textes érotiques

Mercredi 22 février 3 22 /02 /Fév 17:59

D'après Sohie de R

 

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J'ai rencontré Bertrand chez Valérie, ma meilleure amie. Valérie a toujours su s'entourer de beaux mecs, qu'elle n'hésite pas à manger en fonction de ses envies. Bertrand faisait partie de la liste. Il était tout à fait mon type de mec, un beau black au crâne rasé, avec un regard brillant qui vous transperce et vous envoûte. Il m'a rapidement plu et après une soirée de drague intensive, j'ai accepté son invitation chez lui le lendemain pour « prouver

J'ai fantasmé sur Bertrand toute la nuit, je me suis imaginée ses mains et sa bouche visitant tout mon corps. J'ai laissé libre cours à mon imagination, et à mon habitude, je me suis caressée à plusieurs reprises.

 

Nue sur mon lit, mes mains et mes doigts m’ont provoqué un orgasme libérateur.

J'avais envie de me montrer très sex, de partager avec elle mes intentions pour la soirée. Mon appel l'a amusée. Quelques minutes plus tard, elle était chez moi et me présentait une petite robe noire avec un large sourire.

Valérie a toujours envié mes seins fermes et mon 100C, je n'ai donc pas été surprise lorsqu'elle m'a conseillé d'afficher ma poitrine nue sous le décolleté très ouvert de sa robe.

 

J'ai suivi son conseil et elle m'a accompagnée pendant toute ma préparation. Nous nous sommes quittées devant ma voiture. Son dernier geste a été de m'arrêter alors que je tirais sur sa robe qui dévoilait, à mon goût, trop largement mes cuisses. Elle m'a fait promettre de ne plus y retoucher de la soirée. Nos regards échangés sont devenus bien plus coquins.

 

Lorsque Bertrand m'a ouvert, la robe choisie par Valérie a fait son effet. Son regard passait régulièrement de mes seins à mes jambes.

Plus la soirée avançait et plus j’avais envie de lui. Visiblement, mon envie était partagée.

 

Aucun des fantasmes que j'avais imaginé ne se déroulait sur un balcon, et c'est pourtant vers lui que je me suis dirigée mon verre à la main. Je voulais simplement lui donner l'occasion de se rapprocher plus librement. En tout cas, j'étais loin d'avoir prémédité ce qui s'est passé par la suite, même si j’avais une envie terrible de lui…

Je m'étais accoudée à la balustrade, pour admirer la vue magnifique qu'offrait son balcon. On pouvait voir la mer au loin. Je sentais le vent marin caresser mes cuisses et remonter, pour s'engouffrer sous ma robe. J'étais impatiente que Bertrand me rejoigne, et lorsqu'il a allumé a lumière du balcon, je ne me suis pas retournée.

Je voulais qu'il puisse regarder à sa guise mes jambes dénudées et mes fesses tendues. J'espérais qu'il vienne s'accouder près de moi. Mes espoirs furent comblés, quand Bertrand est doucement venu se coller derrière moi.

Lorsque ses mains ont alors commencé à glisser sur mes cuisses. Je me suis plaquée fortement contre son bas-ventre, bougeant mes fesses doucement. Mais mon geste était sans équivoque !

 

Sans la moindre hésitation et sans se soucier du fait qu'il relevait amplement ma robe au passage, il a commencé à remonter sa main droite pour venir caresser mes lèvres intimes, au travers de mon string déjà bien humide.

Il était très habile. Je n'ai offert aucune résistance ou n'ai fait aucun geste pour réajuster ma robe alors que je me tenais sur un balcon bien éclairé, offerte aux regards des passants et des voisins !

 

J'étais partagée entre l'envie de me retourner pour l'embrasser et celui de ne surtout pas bouger pour l'inciter à continuer. Bertrand a compris l'invitation. Sa main droite s'est glissée dans mon string, tandis que son autre main est venue se poser sur mes fesses, pour les malaxer fermement. Je me suis cambrée, et j'ai émis un petit bruit de plaisir. Sa main droite faisait des miracles avec mon clitoris et j'ai laissé sa deuxième main remonter ma robe au-dessus de mes hanches.

 

Je me rappelle avoir regardé rapidement autour de moi, consciente de me montrer indécente. Je savais que nous pouvions être surpris à tout moment, mais je n'avais pas envie de l'arrêter.

Mais en fait, j’étais très excitée par cette situation d’exhib potentielle.

 

Ses mains sont remontées lentement, et j'ai tendu de plus belle ma croupe, ne gardant qu'une main pour me soutenir contre la balustrade, pendant que de l'autre, je commençais à caresser mes seins.

Loin d'avoir peur d'être vue, je cherchais maintenant du regard un éventuel voyeur, pendant que je sentais les mains de Bertrand remonter le long de mes cuisses, l'une par devant et l'autre par derrière.

Deux doigts de sa main droite sont venus se glisser entre les lèvres trempées de mon sexe, tandis qu'un doigt de sa main gauche s'est arrêté contre l'entrée de mon anus, l'ouvrant un peu.

Ses doigts se sont ensuite activés en moi, entrant progressivement plus profondément à chaque mouvement. Chaque progression de la main droite était accompagnée par une progression de la gauche.

C'était délicieux.

 

Tous mes sens étaient à l'écoute de ses doigts, de la lente progression de son majeur dans mon anus. Je sentais ma rosette se dilater, s'ouvrir et l'empresser d'aller toujours plus loin.

Le regard vague sur les lumières des maisons avoisinantes, je me faisais délicieusement doigter des deux côtés sur son balcon bien éclairé. J'étais offerte à m'importe quel voyeur. Je ressentais un plaisir d'une extraordinaire intensité.

Sans me retourner, je me suis redressée pour me coller à Bertrand, prenant soin de conserver d'une main ma robe bien relevée, pendant que de l'autre, je me frayais un chemin derrière mon dos pour chercher son sexe.

Je voulais sentir sa queue nue et chaude dans mes mains, contre mon corps de plus en plus impatient.

 

Bertrand profita de cet instant pour arrêter de me branler. Il remonta ses mains sur mes épaules. Il descendit les bretelles trouvées sur mes épaules, libérant ainsi mes seins tout en bloquant mes bras serrés le long de mon corps. M'exhiber lui procurait du plaisir et je n'allais pas le décevoir.

 

Le vent caressait ma peau et complétait mon sentiment de nudité, pendant que j'entourais déjà de mes doigts sa bite droite comme un i. Ma main prisonnière derrière mon dos commençait à le masturber, à le découvrir. Elle frottait délicatement son sexe contre ma vulve. C'est à ce moment là, alors que je commençais à me pencher à nouveau en avant tout en écartant au mieux mes cuisses, que mon regard a croisé celui d'un admirateur !

 

Le voisin me regardait sans se cacher, debout sur la terrasse de sa maison, à guère plus de cinquante mètres en contrebas. Il avait les mains dans les poches de son peignoir et me fixait. J'ai senti mon désir se nourrir de son regard, et je ne l'ai pas lâché des yeux lorsque je me suis penchée. C’est alors que le sexe de Bertrand s'est engouffré en moi sans le moindre effort.

 

J'ai offert mon plus beau regard de vicieuse à cet inconnu et j'ai accentué mon mouvement de recul contre le sexe Bertrand. Je voulais qu'aucune ambiguïté ne lui soit permise sur ce que je venais de faire. Je me rappelle avoir même léché sensuellement ma lèvre supérieure, pendant que le sexe de Bertrand s'enfonçait en moi.

 

Sa réaction fut immédiate. Ses mains sont venues s'accrocher à mes hanches pour imprimer un mouvement de va et vient puissant. D'un geste ferme, il me rabattait vivement contre son sexe, et faisait claquer ses couilles gorgées de sève contre mes fesses. Je pouvais le sentir entrer au plus profond de moi, et ressortir presque entièrement de ma chatte ouverte, avant de le remplir à nouveau pleinement.

 

J'étais comblée. Le souffle court, j'exhibais mon plaisir. Je prenais soin de garder mes seins bien apparents, et de régulièrement lancer des regards de braise à mon voyeur.

Mon meilleur souvenir de cette expérience est sans conteste le moment où, bien empalée sur son sexe au bord de l'éjaculation, Bertrand a relevé mes cheveux pour mieux dévoiler mon visage. D'une main, il les a tenus bien en arrière et a légèrement tiré dessus, me forçant ainsi à docilement relever un peu la tête.  De l'autre main, il glissa deux doigts dans ma bouche pour que je les suce. Jamais je n'avais sucé avec autant de vice deux simples doigts.

 

Mes yeux ne quittaient pas mon voyeur, j'imaginais son sexe dans ma bouche en suçant les doigts de Bertrand. Ses doigts accompagnaient maintenant les mouvements lents et profonds de son bassin. À ce moment précis, je voulais tout, j'aurais tout accepté. J'ai senti Bertrand se tendre pour aller encore plus loin en moi, puis le soubresaut annonciateur de son éjaculation. Les spasmes de son sexe ont déclenché en moi un orgasme fulgurant. J’ai voulu crié, mais mes cris ont été étouffés par les doigts de mon nouvel amant.

 

Je l'ai accueilli les yeux ouverts et rivés sur le voisin, espérant de tout cœur qu'il puisse y lire que mon orgasme lui était aussi dédié, que dans ma bouche, c'était son sexe que j'imaginais.

Je n’allais d’ailleurs pas l’imaginer très longtemps…

Le temps que je reprenne mes esprits, le voyeur avait disparu. J’étais réellement désappointée. J’avais encore envie de sexe, et il n’était plus là pour nous mater !

Quelques minutes plus tard, alors que Bertrand me caressait sur le divan du salon, que nous venions de réintégrer, on sonna à la porte.

 

Il eut l’air surpris, et m’affirma n’attendre personne. Il alla cependant ouvrir, après avoir passé une serviette autour de ses hanches. J’entendis une voix masculine, mais sans pouvoir saisir la conversation. Après quelques minutes qui me parurent très longues, il revint, accompagné de notre voyeur. Je restais bouche bée…

Il m’adressa la parole :

« Votre ami a la bonté de me laisser venir vous parler. Je vous ai bien observés, tous les deux, et je crois, que vous, jeune demoiselle, vous avez envie de bien plus ce soir… je me trompe ? »

 

Je rougis jusqu’aux oreilles, et je ne sais que répondre. Bien sûr, il a raison ! Mais l’admettre, comme ca, devant mon nouvel amant… je ne sais que faire…

Je regarde les deux hommes alternativement, et je constate qu’ils bandent tous les deux ! Cette vision emporte mes dernières hésitations.

« En fait, vous avez raison… Si Bertrand veut bien, je suis aussi à vous ce soir… »

 

Bertrand sourit :

« Je ne te savais pas si garce, Valérie ne m’avait rien dit. Mais j’adore ça ! »

 

Le nouvel arrivant, Pierre, s’assied près de moi. Il ne s’encombre pas de gestes inutiles. Il découvre ma poitrine, que j’avais tenté de cacher à son entrée. Et, sans plus de cérémonies, aspire la pointe de l’un de mes seins. Bertrand approche, et avale l’autre. Je suis aux anges ! Leurs mains se promènent sur moi, et des doigts viennent fouiller mon vagin encore plus humide que tout à l’heure. Je me dis que je ne suis qu’une salope, à être là, à baiser avec deux inconnus, ou presque.

 

Pierre se laisse glisser au sol, et attaque ma chatte avec sa bouche. Bon sang, qu’il lèche bien !!! Bertrand maltraite mes seins, et j’adore cette caresse violente. Je ne tarde pas à jouir sous ces caresses combinées.

 

Pierre prend la parole :

« Tu m’as bien allumé, tout à l’heure, quand tu suçais les doigts de ton ami… Maintenant, tu vas avoir ma vraie bite dans la bouche ! »

 

Aussitôt dit, aussitôt fait. Il se lève, et me présente sa belle bite raide. Sans attendre, je la gobe, comme un gros sucre d’orge. Je mets toute ma science à le pomper à fond, le sucer, l’avaler. Je l’aspire au fond de ma gorge. Je savoure ce bâton de chair, qui me pilonne la bouche sans répit.

Bertrand ne perd pas son temps, et pendant que je suce comme une salope le voyeur, il écarte mes jambes, ouvre ma chatte dégoulinante de salive. Il s’exclame, vulgairement : 

« Putain, quand je t’ai baisée sur le balcon, je n’avais pas vu ta grosse chatte… Elle est bandante. Tu vas voir comme je vais te la défoncer !!! »

 

Il joint le geste à la parole, et sans ménagement, s’enfonce brutalement dans mon con qui n’attend que ça. Me voilà prise entre eux deux, baisée par deux chibres qui me font grimper au 7ème ciel ! Je me découvre garce, et j’aime ça !!!

 

Je suis secouée par les deux hommes, qui me besognent très fort. Alors que Bertrand intensifie ses va et vient, je sens monter la tempête en moi. Pour ne pas broyer la bite de Pierre, je le fais se retirer. Alors que je vais jouir, je le vois, stupéfaite, se déplacer près de Bertrand, et lui fourrer son pieu sous le nez, lui frotter la bouche… Et Bertrand de l’ouvrir sans moufter. Je suis aux anges !

Comme vous le savez maintenant, cette vision est la meilleure pour moi : un homme qui en suce un autre !!!

 

Bertrand avale d’un trait le gros sexe, et je vois es joues se gonfler sous l’intrusion. De vois coulisser ce pieu dans la bouche mâle de mon baiseur, plus la pénétration forte, je jouis encore plus fort que tout à l’heure. D’autant que là, je peux crier, hurler à loisir !

 

Bertrand n’arrête pas pour autant de me bourrer le vagin profondément. Il continue aussi sa pipe d’enfer. Pierre est agité d’un soubresaut bien connu : il va jouir. Il se retire un peu, et un gros jet de foutre blanc s’écrase sur la lèvre de Bertrand, qui va le chercher de sa langue. Il finit de gober, de lécher le sperme chaud, et semble s’en délecter.

 

Bien que je vienne de jouir, je suis vraiment dans un état d’excitation maximal.

Bertrand le fixe dans les yeux :

« Mon vieux, tu vas pas t’en tirer comme ça !!! A toi de me sucer, gros porc ! » Je ne sais pas s’il plaisante, ou s’il est furieux… »

 

Il bouscule Pierre, qui tombe sur le canapé derrière moi. Il sort de ma chatte, que je trouve bien vide, tout à coup…

Il se lève, et enfourne sa bite pleine de ma mouille dans la gorge du voisin. Il lui baise littéralement la bouche, à grands coups de bite dans la gorge. Pierre semble un peu suffoquer, mais tient le rythme. Moi, je n’en peux plus : je me branle tant que je peux, j’offre à la vue des deux hommes qui me matent, ma chatte béante et avide. Juste avant que Bertrand n’éjacule en gros jets crémeux, je jouis une dernière fois en enfonçant quatre doigts dans mon con brûlant.

 

Enfin, quand je dis « une dernière fois », c’était pour cette première partie de la soirée. Elle continua comme ça, avec en prime un bel enculage de Bertrand par Pierre. Ce dernier était bi, et il en fait découvrir les délices à Bertrand…

 

Depuis, je les revois souvent…

Un plaisir immense, à l’état brut !

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Jeudi 16 février 4 16 /02 /Fév 19:10

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Je souris en constatant que tu as remarqué le "langage de grosse salope" que j'ai utilisé.

Bien sur que je n'avais jamais imaginé employer de telles expressions et je craignais que cela soit surfait tant elles ne me sont pas très naturelles.

Ceci dit j'aimerais les entendre quand je serai avec des hommes en qualité de putain, rien que d'entendre et d'être empoignée comme une chienne me fera à coup sur jouir comme...une bête.

.

Quant à ta bite j'en ferais un bon usage en la laissant découvrir tous mes trous et en espérant que je te comblerai en me laissant prendre par tous mes orifices simultanément.

 

 

 

 

Les mots que tu emplois à mon égard sont pour moi des éloges qui me mettent en chaleur et me font vivre par anticipation cette dépravation que tu attends de moi.

Il me suffit de te lire ou de me remémorer les photos que tu m’envoies pour qu'une irrépressible envie de jouir naisse au creux de mes reins et dans mon ventre avec le gonflement de mes seins dont les tétons durcissent comme s'ils bandaient.

Cela me rassure d'être ta putain, de ne pas avoir à décider qui utilisera mon corps et de quelle manière sans être obligée de discuter car tout sera clair dans l'esprit de tous sans que j'ai à m'expliquer ou à justifier la perversité de mes désirs.

Oui, tu pourras me bourrer par tous mes trous comme le propriétaire que tu es devenu de mon corps, et même si je jouis à la pensée de me faire mettre par de nombreuses queues sache que c'est toi, et seulement toi, qui décideras de "m'offrir" en cadeau à tes connaissances.

Le corps recouvert de sperme, j'accepterai la coupe dont tu m'avais parlée au début.

Il me plaira d'exciter par ma dépravation ceux à qui tu me destines et qui après m'avoir réduite au rôle de chienne et de bête à plaisirs viendront pisser sur ce corps sans secrets pour eux et, pourquoi pas, sur mon visage où ma bouche sera ouverte.

A bientôt Maître, pour l'instant je vais prendre un bain sans oublier mon plug...

Ta putain.

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Epicuriens et libertins
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Mercredi 15 février 3 15 /02 /Fév 18:11

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Paule est une magnifique femme, la quarantaine bien épanouie qui un beau jour ou plutôt un beau soir, après avoir découvert mon blog et échangé quelques mails avec moi s’est aperçue que la sexualité qu’elle avait menée jusqu’à ce jour était bien éloignée de ses fantasmes et de ses désirs.

Elle la belle bourgeoise du Sud a ressenti le besoin d’autre chose ; ses désirs de soumise l’ont submergée et elle est devenue mienne. Je précise que tout ceci est pour le moment virtuel, mais chaque jour qui passe la rapproche de celui où elle franchira le pas, car tel est son désir ; elle a beau dire non, son corps et son esprit disent oui, encore.

Elle rêve de queues, d’introductions multiples, de sodomies profondes, de gangsbangs.

Elle se réveille souvent la nuit et ne peut plus contrôler ses mains et ses doigts qui s’affairent sur son sexe  béant, brûlant et coulant, un plug dans son cul et ne peut se rendormir qu’après une longue jouissance

Je suis son maître, et je sais que bientôt je pourrai l’offrir aux hommes et aux femmes qui feront de son corps un jouet, une poupée de plaisir, ce sera son choix.

 

Je vous livre ses écrits, où elle expose ses envies de plus en plus torrides

 

Peter

 

 

 

 

Tu connais bien mes désirs mon tentateur !

C'est la position de mes rêves tu le sais, mais moi j'aurai pris ce sexe dans ma bouche pour le sucer au rythme de la queue qui me défoncerait cette rondelle qui sera pour toi un  trou que je voudrais béant afin que tous sachent que je suis une enculée, ton enculée.

Je veux mon cul ouvert pour le donner et que l'on entre en moi sans difficulté même si je crains que cela me fasse perdre la jouissance de l'agréable douleur provoquée par le gland qui force l'entrée avant de s'enfoncer.

Mais on ne peut tout avoir et à choisir je préfère avoir le cul défoncé.

J'imagine ces hommes pour lesquels je serai la putain que tu leur auras désignée et découvrant lorsqu'ils viendront sur mon dos que leur bite pourra facilement me sodomiser.

Je les entends déjà jouissant dans mon cul, me tenant par les hanches ou me tirant les cheveux en m'insultant d'avoir ce cul dans lequel tant de bites les auront précédés, blessés dans leur fierté de "mâle" de constater qu'ils ne sont pas les premiers à m'enculer, oubliant que s'ils peuvent prendre aussi facilement mon cul c'est justement parce que tu m'as rendue putain.

Je jouirais surement autant de leurs comportements à mon égard que de leur sexe dans mon cul.

Pas de mots doux qui viendraient "polluer" ces moments, juste des mots crus ou pas de mots du tout même. Rien que des actes signifiant que je ne suis rien pour eux, juste une bête servant leurs plaisirs, une chienne, une truie, ou la pouliche que tu auras dressée.

Voila ce que je pense Maitre

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Dimanche 12 février 7 12 /02 /Fév 23:24

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   Lise pousse un petit cri aigu et oublie complètement le jeu. C’est extraordinaire, cette haleine chaude qui pénètre à travers l’étoffe et l’envahit, tandis que les deux doigts continuent à la fouiller profondément

-        Elle a crié comme vous, Madame Lise. Mais à ce moment là, j’ai senti brusquement quelque chose dans mon dos. C’était Angelo qui me retroussait, par derrière, qui me baissait mon slip, et qui m’enfonçait son machin d’un coup, jusqu’au fond. Heureusement que j’étais trempée moi aussi sinon il m’aurait déchirée, le voyou ! Mais, comme ça, c’était bien, il était énorme…

-        C’est presque dommage que Philippe dorme, murmure Lise, le visage tourné vers la porte.

-        Oh, mais il ne voudrait pas jouer à ces jeux là, murmure Amanda ; et surtout pas la suite, attendez ! C’était comme s’ils avaient réglé leurs mouvements d’avance. Au moment où Angelo entre, la petite baisse son slip, écarte les jambes et se colle contre ma bouche, comme ça, Madame Lise.

   Lise qui tient sa jupe troussée jusqu’à la taille, voit l’Italienne faire descendre son slip sur ses jambes, lui ouvrir la fente avec les pouces, approcher les lèvres…Et, aussitôt, elle pousse un nouveau cri, plus aigu. Qu’importe Philippe ! Tout ce qui compte maintenant, c’est cette langue qui la fouille, ces lèvres qui la sucent…

-        C’est merveilleux, ce goût, dit Amanda, haletante, et j’aime vous entendre crier, Madame Lise, comme l’autre coquine. Mais à peine avait-elle crié, que, comme sur un signal, Angelo se retire, puis revient mais…ailleurs, je ne sais pas comment vous dire, Madame Lise, je sens sa bite se pousser là où elle ne devrait pas être, et entrer de plus en plus loin. J’essaye de m’écarter, mais il me tenait bien, le voyou, il avait mis une main entre mes cuisses et enfoncé trois doigts, allez bouger quand vous êtes comme ça, et puis j’étais terriblement excité, il ne m’avait jamais prise ainsi. Ça m’avait fait mal, au début, mais plus il s’enfonçait, plus ça devenait agréable et quand il est arrivé tout au bout, c’est devenu formidable, je sentais son sexe aller et venir dans mon ventre, et la petite qui nous regardait en criant et en jouissant dans ma bouche…ah ! Lise, Lise, je n’en peux plus…

 

Lise n’en peut plus, elle non plus, elle se laisse tomber sur le tapis, étreint l’Italienne qui gémit, lui arrache son corsage, sa jupe, lui écarte les cuisses, plonge la tête dans la toison noire et suce goulument les lèvres ruisselantes. Le gémissement d’Amanda monte à l’aigu, puis s’interrompt.

-        Attends, attends, halète-t-elle, moi aussi, comme toi…

   Des vêtements volent dans la pièce, Lise voit le beau corps blanc l’enjamber, le sexe rouge et noir s’abaisser sur sa bouche tandis que la tête d’Amanda disparaît dans son buisson cuivré…

Puis elle voit aussi la porte s’ouvrir et Philippe entrer, rouge comme un coq, tout nu, la verge en avant. Il marche vers le couple tête-bêche, que secoue un lent mouvement de roulis, puis s’arrête, les bras ballants, l’air indécis.  «  Il ne sait plus par quel bout nous prendre ! » songe Lise, amusée, malgré sa folle excitation. Elle lui tend les mains. Philippe s’agenouille derrière Amanda dont les fesses luisent comme deux conques de nacre au-dessus du visage de Lise qui sourit au jeune homme, et prend dans la main la tige dure qui la domine. Elle la caresse sur toute sa longueur, retrousse la peau sur le gland distendu, se crispe autour de la base. Puis de l’autre, elle entrouvre les fesses d’Amanda. L’Italienne gémit, se cambre, creuse les reins.

-        Amanda, souffle Lise, il manquait quelque chose à notre jeu, quelqu’un plutôt. Il est là, Philippe est là, tu le veux ?

   Les fesses s’écartent un peu plus, comme en réponse.

-        Tu le veux là où Angelo t’a prise ?

   Les fesses s’ouvrent d’avantage, l’orifice sombre apparaît, palpitant, au milieu de la raie noire et rose. Lise prend le sexe brandi, le place contre le bourrelet de chair.

-        Va ! ordonne-t-elle d’une voix rauque.

   Philippe pousse. Il voit son gland écarter peu à peu l’anneau de chair qui se contracte, se détend, se contracte à nouveau. A chaque spasme il s’enfonce un peu plus. Puis, d’un seul coup, son  gland s’engage jusqu’à la base, Amanda redresse la tête, pousse une plainte sourde. Aussitôt, Lise tend la bouche et, la langue tendue, se met à fouiller largement la fente rouge ouverte devant elle. La plainte d’Amanda se transforme en un halètement rauque.

-        Oui…oui…enfonce…encore…Là…Je te sens descendre…Oui…

   Philippe glisse lentement dans le fourreau brûlant qui le serre à lui faire mal. Il a l’impression que son gland va se déchirer sous les contractions spasmodiques, de plus en plus rapides. Sous ses mains, les fesses d’Amanda sont devenues dures comme du marbre. La tête de l’Italienne est à nouveau plongée entre les cuisses de Lise qui, les yeux grands ouverts, darde la langue dans le creux rouge sang qui bée au-dessus d’elle.

   Soudain Lise détourne la tête, regarde Philippe, lui sourit.

-        Elle va jouir, souffle-t-elle ; mais toi, ne jouis pas, chéri, je veux que tu jouisses dans moi.

   Et, comme si elle voulait arrêter le plaisir que Philippe sent monter en lui, elle saisit d’une main le sac de peau qui pend entre les jambes du jeune homme et le presse si fortement que Philippe pousse une plainte.

-        Et maintenant, fais-la jouir, elle !

   Philippe se cabre, donne un coup de reins, puis un autre. Amanda se redresse sous les secousses et gronde.

-        Là, oui, comme ça, que c’est bon, que tu m’encules bien !

   L’étui de chair se resserre encore, Amanda halète, crie des syllabes sans suite, gémit, râle, sanglote en répétant sans cesse le même mot italien que Philippe ne comprend pas et s’affale enfin sur le côté, le corps parcouru de frissons. Lise se dégage, se redresse sur les genoux. Les cheveux fous, les yeux étincelants, elle fixe sur Philippe un regard impérieux.

-        A moi ! dit-elle.

   D’un geste elle désigne le lit, s’y précipite, les cuisses écartées, comme l’autre fois. Philippe se rue sur elle. Mais au moment où il va la prendre, elle s’écarte.

-        Etends-toi sur le dos.

   Il obéit sans comprendre. Il voit Lise lui tourner le dos, l’enjamber, s’accroupir et se laisser descendre sur le pieu qui l’empale.

-        Amand, viens !

   Toujours la voix impérieuse. L’Italienne obéit, elle aussi, se lève, s’approche du lit.

-        Couche-toi là, devant nous, lèche-nous tous les deux en même temps.

   Presque aussitôt, Philippe sent sur la base de sa queue, sur ses couilles, le long de la raie des fesses une langue chaude qui passe, disparaît, revient. Des lèvres se pressent à l’endroit exact où il s’enfonce dans Lise qui accélère son va-et-vient en grondant.

-        Oui, lèche, encore, mon bouton maintenant…Là…Lèche-le, mords-le doucement. Mords-moi aussi…ta langue, ta langue sur mon bouton…plus vite…Et maintenant Philippe, maintenant, tu peux jouir…Va…va…va…

   Philippe éclate, se répand, se vide, son gland le brûle comme s’il était à vif. Chaque spasme est si violent qu’il a l’impression de ne plus pouvoir en émettre un autre. Mais chaque fois, une contraction de Lise lui arrache une autre parcelle de substance qui gicle, s’écoule, remplit la chatte, glisse jusqu’à la bouche d’Amanda qui s’affole, s’ouvre, lape goulûment les traînées de plaisirs mêlés. Lise hurle, d’une voix que Philippe ne lui a jamais connue. Puis le hurlement s’interrompt net, le beau corps brun s’arque, se détend, s’écrase contre celui de Philippe qui se sent couler dans une torpeur irréelle.

   Quelques minutes ou quelques siècles plus tard, des lèvres fraîches se posent sur les siennes.

-        Je pars Philippe, il faut que j’aille chercher Jacques chez le dentiste.

   Jacques…Le dentiste…C’est donc pour le conduire chez le dentiste que Lise l’avait pris dans sa voiture…Philippe sourit sans ouvrir les yeux.

-        Mais toi reste, continue Lise ; Amanda serait ravie de t’avoir un peu à elle, n’est-ce pas Amanda ?

-        Oh oui, souffle une voix toute proche tandis qu’un corps potelé et soyeux se presse contre Philippe.

-        A moins que tu ne sois trop fatigué, dit Lise ; Amanda, crois-tu qu’il est trop fatigué ?

   Philippe sent deux mains étonnamment douces, le palper et, aussitôt, la chaleur se rallume au fond de son ventre.

-        Je ne crois pas, Madame Lise, dit la voix d’Amanda : regardez…

-        Superbe, dit Lise en riant ; eh bien je vous laisse, mes tourtereaux. Amanda, déjà !!!

-        Ce ne sont plus des doigts qui palpent Philippe. C’est une bouche, une langue, des lèvres pulpeuses.

-        Ah ! Vous êtes bien beaux tous les deux, soupire Lise, et si je n’avais pas à faire…C’est égal, Philippe, j’espère que tu ne traiteras plus jamais Amanda de couturière imaginaire…

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Vendredi 10 février 5 10 /02 /Fév 17:17

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-        Bonnejourrr, Madame Lise, je vous attendais…Ah ! Vous avez amené un ami !

   La différence de ton entre les deux phrases est évidente aux oreilles de Lise, et elle comprend, elle partage presque la déception qui apparaît clairement dans la seconde.

-        Bonjour Amanda, dit-elle avec un petit sourire d’excuse ; voici Philippe, mon neveu ; il a absolument tenu à vous rencontrer…

   Son sourire se nuance de malice et d’une sorte de complicité. Amanda hausse les sourcils, considère Philippe avec intérêt, s’efface pour laisser entrer le couple dans le petit salon plongé dans la pénombre.

-        Philippe, dit Lise, a beaucoup admiré la robe de Schéhérazade.

-        C’est vrai, dit Philippe, sincère.

-        Oui, elle est belle, dit Amanda, sans fausse modestie ; et excitante, non ?

   Philippe rougit un peu. Les yeux d’Amanda brillent étrangement quand ils se posent sur Lise. Et il y a quelque chose dans cette voix de gorge, un peu rauque, qui lui fait passer un frisson dans le dos. Il regarde plus attentivement la couturière…Belle ? Oui. Mais ce n’est pas ce qui frappe le plus. Belle, mais surtout excitante, comme la robe, la robe qu’elle a dû faire à son image, comme sa voix…  « La voix de Lise quand je la pénètre, quand elle jouit ».

-        Vous allez bien prendre quelque chose, dit Amanda en se dirigeant vers un buffet.

   Philippe la suit des yeux tandis qu’elle s’éloigne, se penche, se redresse une bouteille à la main. Quel corps ! Ce n’est pas le corps de Lise, souple, dur, aux muscles déliés. Chez Amanda, tout est potelé, plantureux, arrondi en courbes douces, voluptueuses. Les seins frémissent sous le corsage décolleté et, quand elle se penche pour verser un liquide doré dans les trois verres disposés sur la table, Philippe peut voir le haut des globes ronds, satinés, aussi blancs que Lise est brune. Son trouble est si évident qu’Amand tourne vers Lise un regard amusé, intrigué, auquel Lise répond par un petit sourire complice.

-        Délicieux, ce vin, dit-elle, un muscat, non ?

-        Oui, un muscat de mon pays, vous n’en trouverez jamais de pareil dans le commerce. Il vous plaît ? demande-t-elle à Philippe, qui vient de vider son verre d’un trait sans même s’en apercevoir.

-        Barbare ! gronde Lise ; ça doit se boire à toutes petites gorgées, du bout de la langue presque.

-        Ce n’est rien, dit Amanda en remplissant le verre de Philippe ; ça prouve qu’il avait soif, ce jeune homme.

-        Mais venez donc vous asseoir entre nous, dit Lise, en tapotant la place libre sur le canapé de velours rouge.

-        Ma foi, bien volontiers, dit la couturière ; toute la journée à coudre, vous ne pouvez pas vous imaginer ce que cela fait mal au dos…Alors, Madame Lise, tout va comme vous voulez ?

   Contre sa cuisse, Philippe sent le contact furtif de la cuisse d’Amanda. Il a un mouvement machinal pour se reculer, puis s’interrompt. Pourquoi après tout ? Il ne fait rien de mal et c’est plutôt agréable, cette pression, presque aussi agréable que la chaleur qui se répand, peu à peu, dans sa poitrine, dans son ventre…Ce muscat est réellement un délice.

-        Tout va bien, dit Lise, sauf que les vacances se terminent, hélas.

-        Alors, on va vous perdre de nouveau, soupire Amanda.

   « Formidables, ces Italiennes ! Elles ont l’air de vous dire des mots d’amour même en parlant de la pluie et du beau temps ! Et ces yeux ! Il y a des moments où j’ai l’impression qu’elle n’a qu’une envie : que je lui saute dessus tout de suite ».

-        Et vous, Monsieur ? demande Amanda en remplissant son verre une fois de plus.

-        J’ai encore quelques semaines de grâce, dit le jeune homme.

-        Très bien. Alors j’espère qu’on vous reverra peut-être par ici…

-        Les  « r » roulent en rafales. Mais cette particularité que Philippe trouverait peut-être ridicule en toute autre occasion, lui semble ajouter encore au charme d’Amanda. D’autant plus que la cuisse, pressée contre la sienne, est, lui semble-t-il, de plus en plus proche et de plus en plus chaude…Ou est-ce le vin, décidément exquis ?

   Amanda raconte les vendanges.

-        Nous les femmes on regarde par la fenêtre, parce que la fête, c’est seulement pour les hommes…

-        Triste ça dit Philippe, avec un coup d’œil qui se veut provoquant.

-        Oh, mais, dit Amanda en lui retournant son coup d’œil, nous les femmes on se rattrape après.

   Elle pouffe dans sa main comme une petite fille.

-        Mais qu’est-ce que je raconte, moi ! Allons faire l’essayage, votre robe est bien avancée. Nous allons dans l’autre pièce, ou alors…ajoute-t-elle avec un regard hésitant vers Philippe.

-        Nous allons à côté, tranche Lise ; Philippe a la bouteille pour lui tenir compagnie. Nous, nous allons nous amuser entre nous, Amanda, comme dans votre pays, et si nous avons besoin d’un homme, nous lui ferons signe…

   Elles disparaissent en riant, Philippe les suit d’un regard un peu trouble. Est-ce qu’il a rêvé, y avait-il vraiment une intonation particulière dans la voix de Lise, quand elle a prononcé cette phrase ? Et ce clin d’œil qu’elle lui a lancé juste avant de passer la porte !!!Qu’est-ce qu’elles ont à rire, là-bas ? Un comble ! Lise se venge de ce qu’il l’a soupçonnée, suivie. Et maintenant, elle raconte tout à l’autre, sinon pourquoi ces chuchotements, là-bas, de l’autre côté de la porte ?

   Philippe se lève furieux, prêt à partir, mais avant, il vide un autre verre, cul sec, fait un pas vers la porte d’entrée, s’immobilise…Pourquoi ne pas essayer de voir ce qu’elles fabriquent à côté ?

   Dès qu’elle est entrée dans le salon d’essayage, Lise s’est penchée à l’oreille d’Amanda

-        Je ne voulais pas l’amener, c’est lui qui m’a suivie

-        Ah ! je comprends, mais qu’il est beau !

-        Il te plaît ?

-        Oh oui ! Il a tellement envie de faire l’amour qu’on voit qu’il bande rien que dans ses yeux !

-        Donnons-lui une leçon.

   Lise tend la main vers le corsage rebondi de l’Italienne, presse doucement les seins superbes. Amanda soupire, pousse un petit gémissement qu’elle interrompt aussitôt en ouvrant des yeux effrayés

-        Oh no ! Il pourrait nous surprendre…

   Les yeux de Lise se mettent à briller, ses doigts insistent sur les pointes qu’elle sent durcir. Le souffle d’Amanda s’accélère, elle gémit à nouveau sourdement.

 

 

-        C’est une idée ça souffle Lise ; nous allons parler un peu plus fort pour qu’il entende, pour qu’il croie que nous faisons des choses ensemble. Tel que je le connais, il finira par être tellement excité qu’il débouchera ici comme un taureau furieux. Et il nous trouvera là, bien sages et bien décentes, qu’en dis-tu ?

-        J’en dis…J’en dis que si vous continuez à me caresser comme ça, je ne resterai pas très longtemps décente, murmure Amanda.

   Lise sourit, libère les seins palpitants, se tourne vers la porte.

-        Il fait horriblement chaud, chez vous, Amanda, dit-elle d’une voix normale ; si je m’écoutais, j’enlèverais tout, même mes dessous…

-        Mais faites donc, Madame Lise, réplique Amanda les yeux brillants.

-        Je ne vous choquerais pas ?

-        Allons donc ! Au contraire ! Vous êtes si belle, Madame Lise, bronzée comme ça, de partout. Et cette poitrine !

-        La vôtre est belle aussi, Amanda. Je parie que vous ne portez pas de soutien-gorge, montrez…

   Instinctivement la main d’Amanda se porte à son corsage, puis s’interrompt.

-        Magnifiques ! s’exclame Lise ; mais vous aussi, vous avez chaud ma pauvre ! Allons, mettez-vous à l’aise, comme moi ! Entre femmes, il n’y a pas à se gêner !

-        Mais si jamais votre neveu entrait ? demande Amanda.

-        Lui ? Il n’osera pas. D’ailleurs, il doit dormir, votre muscat l’a assommé…Voilà, on est mieux ainsi, non ? Vous êtes superbe, Amanda, vraiment !

-        Dommage que je sois aussi…chevelue, là, en bas, une vraie crinière ! Vous au moins, Madame Lise, c’est blond, c’est soyeux, on dirait des cheveux. Moi, c’est du crin, touchez…

   Cette fois, c’est la main de Lise qui se tend vers le ventre de l’Italienne, se pose sur le mont de Vénus proéminent, s’y attarde.

-        Chut ! Souffle Amanda qui rosit, on joue seulement, non ?

-        C’est vrai murmure Lise avec regret ; c’est incroyable, dit-elle d’un ton plus haut, une vraie forêt ; mais ils ne sont pas si durs que vous le dites, Amanda ; ici, entre les cuisses, écartez-vous un peu, ils sont très doux, comme les miens, tenez…ici…

-        Oh, Madame Lise, dit Amanda d’une voix un peu rauque, comme elle est agréable votre main, si vous saviez…

-        Je ne demande qu’à savoir, dit Lise, que cette petite comédie commence à enfiévrer.

-        Je peux, vraiment vous toucher…là ? demande l’Italienne.

-        Mais bien sûr, dit Lise en écartant les jambes sans le savoir.

   La main d’Amand glisse sous sa jupe, remonte, caressante, le long des cuisses, un doigt s’insinue sous le bord du slip, écarte la fente, presse le bouton. Lise frémit, se raidit.

-        C’est bon n’est-ce pas ? dit Amanda.

-        Exquis, murmure Lise en reculant d’un pas ; mais si nous commencions cet essayage, Amanda ? Et racontez-moi où vous en êtes avec votre Angelo et sa petite coquine. Vous avez recommencé à trois ?

-        Eh bien oui, avoue Amanda ; je m’étais bien jurée pourtant…Il faut dire qu’il m’a prise par surprise, le voyou. Il est donc revenu avec sa coquine, comme vous dites si bien, mais cette fois, me dit-il, c’était vraiment pour un essayage, et rien d’autre. Elle voulait un ensemble pantalon-boléro. Je lui prends ses mesures, tout se passe normalement. J’arrive à la longueur de jambes. Je place mon mètre ruban, ici, au pied, je me mets à genoux devant la petite et je remonte ma main, comme ça, jusqu’à l’entre-jambe, comme je vous fait Madame Lise. Et voilà que dès qu’elle me sent là, elle portait pourtant un slip, la petite se met à gigoter comme une folle, à se frotter sur ma main.

   « Eh là, pas de ça, on travaille », je lui dis. Elle fait semblant de ne pas entendre, elle se frotte plus fort, je la sens qui devient toute chaude, tout humide et ça commence à me faire quelque chose, vous me comprenez, Madame Lise, mettez-vous à ma place…

-        Oh, je comprends très bien, à moi aussi, ça commence à me faire quelque chose, Amanda.

-        C’est vrai ? Laissez-moi voir, Madame Lise.

   L’Italienne se met à genoux, la main disparaît sous la jupe, le doigt reprend sa place sous le slip. Lise le sent glisser dans sa fente, s’enfoncer lentement. Et, cette fois, elle n’a plus le courage de reculer.

-        C’est vrai, dit l’Italienne d’une voix de plus en plus rauque ; vous êtes encore plus mouillée qu’elle, Madame Lise. Alors, en sentant ça, je n’y tiens plus, je glisse un doigt sous son slip, puis un autre, comme ça, vous sentez, puis j’approche ma bouche, comme ça, et je souffle du chaud sur son mont de Vénus à travers le slip, comme ça, Madame Lise…

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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