Le coiffeur terminait sa phrase quand une voix s'éleva en disant:

" Tout ça est bien beau mais moi j'ai envie de la baiser enfin cette pute. Elle est là la chatte ouverte qui inonde le fauteuil tellement elle jouit et on en profiterait pas ? "

T'inquiètes pas lui répondis-tu, tu pourras en profiter autant que tu veux, mais aujourd'hui c'est spécial, on ne va pas la baiser mais la baptiser de notre foutre tous ensemble"

Il me retira alors le bandeau et vis enfin ces hommes rassemblés autour de moi. Ils étaient 6 ou 7 d'âge moyen vers la cinquantaine au physique plutôt banal à part toi mon chéri. Certains se branlaient, d'autres étaient en érection et je ne pu empêcher la honte de ma situation rougir mon visage en pensant que j'avais sucé leur bite et que je m'étais engagé à être leur pute et que rien de mon corps ne leur serait interdit.

Tu me fis lever du fauteuil et me demanda alors de marcher dans la pièce afin qu'ils puissent découvrir mon corps, c'était humiliant de défiler ainsi mais la suite devait l'être encore plus car tu me demandas de mettre à quatre pattes afin de marquer ma soumission par cette posture et de montrer mes fesses.

" Écarte bien tes fesses" dis quelqu'un " que l'on voit bien ta rondelle"

"Tu avais raison Peter dit-il, on voit qu'elle est pucelle ou presque du cul"

" Elle ne le restera pas longtemps encore " ricana un autre.

" Tu as entendu, la pute !" dit le coiffeur.

"Oui, j'ai entendu mais..."

" Il n'y a pas de mais, compris ! Tu t'es engagée et tu devras donner ton cul, j'ai un client qui en a marre des culs trop ouvert, le tien est parfait, pour le moment, je te réserve pour lui et tu ne le regretteras pas car il sait être généreux " Alors sans qu'il me le demande je répondis:

" Oui, je donnerai mon cul" Mais tu me donne à ce moment une claque sur les fesses et me demanda de parler plus précisément de mon désir.

" Je veux me faire enculer" dis-je alors. 

"C'est bien dit le coiffeur, après que mon client auras profité à sa guise de ton cul serré, je te destinerai si Peter n'y voit pas d'inconvénient aux mecs qui aiment défoncer les culs. Quand tu seras chez toi, tu écriras une lettre à Peter où tu t'engageras à respecter tout ce que tu nous as promis, compris ! Rien de tes désirs ou de tes envies t'appartiennent maintenant c'est nous qui te dirons ce que tu dois faire, comment t'habiller, tout. Si tu n'en as pas envie, rappelle toi qu'une pute ne doit s'occuper que du plaisir qu'elle donne, ton plaisir on s'en fout, si tu en as c'est bien, sinon, tu simules"

"T’inquiètes pas dirent certains, elle n'aura pas besoin de simuler. On voit bien qu'elle aime se faire enfiler et défoncer par tous les trous cette salope, elle n'arrête pas de mouiller depuis tout à l'heure"

" Ne vous inquiétez pas répondis-je, je veux faire plaisir à tous ceux que vous me présenterez, la seule chose que je vous demande est de garder le secret à mon sujet "

" Tu peux compter sur nous dit le coiffeur qui me donnait le sentiment d'être ton "bras droit", personne ici et aucun de ceux que tu rencontreras n'a intérêt à s'épancher sur la place publique. D'ailleurs tu n’es pas la seule à être notre putain, tu serais bien surprise si tu en rencontrais, elles sont comme toi, mais pour l'instant tu dois encore progresser même si j'ai pu me rendre compte que tu avais de réelles prédispositions.

Mais avant d'aller plus loin Peter doit te dire une chose qui pour nous tous est importante"

" Tu peux t'asseoir me dit Peter car tu dois passer une formalité"

Très intriguée je m'installais sur une chaise et alors que j'étais toujours nue je ne ressentais plus la gêne du début, il me dit alors :

" Tu peux comprendre mon amour que si tu souhaites que tes "activités" restent confidentielles, il en est de même pour nous et ceux que tu rencontreras, aussi ai-je préparé un texte qui correspond à ce à quoi tu t'es engagé et que tu vas lire ou si tu veux le dire avec tes mots. Pendant que tu liras ce texte tu seras filmée, nue à genoux devant les hommes qui sont là et qui se branleront sur ton visage. Quand tu auras fini, tu resteras la bouche ouvert pour recevoir leur sperme que tu avaleras."

C'est comme si j'avais reçu une douche glacée que d'entendre ces mots.

"Cette vidéo, je la conserverai en lieu sur n'ai crainte, c'est une garantie que l'on donne à ceux que tu rencontreras de pouvoir compter sur ton entière discrétion " et il me tendit son papier.

Je devais décliner mon identité, ma date de naissance, etc...Mais surtout je devais dire que j'étais une femme aimant les hommes et que je ne pouvais m'empêcher de sucer les bites et de me faire enculer.

Pendant ce temps, les hommes présents se mirent entièrement nus et Peter mis en place le trépied d'un caméscope et commença à me filmer.

Il me désigna un tapis et me fis signe de me mettre à genoux, tous les mecs commencèrent à se branler devant mon visage, laissant juste une place pour que Peter puisse me filmer.

J'étais très inquiète d'être ainsi filmée mais n'était ce pas secondaire par rapport à tout ce qui m'attendais, et puis je faisais confiance à Peter et commença en regardant tour à tour les sexes et le caméscope:

" Je m'appelle Paule, j'ai 47 ans, mariée et amoureuse des plaisirs.

J'aime exciter les hommes, les sucer ou comme vous allez le voir bientôt ouvrir grande ma bouche pour qu'ils éjaculent en elle.

Rien de mon corps ne vous sera interdit et je suis impatiente de donner mon cul car je souhaite me faire souvent enculer après avoir donné mon cul à celui à qui reviendra la primeur d'ouvrir ma rondelle.

Oui, j'accepte d'être traitée de pute, même si je ne reçois aucune contrepartie financière car je suis une salope."

Puis ouvrant grand la bouche, je défiais du regard la caméra pendant que je voyais les sexes prêts à répandre leur semence dans ma bouche...........

La suite bientôt mon Amour

La suite n'existait pas quand j'ai commencé cet aveu de mon fantasme, du moins il suffisait à me contenter quand j'y pensais pour me donner du plaisir en me caressant, mais depuis que je te connais je sens mes désirs se préciser, m’amener plus loin dans l'excitation de situations rêvées, voire espérées.

... Je sentais cette bite inconnue qui allait dans ma gorge avec ce mélange de honte et de plaisir qui me  faisait accepter cette situation.

Je n'osais imaginer le spectacle que je donnais de moi sur ce fauteuil les jambes écartées et les seins de nouveau livrés aux mains fébriles.

Les mouvements du sexe dans ma bouche devenaient de plus en plus rapides et je sentais les spasmes qui l'agitaient quand elle se retira.

C'est alors que je sentis sur mon visage et mon cou ce contact chaud du sperme qui venait de se répandre.

J’eus un sursaut, et fit le mouvement brusque de me lever et d'enlever le bandeau recouvrant mes yeux. C’est alors que deux mains puissantes me prirent l'épaule et me collèrent à nouveau contre le dossier du fauteuil.

Mon visage devait exprimer à la fois de l'étonnement et de la rage que tes paroles décuplèrent quand tu me dis:

"Tu te crois où ? Est-ce que je t'ai dis que tu pouvais te lever ?"

Je t'ai répondu que j'en avais assez et que je voulais partir.

A peine ma phrase terminée que je sentis une gifle et toi qui me disait que ce n'était pas à moi de décider et qu'il fallait que je continue à sucer les autres.

Tu me demandas malgré tout si jusque là j'avais eu du plaisir, je n'ai pu que répondre par l'affirmative mais aussitôt je sentis des sexes sur ma bouche et ne put que l'ouvrir pour gouter les deux glands qui allaient et venaient sur le pourtour de ma bouche.

Ne pouvant plus parler, j'entendais des ricanements mêlés aux soupirs de ceux que je suçais.

A mon étonnement, je me sentais bien.

Mon sexe dont on avait enlevé la serviette chaude qui le recouvrait palpitait de plaisir et je sentais s'écouler sur mon sillon le chaud liquide qui signalait aux regards de tous et à leurs mains combien je jouissais de cette situation.

De nouveaux les bites que je suçais alternativement se retirèrent de ma bouche et une fois de plus je reçus sur le visage leur giclée de sperme qui dégoulina de mon visage.

C’est alors que le coiffeur m'intima l'ordre de lécher ce sperme et de le gouter avant de l'avaler.

J'en avais presque envie mais je ne sais pourquoi fit non de la tête. Je reçu de nouveau une gifle et il dit sur un ton excédé:

" À partir d'aujourd'hui ma petite madame tu feras ce qu'on te demande de faire, compris !"

Je ne sais pourquoi je fis alors oui de la tête et il continua:

"Si tu crois que j'ai fait tout ça pour tes beaux yeux, tu te goures. Même si ça fait plaisir de raser une aussi jolie chatte et voir une belle femme comme toi se faire caresser et sucer des bites, dis-toi bien que ce n’est pas pour rien. C’était pour te tester et toi-même reconnais que ça t'a plu. Alors maintenant, tu ne diras plus jamais non et feras ce qu'on te demande, compris ? "

Après un court moment d'hésitation, les seins durs et ma chatte gonflée de plaisir, j'ai fit signe que j'acceptais.

Il me demanda alors de répéter cette phrase :

" Oui, je veux être votre putain "

Et, la gorge serrée j'ai dit:

" Oui, je veux être votre putain "

          La suite bientôt mon amour.....

 Paule.