PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
Comment en suis-je arrivée là ? Je suis entrée dans un monde de dépravation et de vice. C’est déjà assez grave, mais le pire est que j’aime cela ! Comment la femme respectable que j’étais, il y a encore six mois a-t-elle pu laisser la place à celle qui se vautre dans la luxure ? Je vais vous le décrire par écrit, comme me l’a ordonné mon dernier amant (si je peux l’appeler ainsi). Il souhaite que je vous raconte ma descente dans le vice.
Je me présente, Marie B…, 39 ans, mère de trois enfants, une fille et deux garçons. Je suis responsable dans un grand laboratoire d’analyses chimiques. Je forme des responsables de laboratoires du monde entier aux dernières technologies d’analyses environnementales. Je suis mariée à un homme charmant, Jérôme, qui est responsable technique dans une grande entreprise nationale. Il est souvent absent professionnellement, car il est appelé à travailler à l’étranger. Notre vie s’écoule tranquillement et si la passion des débuts de notre union s’est un peu émoussée, nous sommes heureux et nos relations sont empreintes de complicité et affection mutuelle. Une tendresse énorme nous unit.
Nos relations sexuelles se sont espacées lentement pour n’être plus que mensuelles, voire plus rares, comme en ce moment. Je ne suis plus très attirée, ni intéressée par tout ce qui touche de près ou de loin au sexe et au plaisir.
Sur le plan physique, je suis châtain clair, presque blonde avec des yeux bleus. Je mesure un mètre soixante-dix et pèse cinquante-cinq kilos. Mon travail ne me permet pas de faire des folies vestimentaires. L’utilisation de produits dangereux n’est pas compatible avec des vêtements luxueux. Je ne fais pas non plus d’excès de maquillage. De simples petites touches pour mettre en valeur mon regard et un rouge à lèvres pour soutenir ma carnation de blonde. Je porte les cheveux coiffés à la lionne. Au cours de mes trois grossesses, j’ai particulièrement fait attention à ma ligne et je n’ai pas pris plus de kilos qu’il ne fallait.
Aujourd’hui, je n’ai pas honte de mon corps. Mes seins ne s’affaissent pas et mes hanches ne sont pas enrobées de cellulite. Mon mari adore ma poitrine. Il faut dire que mon 90 C, j’en suis fière. Mes seins ne tombent pas et pointent encore. Mais personne, en dehors de mon mari et des médecins que je consulte, n’a eu le privilège de les admirer et de les toucher.
Depuis le début du mois de janvier, Jérôme est en Afrique du Sud pour implanter un système français et l’adapter aux normes africaines. Malgré Internet, sa présence rassurante me manque. Il ne reviendra qu’au mois de novembre. Les vacances se préparent pour tous et dans la maison règne une activité débordante. Ma fille termine sa première année de fac et a trouvé un stage en Angleterre du mois de juin au mois de septembre. Mon premier fils part accompagner un groupe en Roumanie pour les vacances scolaires. Mon second fils part en camping avec son association pour les deux mois de juillet et août. Moi, je n’ai rien de prévu. J’avais envisagé de rejoindre Jérôme, mais ce dernier voyage continuellement à travers l’Afrique du Sud et n’est jamais plus de deux jours au même endroit. J’ai donc décidé de rester en France.
Le 3 mai 2003, mon directeur m’informe de l’arrivée d’un responsable de laboratoire sénégalais. Je devrai le prendre en charge dès le 4 mai.
Le 4 mai 2003, vers 10h00, mon directeur entre dans mon labo. Il est accompagné d’un jeune homme noir. C’est mon nouveau stagiaire. C’est un colosse. Il mesure presque deux mètres et est très large d’épaules. Il est d’une beauté stupéfiante. Moi qui ne suis pas particulièrement attirée par les hommes de couleur, je dois dire que je suis sous le charme. Son visage se fend d’un grand sourire.
· — Marie, je vous présente Ahmed, qui nous vient du Sénégal pour 6 mois. À vous de le former pour qu’il soit aussi efficace que vous dans son pays.
- Ahmed, voici Marie, votre maître de stage. Méfiez-vous, sous ses airs gentils, elle est redoutable et très exigeante avec ses stagiaires… Bien, je vous laisse entre de bonnes mains.
J’accueille Ahmed comme tous mes stagiaires. Mais j’avoue que son sourire et sa beauté me troublent. Je lui explique les travaux que nous réalisons et le contenu de son stage.
La semaine s’est bien passée. Ahmed travaille vite et bien et, de plus, pige très bien ce que je lui demande. Il est de plus en plus enjoué et de très bonne compagnie.
Depuis son arrivée, nous déjeunons toujours ensemble. Ahmed n’est pas habitué aux nourritures occidentales et découvre des saveurs inconnues. Nous rions de ces découvertes pas toujours de son goût. Je le questionne de plus en plus sur son pays, sur ses traditions. Il me parle de la vie au Sénégal. Il est célibataire et souhaite retourner au pays pour le faire évoluer et s’installer, avoir une famille et des enfants. Il aimerait trouver une française pour lui donner des enfants et venir avec lui au Sénégal. Je lui dis que ceci est certainement possible. Il me rétorque qu’il aimerait trouver une femme comme moi. Je suis cloué par sa répartie. Je ne sais que dire. Je bafouille un peu et change de sujet.
Tout le mois de juin est passé à une allure folle. Entre les enfants qui préparent leurs départs respectifs, le travail de maison et le travail au labo, je suis sur les rotules. Ahmed m’aide du mieux qu’il peut. Il progresse à vitesse grand "V".
Si nous continuons à déjeuner ensemble, nous prenons le temps en fin de journée de faire un point. Ces discutions dérivent immanquablement sur sa vie privée. Je fais en sorte de ne pas comprendre les sous-entendus réguliers qui reviennent dans ses propos. Nous abordons un grand nombre de sujets. En temps que féministe, je lui dis ma façon de penser sur l’excision des fillettes. Il est convaincu de l’absurdité de ces pratiques. Je m’étonne de sa culture et de ses points de vue toujours construits et réfléchis.
Je suis seule à la maison depuis dix jours. Pour la fête nationale, j’ai invité Ahmed à passer la journée. Il fait un grand soleil, cette matinée. De la terrasse, le jardin resplendit et la tache bleue de la piscine créé une atmosphère de vacances. Il est neuf heures et je traîne en peignoir après avoir pris mon petit déjeuner. J’ai donné rendez-vous à Ahmed vers dix heures. Je me précipite dans la salle de bains. Douche, maquillage léger comme à l’habitude et parfum… mais quelle tenue choisir ? Chic, BCBG ou détente ? J’essaie un mixe des deux. J’enfile une parure de sous-vêtements couleur chair, puis un chemisier de soie blanche et par dessus un ensemble veste sans manche de lin blanc cassé et une jupe que j’ai toujours trouvée un peu courte. Mais aujourd’hui, le beau temps m’incite à la porter. Je me regarde dans la glace et constate que ma poitrine est mise en valeur dans mon soutien-gorge. Je suis obligée de fermer un bouton, sinon l’on distingue l’amorce de la vallée qui sépare mes globes jumeaux. Mon mari adore et, s’il était là, il m’imposerait de déboutonner au moins deux boutons. Perdue dans mon inspection, la sonnette de la grille d’entrée me sort brutalement de ma rêverie.
Je me précipite à la porte d’entrée. L’écran du portier vidéo me renvoie l’image d’Ahmed. Je lui indique qu’il peut entrer et déverrouille le portillon. J’ouvre la porte et attends sur le perron. Il arrive dans un ensemble beurre. Il est magnifique. Il m’offre un bouquet de roses rouges. Je suis un peu gênée. Il me dit que cela n’est qu’un petit présent en guise de remerciement pour la très bonne journée qu’il va passer en ma compagnie. Je sens le rouge me monter aux joues.
· — Ces roses rouges vous vont parfaitement au teint, Marie…
- Venez, entrez…
Je m’efface pour lui laisser le passage, mais pas suffisamment. Il me frôle et j’ai le temps de sentir son parfum, son odeur d’homme. Il entre dans le salon.
· — Votre maison est ravissante… elle est à votre image…
- Vous êtes un flatteur, Ahmed…
- Non, je le crois vraiment.
Je cherche une diversion
- Puis-je vous offrir un café, Ahmed ?
- Avec grand plaisir…
· — Vous souhaitez le prendre sur la terrasse ou ici, à l’intérieur ?
- A l’intérieur, si cela ne vous dérange pas…
Je vais dans la cuisine préparer le café. Je reviens dans le salon pour disposer les roses dans un vase. J’ai un peu chaud et j’enlève ma veste. Je pose le vase sur la table face à Ahmed. Je le regarde. Son regard s’est insinué dans mon décolleté. Il a une vue sur ma poitrine. Je me redresse rapidement. Je suis troublée par ce regard de mâle sur la femme que je suis. Pour me permettre de me rependre, je vais chercher le café. Je reviens avec le plateau où trône deux tasses et le sucrier. Je me penche encore. Mes gros seins ont poussé sur les boutons et l’un deux s’est échappé de la boutonnière. Les deux boutons supérieurs de mon chemisier étant ouverts, Ahmed peut découvrir mes deux globes soutenus par un soutien-gorge pigeonnant qui accentue encore leur opulence.
Ahmed plonge encore un fois son regard. Je le laisse profiter du spectacle pendant quelques secondes. Mais je remarque que ses yeux se sont baissés. Ils sont en train de parcourir ma silhouette. Comme je me trouve entre Ahmed et la fenêtre, il doit en plus de mon décolleté, admirer mes jambes par transparence de ma jupe. Je suis un peu surprise de son attitude, lui qui n’a qu’une seule fois émis l’hypothèse qu’il aimerait avoir une femme comme moi. Je me laisse tomber dans le fauteuil situé derrière moi. Dans mon mouvement de recul, ma jupe remonte à mi cuisse. Le regard d’Ahmed me suit, me pourchasse. Ses yeux se sont baissés et, dans le mouvement, je suis certaine qui a eu une vue plongeante sur mon entrejambe et mon joli slip blanc…
Ma tête tourne et c’est un peu comme si je perdais connaissance… Aussitôt, Ahmed se lève et vient à côté de moi. Il est genoux contre le fauteuil. Il me parle doucement de sa voix chaude et rauque, excitante à souhait. Il pose une main sous mes cuisses et l’autre sous mon épaule droite. Comme une plume, il me soulève et m’allonge sur le canapé. Il place un coussin sous mes pieds en prenant soin de m’ôter mes chaussures. Que m’arrive-t-il ? Je suis perdue dans un rêve… Ahmed me parle toujours et me caresse le front et les cheveux… Il part vers la cuisine et revient, son mouchoir blanc immaculé, trempé d’eau froide, humecte mon front. La fraîcheur me calme, mais je suis lasse, alanguie. Je n’ai aucune envie de me relever, aucune envie qu’Ahmed parte. Il me parle doucement, mais je ne comprends pas ce qu’il me dit. Son visage est très proche. Il est à genoux. Il se penche vers moi. Son regard noir se perd dans mes yeux.
Très doucement, son visage s’est approché du mien. Je vois et comprends parfaitement ses intentions. Que m’arrive-t-il ? Ses lèvres charnues rejoignent les miennes. Un petit mouvement de ses lèvres et sa langue vient caresser les miennes. Mes lèvres ne résistent pas à la douceur du contact. Il a compris que je suis vaincue, que je vais lui céder, que je vais accepter ce baiser… Il tente de nouveau de sa langue de me faire ouvrir mes lèvres.
Mes lèvres s’entrouvrent, ne faisant plus obstacle à sa langue chaude et dure qui investit ma bouche. Ce nouveau baiser est, cette fois, bien plus profond. Bien vite sa langue s’est mise en mouvement et c’est la mienne qui joue avec la sienne. Puis plus le baiser se prolonge, plus il se transforme en un baiser passionné.
Pour favoriser notre échange, il glisse son bras droit autour de mes épaules. Il m’oblige très doucement à accentuer ce baiser. Je n’ai aucun mouvement de recul, bien au contraire. Moi, une femme mariée, sage, rangée, je me conduis comme la dernière des traînées. Je suis dans le commencement d’un adultère. Je vais tromper mon mari pour la première fois et je commence à y prendre un grand plaisir. Son bras autour de mes épaules me serre contre lui. Je me blottis contre lui. Mais Ahmed n’est pas moins homme. Si sa main droite est très sage autour de mes épaules, il n’en est pas de même pour la gauche. Je la sens qui se pose sur ma hanche droite. Je sens la chaleur de cette paume à travers le tissu souple. Lentement, cette main commence un lent va-et-vient de ma hanche au haut de ma cuisse. Mon instinct de femme respectable resurgit :
· — Ahmed, nous allons faire une…
- Chut…
Il me ferme les lèvres des siennes. Elles sont chaudes et douces et je ne résiste pas. Je réponds à son baiser enflammé. Mais je me libère et réussis à lui dire :
- Ahmed, s’il te plait, laisse-moi te dire…
- Que veux-tu me dire ?
· — Ahmed, je ne suis pas une femme facile et je me demande bien ce que je fais, ici chez moi, dans tes bras. Nous allons faire une grosse bêtise…
· — Mais ce n’est qu’une petite bêtise et nous en avons envie l’un et l’autre…
Mais la tentation est trop forte et une pulsion envahit mon corps. C’est moi, comme une midinette, qui lui tend les lèvres et lui reprend goulûment. Mes paroles et mes gestes sont en totale contradiction. Je laisse sa main posée sur ma cuisse. Je ne cherche pas à empêcher ses mouvements. Doucement, elle glisse sur ma cuisse et rencontre le bas de ma jupe. Sa chaleur m’électrise et je l’embrasse à pleine bouche. Je ne peux pas résister à cet appel charnel. Lentement, la main remonte sous ma jupe. Chaque pause est marquée par une appréciation de la fermeté de ma chair par de petites palpations. J’enlace son cou de mes bras.
Son bras droit enveloppant mes épaules, sa main en profite. Elle glisse sur mon chemisier et rencontre la masse de mon sein droit emprisonné dans son bonnet de soutien-gorge. Je ne résiste pas. Je suis dans ses bras en jupe et chemisier avec sa main toujours bien avancée sur ma cuisse. De nouveau, nos lèvres se sont rejointes. Sa langue se met à danser un ballet sauvage dans ma bouche, tournant et retournant autour de ma langue et suçant celle-ci, comme si c’était un petit sexe
Cette sarabande me fait craquer. J’oublie tout, et je jette par dessus ma conscience tous mes préjugés de femme sérieuse. Le baiser m’enflamme et mon corps ne peut se retenir. Il commence à onduler. Ma respiration s’accélère. Sa main enfouie sous ma jupe apprécie le grain souple de ma peau. Lentement elle remonte plus haut. C’est à cet instant, que mon bassin se met à bouger à réclamer une caresse plus précise.
Ahmed retire son bras de mes épaules. Tout en continuant à me dévorer la bouche, ses doigts longs et agiles s’aventurent sur le devant de mon chemisier. Ils sont à la recherche de boutons… Ahmed doit avoir une expérience phénoménale. Les boutons sautent les uns après les autres de leurs boutonnières respectives. D’un revers de main, il écarte les pans offrant à son regard brûlant ma poitrine gonflée. Mes seins emprisonnés bombent au-dessus de la dentelle et les pointes tentent outrageusement la dentelle. Ahmed se recule pour admirer le spectacle que je lui donne.
· — Tu es merveilleuse…
Aussitôt, il se jette sur mon sein et, à travers la dentelle, pince mon téton. La sensation est éblouissante. Je bascule dans un monde que j’ignorais. Ma pointe de sein irradie une sensation étonnante que je ne connaissais pas jusqu’à ce jour. Ahmed change de sein. La sensation renaît à partir de la pointe de mon autre sein. Mais Ahmed continue et son autre main ne reste pas inactive. Elle est remontée complètement sous ma jupe et ses doigts font connaissance avec la dentelle de mon slip. Ce dernier est trempé et ne peut contenir le flot de mouille que mon sexe vomit littéralement. La main palpe mon sexe. Elle a trouvé en haut de ma fente, ce fameux petit bouton infernal. Ahmed le malaxe entre son pouce et son index tout cela à travers la dentelle. La sensation est incroyable.
Son autre main très habilement fait sauter l’agrafe de mon soutien-gorge. Ahmed saisit avec ses dents le pontet qui relie les deux bonnets et tire en arrière. Je lui facilite la tâche en libérant mes bras. Mes deux seins sont libres de toute entrave et s’offrent aux caresses et titillements des mains d’Ahmed. Il torture gentiment mes tétons durcis, les presse entre ses doigts. Il continue de les sucer et les mordiller. Mon ventre réagit vivement à ses caresses pleines de douceur. Je sens mon entrejambe se transformer en fontaine. Nos bouches ne se quittent plus. Je ne me reconnais plus. Une pulsion me traverse. Je glisse ma main sur son entrejambe pour palper l’ampleur de son excitation.
- Ce n’est pas vrai…
Son sexe est en érection. Je l’empaume par-dessus son pantalon pour lui rendre sa caresse intime. Il se redresse doucement, remonte ma jupe en haut de mes cuisses. Je prends appui sur mes talons pour lui permettre de passer les rondeurs de mes fesses. Il m’aide à me relever et la jupe continue son ascension. Au passage, elle emmène mon chemisier et le tout est jeté sur le tapis du salon. Ses mains redescendent et avec beaucoup de délicatesse, saisit l’élastique de ma culotte et l’entraîne vers mes pieds. Le mouvement est tellement lent qu’Ahmed peut se repaître de la vision de mon corps, de mon sexe poilu. Mon mari aurait aimé que je m’épile, mais je n’ai jamais répondu favorablement à sa demande. Je suis maintenant entièrement nue. Ne voulant pas rester seule en tenue d’Eve, je m’enhardis et trouve à tâtons le bouton de son pantalon. La fermeture éclair de la braguette est là. Le zip déchire le silence de la pièce. Je saisis la ceinture et tire comme une forcenée vers le bas. Ahmed se met en appui sur ses pieds. Il ne porte pas de slip et son sexe en érection vient battre brutalement son ventre. Ahmed recule sur ses bras et sa tête plonge entre mes cuisses.
Allongée sur le dos, je me laisse embrasser partout. La bouche d’Ahmed tête, lèche, mordille mes tétons. Ils sont durs comme du béton. Je gémis de plaisir. Ahmed est très excité et, doucement, descend jusqu’à ma chatte… Les jambes écartées, je m’offre impudiquement. Hormis mon gynécologue, personne ne m’a vu ainsi, même Jérôme qui n’aime pas cette pratique. Le compas de mes cuisses largement ouvert, je tends mon minou, grand ouvert et humide, aux lèvres de mon futur amant. À grands coups de langue, Ahmed lape la chatte offerte. Je ne peux retenir un feulement dans ma gorge. Ahmed s’arrête, me regarde et me demande :
- Tu aimes ?
Je m’entends répondre d’une voix langoureuse :
· — Oh oui ! continue, c’est exquis…
Ahmed plonge de nouveau entre mes cuisses béantes. Je ne peux pas me contenir. Je commence à crier de plaisir. C’est la première fois que ceci m’arrive. Le bonheur me submerge. Je pose mes pieds sur les épaules d’Ahmed pour mieux lui donner ma chatte à manger. Je sens mon sexe fondre et se liquéfier. Ahmed avance une main vers mon ventre palpitant, atteint ma toison, puis mon sexe trempé. J’ordonne à Ahmed :
- Avec la bouche, fais avec la bouche !
Je me demande si je ne suis pas en train de devenir folle. Ahmed s’agenouille entre mes jambes. J’offre ma chatte, ivre de bonheur à cet homme qui a su me révéler à moi-même. Ahmed aspire les chairs tendres de mon sexe. Il s’arrête un instant pour se régaler de la vue que je lui donne. Mon bassin s’agite d’une façon désordonnée, et une plainte rauque sort de ma gorge…
· — Aah, Aaaaaaaah !!!
Ma jouissance me surprend. Ahmed est aussi étonné de ma réaction brutale. Il se redresse et vient vers moi. Il me tend ses lèvres. Je les aspire buvant ainsi ma propre liqueur. Une main ne reste pourtant pas inactive. Elle plonge entre mes cuisses et découvre mon clitoris. Il est énorme. Jamais je ne me suis sentie aussi excitée, jamais je n’ai eu un clito aussi gros et aussi sensible. Ahmed est étonné :
- Ton bouton d’amour est énorme !
Il délaisse ma bouche et s’accroupit devant mes cuisses largement ouvertes. De ses deux doigts, il ouvre ma grotte intime sous la pression de ses doigts. Puis, tout en haut de ma fente, je vois mon clito. Il darde ses deux ou trois centimètres. Il est tout gonflé et violacé. J’en suis moi-même toute étonnée. Ahmed lape ma mouille et titille de la pointe dure de sa langue mon clito. Sa main revient. Son majeur frotte les lèvres humides. Il s’insinue entre elles et pénètre ma caverne. Luisant de mouille, il remonte vers mon clito, le presse, le malaxe. C’est insoutenable, je crie mon plaisir. Je supplie Ahmed :
· — Non, arrête, tu ne fais pas cela !!! tu me rends folle !!! c’est bon !!! continue !!!
Devant une telle demande, Ahmed reprend de plus bel. Il me doigte avec encore plus de ferveur… je tressaille. Mon clito n’est plus protégé par son capuchon. Ahmed le pince entre le pouce et l’index. Chaque pression me fait sursauter. Ahmed arrête ses agacements. Sa tête plonge vers mon clito. Il suce ma petite excroissance, puis n’hésite pas à le mordiller. Il me regarde, il m’épie. Il surveille la montée lente et inexorable de mon plaisir. Je crie. Jamais personne ne m’avait pratiqué cette caresse avec autant de douceur, de délicatesse. Je commence à comprendre pourquoi l’orgasme s’appelle aussi "petite mort"…
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