textes érotiques

Mardi 15 novembre 2 15 /11 /Nov 17:22

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J'ai découvert votre site récemment et j'ai eu envie de raconter mon histoire afin de faire partager à vos visiteurs ce qui m'arrive. Je ne sais pas si mon récit correspond à votre thème, mais sachez que je peux me considérer comme un "Cocu content".

Je m'appelle Jean, j'ai 24 ans, je suis marié à Line depuis 4 ans. Nous nous connaissons depuis l'age de 12 ans et nous nous aimons beaucoup. Line est une très belle femme, pas très grande, mais mince avec de très beaux petits seins et un cul sublime. Nous avons découvert l'amour ensemble et je suis le seul homme à l'avoir pénétré même si je sais qu'avant que nous sortions ensemble elle avait sucé quelques copains. De mon coté, j'ai eu une aventure avec une copine avant que Line et moi ne soyons ensemble. J'avais aussi eu des relations adolescentes avec deux ou trois copains ou nous nous branlions ensemble, voir l'un l'autre et même une ou deux fellations. Je suis physiquement un "petit format" mesurant à peine 1m60 pour 60 kilos et on me trouve plutôt mignon avec mes yeux bleus. Je dois aussi avouer que la taille de mon sexe est proportionnée au reste : 12 cm en érection. Nous n'avons pas d'enfants et habitons en région parisienne.

J'ai changé de société il y a 1 an pour débuter comme technico-commercial dans le secteur agroalimentaire. Après 2 semaines de formation théorique, je suis parti sur le terrain en "binôme" avec mon chef de secteur.

Hakim est un Franco-Marocain de 42 ans, plutôt bel homme, les traits assez bruts et le teint cuivré. Il est très viril mais aussi très sympa. Il m'a pris sous son aile et nous somme partis pour une semaine dans le sud-ouest. Pour limiter les frais, Hakim avait proposé que nous prenions une chambre avec deux lits et après avoir dîner nous sommes montés nous coucher. J'étais en caleçon lorsque Hakim est sorti de la salle de bain, nu, le torse velu, les épaules larges et surtout un sexe imposant qui au repos était plus gros que le mien en érection. Je fixais ce membre sans dire un mot et Hakim s'approcha de moi. J'étais comme hypnotisé. Sans un mot, je tendis la main pour le toucher. Hakim me dit d'un seul coup :
- Elle te plait ? Touche-la.
Je lui caressais doucement la verge qui se mit aussitôt à grossir. Je me retrouvais comme lorsque adolescent je découvrais les sexes de mes camarades et j'étais attiré par ce membre imposant comme je l'avais été à 16 ans par celui de mes copains. La queue d'Hakim était maintenant dure et grosse sous mes yeux. Lorsqu'il mit sa main derrière ma tête pour me faire approcher de son membre, j'ouvris la bouche alors qu'il me disait :
- Je vois qu'elle te fait envie, suce là bien.
Je me mis à sucer cette queue et j'aimais ça. J'avais envie de lui faire plaisir et qu'elle coule dans ma gorge. Assez vite, Hakim se mit à me tenir la tête et à me baiser la bouche. Il jouit brusquement en se crispant au fond de ma bouche et j'eus soudain le palais plein de son jus. J'avalais tout son sperme. C'était la première fois que je faisais ça et je trouvais ça délicieux.

Je bandais dans mon caleçon et Hakim me dit : 
- Branle-toi.
Je me mis nu et allongé sur le lit je me branlais pendant qu'Hakim me regardait avec un sourire goguenard devant la taille de mon engin. Je jouis très vite dans ma main et Hakim dit encore : 
- Lèche ton sperme.
J'obéis et une fois ma main propre, il me flatta la tête en disant :
- Je suis sur qu'on va faire du bon travail ensemble…
Je me sentais à la fois humilié et encore excité par tout ce qui venait de se passer et j'eus du mal à m'endormir. 
Tous les autres soirs de la semaine, la chose se reproduisit. J'aimais de plus en plus sucer Hakim. J'aimais la façon qu'il avait de m'humilier, de me faire sentir que j'étais à son service sexuel. Jamais il ne s'occupait de ma queue. Je devais me branler tout seul et même un soir il m'a ordonné de faire ça dans la salle de bain parce qu'il voulait se coucher et j'ai obéi. En dehors de ça, le travail se passait bien, Hakim était un très bon formateur et j'apprenais vite et bien.

En rentrant le vendredi soir, j'étais heureux de retrouver Line et je lui fis l'amour comme un fou avec en tête les images de la semaine écoulée. Line était heureuse de mon enthousiasme, mais je n'osais pas lui en raconter l'origine.

La semaine suivante, nous sommes repartis ensemble dans la région nantaise et encore une fois nous n'avons pris qu'une chambre. Le premier soir de cette semaine, Hakim me fit mettre en 69 pour le sucer sur le lit. Ce n'était pas pour s'occuper de mon sexe, mais pendant que j'avalais son énorme queue avec avidité, il commença à me caresser l'anus puis à le pénétrer d'un doigt. Jamais dans mon adolescence nous n'avions été aussi loin et Line non plus n'avait jamais tenté cette caresse. Il faut dire que moi non plus je n'avais jamais essayé cela avec elle.

Je trouvais très excitant ce que me faisait Hakim et ma petite queue était dure à m'en faire mal. Il sortit son doigt pour mettre une substance humide sur ma rosette et plongea ensuite deux doigts au fond de mon cul. Mon anus s'ouvrait tout seul avec le gel (je ne savais même pas que ça existait) et mon tourmenteur se mit à me fouiller profondément. Je fut obligé d'abandonner son sexe pour gémir et je me mis inconsciemment à remuer mon cul.
Hakim se releva et dit :
- Je vais t'enculer comme une salope.
Je ne dis rien, soumis à cette queue qui allait me prendre. Jamais je n'aurais pensé avoir des tendances homosexuelles car mes fantasmes ne m'avaient jamais entraîné sur cette voie, mais je me positionnais sur le lit en levrette, fesses tendues et impatientes d'être pourfendues.
Il remit du gel sur mon trou puis positionna sa verge à l'entrée de mon orifice.
- Recule doucement.
Je lui obéis et je sentis soudain mon anus s'ouvrir sous la poussée. Il était gros, très gros. Je forçais un peu et d'un seul coup le gland passa mon anneau. Je criais sous le coup car la douleur était bien présente, mais il m'agrippa les fesses et m'empêcha de me retirer. Il ne bougeait pas. Laissant mon cul se faire à cette intromission. La douleur disparue petit à petit et je me mis à bouger doucement. Comprenant le "message", Hakim se mit à son tour à bouger puis rapidement à me défoncer le cul. Hakim faisait des commentaires obscènes sur ma qualité de petit Pédé qui aimait se faire farcir l'oignon par des grosses bites et autres insultes qui ne faisaient que m'exciter encore plus. J'éjaculais sur le drap pendant qu'il se déversait dans mon conduit. En sortant de la douche, je le trouvais déjà endormi.

Le reste de la semaine il alterna entre l'utilisation de ma bouche et de mon cul. En dehors de ces moments là, il était un compagnon très agréable, intelligent, drôle, cultivé et très bon pédagogue. J'apprenais vite et il me dit que bientôt je pourrais partir seul sur les routes.

Le soir, au moment du coucher, il changeait pour devenir un macho qui se vidait les couilles dans le cul ou la bouche d'une "bonne petite salope" comme il le disait. Aucun moment de tendresse ou de considération pour moi. Il n'y avait rien de sentimental, juste du sexuel et je trouvais ça encore plus excitant.

Pendant 2 mois, il y eut alternance de semaines seul et de semaines à deux. Lors des semaines où Hakim était là, j'étais de plus en plus soumis et j'aimais la manière dont il se servait de moi.

Un soir, alors qu'après avoir pris une douche je m'apprêtais à me coucher, Hakim me dit :
- Il faut que tu me présentes ta femme. Invite-moi à dîner samedi soir.
Puis il éteint la lampe et je ne sus quoi lui répondre.

Je n'étais déjà plus capable de m'opposer à lui et j'appelais Line le lendemain pour la prévenir.

Le samedi soir, Line avait tout préparé pour le mieux. Dans son esprit, elle recevait le responsable de son mari et tenait à faire la meilleure impression possible en espérant que ça ferait du bien à ma carrière. Je n'avais pas pu lui avouer la relation particulière que j'avais avec Hakim.

Hakim arriva avec un superbe bouquet de fleur pour Line et deux bouteilles de très bon vin. Il était extrêmement élégant dans un costume noir. Line était très impressionnée et ravie par le bouquet. Elle voulut nous proposer un apéritif, mais Hakim prit tout de suite les choses en main en disant :
- Je suis venu pour faire votre connaissance, c'est Jean qui va nous servir à boire.
Il prit Line par la main et la guida vers le canapé où il s'assit avec elle. N'osant rien dire, je m'occupais de tout et pendant le repas c'est encore moi qui fit tout le service.

Hakim était aux petits soins pour Line et jamais je n'avais vu ma femme aussi détendue avec un inconnu. Il lui faisait du charme et en même temps m'ordonnait de les servir avec des mots claquants. Je ne pouvais rien faire d'autre qu'obéir et je voyais bien que Line me regardait d'un drôle d'air lorsque je partais dans la cuisine chercher le plat suivant. Les deux bouteilles de vin favorisaient sûrement la gaieté de Line, car elle riait de bon cœur aux propos d'Hakim et vers la fin du repas il lui glissait des mots dans le creux de l'oreille et elle éclatait de rire en me regardant.

Lorsqu'ils passèrent au salon pour le digestif, Line était déjà bien gaie. Je voulais intervenir pour qu'elle aille se coucher avant que les choses n'empirent, mais après leur avoir servi un cognac, Hakim m'ordonnât de débarrasser la table et de ne ressortir de la cuisine que lorsque toute la vaisselle aurait été lavée.

Une fois de plus, je n'osais rien dire et je battis en retraite sous le regard amusé de Line. Il me fallut un quart d'heure pour ranger la table et remplir le lave vaisselle. Pendant ce temps là, j'entendais des gloussements dans le salon et j'étais vraiment pressé de revenir voir ce qui se passait.

Lorsque je rentrais dans le salon, Hakim avait sorti son sexe et Line était penchée sur lui en train de le sucer. Cette vision m'arrêta à la porte. Je ne pouvais y croire. Ma chère Line, si prude, en train de sucer la queue d'un autre alors même que j'étais là. Hakim m'apostropha durement :
- Tu as fait toute la vaisselle ?
- J'ai tout mis dans la machine oui.
- Je ne t'ai pas dit de remplir la machine mais de faire la vaisselle à la main. Obéis plus vite que ça.
Line avait relevé la tête, interrompant sa fellation pour voir ce que j'allais dire et faire. Je les regardais tous les deux, mais devant le regard noir d'Hakim je pliais de nouveau et repartis vers la cuisine.

Tout en faisant la vaisselle, j'essayais d'entendre ce qui se passait dans le salon, mais seuls quelques bruits assourdis me parvenais.

Lorsque je revins dans le salon, Line était à 4 pattes sur le canapé déplié pendant qu'Hakim la besognait de sa grosse bite. Line était ébouriffée, elle gémissait comme je ne l'avais jamais entendue faire. Hakim me vit entrer et dit :
- Mets-toi à poil Cocu et viens te faire sucer par ta femme.
Je me mis aussitôt nu et j'approchais ma queue durcie de la bouche de Line. Elle releva la tête et en me regardant droit dans yeux elle prit ma queue dans sa bouche. J'éjaculais aussitôt et Hakim se libéra aussi dans le sexe de Line.


Une fois la tension sexuelle un peu retombée. Line se lova contre moi en murmurant :
- Tu ne m'avais pas dit que tu avais un patron aussi viril petit cochon...
Je ne sut quoi lui répondre. Elle m'embrassa puis me dit en s'allongeant sur le dos, cuisses écartées : 
- Viens me nettoyer la chatte.
Je regardais son sexe ouvert, luisant de jus dont un filet blanc s'échappait. Je plongeais alors et me mis à aspirer et lécher le jus de ma femme et de mon amant qui était maintenant le sien.

Hakim nous regardait pendant ce temps là et lorsque j'eus fini, il nous ordonna à tous les deux de venir lui nettoyer la queue. Je me retrouvais à 4 pattes d'un coté d'Hakim pendant que Line était dans la même position de l'autre coté et nous nous mîmes à parcourir la bite d'Hakim de nos deux langues. Nous nous embrassions avec la pine entre nous et, sous ce traitement, Hakim se remit à bander rapidement. Line était très excitée de me voir sucer cette grosse queue et au bout d'un moment elle se mit à se caresser en me regardant. Elle dit soudain à Hakim :
- Encule-le devant moi, je veux voir ça.
Hakim lui caressa les seins et dit :
- Je veux bien, mais à une condition : Je t'encule aussi après.
Line n'hésita pas une seconde :
- Oui d'accord, moi aussi je veux être ta petite salope enculée.
Je n'en revenais pas. Line qui avait toujours été très réticente à ce que j'aventure ne serait-ce que ma langue de ce coté là offrait sans problème à notre amant le trésor entre ses fesses.

Hakim me positionna comme il aimait, et demanda à Line de venir me sucer par en dessous. Comme ça elle verrait bien la grosse bite me défoncer ! J'étais excité comme tout à l'idée d'être pris par mon amant devant ma femme et je sentais bien que Line était aussi très excitée par cette idée.

Hakim se positionna et m'enfila le cul d'un seul coup. Mon sphincter était maintenant habitué aux pénétrations vigoureuses et je ne poussais qu'un petit cri lorsqu'il força mon anneau. Je tendais mon cul en arrière pour bien me faire mettre. Line et Hakim faisaient des commentaires humiliants sur mon cul de pédé et comme quoi je bandais en me faisant défoncer la rondelle. Je jouis très vite dans la bouche de Line. 

Après m'avoir pris pendant 10 minutes, Hakim ressortit de mon cul et demanda, ou plutôt ordonna, à Line de lui sucer la queue. Elle ne broncha pas et vint de suite sucer la queue qui sortait de mon cul. Ensuite il la fit placer dans la même position que moi, en levrette, cul offert. Il fut très délicat comme avec moi la première fois. Il lui massa l'anneau avec du gel et prit son temps pour habituer le cul de ma femme à recevoir sa queue. Il me demanda de bien lui écarter les fesses et approcha sa queue.
- Tu me donne ton cul Line ?
- Oui
- Oui quoi ?
- Oui je te donne mon cul.
- Tu veux que je t'encule ?
- Oui vas-y.
- Vas-y quoi ?
Line hésitât puis dit :
- Encule-moi. Prends-moi par le cul.
Il s'enfonça doucement mais fermement dans le cul de ma femme qui gémit sous l'intromission puis cria lorsqu'il fut bien au fond. Il s'arrêta pour laisser à l'anus de Line le temps de s'habituer mais rapidement c'est Line qui se mit à remuer pour s'empaler sur la queue qui lui perforait le cul. Elle gémissait et haletait en disant des mots orduriers.
- Oui, c'est bon défonce-moi le cul. Je suis une salope vas-y, encule-moi comme une pute.

Hakim se mit à la pistonner de son mieux et je me rendis compte que ma chère et tendre épouse aimait comme moi se faire défoncer le cul. Hakim me fit mettre à coté de Line dans la même position et sortit du cul de ma femme pour m'enfoncer aussitôt. Il fit quelques aller-retour dans mon anus puis repassa dans le cul de Line. Il alternat ses pénétrations en nous traitant de bonnes petites salopes et il finit par jouir dans le cul de Line. Nous étions tous les trois épuisés allongés sur le canapé. Hakim se leva et dit :
- Vous êtes deux petites enculées. Mais puisque c'est moi qui ai pris ton cul Line, désormais il m'appartient et je t'interdis de te faire enculer par Jean.
Elle me regarda dans les yeux et dit :
- Oui mon cul t'appartient comme celui de Jean.
- Bon c'est pas tout ça mes petites salopes, il faut que je rentre.
Nous l'avons regardé se rhabiller et lorsqu'il fut prêt à partir, il me flatta la tête comme à une bonne chienne, embrassa Line d'une pelle longue et intense puis partit en disant :
- A lundi Jean.

Line vint se blottir dans mes bras et nous nous sommes embrassé tendrement. Elle me dit :
- Moi aussi maintenant je suis une petite salope. Tu ne m'en veux pas ? 
- Non, je t'adore. Et toi tu ne m'en veux pas de l'avoir invité ?
- Oh ! Non, jamais je n'avais joui comme ça. Et te voir te faire enculer m'a excité comme jamais.
Elle se caressait encore la chatte et je rebandais. Nous avons fait l'amour tranquillement, doucement, tendrement et nous avons joui ensemble avant de nous endormir dans les bras l'un de l'autre.

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Mercredi 9 novembre 3 09 /11 /Nov 19:33

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Chers tous,

J'ai trouvé dans ma boite mail cette histoire.

J'ai beaucoup aimé, qu'en pensez vous ?

 

"Pendant l'été 2010,  c'était sur une plage du sud de la France je faisais des photos de Martine, ma femme, une belle brune aux yeux verts, 1m 75, 95 C, de taille de soutien gorge, sexe totalement lisse, 30 ans.  Maintenant que les présentations sont faites venons-en au sérieux. Un gars me regardait faire, il était blond de type nordique, en boxer, avec des tablettes de chocolats à faire pâmer la plus réticente. Il devait avoir environ 35 ans. Il s'est approché à environ à 5mètres.  J'ai dit à ma femme qu'elle était matée elle n'a pas bronché, je décelais même une certaine excitation dans sont regard.  Elle se laissa regarder, en prenant des poses qui permettaient au type de mieux se rincer l'œil. Nous sommes  allés nous baigner, après avoir remis le numérique dans son étui. Le gars nous a suivit dans l'eau  en plongeant juste à côté d'elle et il a fait en sorte de lui toucher un sein. Il s'en excusa et elle lui dit :

- ce n'est pas grave.

Il lui répondit :

- et si je fais ça ce n’est deux fois pas grave alors!

Et il lui touche les deux seins. Moi j'étais dans le dos de ma femme à deux trois mètres d'elle, je ne voyais pas bien le gars. Je me suis rapproché et prit ma femme par les épaules. Je la senti frémir et la connaissant bien je su que cette situation l'excitait terriblement. Je ne voyais pas les mains du gars, mais je sentit que ma femme avait écarté un peu les jambes. J'ai pensé que s'était pour garder de la stabilité dans l'eau mais comme je ne savais pas ou était les mains du type, je descendit les miennes sur ses hanches et là, j'ai sentit une main du garçon sur sa hanche gauche , l'autre était sur ses fesses. Il a passé sa main entre ses cuisses et il l'a masturbée dans l'eau, elle écartait encore plus ses jambes pour lui faciliter la tâche. Des gens sont venus se baigner ce qui fait qu'il a stoppé net, puis on est sortit de l'eau et il nous a suivit dans notre camping car, garé à 5 mn à pied. On a bu un café et on est allé sur le lit, ma femme déjà prête.

 Il s'est occupé d'elle comme il faut, il lui a caressé le cul puisqu'elle était allongée à plat ventre. Je lui ai écarté un peu les jambes, on voyait son anus niché dans son fessier somptueux, il lui caressait le dos et les fesses. Moi je matais, je bandais comme jamais. Il lui passait la main entre les fesses jusqu'a la chatte. Elle a cambré un peu ses reins et écarté un peu plus ses jambes. Elle s'offrait complètement. Là il comprit qu'il pouvait faire ce qu'il voulait. Il l'a branlée un moment, comme ça allongée sur le ventre. Puis il me montra son anus pour me demander s'il pouvait le doigter.  Sans parler juste d’un signe de tête je lui fit signe que oui. Il a mouillé son doigt et lui a branlé le trou du cul,  après il l'a retournée sur le dos lui a écarté les cuisses et il l'a léchée un bon moment et elle a jouit en criant si fort que je cru qu'il la torturait. Il mit son sexe dans sa main et elle le branla un peu. Il commençait à bander. Puis il s'est approché de sa bouche, sans la forcer, elle le suça et là, il eut une super érection.  Il était bien monté le coquin, il avait bien ses 20 cm et je pense même plus, et assez épais, d'ailleurs elle me fit signe qu'il était bien mieux monté moi. Pendant qu'elle le suçait  j'ai doigté l'anus qu'elle avait bien détendu, tout en lui aspirant le clitoris. Elle m'avait provoqué, elle allait voir de quoi je suis capable. Elle râlait, elle jouissait à répétition, elle criait :

- prenez moi, deux hommes pour moi oui !!!  oh ! ah !!!

Je  retirais ma bouche de son sexe, et je laissais la place à notre invité.

 

Il s'allongea sur elle, lui  releva les jambes et la prit en missionnaire. J'ai vu sa bite s'engouffrer dans sa chatte, elle explosa de jouissance. Il avait un bon coup de rein le mec, je me  mis à la tête de Martine et je me fit sucer de nouveau. Après, il lui demanda de se mettre à quatre patte sur le lit et il la pris en levrette. Il la baisa un moment comme ça.  Puis il lui  mouilla l'anus avec de la salive. Il  présenta son gland sur l'anus et la douleur de l'introduction fut très vite remplacée par des râles de plaisir, et d'encouragement. Il lui a dit qu'il ferait doucement, mais elle au contraire lui dit :

- baise moi à fond, prend moi comme une chienne lubrique,

Je ne la reconnaissais plus. Il s'y reprit deux ou trois fois tout de même pour rentrer le bout de son gland, puis il lui  écarta les fesses avec ses pouce de chaque côte et  poussa ses reins. Une fois bien dedans il la sodomisa bien profond. Elle adore la sodomie et ça il l'a bien comprit. Il l'encula un bon moment, il passait de sa chatte à son anus comme il voulait. Il a retourné ma femme sur le dos, lui était allongé dessous sa verge plantée dans son petit trou. Les jambes de martine complètement écartées, m'offraient le spectacle de son minou ruisselant. Je ne pu résister à l'invitation, et mon pieux se ficha dans sa fente. Nous la baisions tous les deux, ses yeux se révulsaient elle n'arrêtait pas de jouir.  Il se retira d'elle, moi aussi, il enleva sa capote et nous jouîmes  sur son ventre. Elle étala nos semences du bout des doigts et se les lécha. 

- J'ai eu mon compte ce coup là ! nous dit-elle

 

 Nous nous essuyâmes et autour d'un second café, il nous  demanda si on restait là et on lui dit qu'on y serait encore un mois environ

il nous  lança un " à la prochaine fois !" n'admettant pas de refus.

Alors Martine lui  dit

- plus que possible oui  !

Nous nous sommes revus deux autre fois, une autre fois dans le camping car et une autre fois dans des dunes. Ce fut à chaque fois une intense connivence et un moment de jouissance pour Martine qui la laissa à chaque fois épuisée."

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Mardi 8 novembre 2 08 /11 /Nov 23:24

avec l'autorisation de Z

 

bonne-copine

 

 

Internet c'est génial ! Mais quelquefois on va un peu plus loin que l'on voudrait et on se trouve piégé volontairement. J'avoue que cela m'est arrivé et que tout compte fait, je ne le regrette pas. Cela m'a permis une révélation. En l'absence de mon épouse je surfe allégrement sur divers "chats" et Forum.
Un jour où je pianote sur un serveur plutôt SM, mon épouse me surprend. Elle est assez ouverte mais quand même ça la choque un peu. Elle m'ordonne d'interrompre la communication. Je m'écrie : "Laisse-moi regarder, je discutais avec un annonceur qui proposait de prendre la femme d'un couple devant son mari." Elle me regarde droit dans les yeux et me dit : "Qu'as-tu répondu ?" Je lui dis que je n'ai pas encore répondu. Elle ne me croit pas. J'arrête de surfer et on n'en discute même pas.

Avant de continuer je veux juste vous dire que ma femme a 28 ans, mesure 1m68 pour 51 kg et qu'elle est vraiment superbe avec de beaux seins, et surtout un "cul de reine" comme j'aime le dire : bien rempli et ferme sans être trop gros.

Quelques jours après un couple de nos amis nous invite pour dîner. Après un repas bien arrosé, notre hôte nous convie à voir des vidéos un peu scabreuses. Un autre homme baise son épouse devant lui. Ce qui me fait penser à l'annonce sur Internet. On sort de la soirée bien excités.
Une fois couchée, mon épouse me reparle du film. Aussitôt, je me mets à bander. Elle s'en aperçoit et me dit : "Tiens, cela a l'air de te faire de l'effet, tu aimerais que je le fasse devant Toi ? " Je grogne une réponse incompréhensible, mais ma queue est dure comme une barre de fer. Ma femme l'engloutit et je lui emplis la bouche aussitôt.

Quelques jours plus tard ma femme me propose elle-même de surfer ensemble. Nous nous amusons comme des fous, et plusieurs jours durant on taquine les Forums et les "chats".
Nous aimons jouir après nous être excités à dialoguer.
Puis voilà qu'un jour on tombe sur le même internaute.
Mon épouse tout excitée me dit en m'attrapant les testicules : "Je suis sûre que ça te plairait d'être cocu." Je bande. Elle jubile...

Quelle n'est pas ma surprise quand elle prend un rendez-vous avec ce monsieur. Elle prétend que cela va mettre du piment dans notre vie. Le soir arrive, nous allons au rendez-vous, dans un petit bistro discret. Le type est là. Grand, mince, d'allure aisée, trente ans maximum.
II déshabille ma femme des yeux. Après avoir pris l'apéritif, il nous propose d'aller dîner dans un restaurant. Le repas terminé ma femme lui dit tout de go : " Si nous parlions de choses sérieuses, choses pour lesquelles nous nous sommes rencontrés. " Et aussitôt nous partons pour son appartement.
Afin que la narration de cette escapade ne soit pas trop longue je passe sous silence la description des lieux, etc.

Mon épouse n'attend pas qu'on l'invite à se déshabiller. En un clin d'œil elle est nue. L'homme siffle, admiratif. Ma femme se tournant vers moi me dit : "Déshabille-toi, cocu, tu seras plus à l'aise pour me voir baiser." Le gars est bien proportionné, les couilles bien accrochées, la verge assez longue. Ma femme va vers lui et lui caresse la queue. II bande aussitôt. Elle s'apprête à me faire cocu, et ça va se passer sous mes yeux ! Je vois l'excitation lui rougir la figure. Je m'étonne de ma passivité, mais je comprends qu'une certaine curiosité malsaine me retient.
Mon épouse montre un empressement qui me choque un peu, car il me semble qu'elle ne l'a jamais eu avec moi. Elle se colle au mâle et l'embrasse. La verge de son amant est devenue énorme, le gland est largement décalotté et plus gros que le diamètre de la tige.
Elle prend les testicules de l'homme dans une paume et de l'autre main attrape le mandrin et absorbe difficilement dans sa bouche gourmande la pointe du morceau. Je crois que je n'ai moi-même jamais tant bandé. Quelle salope, je ne l'aurais jamais cru capable de faire ça devant moi. On dirait que cela décuple son plaisir. Ils se dirigent tous les deux vers un lit. Le mec se couche sur le dos et dit : "je vois que tu es une belle salope, et bien chevauche-moi, ça ne sera que meilleur et plus excitant aux yeux de ton mari." Je la vois, les cuisses largement ouvertes, s'empaler lentement mais profondément sur la verge.
Elle ouvre la bouche, exhale un soupir, s'agite et au bout d'un moment crie sa joie, les joues cramoisies et les yeux révulsés. Elle s'affale sur le mâle et l'embrasse à pleine bouche. "Oh, que c'était bon", s'écrie-t-elle. Le gars lui fait remarquer que son jus a coulé abondamment sur ses couilles que le lit est trempé. En effet une large tache de cyprine s'étale sur les draps. La salope, elle n'avait jamais autant joui. Le retour en voiture est silencieux. Chacun essayant de remettre ses esprits en place. Au lit on commence à parler de la soirée. Conséquence, une érection terrible. Elle me le fait remarquer et ajoute : "II faudra recommencer."

Depuis ce jour, elle s'habille d'une manière plus provocante, plus sexy. Minijupe, porte-jarretelles, string ficelle, soutien-gorge pigeonnant... Et elle rentre plus tard le soir. Un soir, je l'attendais derrière la porte d'entrée. Je lui demandai d'où elle venait ; seule réponse une formidable paire de gifles qui me fit vaciller. Je tombai à genoux en gémissant. Elle me regarda droit dans les yeux et dit : "je vais te dresser". Soulevant sa robe jusqu'à la taille, elle ajouta : "Tu vas le savoir, d'où je viens, lèche, salope, tu vas manger tout le sperme de mon amant." Comme je restais interloqué, je reçus une nouvelle paire de gifles, elle m'attrapa par la nuque et me maintint la bouche contre son sexe démuni de culotte.

Je me sentais vaincu et servilement je me mis à sucer. L'odeur forte du sexe et du sperme m'excitait. Je léchais avec avidité, elle s'en aperçut, m'insulta et jouit dans ma bouche. "Puisque tu aimes être cocu, à partir d'aujourd'hui tu feras ce que j'exigerai de toi. Je veux que mes amants viennent me faire l'amour ici. Tu seras notre servante et comme ma copine me disait les jours derniers : il faut qu'il soit à ta disposition et pour cela il te faut le dresser durement à la cravache ou au martinet, même en présence de tes amants."
Et bien je suis régulièrement fouetté et j'en bande à éclater, surtout lorsqu'elle me bat en présence des mecs. Le fouet ou la cravache, ça fait mal, mais je jouis après comme un damné en me masturbant devant eux quand je leur porte le déjeuner au lit le matin. Son jeu préféré : me prendre la bite pour la rapprocher de celle de son amant, afin de comparer les tailles et le degré de rigidité.

Lorsqu'elle n'est pas satisfaite, je suis attaché et je subis toutes sortes de supplices. Je crie, je supplie, je pleure parfois, mais tout compte fait ma nature masochiste est comblée de cette situation. Elle me fait prendre par des mecs qui aiment baiser les époux complaisants. Vous voyez jusqu'à quel point je suis devenu sa chose.

 

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 caresse

 

 

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Mercredi 19 octobre 3 19 /10 /Oct 19:16

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Je regardais  ces deux femmes, ces deux succubes assoiffées de sexe, prêtes à toutes les orgies. Je m’approchais de Cécile ou Céline, je ne sais plus trop. Ses yeux aux pupilles dilatées allaient du sexe de la belle rousse à ma bouche. En un clin d’œil je compris son désir et tandis qu’elle s’activait de la langue sur le clito gonflé et tendu de plaisir de notre amie, je récoltais dans ma bouche tout le sperme qui coulait sur son visage pour le mélanger à la salive de notre partenaire dans un baiser profond où nos langues s’affrontèrent dans un duel qui ne fit qu’augmenter notre désir.

Mon érection était de nouveau totale et ma queue me faisait mal tant elle était tendue.

Notre belle rousse était elle aussi excitée à un point indescriptible. Elle se cambrait tant qu’elle pouvait, écartant ses fesses au maximum car elle venait de sentir une langue qui lui titillait l’anus.

De profonds soupirs s’échappaient de sa gorge.

Notre chauffeur de taxi venait de prendre les choses en main et quand je dis les choses, je devrais dire les fesses de la rouquine d’une part et ma bite de l’autre. Cet homme en plus de conduire un taxi savait très bien nous conduire sur les chemins du plaisir. Il lâcha mon chibre pour mieux écarter les fesses de sa partenaire et présenta son gland gonflé et violacé à l’entrée de son petit trou déjà bien dilaté. Sa progression dans les entrailles de la jouisseuse se fit d’un coup, ce qui provoqua un hurlement à la fois de douleur et de plaisir chez celle qui était prise dans son cul par un membre très actif et dans son con par une bouche avide de cyprine.

Le visage de Céline dégoulinait de son jus épais et chaud ! Le ventre de la rousse était secoué de spasmes, elle allait jouir et m’attrapa la queue pour l’enfourner dans sa bouche. Ce fut le signal et nous déchargeâmes, qui dans sa bouche, qui dans son cul, tandis qu’elle se déversait dans la bouche de Céline qui maintenant se masturbait avec frénésie. Elle était allongée à même le sol, les jambes écartées. La rousse nous fit un signe et nous nous plaçâmes tous les trois au-dessus de Céline qui n’en revenait pas mais qui allait assouvir un de ses fantasmes des plus osés, un fantasme qu’elle avait enfoui au plus profond d’elle-même, recevoir une, ou plutôt trois douches dorées. Tout en elle n’était qu’attente ; sa bouche ouverte prête à recevoir tout comme son corps nos urines mélangées, brûlantes qui allaient s’abattre sur elle comme des torrents fougueux descendant de la montagne, ses cuisses écartées sur une chatte où ses doigts s’activaient sans une seconde de répit, provoquant un écoulement continu de mouille épaisse et chaude.

Elle criait son plaisir, gobant les jets de ses trois partenaires, quand ses cris devinrent des hurlements. Son ventre était secoué de contractions comme si elle allait expulser tout ce que son sexe contenait de désirs et de plaisirs !!!

Mais ses cris, ont du éveiller pas mal de monde dans ce petit immeuble bourgeois de la rue de l’Abbaye. Car à cet instant, Céline s’éveilla dans ou plutôt en travers de son lit.

Elle était quasiment nue, dépoitraillée, sa nuisette arrachée ; son corps était trempé, comme les draps entre ses jambes où telle une fontaine, elle s’était vidée de tous ces jours d’abstinence ; son souffle était court et elle avait du mal à refaire surface, pensant vraiment avoir vécu ces scènes d’orgie ; elle n’eut pas le temps de bouger, de se lever que d’un jet puissant elle se vida du contenu de sa vessie mais là encore avec un plaisir inégalé. Oui elle avait rêvé et telle Wendy elle avait envie de remercier Peter Pan pour tous ces plaisirs qu’il avait fait naître en elle et qu’elle désirait partager avec lui…………..

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Mercredi 5 octobre 3 05 /10 /Oct 15:06

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Le Hamac

UN hamac ne sert pas seulement à dormir...

Un pied ne sert pas seulement à marcher… En voici la preuve :


Je me souviendrai toujours de ce dimanche, sur la terrasse... J'étais debout, près d'un hamac, où une amie se balançait doucement. Nous parlions de sexe, bien évidemment. Il me faut vous préciser que c’était une amie familière de parties carrées, et nous pratiquions souvent l’échangisme avec son ami et le mien.

 

Son pied était hors du hamac. A chacun de ses balancements, il venait heurter mon mont de venus, nu sous un paréo juste noué. Elle a fini par réaliser son geste, et une lueur lubrique s'est allumée dans ses yeux...

 

Elle a alors commencé à diriger son pied, et petit à petit, son pouce est venu se frotter contre  mes lèvres intimes, de plus en plus mouillées par ce geste très érotique. Elle accentuait à chaque passage la pression de son pied contre mon sexe. A ce moment-là, nous nous sommes tues. Presque sans m’en rendre compte, j’ai commencé à me caresser les seins, durcis par l’excitation. Je l’ai vue passer sa langue sur ses lèvres, ce qui était le signe de son excitation grandissante. Elle a saisit le fauteuil voisin du hamac, pour s’immobiliser. Et là, sans plus de cérémonie, elle a carrément enfoncé son gros orteil dans ma chatte bien trempée. C’était une sensation inédite, qui m’a fait jouir très vite. Bien sur, elle m’a souri, et m’a dit : « on ne va pas en rester là… »

 

D’autant que nos hommes avaient entendu mes cris de jouissance très reconnaissables, et étaient arrivés sur la terrasse. Ils ont ainsi pu nous voir, elle son pied bien fiché dans mon con qui coulait, et moi, en train de me branler le clito pour jouir encore.

 

Nos hommes ont réagi tout de suite ! Son ami, Daniel, est venu illico s’agenouiller près de moi, a ôté le pied de Sylvie, et l’a remplacé par sa bonne langue, que j’aimais par-dessus tout. Il avait une façon de m’aspirer toute la chatte, entre ses grandes lèvres de black, et de pointer sa langue comme une petite bite à l’intérieur de mon vagin…. J’adorais, et ne résistais jamais longtemps à ce traitement !

 

Eric, mon ami, lui, s’est approché de Sylvie, et lui a présenté son gros pieu déjà bandé devant la bouche. Elle adore faire des pipes. Et en moins de trois secondes, elle lui faisait une gorge profonde. J’ai toujours admiré la façon qu’elle avait de pomper un mec en entier, sa bouche aspirant même les poils pubiens de l’homme qu’elle suçait avidement. De voir mon mec ainsi sucé, et de sentir la grosse langue de Daniel me fouiller la chatte bien profondément, j’ai joui une nouvelle fois. Presque au même moment, Eric se retirait prestement pour jouir aussi et lâcher son foutre chaud sur les joues de Sylvie. Sans attendre, Daniel s’est relevé, pour aller  lécher amoureusement le visage de sa femme. Il mangea tout le sperme, comme il le faisait souvent.

 

Nous n’allions pas en rester là, et nous sommes rentrés, pour être plus à l’aise sur un lit.

 

Entre la terrasse et la chambre, nous avons eu le temps de nous délester rapidement du peu de vêtements que nous avions.

 

D’un regard, nous avons décidé de faire le « carré ». Nous nous sommes donc allongés en carré, le sexe de chacun à portée de bouche de l’autre. Sylvie emboucha la bonne queue de son Daniel, lui-même continua de me lécher bien profond, alors que je pompais goulument la bite d’Eric. Dans le même temps, Eric aspirait de toutes ses forces le clito de Sylvie. Le « carré » était formé. Cette situation est très excitante, tout le monde suce, mange, lèche, aspire tout le monde, et en plus, on la vue sur les autres. Cette situation m’excite tout particulièrement. Sylvie et moi avons joui en rafales, aspergeant nos compagnons de notre jus abondant. J’étais aux anges, mais je n’en n’avais pas encore eu assez… D’autant que les hommes n’avaient pas joui.

 

Pour leur faire un petit plaisir, nous avons décidé toutes les deux de leur offrir un joli 69.

 

Je m’allongeais sur le dos, Sylvie sur moi. Sa chatte trempée par ses orgasmes et la salive de mon homme était juste à hauteur de mes lèvres. Sans attendre, je fourrais ma langue au creux de son vagin odorant. Sylvie en a fait autant. Nous étions là, en tain de nous gouiner lascivement, avec un plaisir non dissimulé. D’autant que nos hommes se branlaient juste à côté de nous, mais nous caressaient aussi. Eric titillait l’anus de Sylvie, qui frémissait et s’ouvrait sous cette caresse.

 

Je vis du coin de l’œil Daniel se lever, et sortit de la pièce. Il revient quelques secondes après, un gros concombre à la main. Plus tôt, j’avais vu des photos de Sylvie, godée par ce légume. Les photos étaient prises le matin même, juste avant notre arrivée…. Il déroula un préservatif sur le gros légume, le lubrifia avec du gel, et commença à forcer la rondelle brune de Sylvie. Là, juste sous mes yeux, à quelques centimètres, je voyais le concombre rentrer progressivement dans le boyau serré de ma copine. Elle se tordait de désir, pour activer la pénétration.

 

Pour mieux vous situer la scène, je vous précise que nous étions toute les deux en travers du lit, ma tête tout près du bord. Daniel était donc debout décalé sur ma gauche. Je vis alors Éric s’allonger près de moi, et sans hésiter, il goba d’un trait la bite dure Daniel, juste à bonne hauteur de sa bouche. Daniel était là, en train de baiser le cul de sa femme avec le concombre, et la bouche de mon mec avec son gros pieu bien gonflé.

 

Le résultat ne se fit pas attendre : Sylvie explosa dans un énorme orgasme, le légume de plus de vingt cerntimètres bien planté dans son conduit anal, Daniel jouit dans la bouche d’Eric, qui avala le tout sans broncher.

 

Je fis basculer Sylvie sur le côté, pour que mon homme vienne me prendre. J’avais aussi joui dans la bouche de mon amie. Mon sexe était béant, appelant être très vite rempli par le chibre de mon mec. Il ne se fit pas prier, et vint me saillir en levrette. Il me besognait avec force, ses couilles tapaient contre mon clito devenu très sensible.

 

Très vite, trop vite, Eric vint projeter sa semence au fond de mon vagin. Je sentis avec bonheur les soubresauts de sa grosse queue me remplir….

 

La partie ne faisait que commencer, et pendant toute la fin de la journée, nous avons continué à nous prendre, nous baiser, nous sucer, nous pomper…

 

Ce fut un dimanche mémorable !!!

 

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