textes érotiques

Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 23:26

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Ode au vagin

 Quand une femme est en chemise
Les épaules de marbre blanc,
Le cul, forme encore indécise
Dans les plis du voile tremblant,
Le parfum épars dans la chambre,
L'orteil, le mollet qui se cambre,
Les nichons rosés d'un émoi,
Les bras, la taille forte ou frêle,
Tout t'annonce, tout te révèle,
Rien n'est attirant que pour toi.

Le voile glisse. Extase ! Aurore !
Exquis prélude des bons coups !
Les cuisses te cachent encore,
Mais voici ton poil souple et doux,
Ton poil, touffe d'or ou d'ébène
Que l'on croirait posée à peine
Au bas du ventre point plissé,
Et qui, lentement caressée,
Allonge sa pointe frisée
Comme un triangle renversé.

Mais les cuisses s'ouvrent. Victoire !
Voici le con dans sa beauté,
Sous sa frisure blonde ou noire
Adorablement abrité,
Humide comme une prunelle,
Frissonnant déjà comme une aile
Dans le fouillis des rameaux verts,
Détendu sur sa fente rose,
Et l'air tout de même un peu chose,
Avec son sourire en travers !

La main de l'amant t'entrebâille
Vivante rose de cypris,
Et de tout de suite elle travaille,
D'un doigt léger, le clitoris.
Fin chef-d’œuvre de la nature,
Vit d'oiseau, pine en miniature,
Bouton subitement durci,
Qui, dans l'écartement des lèvres,
Tout baigné d'amoureuses fièvres,
Dresse la tête et bande aussi.

Ô paradis ! Joie étoilée !
Explosion du désir fou !
La langue, la langue effilée,
Toute la langue dans le trou !
Pendant que, de ses mains savantes,
Il étreint les fesses mouvantes
Ou chatouille le bout des seins,
Et que, la chevelure éparse,
L'impétueuse et belle garce
Halète en mordant les coussins !

Et d'abord il faut que je dise,
En un rythme savant et clair
Comment ta forme se précise
Dans le poème de la chair.
Mais quel baiseur - fut-il un maître
Dans l'art de s'égayer l'urètre -
A t-il seulement soupçonné
Comment tu t'ouvres et te fermes,
Et de quels subtils épidermes
La nature t'a façonné ?

Tu reste pour lui le mystère,
Sous sa main comme sous ses yeux,
L'énigme auguste de la terre,
Le secret énorme des cieux,
Le gouffre petit, mais terrible,
Le fantastique trou du crible,
L'enfoncement sombre et béni,
La réalité dans le rêve,
L'inexplicable fente d'Eve
Sur la nuit et l'infini.

Quand on t'ouvre et qu'on te regarde
Dans ta sublime étrangeté,
La prunelle devient hagarde
Comme au bord d'un flot redouté.
Curiosités dangereuses !
Tu t'élargis et tu te creuses :
Les doigts effarés doutent d'eux.
La lèvre, délicate et rose,
S'amincit et se superpose :
On croirait que vous êtes deux !

Quelle floraison magnifique
Au divin jardin des amours !
Ainsi que le Protée antique,
Tu changes partout et toujours,
Tantôt plus fermée qu'une digue,
Tantôt béant comme une figue
Quand au soleil elle se fend,
Tantôt mi-clos à la décharge,
Tout petitet, juste assez large
Pour le frêle doigt d'un enfant.

Clovis Hugues

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 23:21

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Peter

 

 

Fatiguée de tant de jouissances qui ne parvient pas cependant à calmer mes désirs.
Ma chatte, enflammée de tant de caresses, me rappelle son désir que je crois insatiable.
Son feu ne manque de me faire penser à une cravache qui s'insinuait entre mes lèvres, fouillant mon sexe telle une baguette que l'on utiliserait pour fouiller dans des ordures pour ne pas salir ses mains.
Je ne peux qu'imaginer ma chatte telle une poubelle dans laquelle viendrait se déverser des semences multiples, pénétrée par des sexes imposés et n'étant moi-même pour ceux qui jouiraient de moi qu'un trou multiple et vivant dont leurs bites prendraient possession sans relâche.  
Et cette chatte visqueuse et ouverte que votre cravache manipulerait pendant que vous me regarderez dans les yeux pour m'exprimer autant votre plaisir que votre dégout, vous la purifierez en lui faisant connaître la rédemption par la souffrance.
Vous la frapperez d'abord violemment sur les lèvres jusqu'à ce vous voyez poindre mes larmes, alors vous me demanderez d'écarter mes lèvres afin que j'offre à votre cravache salvatrice l'intérieur rosée de mon sexe au fond duquel se détachant du capuchon mon clitoris poindra.
Les coups seront précis et secs, faisant tressaillir mon corps de douleurs, pendant que vous me direz d'admettre mon plaisir d'être votre putain.
J'avouerais n'être qu'une pute faites pour être donnée à baiser et vous implorerais de continuer votre punition.

Ce sont là mes pensées de ce soir et je vous embrasse en espérant sans trop y croire vous lire ce soir.

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Mercredi 6 juin 3 06 /06 /Juin 19:53

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                                                                          La Splendeur

 

 

 

               Laisse-moi t’approcher

               Laisse-moi te toucher toute et te fragmenter par petites touches

               Laisse-moi ma plurielle de fond en comble te dévaster

               Trouver réunies au secret ma soif et mon ruisseau ma verdure et ma faim

               Lécher jusqu’au cœur notre vaste complot

               Laisse mon corps immobile entrer chez lui par les seuils incalculables de ton corps inamovible

               Laisse s’accomplir à l’infini vertigineux du temps vertical cette opération-extase infiniment longue et

               Infiniment aimable

               Que mon désir me conduise à tes seins et que le satin soit la doublure de ma bouche tissé sur ton cœur battant

               Laisse-moi connaître ton sexe et qu’il soit ou non de velours laisse-moi le bercer

               Laisse-moi recueillir l’huile prodigieuse de cette amande douce pour en lisser les feuillages de ta vulve

               Laisse-moi naviguer en toi

               Laisse-moi faire ce naufrage dont nous rêvions et laisse-moi en ta perdition

               Laisse-moi aborder au clitorivage heureux de ton corps heureux laisse-moi m’y reposer

               Laisse-moi me reposer en toi de cette définitive splendeur

 

 

 

                                                                                                   Louky Bersianik

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Jeudi 31 mai 4 31 /05 /Mai 19:54

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Elle naquit un matin de l’union d’une perle de rosée avec un rayon de soleil.Une merveille, vous vous en doutez .L’ovale de son visage était aussi doux que le plus doux des nectars .Son petit nez mutin était surmonté par deux magnifiques lacs violets qui éclairaient toute sa face.

Une jolie petite vallée toute bordée de carmin s’entrouvrait sur une double rangée de notes blanches, plus éclatantes les unes que les autres.

Cet ensemble bougeait avec une grâce indescriptible, petite tour de contrôle au sommet d’un corps parfait que seules des mains douces et expertes seraient autorisées à visiter .La peau sur la peau, le chaud sur le chaud, les frissons sur les frissons, cinq, dix, quinze, vingt doigts qui se promènent, se rencontrent, se doublent, à la recherche d’un inconnu qu’ils ont toujours désiré.

Longue et ardente promenade sur un corps, naissance d’un désir, approche du plaisir et repartir dans une autre direction, à rechercher l’inconnu, l’innaccessible.

Pouvoir se dire : elle est mienne et je l’aime, et s’apercevoir que l’on n’est qu’un jouet entre ses doigts, que la maîtresse c’est elle et que l’esclave c’est soi-même : esclave de l’amour, esclave du désir, esclave du plaisir.

Mais qu’il est doux cet esclavage et peut-on vivre sans ?

Si chaque jour on la regarde avec un œil différent, si chaque jour, on la découvre, si chaque jour on l’étonne, alors les jours deviennent des semaines, des années, des siècles, car seul l’amour est indestructible et franchit les barrières du temps.

 

A la femme aimée

 

 Peter

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Mardi 8 mai 2 08 /05 /Mai 19:12

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Encore !!

 

Céleste  est comme en pilotage automatique sur les périphériques, à force de faire ce trajet allez et retour si souvent,  elle connaît le chemin par cœur ! Mais le conducteur tient les rênes quand même, il est prudent …

 

Savoir qu’il n’a pas mis de string aujourd’hui, qu’il est tout nu sous son jeans me colle des  décharges électriques dans le bas ventre, ma main gauche me démange d’aller vérifier… mais la ceinture de sécurité rend ma visite peu confortable et aussi la peur des gendarmes qui sont partout, on se demande bien pourquoi car ce n’est pas un week-end particulier.

 

J’ai tant envie de retrouver sa peau, la douceur de son ventre, de ses fesses, de son pubis épilé, de son sexe qui déjà tend la toile de son jeans !

Ce mec bande tout le temps, c’est un vrai toy sur pattes et cela me convient parfaitement, je me suis privée trop d’années, j’ai envie de rattraper le temps perdu ! Non, je n’étais pas une frustrée, je me débrouillais très bien toute seule, mais il faut avouer que se faire fouiller par des mains d’homme et d’avoir une queue entre les cuisses, c’est tout de même nettement mieux !

J’aime l’embrasser, le lécher, le dévorer, le violer ! Ses fesses me font craquer ! Savoir que je peux en faire ce que je veux me rend démente d’avance. Quel supplice vais-je lui infliger ? Quel toy ou plug vais-je choisir  pour le posséder à mon tour ? Quelle délicieuse torture vais-je lui faire subir pour notre plaisir à tous deux ? J’en mouille d’avance, s’il me touche un seul grain de peau, j’explose dans Céleste.

 

Ses yeux croisent les miens et il sait ce que je suis en train d’imaginer …

Nous pensons trop vite, nos envies, nos désirs sont en ébullition depuis trois semaines, c’est inhumain de s’imposer de telles souffrances ! Alors pour nous, tout passe en accéléré,  nos fantasmes nous font oublier la réalité en cet instant.

Il vient de remarquer mes bretelles jaunes et il veut savoir comment est le string. Il frôle la pointe de mon sein gauche et je ne peux retenir un soupir de plaisir !

Bon sang s’il continue comme ça, tout mon côté gauche va se mettre en action, je vais pencher et je ne réponds plus de rien si je m’affale sur lui ! Ces petites voitures sportives sont très bien, mais pour une fellation,  je risque la minerve ou l’étouffement par le volant !

Le rire prend le dessus pour un moment mais on sent la tension de nos corps qui se cherchent, qui se veulent, qui n’en peuvent plus de désir.

Pas croyable ! ! On traverse une région verte, des champs à perte de vue, des petits coins boisés, un tas d’endroits où nous pourrions … même idée, même pensée, mais on ne s’arrête pas, nous savons que nous ne serions probablement pas tranquilles bien longtemps, trop de chemins équestres traversent ces champs.

Il n’y a que dans les films pornos que tous les endroits sont possibles pour baiser ! Ils ont les moyens de créer un espace de liberté … pas nous … ce n’est pas juste du tout !

Et puis, notre paradis n’est plus très loin. Une petite heure de route et nos peaux nues se parleront, se gourmanderont.

 

Là, nous évoquons nos fantasmes … Nous nous racontons nos plaisirs solitaires, est-ce bien raisonnable de perturber ainsi un conducteur ?

 

Nous adorons en parler, c’est un libre échange libertin qui pimente tant cette relation particulière entre nous … Savoir quand, comment et combien de fois j’ai pu m’envoyer en l’air avec mes gods ou vibros le fait bander , les boutons de sa braguette finiront par céder un jour ou l’autre !

Quant à moi, je mouille à chaque fois qu’il me dit s’être branlé en imaginant qu’il me voyait me faire baiser par plusieurs mecs à la fois, savoir qu’il a joui longuement, abondamment et avoir léché ses mains …

Mes cuisses s’écartent et se referment, je me branle contre la couture de mon jeans, mais quelle pute je suis !

 

Un seul feu rouge, celui qui annonce que nos ébats vont nous délivrer,  nous permet de mélanger nos salives … c’est un avant-goût pour nos papilles, une petite mise en bouche !

 

 

Grincement de la porte qui bascule, nos lunettes de soleil unissent leurs branches sur le tableau de bord,  les ceintures cliquent en même temps, nos mains vont enfin explorer l’entrejambe de nos jeans furtivement, constat qu’il  a envie de me baiser, le même pour moi car je suis trempée.

Pendant qu’il ouvre le box, je m’extirpe de Céleste, il fait frais, contraste avec la chaleur extérieure, je frissonne.

Ah ! ! J’ai oublié mon sac !  Je repars vers la portière et au moment précis où j’essaie de le récupérer, l’obscurité me cloue sur place dans un claquement sec de porte en fer.

Ok ! Il me fait le coup du box ! ! Je vais me faire violer et je crois que je vais adorer ça ! ! !

Il est contre moi,  m’enlace et nos bouches se rejoignent enfin. Nos mains sont ivres, se faufilent partout sur nous, ne savent plus par quel endroit commencer, elles voudraient tout explorer en même temps, il va falloir s’en faire greffer au moins trois autres paires !

Doucement, nous nous habituons à la pénombre, à cette fraîcheur nécessaire pour nos corps en feu.

Il me délaisse quelques instants pour étendre un plaid devant la porte passager et deux autres sur le capot de Céleste qui doit se demander pourquoi on la bouchonne ainsi ! Organisé mon amant, et viol prémédité, attention les sanctions ! Là c’est à l’insu de mon plein gré, mais il ne sait pas ce que je lui réserve ce soir !

Sans se concerter, nos chaussures volent, les vêtements tombent un à un, jetés sur la banquette arrière.

Je m’asseois sur le rebord du siège … il est debout devant moi, la queue bien dressée … et je l’attire vers moi, mes mains sur ses hanches, son ventre contre ma bouche. J’empoigne ses fesses à pleines mains, en cherchant ses yeux. J’ai envie de lui, envie ! ! ! !

 

Viens dans ma bouche, viens que je te suce, que je t’avale, que je t’engloutisse !

 

Lentement ma langue s’insinue entre ses bourses et je remonte. Son sexe palpite,  vibre … petits coups de langue sur son gland, j’enroule, je roule entre mes lèvres dégoulinantes de salive, mes doigts rejoignent ma langue et le taquinent … Ils se resserrent, impriment un doux va-et-vient … Je l’aspire, je le suce … il grogne de plaisir …

Plus il cogne au fond de ma gorge et plus je sens mon ventre s’ouvrir … dans une attente démente d’être défoncée !

Il ne jouit pas … il veut prendre le temps, le prolonger, ce type est un obsédé de la baise et moi, je ne suis qu’une pute prête à tout pour m’envoyer en l’air.

 

Je me retrouve debout, ventre collé au plaid, plaquée contre la carrosserie.

Sa langue monte lentement le long de mes cuisses qui tremblent, me fait ouvrir les jambes instinctivement. Ses mains écartent mes fesses, il me lèche partout, me rendant chienne, le suppliant de me baiser.

Prends-moi vite, je vais hurler !

C’est terrible, frustrant de se retenir de crier, de peur d’ameuter le gardien, frustrant mais jouissif, un goût d’interdit qui pimente nos ébats, qui fait monter l’adrénaline …

 

Brûlons les étapes, nous aurons tout le temps de nous mignarder plus tard. Baisons !

Baisons comme des bêtes, nos corps réclament, baisons !

Joue contre la toile rugueuse du plaid, écartelée, il me pénètre d’un coup de reins violent.

Crispée, je me retiens un peu, je vais jouir comme une folle ! Un autre coup de buttoir a raison de moi et je m’envole, secouée de spasmes, inondant nos cuisses,  en tendant mes fesses vers son ventre, en m’empalant de plus en plus sur lui, en le suppliant de continuer encore et encore … de me baiser, de me défoncer, de me limer, de m’écarteler encore plus, de déchirer mes chairs, de meurtrir mes seins, de mordre ma nuque, je veux tout, je suis affamée !

 

Nos souffles, mes feulements et ses cris étouffés sont d’un même rythme. Au bord des spasmes, tous les deux … ralentir … ralentir pour faire durer, pour monter plus haut, toujours plus haut …

… Il se retire doucement, pour venir se placer contre mon antre bien serré. Il sait que je lui refuse souvent cet accès, il connaît ma crainte de la douleur, mais il sait que je finirai par céder, que je suis un peu maso sur les bords, ou tellement pute puisque je ne sais pas dire « non » !

Ses doigts caressent mon bouton gonflé et c’est moi qui glisse son sexe dressé entre mes fesses. J’ai peur mais je le pousse en moi, entre la déraison et le sublime … entre la douleur et l’extase, dans l’envie de sa semence dans mes reins … j’ai très mal,  alors, je le repousse, il perçoit mon refus et me force … ses longs doigts triturent mon clito et s’enfoncent dans ma chatte … c’est ainsi qu’il parvient à chaque fois à me sodomiser, il me transporte au bord de la folie, c’est l’extase qui domine la douleur de ce viol, de cette sauvage sodomie.

 

Tout à l’heure, c’est moi qui le posséderai, je le pénétrerai aussi, pour me venger de ce viol souvent répété, douleur et  plaisir incommensurables qui me portent au-delà  de l’extase … lorsqu’il  jouit dans mon ventre, cette chaleur entre dans mon sang et me transporte aux portes d’un monde aux lumières d’éternité.

C’est la drogue bien dure entre les cuisses, entre les fesses d’une salope.

 

Nous avons joui ensemble,  dans un même râle étouffé, nos mains unies, serrées à blanchir nos phalanges, nos corps secoués … « spasmés » …

 

Quelques minutes pour se serrer l’un contre l’autre et se remercier, ce n’est pas de l’amour, nous ne sommes que des libertins, mais un petit vent de tendresse nous effleure assez souvent.

 

Quelques autres minutes pour se redonner une apparence acceptable afin de sortir du box et regagner l’appartement.

Je n’ai pas remis mes sous vêtements, j’ai encore envie de baiser …

Au bout du couloir … il bande déjà.

 

La porte est à peine refermée … la pute a déjà jeté ses vêtements à la hâte, se met à quatre pattes sur le tapis, tendant son cul, en l’ouvrant avec ses mains.

 

Encore !

 

 

LORINE

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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