Mardi 1 mai
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23:56
Elle avait disparu de mon univers, brusquement, désirant fuir les démons qui la hantaient.
Cette belle bourgeoise qui se sentait dévorée par des envies de sexe et de sexes a voulu se ranger, mais sa libido la rattrapée et la voici qui me
recontacte avec de nouvelles envies, une chaleur constante de son entrejambe mouillé qui l'empêche de dormir.
Telle une succube elle gémit seule de plaisir en réclamant son maître, son démon, son Satan.
Elle essaie de le, de me séduire, sachant combien son corps ouvert à tous mes jeux et contamment disponible, m'excite et me fait
bander
je vous livre ce qu'elle m'écrit
Libre à toi
de publier ou pas ce mot qui ne fait que continuer nos conversations après une (trop ?) longue absence rompue autant par la nostalgie que par les désirs que tu sais réveiller en moi qui m’étais
pourtant promise de mener la vie confortable de la femme insoucieuse des contingences matérielles.
Mais que ce confort est parfois dur à supporter quand
dans les rêves me reviennent en mémoire les pans de mes expériences de soumise ou des rencontres faites !
Que tu n’ais pas oublié mon corps est flatteur pour moi
et de te retrouver me procure une douce excitation qu’il n’appartiendra peut-être qu’à toi à faire évoluer vers de puissantes jouissances…
Ton inconnue
Et si j’espère de puissantes jouissances, tu en connais
la raison toi qui m’a tant connue.
Que de finesse, de sensibilité es-tu capable de mettre
en œuvre pour arriver à tes fins et faire de moi celle dont tu veux faire ta chose !
Mes désirs n’ont pour toi plus de secret, rien de mon
corps ne t’est inconnu, c’est la ta force et c’est là ma faiblesse devant toi.
Peu à peu tu sais m’emmener où tu désires que j’aille
sans écouter les raisons qui pourraient faire échec à tes projets.
J’imagine combien tu dois jouir de me savoir à ta
merci, consentante à ma déchéance que tu dis ne pas m’imposer mais que tu pares de tant d’attraits que j’en viens parfois à l’espérer.
Peut-être jouis tu plus de me voir lutter contre tes
désirs en sachant que tu sauras me les faire miens en me faisant miroiter les délices que j’aurais à être humiliée, exhibée, donnée plutôt que de jouir de mon corps.
Et, peu à peu, je me laisse entraîner selon tes
souhaits à la honte de prendre plaisir à me faire appeler « putain » sachant que pour toi ce n’est que le premier pas avant d’accepter de le devenir.
Je sais que tu profite de moi, mais j’aime me laisser
ainsi conduire, honteuse et excitée par l’obéissance que tu me demande.
Depuis que je t'ai recontacté je vis dans
l'excitation de savoir que mon corps fait encore l'objet de désirs et je n'ose imaginer combien ont pu jouir en me regardant
!
J'en viens même à regretter de n'avoir pas regarder
attentivement la présentation que tu consacrais en m'exhibant. Te connaissant ça ne devait pas être banal, j'espère que tu me le diras sans faux fuyant.
Mais en ce moment, c'est l'attente de savoir comment tu
parlera de ton "inconnue" en publiant mes courriers.
Apprendre sur ton blog la nature de tes souhaits, de
tes désirs.
Je découvrirai avec soumission ce que tu voudras faire savoir de moi.
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