PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
Je fais souvent un rêve étrange et obsédant
Où je suis désirée par quatre beaux amants.
Je les admire : ils sont intégralement nus,
Parfaitement musclés et le sexe tendu.
Je leur offre d'abord un langoureux strip-tease
Et je sens leur désir que ce spectacle aiguise.
Me voici, toute nue, encerclée par ces mâles
Tous les quatre habités par la même fringale.
Je sens quarante doigts qui courent sur ma peau.
Ils malaxent mes seins et le bas de mon dos,
M'obligeant à ouvrir très largement les cuisses.
Oui, pour me faire jouir, quarante doigts s'unissent !
Le plus impétueux m’ordonne de le chevaucher
Un autre viole mes fesses pour me sodomiser !
Un autre, dans ma bouche, offre à ma gourmandise
Son cylindre de chair au gland bien dégagé
Et j'ai, dans une main agitée, un sexe bien serré.
Quatre hommes à la fois ! Quel bonheur ! Quelle ivresse !
Voici que le premier décharge dans mon ventre.
Le second, à son tour, envoie sa jouissance sur mon cul
Les derniers, sur mes seins, se vident sans scrupules …
Et je me réveille fourbue, trempée …
Loin d’être apaisée …
Lorine
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