PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
La suite n'existait pas quand j'ai commencé cet aveu de mon fantasme, du moins il suffisait à me contenter quand j'y pensais pour me donner du plaisir en me caressant, mais depuis que je te connais je sens mes désirs se préciser, m’amener plus loin dans l'excitation de situations rêvées, voire espérées.
... Je sentais cette bite inconnue qui allait dans ma gorge avec ce mélange de honte et de plaisir qui me faisait accepter cette situation.
Je n'osais imaginer le spectacle que je donnais de moi sur ce fauteuil les jambes écartées et les seins de nouveau livrés aux mains fébriles.
Les mouvements du sexe dans ma bouche devenaient de plus en plus rapides et je sentais les spasmes qui l'agitaient quand elle se retira.
C'est alors que je sentis sur mon visage et mon cou ce contact chaud du sperme qui venait de se répandre.
J’eus un sursaut, et fit le mouvement brusque de me lever et d'enlever le bandeau recouvrant mes yeux. C’est alors que deux mains puissantes me prirent l'épaule et me collèrent à nouveau contre le dossier du fauteuil.
Mon visage devait exprimer à la fois de l'étonnement et de la rage que tes paroles décuplèrent quand tu me dis:
"Tu te crois où ? Est-ce que je t'ai dis que tu pouvais te lever ?"
Je t'ai répondu que j'en avais assez et que je voulais partir.
A peine ma phrase terminée que je sentis une gifle et toi qui me disait que ce n'était pas à moi de décider et qu'il fallait que je continue à sucer les autres.
Tu me demandas malgré tout si jusque là j'avais eu du plaisir, je n'ai pu que répondre par l'affirmative mais aussitôt je sentis des sexes sur ma bouche et ne put que l'ouvrir pour gouter les deux glands qui allaient et venaient sur le pourtour de ma bouche.
Ne pouvant plus parler, j'entendais des ricanements mêlés aux soupirs de ceux que je suçais.
A mon étonnement, je me sentais bien.
Mon sexe dont on avait enlevé la serviette chaude qui le recouvrait palpitait de plaisir et je sentais s'écouler sur mon sillon le chaud liquide qui signalait aux regards de tous et à leurs mains combien je jouissais de cette situation.
De nouveaux les bites que je suçais alternativement se retirèrent de ma bouche et une fois de plus je reçus sur le visage leur giclée de sperme qui dégoulina de mon visage.
C’est alors que le coiffeur m'intima l'ordre de lécher ce sperme et de le gouter avant de l'avaler.
J'en avais presque envie mais je ne sais pourquoi fit non de la tête. Je reçu de nouveau une gifle et il dit sur un ton excédé:
" À partir d'aujourd'hui ma petite madame tu feras ce qu'on te demande de faire, compris !"
Je ne sais pourquoi je fis alors oui de la tête et il continua:
"Si tu crois que j'ai fait tout ça pour tes beaux yeux, tu te goures. Même si ça fait plaisir de raser une aussi jolie chatte et voir une belle femme comme toi se faire caresser et sucer des bites, dis-toi bien que ce n’est pas pour rien. C’était pour te tester et toi-même reconnais que ça t'a plu. Alors maintenant, tu ne diras plus jamais non et feras ce qu'on te demande, compris ? "
Après un court moment d'hésitation, les seins durs et ma chatte gonflée de plaisir, j'ai fit signe que j'acceptais.
Il me demanda alors de répéter cette phrase :
" Oui, je veux être votre putain "
Et, la gorge serrée j'ai dit:
" Oui, je veux être votre putain "
La suite bientôt mon amour.....
Paule.
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