PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
Je regardais ces deux femmes, ces deux succubes assoiffées de sexe, prêtes à toutes les orgies. Je m’approchais de Cécile ou Céline, je ne sais plus trop. Ses yeux aux pupilles dilatées allaient du sexe de la belle rousse à ma bouche. En un clin d’œil je compris son désir et tandis qu’elle s’activait de la langue sur le clito gonflé et tendu de plaisir de notre amie, je récoltais dans ma bouche tout le sperme qui coulait sur son visage pour le mélanger à la salive de notre partenaire dans un baiser profond où nos langues s’affrontèrent dans un duel qui ne fit qu’augmenter notre désir.
Mon érection était de nouveau totale et ma queue me faisait mal tant elle était tendue.
Notre belle rousse était elle aussi excitée à un point indescriptible. Elle se cambrait tant qu’elle pouvait, écartant ses fesses au maximum car elle venait de sentir une langue qui lui titillait l’anus.
De profonds soupirs s’échappaient de sa gorge.
Notre chauffeur de taxi venait de prendre les choses en main et quand je dis les choses, je devrais dire les fesses de la rouquine d’une part et ma bite de l’autre. Cet homme en plus de conduire un taxi savait très bien nous conduire sur les chemins du plaisir. Il lâcha mon chibre pour mieux écarter les fesses de sa partenaire et présenta son gland gonflé et violacé à l’entrée de son petit trou déjà bien dilaté. Sa progression dans les entrailles de la jouisseuse se fit d’un coup, ce qui provoqua un hurlement à la fois de douleur et de plaisir chez celle qui était prise dans son cul par un membre très actif et dans son con par une bouche avide de cyprine.
Le visage de Céline dégoulinait de son jus épais et chaud ! Le ventre de la rousse était secoué de spasmes, elle allait jouir et m’attrapa la queue pour l’enfourner dans sa bouche. Ce fut le signal et nous déchargeâmes, qui dans sa bouche, qui dans son cul, tandis qu’elle se déversait dans la bouche de Céline qui maintenant se masturbait avec frénésie. Elle était allongée à même le sol, les jambes écartées. La rousse nous fit un signe et nous nous plaçâmes tous les trois au-dessus de Céline qui n’en revenait pas mais qui allait assouvir un de ses fantasmes des plus osés, un fantasme qu’elle avait enfoui au plus profond d’elle-même, recevoir une, ou plutôt trois douches dorées. Tout en elle n’était qu’attente ; sa bouche ouverte prête à recevoir tout comme son corps nos urines mélangées, brûlantes qui allaient s’abattre sur elle comme des torrents fougueux descendant de la montagne, ses cuisses écartées sur une chatte où ses doigts s’activaient sans une seconde de répit, provoquant un écoulement continu de mouille épaisse et chaude.
Elle criait son plaisir, gobant les jets de ses trois partenaires, quand ses cris devinrent des hurlements. Son ventre était secoué de contractions comme si elle allait expulser tout ce que son sexe contenait de désirs et de plaisirs !!!
Mais ses cris, ont du éveiller pas mal de monde dans ce petit immeuble bourgeois de la rue de l’Abbaye. Car à cet instant, Céline s’éveilla dans ou plutôt en travers de son lit.
Elle était quasiment nue, dépoitraillée, sa nuisette arrachée ; son corps était trempé, comme les draps entre ses jambes où telle une fontaine, elle s’était vidée de tous ces jours d’abstinence ; son souffle était court et elle avait du mal à refaire surface, pensant vraiment avoir vécu ces scènes d’orgie ; elle n’eut pas le temps de bouger, de se lever que d’un jet puissant elle se vida du contenu de sa vessie mais là encore avec un plaisir inégalé. Oui elle avait rêvé et telle Wendy elle avait envie de remercier Peter Pan pour tous ces plaisirs qu’il avait fait naître en elle et qu’elle désirait partager avec lui…………..
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