D'après Sohie de R
J'ai rencontré Bertrand chez Valérie, ma meilleure amie. Valérie a toujours su s'entourer de beaux mecs, qu'elle n'hésite pas à manger en fonction de ses envies. Bertrand faisait partie de la liste. Il était tout à fait mon type de mec, un beau black au crâne rasé, avec un regard brillant qui vous transperce et vous envoûte. Il m'a rapidement plu et après une soirée de drague intensive, j'ai accepté son invitation chez lui le lendemain pour « prouver
J'ai fantasmé sur Bertrand toute la nuit, je me suis imaginée ses mains et sa bouche visitant tout mon corps. J'ai laissé libre cours à mon imagination, et à mon habitude, je me suis caressée à plusieurs reprises.
Nue sur mon lit, mes mains et mes doigts m’ont provoqué un orgasme libérateur.
J'avais envie de me montrer très sex, de partager avec elle mes intentions pour la soirée. Mon appel l'a amusée. Quelques minutes plus tard, elle était chez moi et me présentait une petite robe noire avec un large sourire.
Valérie a toujours envié mes seins fermes et mon 100C, je n'ai donc pas été surprise lorsqu'elle m'a conseillé d'afficher ma poitrine nue sous le décolleté très ouvert de sa robe.
J'ai suivi son conseil et elle m'a accompagnée pendant toute ma préparation. Nous nous sommes quittées devant ma voiture. Son dernier geste a été de m'arrêter alors que je tirais sur sa robe qui dévoilait, à mon goût, trop largement mes cuisses. Elle m'a fait promettre de ne plus y retoucher de la soirée. Nos regards échangés sont devenus bien plus coquins.
Lorsque Bertrand m'a ouvert, la robe choisie par Valérie a fait son effet. Son regard passait régulièrement de mes seins à mes jambes.
Plus la soirée avançait et plus j’avais envie de lui. Visiblement, mon envie était partagée.
Aucun des fantasmes que j'avais imaginé ne se déroulait sur un balcon, et c'est pourtant vers lui que je me suis dirigée mon verre à la main. Je voulais simplement lui donner l'occasion de se rapprocher plus librement. En tout cas, j'étais loin d'avoir prémédité ce qui s'est passé par la suite, même si j’avais une envie terrible de lui…
Je m'étais accoudée à la balustrade, pour admirer la vue magnifique qu'offrait son balcon. On pouvait voir la mer au loin. Je sentais le vent marin caresser mes cuisses et remonter, pour s'engouffrer sous ma robe. J'étais impatiente que Bertrand me rejoigne, et lorsqu'il a allumé a lumière du balcon, je ne me suis pas retournée.
Je voulais qu'il puisse regarder à sa guise mes jambes dénudées et mes fesses tendues. J'espérais qu'il vienne s'accouder près de moi. Mes espoirs furent comblés, quand Bertrand est doucement venu se coller derrière moi.
Lorsque ses mains ont alors commencé à glisser sur mes cuisses. Je me suis plaquée fortement contre son bas-ventre, bougeant mes fesses doucement. Mais mon geste était sans équivoque !
Sans la moindre hésitation et sans se soucier du fait qu'il relevait amplement ma robe au passage, il a commencé à remonter sa main droite pour venir caresser mes lèvres intimes, au travers de mon string déjà bien humide.
Il était très habile. Je n'ai offert aucune résistance ou n'ai fait aucun geste pour réajuster ma robe alors que je me tenais sur un balcon bien éclairé, offerte aux regards des passants et des voisins !
J'étais partagée entre l'envie de me retourner pour l'embrasser et celui de ne surtout pas bouger pour l'inciter à continuer. Bertrand a compris l'invitation. Sa main droite s'est glissée dans mon string, tandis que son autre main est venue se poser sur mes fesses, pour les malaxer fermement. Je me suis cambrée, et j'ai émis un petit bruit de plaisir. Sa main droite faisait des miracles avec mon clitoris et j'ai laissé sa deuxième main remonter ma robe au-dessus de mes hanches.
Je me rappelle avoir regardé rapidement autour de moi, consciente de me montrer indécente. Je savais que nous pouvions être surpris à tout moment, mais je n'avais pas envie de l'arrêter.
Mais en fait, j’étais très excitée par cette situation d’exhib potentielle.
Ses mains sont remontées lentement, et j'ai tendu de plus belle ma croupe, ne gardant qu'une main pour me soutenir contre la balustrade, pendant que de l'autre, je commençais à caresser mes seins.
Loin d'avoir peur d'être vue, je cherchais maintenant du regard un éventuel voyeur, pendant que je sentais les mains de Bertrand remonter le long de mes cuisses, l'une par devant et l'autre par derrière.
Deux doigts de sa main droite sont venus se glisser entre les lèvres trempées de mon sexe, tandis qu'un doigt de sa main gauche s'est arrêté contre l'entrée de mon anus, l'ouvrant un peu.
Ses doigts se sont ensuite activés en moi, entrant progressivement plus profondément à chaque mouvement. Chaque progression de la main droite était accompagnée par une progression de la gauche.
C'était délicieux.
Tous mes sens étaient à l'écoute de ses doigts, de la lente progression de son majeur dans mon anus. Je sentais ma rosette se dilater, s'ouvrir et l'empresser d'aller toujours plus loin.
Le regard vague sur les lumières des maisons avoisinantes, je me faisais délicieusement doigter des deux côtés sur son balcon bien éclairé. J'étais offerte à m'importe quel voyeur. Je ressentais un plaisir d'une extraordinaire intensité.
Sans me retourner, je me suis redressée pour me coller à Bertrand, prenant soin de conserver d'une main ma robe bien relevée, pendant que de l'autre, je me frayais un chemin derrière mon dos pour chercher son sexe.
Je voulais sentir sa queue nue et chaude dans mes mains, contre mon corps de plus en plus impatient.
Bertrand profita de cet instant pour arrêter de me branler. Il remonta ses mains sur mes épaules. Il descendit les bretelles trouvées sur mes épaules, libérant ainsi mes seins tout en bloquant mes bras serrés le long de mon corps. M'exhiber lui procurait du plaisir et je n'allais pas le décevoir.
Le vent caressait ma peau et complétait mon sentiment de nudité, pendant que j'entourais déjà de mes doigts sa bite droite comme un i. Ma main prisonnière derrière mon dos commençait à le masturber, à le découvrir. Elle frottait délicatement son sexe contre ma vulve. C'est à ce moment là, alors que je commençais à me pencher à nouveau en avant tout en écartant au mieux mes cuisses, que mon regard a croisé celui d'un admirateur !
Le voisin me regardait sans se cacher, debout sur la terrasse de sa maison, à guère plus de cinquante mètres en contrebas. Il avait les mains dans les poches de son peignoir et me fixait. J'ai senti mon désir se nourrir de son regard, et je ne l'ai pas lâché des yeux lorsque je me suis penchée. C’est alors que le sexe de Bertrand s'est engouffré en moi sans le moindre effort.
J'ai offert mon plus beau regard de vicieuse à cet inconnu et j'ai accentué mon mouvement de recul contre le sexe Bertrand. Je voulais qu'aucune ambiguïté ne lui soit permise sur ce que je venais de faire. Je me rappelle avoir même léché sensuellement ma lèvre supérieure, pendant que le sexe de Bertrand s'enfonçait en moi.
Sa réaction fut immédiate. Ses mains sont venues s'accrocher à mes hanches pour imprimer un mouvement de va et vient puissant. D'un geste ferme, il me rabattait vivement contre son sexe, et faisait claquer ses couilles gorgées de sève contre mes fesses. Je pouvais le sentir entrer au plus profond de moi, et ressortir presque entièrement de ma chatte ouverte, avant de le remplir à nouveau pleinement.
J'étais comblée. Le souffle court, j'exhibais mon plaisir. Je prenais soin de garder mes seins bien apparents, et de régulièrement lancer des regards de braise à mon voyeur.
Mon meilleur souvenir de cette expérience est sans conteste le moment où, bien empalée sur son sexe au bord de l'éjaculation, Bertrand a relevé mes cheveux pour mieux dévoiler mon visage. D'une main, il les a tenus bien en arrière et a légèrement tiré dessus, me forçant ainsi à docilement relever un peu la tête. De l'autre main, il glissa deux doigts dans ma bouche pour que je les suce. Jamais je n'avais sucé avec autant de vice deux simples doigts.
Mes yeux ne quittaient pas mon voyeur, j'imaginais son sexe dans ma bouche en suçant les doigts de Bertrand. Ses doigts accompagnaient maintenant les mouvements lents et profonds de son bassin. À ce moment précis, je voulais tout, j'aurais tout accepté. J'ai senti Bertrand se tendre pour aller encore plus loin en moi, puis le soubresaut annonciateur de son éjaculation. Les spasmes de son sexe ont déclenché en moi un orgasme fulgurant. J’ai voulu crié, mais mes cris ont été étouffés par les doigts de mon nouvel amant.
Je l'ai accueilli les yeux ouverts et rivés sur le voisin, espérant de tout cœur qu'il puisse y lire que mon orgasme lui était aussi dédié, que dans ma bouche, c'était son sexe que j'imaginais.
Je n’allais d’ailleurs pas l’imaginer très longtemps…
Le temps que je reprenne mes esprits, le voyeur avait disparu. J’étais réellement désappointée. J’avais encore envie de sexe, et il n’était plus là pour nous mater !
Quelques minutes plus tard, alors que Bertrand me caressait sur le divan du salon, que nous venions de réintégrer, on sonna à la porte.
Il eut l’air surpris, et m’affirma n’attendre personne. Il alla cependant ouvrir, après avoir passé une serviette autour de ses hanches. J’entendis une voix masculine, mais sans pouvoir saisir la conversation. Après quelques minutes qui me parurent très longues, il revint, accompagné de notre voyeur. Je restais bouche bée…
Il m’adressa la parole :
« Votre ami a la bonté de me laisser venir vous parler. Je vous ai bien observés, tous les deux, et je crois, que vous, jeune demoiselle, vous avez envie de bien plus ce soir… je me trompe ? »
Je rougis jusqu’aux oreilles, et je ne sais que répondre. Bien sûr, il a raison ! Mais l’admettre, comme ca, devant mon nouvel amant… je ne sais que faire…
Je regarde les deux hommes alternativement, et je constate qu’ils bandent tous les deux ! Cette vision emporte mes dernières hésitations.
« En fait, vous avez raison… Si Bertrand veut bien, je suis aussi à vous ce soir… »
Bertrand sourit :
« Je ne te savais pas si garce, Valérie ne m’avait rien dit. Mais j’adore ça ! »
Le nouvel arrivant, Pierre, s’assied près de moi. Il ne s’encombre pas de gestes inutiles. Il découvre ma poitrine, que j’avais tenté de cacher à son entrée. Et, sans plus de cérémonies, aspire la pointe de l’un de mes seins. Bertrand approche, et avale l’autre. Je suis aux anges ! Leurs mains se promènent sur moi, et des doigts viennent fouiller mon vagin encore plus humide que tout à l’heure. Je me dis que je ne suis qu’une salope, à être là, à baiser avec deux inconnus, ou presque.
Pierre se laisse glisser au sol, et attaque ma chatte avec sa bouche. Bon sang, qu’il lèche bien !!! Bertrand maltraite mes seins, et j’adore cette caresse violente. Je ne tarde pas à jouir sous ces caresses combinées.
Pierre prend la parole :
« Tu m’as bien allumé, tout à l’heure, quand tu suçais les doigts de ton ami… Maintenant, tu vas avoir ma vraie bite dans la bouche ! »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il se lève, et me présente sa belle bite raide. Sans attendre, je la gobe, comme un gros sucre d’orge. Je mets toute ma science à le pomper à fond, le sucer, l’avaler. Je l’aspire au fond de ma gorge. Je savoure ce bâton de chair, qui me pilonne la bouche sans répit.
Bertrand ne perd pas son temps, et pendant que je suce comme une salope le voyeur, il écarte mes jambes, ouvre ma chatte dégoulinante de salive. Il s’exclame, vulgairement :
« Putain, quand je t’ai baisée sur le balcon, je n’avais pas vu ta grosse chatte… Elle est bandante. Tu vas voir comme je vais te la défoncer !!! »
Il joint le geste à la parole, et sans ménagement, s’enfonce brutalement dans mon con qui n’attend que ça. Me voilà prise entre eux deux, baisée par deux chibres qui me font grimper au 7ème ciel ! Je me découvre garce, et j’aime ça !!!
Je suis secouée par les deux hommes, qui me besognent très fort. Alors que Bertrand intensifie ses va et vient, je sens monter la tempête en moi. Pour ne pas broyer la bite de Pierre, je le fais se retirer. Alors que je vais jouir, je le vois, stupéfaite, se déplacer près de Bertrand, et lui fourrer son pieu sous le nez, lui frotter la bouche… Et Bertrand de l’ouvrir sans moufter. Je suis aux anges !
Comme vous le savez maintenant, cette vision est la meilleure pour moi : un homme qui en suce un autre !!!
Bertrand avale d’un trait le gros sexe, et je vois es joues se gonfler sous l’intrusion. De vois coulisser ce pieu dans la bouche mâle de mon baiseur, plus la pénétration forte, je jouis encore plus fort que tout à l’heure. D’autant que là, je peux crier, hurler à loisir !
Bertrand n’arrête pas pour autant de me bourrer le vagin profondément. Il continue aussi sa pipe d’enfer. Pierre est agité d’un soubresaut bien connu : il va jouir. Il se retire un peu, et un gros jet de foutre blanc s’écrase sur la lèvre de Bertrand, qui va le chercher de sa langue. Il finit de gober, de lécher le sperme chaud, et semble s’en délecter.
Bien que je vienne de jouir, je suis vraiment dans un état d’excitation maximal.
Bertrand le fixe dans les yeux :
« Mon vieux, tu vas pas t’en tirer comme ça !!! A toi de me sucer, gros porc ! » Je ne sais pas s’il plaisante, ou s’il est furieux… »
Il bouscule Pierre, qui tombe sur le canapé derrière moi. Il sort de ma chatte, que je trouve bien vide, tout à coup…
Il se lève, et enfourne sa bite pleine de ma mouille dans la gorge du voisin. Il lui baise littéralement la bouche, à grands coups de bite dans la gorge. Pierre semble un peu suffoquer, mais tient le rythme. Moi, je n’en peux plus : je me branle tant que je peux, j’offre à la vue des deux hommes qui me matent, ma chatte béante et avide. Juste avant que Bertrand n’éjacule en gros jets crémeux, je jouis une dernière fois en enfonçant quatre doigts dans mon con brûlant.
Enfin, quand je dis « une dernière fois », c’était pour cette première partie de la soirée. Elle continua comme ça, avec en prime un bel enculage de Bertrand par Pierre. Ce dernier était bi, et il en fait découvrir les délices à Bertrand…
Depuis, je les revois souvent…
Un plaisir immense, à l’état brut !
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