Samedi 26 novembre 6 26 /11 /Nov 14:45

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- Ne t’arrête pas, Ahmed, je t’en supplie !

 

Désormais Ahmed sait que je suis à sa merci. Il sait que je suis prête à tout pour ressentir encore ce plaisir divin. Ahmed a compris. Je suis prête à subir tous ses caprices. La bouche ouverte, je cherche ma respiration. Ahmed prend un malin plaisir à ne pas me laisser dépasser le seuil de non retour.

 

Dès que je commence à partir, il arrête sa caresse, puis recommence quand la pression est retombée. Sa main quitte ma chatte. Il se relève et vient m’embrasser goulûment. Il en profite pour me caresser les seins. Il les pétrit doucement. Laissant mes lèvres, les siennes gobent mes seins. Mes gros seins sont durs, gonflés et tendus. Ils sont presque douloureux. Ils sont surmontés de deux belles et larges aréoles rose sombre. Au milieu de chacune d’elles pointent mes tétons, énormes et turgescents. Ils sont très longs et très gros. Ahmed les embrasse voracement. Ses lèvres les pincent, les serrent. Puis ses dents entrent en jeu. Par petites impulsions des mâchoires, mes tétons sont mâchouillés. Je ne supporte plus rien tellement c’est intense. Je supplie :

 

- Donne-moi ton sexe, s’il te plait, ton sexe…

 

Ahmed se relève et se positionne face à moi. J’ai réussi à m’emparer de son sexe. Il est énorme. Je ne connais que le sexe de mon mari. Je le pensais bien monté. Mais là, j’ai en face de moi un mandrin fabuleux. Je n’arrive pas à faire le tour de sa queue (me voilà à parler comme une traînée !) avec mes doigts. Je regarde ce sexe comme si c’était une apparition, un rêve ! Je lui dis :

 

- Tu es merveilleux, somptueux… Tu sais que tu es le deuxième homme que je vois nu de ma vie.

 

        — ¬ Ne me dis pas que tu n’as pas connu d’autres hommes que ton mari ?

        — ¬ Je me suis mariée vierge et j’ai toujours cru que mon mari était normalement constitué, mais, à te voir, je crois que j’ai manqué beaucoup de chose… C’est la seconde verge que je vois de ma vie !

 

Ahmed me chuchote à l’oreille :

 

- Si tu la veux, elle est à toi ! Elle est pour toi ! Suce-la ! Mange-la !

 

Je le regarde, suite à cette proposition :

 

- Tu veux que je suce ton sexe ?

 

        — ¬ Oui ! bien sûr !

 

- Tu veux que je te suce le sexe… Mais je le l’ai jamais fait ! Mon mari ne me l’a jamais demandé !

 

Ahmed me sourit avec une lueur d’ironie dans le regard.

 

- Ne te moque pas de moi !

 

        — ¬ Je ne me moque pas de toi, mais je vais t’apprendre…

 

Je me dis qu’il faut que j’y aille. Je ne dois pas rester ignare. Je m’approche du bâton dressé :

 

- Tu sens bon, tu sens l’homme ! Qu’est-ce que je dois faire ?

 

Je suis assise sur le canapé. Mes seins oscillent devant moi.

 

- Caresse-moi de la pointe de tes seins.

 

Je m’exécute. La sensation est très agréable. Plus je frotte mes seins à sa verge, plus celle-ci tressaute. Mes caresses sont efficaces, car la respiration d’Ahmed se fait plus rapide. Je pose mes mains sur son sexe.

 

        — Serre-le doucement et fais des va-et-vient avec ta main. Ta main doit caresser le gland par le prépuce, jamais par la main…

 

Je commence à le branler doucement. Son sexe devient de plus en plus dur et grossit encore dans ma main. Pendant quelques instants, je continue mon manège, mais instinctivement, j’approche mon visage de ce sexe qui me fascine. Son gland est à quelques centimètres de ma bouche. Je tends ma langue et titille le méat. C’est très doux. Aucun goût désagréable comme je le pensais. Je pose mes lèvres sur son gland. Quelle douceur ! Je le suce entre mes lèvres. Ma langue ne reste pas inactive et s’enroule autour du gland soyeux. J’ouvre ma bouche en grand. J’absorbe lentement le gland en prenant garde de ne pas le blesser avec mes dents. Lentement, je commence de petits mouvements de va-et-vient.

 

Au fur et à mesure, ma bouche prend acte de la dimension du gourdin que je suce. Enfin au bout d’une dizaine de minutes, je réussis à avaler le gland tout entier dans ma bouche. Ahmed ne peut s’empêcher de bouger et pousse lentement son sexe en avant. Il me tient par l’arrière de la tête. Le gland bute contre le fond de ma gorge. J’ai un haut-le-cœur. J’arrête ma fellation pour laisser échapper un petit cri de surprise. Ahmed s’excuse. Je le reprends courageusement en bouche.

 

Ahmed me prend la main et me fait comprendre de lui masser les testicules de l’autre main. Deux à trois minutes plus tard, je cesse ma caresse. Ahmed pousse un petit cri de déception :

 

        — ¬ Déjà ?

        — ¬ Non, mais je pense qu’il vaut mieux que nous allions dans ma chambre… Nous serons plus à l’aise… et je veux bien pour profiter de toi et de ton magnifique sexe…

 

- Tu as envie de ma queue ?

- Oui, très envie, une énorme envie…

 

Je me lève et prend la main d’Ahmed dans la mienne et le tire pour l’emmener vers le couloir. Il se lève et passe un bras sous mes genoux, l’autre autour de mes épaules et me soulève tel un fétu de paille. Je lui prends les lèvres. Mon mari m’avait considéré une femme exutoire à sa libido. Jamais il n’a pensé que je pouvais être sa maîtresse, me faire découvrir les plaisirs de la chair et de la luxure. Je le guide dans le couloir et vers la chambre conjugale. Il me dépose sur le couvre-lit.

 

Aussitôt, il me caresse le ventre en descendant progressivement vers ma toison blonde. Il s’est installé à genoux entre mes jambes qui pendent au dehors du lit et sa tête est entre mes cuisses. Ses mains vont de mes hanches à mon nombril. Lentement, sans avoir l’air de rien, son majeur devient de plus en plus insistant. Il glisse entre mes lèvres tuméfiées et humides. Il empaume mon mont de vénus. Au creux de sa paume, mon clitoris est devenu énorme. Il se gonfle de sang et devient de plus en plus sensible. Le frottement est très agréable, mais devient agaçant. Il le saisit entre ses doigts et le malaxe, le triture. Mon clito prend des dimensions que je ne lui avais jamais vues avant, même lorsque je me masturbe. De l’autre main, il me pénètre le sexe. Je fonds littéralement. Je lui inonde les doigts. C’est presque comme si j’urinais. Les caresses conjuguées me font un effet bœuf. Je me contorsionne pour éviter ou, au contraire, pour mieux me prêter aux caresses libidineuses d’Ahmed. Une envie m’assaille. Mes seins se durcissent. Ils ont besoin de frôlements.

 

Trop occupé par mon sexe, il ne peut me pratiquer les caresses dont j’ai très envie. Je décide de me soulager seule. Les sensations sont grisantes. Mes aréoles sont brûlantes, mes seins fermes, comme gorgés de lait… De ma main droite, je me caresse les seins, Ma main gauche s’aventure enfin sur sa tête crépue et l’entraîne vers ma chatte. Ses mains écartent mes cuisses et sa langue prend possession de mon vagin. Il tourne un peu son visage, repousse ma cuisse gauche de sa joue et réussit à entrer entièrement sa grosse langue dans mon vagin. Il la remonte doucement, me faisant ainsi connaître des sensations inouïes. J’ai envie qu’il s’occupe de mon clito. Sa langue vient jouer avec mon bouton d’amour et il me pénètre sauvagement avec trois doigts. Je cherche ma respiration, puis le mouvement de sa main me fait perdre la raison. Ma tête tourne de droite à gauche. Je gémis, je crie, je feule mon plaisir. Sa main provoque un bruit de succion dans mon sexe inondé. Je bascule dans un orgasme terrible, une main sur un sein, l’autre enfonçant la tête d’Ahmed sur mon sexe qu’il entreprend d’aspirer de plus en plus fort, tout en continuant à me masser le clitoris. Sa grosse langue si douce et pourtant râpeuse m’emplit totalement. Je me raidis et bascule la tête en arrière, les cuisses resserrées autour de sa tête. Il me les écarte un peu, je dois le bloquer dans ses mouvements. Il m’impose une position et me bloque dans mes propres mouvements. J’ai l’impression qu’il me viole… Je crie ma jouissance à pleine gorge. Je sens mon cœur battre dans mon clitoris et ai l’impression que cet orgasme ne s’arrêtera jamais. Ahmed m’encourage dans mon plaisir et je sens un doigt inquisiteur me masser l’anus pendant mon plaisir. Je m’entends prononcer des phrases sans suite et des paroles grossières qui ne sont pas de mon langage courant. Première entorse à mon éducation.

 

- Non, non… N’arrête pas, oui… Continue… C’est très bon… C’est trop bon… Encore… Plus fort, tes doigts… Baisse ma chatte… Pince mon clito, tripote-le, fais-moi jouir…

 

Et là, brutalement, sans prévenir, je pousse un hurlement de femme que l’on tue. C’est presque cela. Mais là, je jouis comme jamais cela ne m’était arrivé auparavant. Ahmed me prend les lèvres et m’embrasse langoureusement. Et là, je ne peux retenir mes larmes. Ahmed s’interroge :

 

        — ¬ Tu pleures ? tu regrettes ?

 

- Idiot ! Je suis heureuse… Tu m’as rendu très heureuse… Je n’ai jamais joui aussi fort…

 

Je l’embrasse fougueusement. Mais je sens le sexe monstrueux d’Ahmed qui bat mon flanc. Son sexe tendu me semble énorme et mes yeux agrandis ne se font pas à la dimension de la "chose". Il me fait asseoir, se met debout en face de moi. Il est monté comme les représentations du Satyre dans tous les tableaux de la mythologie. Je suis donc face à une colonne de marbre noir. Moi qui avais toujours refusé cette caresse à mon mari par crainte des odeurs fortes, je trouve qu’Ahmed sent bon. Son gland décalotté arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules sont énormes et bien visibles. Je tends la main vers « la chose » et il me pointe son énorme membre sur les lèvres.

 

Je me penche un peu plus et m’enhardissant, le prends entre mes lèvres. Je commence par sucer du bout des lèvres le champignon énorme et violacé. Une perle de liquide émerge de son méat. Une envie irrésistible me traverse. Je lape cette émanation. C’est douceâtre, presque sucré. Lentement, je le décalotte et absorbe la grosse prune violette. Cette caresse doit lui plaire car il me semble que son mandrin grossi encore sous cette succion. Le bout de son gland vient de franchir mes lèvres. J’en ai la bouche pleine. Mais je ne cesse pas ma succion. Je le fais sortir de ma bouche en prenant soin de bien l’enduire de salive. Le bruit qui s’en suit l’excite encore plus. Il bande plus fort encore. Je me distends les lèvres pour avaler cette chose qui me procure une satisfaction intérieure inconnue à ce jour. Il pousse un gémissement de plaisir, rejetant la tête en arrière. Ses mains s’appuient sur mes épaules.

 

C’est le plus énorme, le plus gros, le plus long sexe que j’ai jamais vu et encore moins touché. Tout en suçant le gland, je fais aller et venir ma main sur le reste de la hampe. C’est à cet instant que contre mon poignet viennent buter deux petits citrons. Ses couilles (et cela continue ! Ma fille, ton éducation fout le camp !) velues sont dures. La tentation est trop forte. Je les saisis dans ma main et les fait rouler l’une contre l’autre. Jamais je n’aurais cru que cette action puisse plaire à un homme. Son gland grossit encore. C’est une baudruche, ce truc là. Il ne va pas pouvoir se retenir. Il va m’éjaculer dans la bouche, moi qui n’ai jamais voulu sucer mon mari, je suis prête à accepter qu’il se vide dans ma gorge. Je suis prête à le boire.

 

Mais il se recule. Son gland échappe à mes lèvres. Je pousse un "non" de déception. Bien installé sur ses genoux, il me caresse les cuisses avec des gestes d’une infinie douceur. Je me cale plus confortablement sur le lit, me doutant confusément de ce qui va m’arriver. Il se positionne mieux sur ses genoux, face à moi. Je me redresse sur les coudes. Sa tête est maintenant proche de la sienne. Mon bras gauche enserre sa tête et il se rapproche de moi pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres fines reviennent au contact de sa grosse bouche. Sa langue qui joue avec la mienne. C’est un ballet, une lutte presque une guerre que nos langues se font. C’est très agréable. Je reprends mon souffle. Je le regarde, les yeux ivres de bonheur. Son regard est brillant.

 

- Tu m’as rendu très heureuse…

- Je te remercie du compliment…

 

        — ¬ Mais toi ? tu n’as pas eu ton plaisir…

 

- Attends, il va venir…

 

Je me laisse partir en arrière. Il s’allonge de tout son poids sur moi. Pour ne pas être écrasée, j’écarte les jambes et il s’installe sur moi. Je sens son membre énorme qui est coincé entre nos deux abdomens. Le contact de cette matraque m’électrise et relance mes envies libidineuses. Je me sens femme, femelle, disponible au mâle, prête à la saillie. Il m’embrasse dans le cou. Cette caresse est celle qui me rend folle d’envie depuis toujours. Jérôme ne s’en est pas toujours rendu compte, mais un baiser dans le cou me transporte au bord du septième ciel. Il se jette sur mes tétons dardés du plaisir à venir et du bonheur d’être traitée comme une femelle. Ses mains glissent sous mes fesses et me soulève. Il m’écarte les deux globes. Mon sexe se fend encore.

 

        — ¬ Marie, j’ai très envie de toi… J’ai envie de te prendre…

 

- Moi-aussi… Fais-le !

 

J’ai trop envie qu’il me mette sa queue dans le ventre (voilà encore un dérapage verbal…). J’écarte les cuisses. Je l’attends. Il écarte le compas de mes cuisses, à genoux entre elles, A cause de la différence de taille, il descend beaucoup, se repose sur les poignets, son membre à l’horizontale. Il s’avance. Qu’est ce qu’il attend ? J’ai envie qu’il me pénètre, qu’il me prenne, qu’il me mette sa queue dans le ventre. Je veux qu’il m’embroche, me défonce qu’il me fasse rendre l’âme. J’ai envie qu’il me fende, me pourfende, je veux sa queue au fond de mon ventre, au fond de mes entrailles que sa queue me monte à la gorge… (là, ma fille, tu commences sérieusement à penser à avoir des envies comme un vraie salope !) J’écarte au maximum les cuisses.

 

Passant mes mains sous mes cuisses, je saisis mes lèvres intimes et les écarte. Je me conduis telle la pire des salopes. Il a compris et s’amuse de mon envie débordante. Il joue de son gland sur ma vulve, sur mon clitoris, à entrer, à sortir, à s’attarder sur ses lèvres. J’imagine la grosse tête chercheuse de son sexe qui se rapproche, flaire aux portes de mon antre béant et humide, palpitant et avide. Cette fois, il est là. Il ne cherche plus à partir ou à m’agacer. Son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs, passe un premier obstacle de chair. Il pénètre, doucement. Gros comme il est, Ahmed doit savoir qu’il lui faut de la douceur, du tact, voire de la prudence. Mais il doit aussi sentir qu’il ne rencontre aucune résistance, bien au contraire. Je suis béante et attends son entrée. Je suis la plus réceptive possible. Il se sent en confiance. Il me fait mettre mes jambes sur ses épaules. Dans cette position, je lui offre une voie royale sur ma chatte luisante de cyprine. Prenant appui sur ses épaules, je soulève mon bassin pour mieux faciliter l’envahissement. Il pousse toujours. Je me sens comblée, remplie et pourtant, d’après ce que je touche, seulement un tiers de son membre est entré… Mes mains quittent mon sexe pour ses fesses. Je les saisis à pleines mains.

 

- Tu as mal ?

 

        — ¬ Non, bien au contraire, tu me fais du bien…

 

Non, mes mains se sont crispées sur son cul (oh encore) pour l’attirer en moi. Il entre encore et toujours, sans difficulté, sans que ma chair ne se rebelle. Comme ma chatte pourrait-elle ne pas l’accepter, vu que ma mouille déborde de mon sexe et me coule entre les fesses. Son gland bute un peu plus haut et boute mes chairs plus intimes encore. J’ouvre mes yeux. Il me regarde, surveillant mes réactions à son entrée triomphante dans mon ventre. Il me chuchote à l’oreille :

 

- Ton sexe est très doux… et très serré. C’est très bon… pour moi, et pour toi ?

- Moi aussi, c’est très bon…

 

Il cherche mes lèvres, il veut m’embrasser. Je tourne la tête, gênée par ce geste trop intime. Mais il revient à la charge. Au diable mes préjugés, mes réticences. Je lui cède mes lèvres. Il me mange la bouche. Quelques secondes plus tard, je lui demande :

 

- Viens !

 

Il est entré de plus de la moitié. Son bassin pèse encore sur mon ventre. Il avance encore. Je bascule mon bassin et j’écarte encore (si cela est encore possible !) mes cuisses. Une dernière contraction de ses reins et cette fois il est entré totalement. Son gland vient buter conte le col de mon utérus. J’ai la sensation d’être pleine, remplie. Mon sexe est complet, ne peut plus rien accepter. Chaque poussée vient taper un endroit que jamais personne ne semble m’avoir touché. Chaque avancée me provoque une sensation inconnue, électrisante. Je jouis brutalement sous la pénétration profonde. Je m’ouvre encore. Je lui donne mon sexe. Mes genoux tapent sur mes épaules. Il sent que je jouis. Il entame une cavalcade, une courte série de va-et-vient. Il accélère la cadence. Je n’en peux plus. Il va me rendre folle. Il me pilonne de longs coups de reins. Chaque butée me fait pousser des petits cris, chaque recul me fait chercher ma respiration. Il accélère le mouvement, me possède "à fond", me remplit, me défonce le sexe de longues minutes. Il va si loin que j’ai peur que sa queue me remonte dans la gorge.

 

C’est une première, une grande première. C’est plus qu’agréable, c’est merveilleux… Jamais je n’avais connu une telle jouissance, un tel plaisir sous la queue de mon mari. Je crie sous la violence de l’orgasme. Mon ventre me fait mal, mal de plaisir. Je veux que cela cesse, mais en même temps, je veux que cela dure encore, très longtemps, toujours peut-être… J’ai l’impression que mon cœur va sortir de ma poitrine, que je vais mourir d’un infarctus… Je perds ma respiration sous le plaisir. Je retrouve ma respiration superficielle de mes accouchements. Mes mains, crispées sur ses fesses dures lui indiquent que mon sexe a encore faim de lui. Je veux le retenir, le garder en moi, mais aussi lui demander de sortir de moi, mais de revenir. Je veux être sure que je ne rêve pas, pour être sure que sa queue en moi est bien la réalité. Je suis un jouet au bout de son sexe démoniaque. Mais c’est trop bon. Je gémis en le regardant dans les yeux et lui dis tout mon plaisir.

 

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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