

Quand je me branlais avec mon gode, l'un des blacks m'a surprise... J'étais sur le transat,  les jambes écartées au maximum, mes doigts tenant très écartée ma chatte trempée. Totalement indécente !

Il m'a proposé ses "services", que j'ai refusés. Mais quand il s'est mis en face de moi, pour se branler en me regardant.... Ca m'a fait jouir très vite.

Et en plus, comme je continuais encore avec le gode, il a posé son doigt sur mon clito trempé, et avant que j'ai dit ouf, sa langue pointue et très très agile... Mon amour, je n'ai vraiment pas pu le repousser. Mais il s'est arrêté là, après m'avoir encore fait jouir. Il est reparti à l'assaut de Patricia. J'ai fini par sortir, pour moins l'entendre. J'aimerai que l'on fasse ça ensemble. Avec elle, et au moins trois ou quatre mecs... en plus de toi, bien évidemment ! »

 

Par Sophie de R ; http://sophie973.erog.fr

 

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 5 avril 2 05 /04 /Avr 19:31

Une contribution de Nadette sur le blog de Sophie de R

 

http://sophie973.erog.fr/

 

 

smoking girls 09

 

 

Une occasion manquée

Voilà ce qu'il m'est arrivé un jour en faisant le plein de carburant....
 
J'aime être séduisante, un brin sexy, un peu exhib donc.  

Ce jour là (un vendredi), je portais une jupe courte et une veste de tailleur sur un haut noir moulant transparent sans soutif, le décolleté de la veste laissait bien voir un petit peu plus que la naissance de mes seins, sous la jupe des bas noir auto-fixant et pas de string ça m'arrive parfois d'oublier d'en mettre cela me procure un petit plaisir égoïste).

 

En train de faire le plein d'essence je m'aperçois qu'un homme me regarde. Je décide de lui tourner le dos, et je me penche vers le réservoir de ma voiture, les fesses tendues vers lui. Une fois le plein terminé, en allant payer, je remarque qu'il me fixe toujours.

 

De retour, en remontant dans la voiture, je lui donne l'occasion, le temps de quelques secondes, de constater que je porte des bas, mais je ne pense pas qu’il ait pu remarquer l’absence de culotte. Au lieu de partir directement, je stoppe à la station de gonflage. Il ne tarda pas à arriver, me proposant de m’aider à gonfler mes pneus. J’avais ouvert ma veste un peu cintrée pour être plus à l'aise dans mes mouvements, offrant à la vue presque la moitié de mes seins. Accroupie, les cuisses légèrement entrouvertes, je voyais son regard se perdre sur mon buste et entre mes cuisses. Il me demanda si je m’habillais souvent ainsi. 
« En tailleur oui j’aime bien.  
- Non, dit-il, sans culotte.  
- Oui assez souvent pourquoi vous n’aimez pas ? »

  
Dans un mouvement, les pans de ma veste s’écartèrent un peu plus révélant à ses yeux mes seins fort mal dissimulés par mon petit haut en mousseline. On en était à la dernière roue, il posa une main sur ma cuisse et remonta tout en faisant crisser les mailles du bas. Il s’arrêta un instant à la limite de la dentelle du bas et de la peau du haut de mes cuisses.

 

Puis ses doigts s’égarèrent sur le petit triangle noir de ma toison bouclée, avant de descendre vers ma fente. Pour lui faciliter le passage, j’avais écarté un peu plus mes cuisses. Ses doigts jouaient avec mes lèvres, tout en agaçant mon petit bouton qui, d’un coup, venait de se gonfler. Ses caresses me faisaient du bien, mais en entendant des clients de la station s’approcher, il se releva me laissant encore accroupie cuisses écartées.

 

A mon tour, je me redressai, et tout en le remerciant, je remontai dans la voiture, non sans offrir à ses yeux une belle vision de ma chatte humidifiée.

Assise au volant, il vient tout près de moi et pose une main sur mes seins, l’autre prit possession de mon entre jambe et entreprit de me caresser à nouveau tout en me demandant si je voulais bien le rejoindre le soir même dans un hôtel.

 

Tout en lui répondant, je posais ma main au bas de sa braguette, en pressant sa queue et en flattant ses couilles. Je lui fis savoir que c’était tout de suite que je voulais sa bite, et que je trouvais bien plus excitant de baiser dans une voiture qu’à l’hôtel. Il bredouilla que tout de suite, il ne pouvait pas, devant se rendre à son boulot pour un rendez vous très important, que j’étais une salope de l’avoir allumé, et de trouver un prétexte quelconque pour me défiler.

 

Je ne me défile pas, je dis : « c’est tout de suite, on trouve un coin retiré et tu pourras faire à la salope tout ce dont tu as envie, c’est toi qui choisis »

 

Il était vraiment coincé par son boulot, il ne pouvait absolument pas.  Il voulait qu’on se rencontre une autre fois, que je lui laisse mes coordonnées. Comme réponse tout en démarrant ma voiture je lui dis :

« On ne sait jamais le hasard fera nous rencontrer une autre fois, je fais souvent le plein d’essence à cette station. Allez au revoir. »

 

Pour l'instant, je ne l'ai point revu.  

 

Signé Badette :

http://club.doctissimo.fr/nadette-bzs/

 

smoking girls 04

 

 

 

 

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
Ecrire un commentaire - Voir les 6 commentaires
Dimanche 27 mars 7 27 /03 /Mars 19:22

smoking girls 38

 

 

A Madame ...

 

 

Quand tu m'enserres de tes cuisses

La tête ou les cuisses, gorgeant

Ma gueule des baths délices

De ton jeune foutre astringent,

 

Ou mordant d'un con à la taille

Juste de tel passe-partout

Mon vit point très gros, mais canaille

Depuis les couilles jusqu'au bout,

 

Dans la pinette et la minette

Tu tords ton cul d'une façon

Qui n'est pas d'une femme honnête;

Et, nom de Dieu, t'as bien raison!

 

Tu me fais des langues fourrées,

Quand nous baisons, d'une longueur,

Et d'une ardeur démesurée

Qui me vont, merde! Au droit du cœur,

 

Et ton con exprime ma pine

Comme un ours téterait un pis,

Ours bien léché, toison rupine,

Que la mienne a pour fier tapis.

 

Ours bien léché, gourmande et soûle

Ma langue ici peut l'attester

Qui fit à ton clitoris boule-

De-gomme à ne plus le compter.

 

Bien léché, oui, mais âpre en diable,

Ton con joli, taquin, coquin,

Qui rit rouge sur fond de sable:

Telles les lèvres d'Arlequin.   

 

 

Paul Verlaine

 

smoking girls 16

 

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 19 mars 6 19 /03 /Mars 19:18

smoking girls 59

 

 

Viens effleurer ma couche
Que j’ouvre pour toi
Afin que tu touches
De tes mains ce sein lourd
Viens tout contre moi
Que je t’échauffe à mon tour
Que je balade mes doigts
Sur ta douce peau
Pour délivrer le cadeau
Que tu as en toi
Je t’offre la délivrance
Qui bénit ton insistance
Dans les caresses subtiles
D’une maitresse tactile
Qui promène sur ton corps
Des promesses vierges encore
Viens soupirer à mon antre
Les jeux d’une langue
Et balader sur mon ventre
Avant que je ne tangue
Dans quelques spasmes
Qui nous unirons
Dans les sublimes orgasmes
Que nous partageons
Dans les soupirs cruels
Des délices virtuels
Viens t’éprendre de moi
Et m’envahir
Qu’enfin je te soupir
A douce voix
Que la douceur de ce pouce
Encore m’enivre
Et me rends encore plus douce
Que le jet que tu délivres !

 

                    Peter

 

smoking girls 53

 

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Hommage à la Féminité
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires

Pages

Le blog de Peter Pan

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Novembre 2024
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30  
<< < > >>

Derniers Commentaires

me contacter

Texte Libre

Compteur de visiteurs en lignes

Texte Libre

Texte Libre

Texte Libre

Compteur Global

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés