- Ne t’arrête pas. C’est bon, c’est trop bon.
Mes jambes se détendent violemment. Ma jouissance, mon plaisir explose dans ma tête, dans mon
ventre. Brusquement, ses mouvements deviennent plus amples et plus puissants. Sa matraque me malmène la chatte. Il se crispe. Je le sens venir en moi. Son sexe m’envahit de ses spasmes annonceurs
de sa jouissance proche. Mon ventre s’ouvre, s’offre encore plus à son plaisir. J’ai envie qu’il soit bien dans mon ventre. Bloqué au fond de mon sexe, il se met à jouir de longs flots de sperme.
Il va me perforer, me fendre en deux… Son sexe va sortir de l’autre côté de moi… Quelques derniers coups de reins et je sens les derniers spasmes de sa jouissance. Il reste au plus profond de
moi. Je me fais l’impression d’être un vulgaire poulet, embrochée de part en part… Mais que c’est bon, cette sensation d’être qu’une femelle lubrique… une femme aimée et désirée… Une femme comme
je n’ai pas été depuis bien longtemps. Nous reprenons lentement nos esprits. Ahmed est toujours planté au fond de mon ventre. Je suis bien, béate de plaisir et de bonheur. Mon ventre irradie de
bonheur. Une sensation curieuse me parcourt le ventre.
-
— Ahmed, non, ne me dis pas que…
-
— Si, j’ai encore envie !
- Tu es un monstre…
La queue d’Ahmed, en effet, palpite de nouveau dans mon sexe à peine repu. Elle reprend de la
vigueur. Il se dégage de moi et s’allonge comme moi sur le côté, me caressant doucement les seins de sa main droite. Je sens sa grosse queue poisseuse de sperme reposer, puis battre contre ma
fesse. Mon sexe baille et se vide entre mes cuisses d’une grande quantité de sperme…
Il me caresse et je me laisse faire. Une de ses mains joue avec mes seins et surtout mes tétons
encore légèrement douloureux. L’autre court sur mon ventre encore douloureux, mais si repu, si bien. Mais mon Dieu que c’est bon !! Je me suis totalement béate. Je pense au bien être de mon
corps repu de sexe. Je n’en reviens pas. Je suis redevenue femme ce soir, grâce à cet Africain qui est là derrière moi, calé en petite cuillère. Il a de nouveau envie de moi. Sa Bête bat contre
mes fesses, cette bête qui se relève tout doucement. J’ai envie qu’elle me fasse encore l’amour, j’ai encore envie d’elle.
Sa tête est penchée dans mon cou. Son souffle léger provoque chez moi des frissons. J’ai la
chair de poule sur les cuisses. Il en joue. Il m’embrasse dans le cou. Je me laisse partir dans cet instant de béatitude. Ses bras autour de mon torse me serrent contre lui. Ses mains jouent de
nouveau avec mes seins. Ils sont aussi volumineux et aussi sensibles que pendant mes grossesses. Mes tétons sortent comme de petits sexes au milieu de mes aréoles granuleuses. Une de ses main
posée sur mon ventre est descendue vers mon mont de vénus. Un doigt fureteur s’insinue dans ma chatte. Je n’ai aucun geste de recul, ni de défense. Bien au contraire, je facilite la progression
de l’intrus en ouvrant mes cuisses.
Depuis mon orgasme, je suis entièrement disponible. Ma main passe dans mon dos et attrape le
bâton de chair. Il est tout poisseux de nos sécrétions. Mon contact lui fait de l’effet. Son pénis saute dans ma main. Je l’empoigne et commence à le masturber doucement. Ma main enregistre un
gonflement de l’objet. Il grandit et grossit instantanément. C’est une merveille, cette chose là. Il suffit de demander pour être servie… J’ai le sentiment qu’elle ne va pas s’arrêter d’enfler.
Sa longueur et son diamètre m’impressionne. Ahmed est réellement monté comme un âne ! Il pose sa main sur mon épaule et me pousse gentiment. Je bascule à plat ventre. Mes cuisses s’ouvrent
d’elles-même. Je lâche sa matraque pour placer mes mains à la hauteur de ma tête.
Vu la position qu’Ahmed me fait prendre, je me doute de ce qui va m’arriver. Je n’ai pas de
crainte, une simple appréhension. Je m’attends à une douce violence. Le sexe d’Ahmed est au garde à vous, coincé entre mes fesses J’aime bien ce contact. Pourtant il revient sur mon coté. Sa main
me flatte les fesses. Un doigt passe et repasse entre mes globes jumeaux. Il s’approche de mon cratère le plus secret. Jamais personne n’a osé s’aventurer dans cette région interdite de mon
corps. Jamais personne n’a essayé de profiter de ce puits secret. La pulpe du majeur entre en contact avec la pastille fripée. Le toucher très doux m’est agréable. Mais il continue sa course pour
finir dans un sexe.
J’ai honte. Mon sexe dégouline, bave, se vide un peu. Le majeur entre en moi et ressort humide
et gluant. Ce doigt poisseux et odorant remonte vers mes fesses. Je vois où il veut en venir et je me tais. Je sens le doigt se poser sur mon petit trou et à le masser doucement. Je suis
consentante. Je sais ce qu’il veut et malgré la crainte de la douleur et la honte de cette pratique, je m’offre, la tête posée sur le lit. Le doigt continue son doux et lent massage un moment et
puis fermement me perfore l’anneau musclé. Je pousse un petit cri d’animal. Mais aussitôt, il ressort laissant un vide et reprend son manège infernal. Vraiment, Ahmed est un expert en la matière.
Il va-et-vient dans mon anus, sort son doigt pour l’enduire de nos sécrétions, l’enfonce de nouveau profondément.
Quelques minutes d’une telle action me travaillent. Ce contact, cette pratique que je redoute
tant me fait envie maintenant. Ahmed se penche vers mon anus. J’ai honte. Il va voir mon trou du cul comme je ne l’ai jamais montré. Une fraîcheur subite me fait serrer les fesses. Il vient de
saliver directement dans mon petit trou et immédiatement y enfonce deux doigts entiers. Il pousse, il tourne, il fouille au plus profond de mon cul offert. Je pousse des gémissements. Ahmed
retire brutalement sa main. Pendant un court instant, je suis vide. Je n’ai plus rien, ni dans la chatte ni dans le cul.
Ahmed se met à genoux. Il passe son bras sous mon ventre et me soulève. J’ai compris. Je
m’installe à genoux, les fesses en l’air. Je n’ai pas d’hésitation, je ne discute pas, j’obéis. Son sexe me bat entre les fesses. Ses mains se placent de part et d’autre et saisissent la partie
charnue de chacun de mes globes. Il les écartent doucement. Je pense que mon œillet brun et fripé, ne devient point de mire du regard lubrique d’Ahmed. Il a un accès libre à l’objet de ses
convoitises. Mon anus est ainsi dégagé et prêt à subir ses assaut. Mais je ne veux pas subir. Je prends doucement son pal et le dirige vers le centre de mon cul.
J’ai un peu peur et je ne veux pas qu’il m’éventre. Je ne vais pas lui laisser l’initiative. Je
vais m’enculer sur son gros machin tout en douceur Je l’attire à moi, il se rapproche. Je le sens bien obéissant. Après tout, c’est moi qui accepte la sodomie alors, il me laisse carte blanche.
Ma main presse sa queue. Je pose l’extrémité de son gland sur ma rosette. J’entreprends de m’enfiler dans l’anus le gland au début. L’intromission commence. Tout d’abord, le gland est très gros.
Il y a une telle différence de taille entre son gland et ma rondelle. N’a aucun rapport de volume avec mon anus. Jamais cela ne rentrera, malgré le mélange de ma mouille et de son sperme mêlé qui
enduit ma muqueuse anale. Je présente à tâtons, le bout de son gland sur le centre de mon cratère. Je recule mon cul vers ce pal tendu et je pousse sur mon sphincter pour m’ouvrir. Ahmed me guide
et me conseille :
- Pousse comme si tu allais à la selle…
Je voudrais bien le voir à ma place… Je sens la chaleur de sa queue contre mon anneau. La
lubrification aidant, il glisse et entre en moi. Curieusement, le début se déroule plus facilement que prévu. Le gland se décalotte et entre sans coup férir d’un seul trait. Je me sens me dilater
de plus en plus. Je suis inquiète. Je me retourne et, par dessus mon épaule, je lui jette un regard apeuré. J’ai peur qu’il me fasse mal. Il s’arrête et me demande :
- Ca va ? Je ne te fais pas trop mal ?
- Non, mais va doucement… Et j’espère que tu vas me faire du bien…
Il ne bouge plus. Il laisse le temps à mon sphincter se dilater. Mon cul se dilate comme par
enchantement. D’un petit coup de rein, je lui fais comprendre qu’il peut continuer à me pénétrer. Doucement, il pousse, sans cesse et sans aucun arrêt. Inexorablement et surtout sans aucune
brutalité, sans forcer sur ma rondelle, son sexe avance, dilate, perfore mon cul. Ses mains, crochetées sur mes fesses, m’ouvrent l’anus facilitant ainsi le viol (comme si c’était un viol !)
Mes mains appuyées contre la tête de lit, les fesses écartelées par les mains puissantes d’Ahmed, je suis sa prisonnière. Il me pénètre inexorablement.
Je pousse, lui aussi, nous poussons tous les deux pour la réussite de notre entreprise. Je
m’ouvre, il entre… Violée consentante, j’éprouve un délicieux sentiment de plaisir à être forcée. Je suis en train de subir le pire des supplices, celui du pal et j’y prends un certain plaisir.
Mais je constate, preuves à l’appui que le supplice peut aussi être un délice. Je me fais empaler et je trouve cela bon et agréable… Il pousse toujours et, bonne élève, je l’aide de toutes mes
forces. Je ne vois pas où il en est dans mon enculage. Je tourne la tête et constate, outrée, notre reflet dans la glace fixée au mur. Je vois aussi, non sans une certaine crainte que le sexe
monumental d’Ahmed est loin d’être totalement entré dans mon fondement. Il pousse toujours doucement, enfiché qu’il est dans mon cul. Une question me vient soudainement : comment un petit
cul comme le mien va-t-il pouvoir absorber un tel morceau ? Et cela n’est pas fini, vu qu’il en reste un bon bout en dehors. Voyant mon regard dans la glace, il s’enquière de ma
condition :
- Oui, bien sûr, mais tu es tellement énorme que je me demande si je vais pouvoir tout avaler ce
que tu me proposes…
- Ça te plaît ?
-
— C’est bon, fort, très fort, mais délicieux.
La lente, mais inexorable poussée continue jusqu’au moment où je sens le contact de ses couilles
sur le bas de mes fesses. Cette fois, il est entré, tout entré. Il reste quelques instants, immobile, pour que ma rondelle accepte la dimension de son mandrin. Il est entré entièrement en
moi ! Je n’aurais pas imaginé que je me ferais sodomiser un jour. Jamais je n’aurais cru que c’était physiologiquement possible. Jamais je ne pensais que j’aurais accepté cette relation,
moi, une femme BCBG. Mais le constat est bel et bien là. Je me fais enculer en levrette sur le lit conjugal par un noir au sexe démesuré. Je sens son énorme sexe au plus profond de moi et j’y
prends un certain plaisir. Et à ce moment, c’est moi qui commence à bouger mon cul. Lentement, j’entame une série de va-et-vient. Je m’empale à chaque fois au plus profond, et cela de plus en
plus vite. Arc-boutée sur mes bras, je lui donne, je lui offre mes reins. Prenant appui sur moi, ses mains passent sous mon torse, il saisit mes gros seins blancs qui ballottent au rythme de ses
assauts. À chaque poussée de mes fesses, ses couilles claquent sur mes fesses.
Pourtant, une poussée plus violente que les autres me fait tomber à plat ventre. Dans le
mouvement, le braquemart gigantesque percute mon ventre. Je crie. Ahmed s’arrête de peur de me blesser. Je le retiens d’une main sur ses fesses et l’encourage à continuer d’un mouvement du
bassin. Il me pilonne comme un forcené. Je me laisse faire. Il m’épingle comme un papillon. Je halète. J’ai soif. Ma bouche est sèche. Mais je suis fière et consciente de réaliser une grande
première : ma première sodomie. Cela m’excite et me fait mouiller comme une malade. Ahmed n’hésite pas et ne se retient plus. Soudain, c’est comme un éclair d’orage, un orage des plus
violents. Du fin fond de mon ventre, une boule a grossit, puis s’est enflée. Elle explose. Je rue des quatre fers pour qu’Ahmed me défonce, me pilonne. Je hurle, je
crie :
-
— Ahmed, continue, ne t’arrête pas, défonce-moi, enfonce ta queue en moi…
Je me mets à ruer des quatre fers comme pour amplifier la pénétration. Je pose mes mains sur mes
fesses et les écarte. Je veux qu’il comprenne que je lui offre ma première sodomie, ma première enculade. Ahmed comprend et pilonne ce joli cul de femme blanche. Je suis heureuse, j’aime. Puis
d’un seul coup, alors que le traitement que je subis me plaît plus que tout, sans savoir pourquoi, Ahmed sort lentement sa queue brillante de mon anus. Il écarte de nouveau mes fesses. Je me
doute, car je sens la fraîcheur de l’air dans mon rectum, que mon anus est distendu, béant. Ahmed positionne de nouveau son sexe en face de mon anus et il s’y enfonça lentement, mais sans
s’arrêter. Cela me sembla bizarre de sentir cet énorme sexe me perforer lentement le cul.
Depuis qu’il me sodomise une nouvelle fois, je cherche ma respiration. À croire que la place
prise par son sexe, chasse l’air de mes poumons. Le plaisir de la pénétration se termine quand ses testicules viennent claquer sur mes fesses. Puis, sans cesser son mouvement, il se retire. Je
crois qu’il va sortir de mon rectum, mais non, il laisse son gland dans mon anus. Il recommence sa pénétration ; les allers-retours se font sur un rythme lent, mais régulier. Doucement, la
cadence s’accélère. Depuis la nouvelle pénétration, j’ai bloqué ma respiration. Je suis muette, et malgré ma bouche ouverte, je cherche de l’air, comme un poisson sur la berge d’un
étang.
Les mouvements d’Ahmed déclenchent un nouvel orgasme anal. Je le sens venir, monter. Je gémis
et, d’un seul coup, l’orgasme arrive, déferle. Je hurle de plaisir, lui demandant de me défoncer comme une putain. Je me conduis comme telle, comme une fille de mauvaise vie. Pour l’encourager
dans son action, je donne des coups de reins en arrière pour accentuer de sa propre volonté son envie de se rouler dans la luxure. Il se retire encore, laissant un vide cruel dans mon ventre. Je
lui dis de ne pas sortir, de me prendre encore. Pourtant, son sexe sort encore, puis encore. Son gland est au bord de ma rondelle, je serre mon cul pour le garder. Je me retourne vers lui et d’un
regard suppliant lui dis :
- Reviens, entre encore, reviens fort, très fort…
Son regard se plante dans le mien et, sans rien dire, il pousse d’un seul coup son sexe au plus
profond de mon cul, le tout d’une seule et unique poussée. La nouvelle intromission de son braquemart me submerge de bonheur. Ce sont comme des flashes certainement comparables à ceux que l’on
obtient avec des drogues, douces ou dures. Je n’ai jamais essayé, mon reste d’éducation bourgeoise… Je crie. Il reste quelques secondes, plante son sexe en moi et repart. Je gémis, je supplie. Il
donne un grand coup de reins et revient aussi vite, aussi loin, aussi fort. Ses coups de reins sont de plus en plus marqués. Le plaisir arrive à toute vitesse. Je le sens gonfler dans mon ventre.
Il vient… Il est là.
Un coup de poignard me transperce les reins. Je suis immobile, comme paralysée. Mon corps n’est
plus qu’un réceptacle à sexe et mon cerveau est incapable d’avoir d’autres pensées que pour le sexe et le plaisir qui en découle. Je hurle. Je m’arc-boute sous lui et m’offre ainsi encore plus.
Il me perfore. Il entre et sort de moi sans aucun problème. Je le sens sortir parfois entièrement de mon cul, mais il y retourne d’un trait, comme si sa queue avait toujours connu le chemin. Plus
rien ne fait obstacle à une entrée tonitruante. Mon cœur bat la chamade. Je manque d’air. J’arrête de crier pour prendre ma respiration. Il entre, sort, entre, sort. Ahmed est devenu une machine
à me baiser, un mandrin qui me pilonne sans cesse. Moi, je ne suis plus qu’un trou, qu’un cul qui s’offre pour se faire enculer. Il m’encule pendant longtemps et pourtant cela dure trop peu. Je
hurle toujours. Je n’en peux plus. Le plaisir fait place à la douleur. Mon sexe, mon anus, tout est douloureux de plaisir. Je n’en peux plus. Je lui crie :
-
— Viens, vite… Donne-moi ta semence, donne-moi tout…
Ma demande le libère. Il se vide aussitôt. Son sperme s’écoule dans mon ventre. De longs jets,
de longues saccades qui se déversent en moi. Une tornade de plaisir commence dans mes reins et s’achève dans mon cerveau. Mes sens sont exacerbés. Je ressens très exactement ce qu’il me fait
subir. Ahmed se vide une nouvelle fois, mais en inondant mes entrailles. Plaisir différent, mais agréable, très agréable. Je m’écroule sur le lit. Ahmed se laisse choir sur moi. Il m’écrase, mais
j’aime sentir sa force tranquille sur moi. Si mon corps a difficilement accepté son sexe, il ne veut plus le laisser partir. Je serre les fesses, contracte mon anus pour le garder en moi. Mais
Ahmed n’en peut plus. Il débande. Malgré tous les efforts de mon sphincter dilaté, je ne peux empêcher le sexe d’Ahmed de me quitter. Je me vide de lui. Il bascule sur le côté près de
moi.
Cette première expérience de sodomie a été fabuleuse. Ma bouche est trop sèche pour parler. Il
m’embrasse. Il ruisselle de sueur.
- C’est bon, que c’est bon… Magnifique, exceptionnel, rare…
- C’est, tu ne peux pas savoir, c’est fort, très fort, trop fort… J’ai failli
m’évanouir
-
— Tu es super bonne… un vrai et très rare bon coup… ton petit cul très serré… un vrai cul de blanche…
c’est délicieux…
-
— Mais avec un très gros sexe de noir, c’est peut-être pour cela que c’est si bon…
- Tu es merveilleuse…
-
— J’ai eu peur que tu me fasses mal. Tu as été merveilleux. Je n’avais jamais pratiqué, même avec
Jérôme…
- Tu regrettes ?
- Bien sûr que non… Au contraire, j’ai hâte de recommencer…
-
— Moi aussi, mais laisse-moi reprendre un peu de force et prépare-toi… Tu es trop
excitante…
- Tu m’as tellement fait jouir par mon sexe que tu avais bien mérité de me sodomiser, moi, la
petite blanche BCBG.
Je suis heureuse comme jamais je ne l’ai été. Mes yeux s’embuent. Je passe une main derrière sa
nuque pour l’amener à moi. Il se penche vers moi et je l’embrasse goulûment. Je me sens dépendante de lui, comme reliée à lui par un cordon ombilical, ou plus exactement par son bâton de chair
merveilleux. Je sens que, lui seul, saura me faire jouir. Je suis sa chose, son objet. Tout le reste de la journée, nous n’avons fait que dormir, manger et baiser. Jamais je n’ai fait cela avec
Jérôme, même juste mariés.
Nous sommes sortis le soir pour admirer le feu d’artifice. Ahmed a exigé que je porte une jupe
fendue. Assise auprès de lui sur la pelouse, il ne s’est pas gêné pour me caresser le sexe. Il avait aussi souhaité que je ne porte pas de soutien-gorge. Je lui ai obéi. C’est donc les fesses à
l’air et les seins nus sous mon ensemble en jean’s que j’ai assisté à l’embrasement du ciel, un peu comme le mien en cette merveilleuse journée.
Nous sommes revenus à la maison. Ahmed voulait retourner à son hôtel. Mais je n’ai pas voulu. Je
le voulais encore pour moi toute seule, je le voulais dans mon lit pour qu’il me fasse l’amour, pour qu’il m’encule, pour que je le suce. Je suis une vraie chienne… Dès notre entrée dans le hall
de ma maison, je saute sur Ahmed. Je le pousse contre la porte d’entrée. Je me blottis dans ses bras. Je l’embrasse à pleine bouche. Je lui mange la langue. Il sait mon point faible. Ses lèvres
se posent sur mon cou. Il m’embrasse et, aussitôt, je frissonne. Je deviens folle. Ses mains dézipent mon blouson. Expertes et brûlantes, elles happent mes seins dont les tétons sont
instantanément durs et arrogants. Ils pointent au creux des paumes roses d’Ahmed. La caresse est délicieuse et horrible à la fois. Elle m’excite et me fait me tortiller comme un ver
coupé.
Tout mon corps est là, prêt, ouvert, disponible. Je me laisse bercer, porter par cette vague qui
naît dans mes reins. Ma tête tombe en arrière pour laisser les lèvres d’Ahmed parcourir mes seins. Il les dévore avec d’infinies précautions. Ils sont là, ronds et fermes, brûlants et durs. Mes
tétons pointent sous sa bouche experte qui les suce, les enveloppe. Je ne peux résister. Des soupirs de plaisir sourdent de ma bouche. Mon blouson tombe au sol. Sa main trouve la fermeture de ma
jupe. Je l’embrasse avec violence quand le zip de la fermeture déchire le silence de la nuit. Je suis nue. Je défais, un à un, les boutons de la chemise d’Ahmed. Je découvre son torse musclé et
glabre. Mes mains le parcourent, le sentent, le caressent. Il sent bon, un parfum mêlé à sa propre odeur indéfinissable, mais excitante, un mâle en rut, suçotant mes seins généreux. Mes mains
redécouvrent des gestes lointains et oubliés. Elles descendent vers son ventre, la ceinture de son pantalon. Une bosse déforme le tissu au niveau de sa braguette. Je la caresse doucement et
tendrement. Sa main me saisit par les cheveux et me contraint à l’embrasser. Son souffle et le mien se mêlent, nos langues se mélangent. Il me soulève et me colle à mon tour contre la
porte.
L’aluminium est froid contre mon dos. Son genou écarte mes cuisses sans aucune difficulté.
Perchée sur mes talons hauts, son sexe se frotte contre mon pubis. Il se met à genoux. Je sens son souffle sur ma chatte. Les cuisses écartées, j’offre à sa langue mon clito gonflé et tout
humide. Je suis en nage et très humide.
- Tu es toute trempée… Tu as envie…
- C’est de ta faute… Tu m’as obligée de me promener nue sous mes vêtements et tu m’as tripotée
tout le temps du feu d’artifice… alors à toi de faire le pompier de service et d’éteindre l’incendie.
Il replonge vers mon entrejambe. Je ne vois que sa tête qui s’agite entre mes cuisses dans la
douce pénombre du hall. Le nez planté sur ma chatte, il s’applique à me faire monter au septième ciel. L’orgasme est là, tout près, tout proche. Ahmed grogne son plaisir à me brouter mon petit
abricot.
- Tu devrais t’épiler le sexe…
-
— Oh non, cela ne va pas…
- Si, ton sexe serait mis en valeur…
- Tu le veux ?
- Je le ferai…
- Ou bien, je te le ferai…
- Si tu veux…
Il me bascule sur le tapis de l’entrée. Allongé, son sexe monumental se dresse vers le plafond.
C’est une belle queue, sombre et trapue, avec son énorme gland. Je l’effleure de mes doigts, de la langue. Je me recule un peu pour la regarder mieux. J’ai envie de cet engin. J’accepte d’en
prendre soin, de la bichonner. Elle m’a trop fait plaisir toute la journée. Je glisse une de mes mains en dessous de la bite et empaume les couilles velues. Elles sont lourdes. Elles apparaissent
grosses dans ma petite main, noires sur mes doigts clairs. Je suis d’humeur joyeuse et préviens Ahmed :
-
— Tes couilles sont bien trop pleines. Il va falloir les vider bientôt sous peine de grandes
souffrances…
Ahmed prend la balle au bond et me rétorque :
- Chère madame, si vous croyez qu’il le faut, n’hésitez pas, videz-les…
Alors, attirée par la bite chaude comme par un aimant, j’entreprends de la sucer. Je le suce
lentement, consciencieusement, sans cesser de caresser doucement les couilles en dessous. J’ai peu pratiqué la fellation avec Jérôme. Pendant des années, mon mari rentrait de son travail à
n’importe quelle heure, stressé et énervé. Il avait envie de faire l’amour. Il considérait que c’est le rôle d’une femme de satisfaire son homme quand il a envie. Mais il était très souvent
incapable de bander, enfin de bander vraiment. Je devais sucer sa bite à moitié molle. Je me sentais humiliée de ne pas être assez désirable pour qu’il bande dur. Un beau jour, j’ai cessé de le
faire. Nous nous sommes disputés, mais j’ai tenu bon. Jérôme ne m’avait plus demandé de le sucer. Cette nuit, tout est différent. Ahmed bande dur depuis longtemps.
Pendant le feu d’artifice, il s’est approché derrière moi. Son sexe gonflé s’est calé entre mes
fesses. Je me sens belle et désirable. Après tout, je suis encore un joli petit lot et conserve de très bons restes. Je trouve normal qu’un homme ait envie de me sauter. Alors sucer cet énorme
gourdin, c’est un vrai plaisir. Je ne le refuse pas, bien au contraire. Je commence à prendre l’engin dans sa bouche, à aller et venir autour de ce gland que je connais si bien. Ma langue
va-et-vient autour de la queue. Je tente de l’engloutir entièrement, surprise et à la fois flattée de ne pas pouvoir. En effet, Ahmed devient de plus en plus gros. Sa queue durcit, saute dans ma
bouche. Je ne m’en lasse pas et continue à tripoter les couilles dures, sans que ma bouche ne cesse son travail. C’est Ahmed qui jette l’éponge le premier :
- Arrête, je vais partir…
- Laisse-toi aller… Vide-toi dans ma bouche…
Je n’en reviens pas. Moi qui détestais le goût de la semence masculine, je la réclame, je la
veux. Je veux que son sexe se vide sur ma langue, je veux connaître le goût d’Ahmed.
- Non je veux ton sexe…
- Tu es sûr…
- Petite garce… Petite salope…
Je suis surprise par les propos d’Ahmed.
- Je veux bien que tu te vides dans ma bouche, mais n’oublie pas ma condition sociale.
Rappelle-toi que je suis mariée, que j’ai été élevée chez les bonnes sœurs et qu’une femme qui se respecte n’est pas censée se livrer à de telles horreurs ni se faire traiter de
salope…
- Excuse-moi…
- Arrête, sinon je continue et je te vide les couilles, je te les assèche… en te pompant la
bite.
-
— Bravo pour votre langage de bourgeoise BCBG…
Je lui dépose un bisou sur le bout de son gland accompagné d’une léchouille du
méat…
Il n’attend plus que moi. Je me place à califourchon et guide le gland violacé au bord de ma
grotte intime. Je me laisse descendre, centimètre après centimètre sur cette superbe queue noire. Ma chatte l’accueille et j’absorbe le mandrin en poussant de petits soupirs de
plaisir.
- C’est bon, très bon… Elle est bonne, ta queue, elle est dure et chaude…
Ahmed m’observe, les yeux mi-clos, me pétrissant les seins, me les caressant. Et il commence un
lent et puissant mouvement de va-et-vient, je me cambre sur lui, il joue du bassin de plus en plus vite.
J’ai trop envie… Je pars… Je sens mon vagin qui serre le sexe d’Ahmed dans des contractions
longues et puissantes. Je mouille tellement que je me répands sur ses cuisses.
-
— Tu es vraiment une petite salope qui avait une envie folle… Je suis très content de te faire jouir une
nouvelle fois…
Ahmed prend la direction des opérations. Il me bascule et de me retrouve à quatre pattes. Je
sais ce qu’il désire et je ne suis pas contre, bien au contraire. Je lui tends mon petit cul et Ahmed ne se fait pas prier. Il pose son gland gonflé par toutes ces réjouissances sensuelles à
l’entrée de ma fente. Il pénètre d’un coup et me ramone sans ménagement, tout en me caressant les fesses de ses larges mains. Quel pied ! Cela explose dans mon ventre. Tout le bas de mon
corps est douloureux du plaisir qui monte. Je ne sais même plus ce que je dis. Je jouis sous son pilonnage. Puis il sort de ma fente et remonte plus haut vers mon anus. Il frotte son gros gland
contre mon petit trou qui était vierge ce matin. Après avoir humidifié ma rondelle, il place à son entrée le bout de sa queue et pousse doucement…
- Allez, ma petite bourgeoise, je vais te sodomiser en douceur… Je suis sûr que tu vas adorer,
comme cette après-midi…
Sa queue pénètre peu à peu ma rondelle. Mon anneau musclé se détend. D’être les fesses en l’air,
à la merci d’un énorme mandrin noir m’excite de plus en plus. Ses mains me tiennent fermement le gras des fesses. Je pousse en arrière mes fesses, dès que je sens mon anus qui se distend. Sa
queue entre, s’installe, prend sa place, glisse doucement dans mon conduit anal. Je suis enculée, à quatre pattes, nue, avec juste mes bas auto-fixant et mes chaussures. Ahmed me
propose :
- Empale-toi, ma Marie adorée, empale ton beau petit cul sur ma queue…
Je tends mon cul. Son mandrin me perfore, défonce mon intimité… Brutalement, une sensation
nouvelle me surprend. Ses couilles frappent sur mes fesses. Il est fiché aux tréfonds de moi. Le plaisir est tel que j’explose. Je crie de plaisir. Je le supplie de me prendre à fond, de me
défoncer, de me pourfendre. Moi, la petite bourgeoise BCBG, je me conduis comme la dernière des traînées, comme une fille de mauvaise vie, comme une chienne. Ahmed commence son travail de sape.
Il me pilonne, me pistonne. Il m’encule de toutes ses forces avec toute la vigueur de sa jeunesse et de sa force. Le fait d’enculer une blanche doit le stimuler.
À grands coups de reins, il m’empale. Il joue du pouvoir sexuel de sa queue. Une fois au fond de
mon ventre, il ressort presque de mon anus dilaté, le gland est au bord de mon cratère, puis il repart au fond de mon boyau. Je l’encourage dans sa mission. Je ne cherche pas à retenir cette
jouissance qui, une nouvelle fois, me terrasse. Je crie mon plaisir et ma jouissance déclenche celle d’Ahmed. Il se lâche et éjacule dans mon cul. Il grogne tel un fauve. Nous restons un grand
moment allongés sur le tapis. Sa queue perd du volume lentement et je me vide du surplus de nos sécrétions. Nous reprenons nos esprits. Nous passons dans la salle de bains, parsemant sur le
carrelage du couloir des tâches blanchâtres suspectes. Je demande à Ahmed de finir la nuit avec moi. Il accepte. Quelques minutes plus tard, propres d’une douche bien méritée, nous nous
installons sous la couette et plongeons dans un sommeil réparateur. Il est 4 heures du matin. Je vais avoir une drôle de tête demain matin au travail.
Le lendemain, nous avons l’un et l’autre une tête de déterré… Pendant tout le reste de la
semaine, nous vivons ensemble. Ahmed se conduit comme mon mari. Heureusement que nous habitons une maison perdue dans la campagne. Vendredi, Ahmed reçoit un fax. Il doit retourner d’urgence dans
son pays. Cruelle soirée. Nous avons baisé toute la nuit. Au petit matin, un taxi l’a pris à la porte de la maison."
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