PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
3. LE CLUB
Alexandre m’avait convaincue de retourner dans ce club échangiste. C’est vrai que l’endroit était très sympa et le public plus « classe » que ceux des clubs que nous avions connus auparavant. Je décidais donc de l’accompagner. Nous y étions déjà allés ensemble mais, comme la plupart des participants, seulement comme « voyeurs ». Cette fois-ci j’y allais pour participer.
Après avoir fait un petit tour, nous nous retrouvons au bar. Beaucoup de couples étaient déjà là, en train de discuter. Quelques-uns étaient sur le point de passer à l’acte. Il fait toujours chaud dans ces clubs et j’avais juste mis une robe chemisier, pas de culotte, pas de soutien-gorge. C’est plus facile pour se déshabiller puis se rhabiller !
Je me suis retrouvée dans un salon dont les murs étaient couverts de miroirs. J’étais assise à côté d’un mec dont la beauté m’impressionnait. Il était grand, mince et blond comme j’aime, très « classe ». J'ai trinqué avec lui, jetant un œil au passage à sa braguette bien gonflée, tandis que lui restait strictement immobile. Sous ma paume je sentais une queue d'une taille extraordinaire, sans doute plus grosse que toutes celle que j'avais croisées jusqu’alors. Il a posé presque aussitôt sa main sur la mienne. Il tremblait légèrement.
J'ai alors entrepris d'ouvrir sa braguette, puis j'ai sorti de son pantalon une queue aussi impressionnante que ce à quoi je m'attendais. Instantanément une chaleur intense a vrillé mon bas-ventre. Cette vue déclenchait une vague de désir absolument irrépressible. J'ai essayé de faire comme si je n'avais pas instantanément oublié Alexandre, mais c'était trop tard. Sans un mot pour cet appétissant jeune homme, je me suis penchée et j'ai introduit son gland rose dans ma bouche. Aussitôt il a gémi de plaisir et ce son m'a fait mouiller encore davantage. J'ai glissé une main entre mes jambes et j'ai enfoncé deux doigts dans mon vagin brûlant de désir, faisant naître une intense envie d'être pénétrée par quelque chose de bien plus gros. Il gémissait tandis que j'engloutissais sa queue toute entière dans ma bouche. Elle était si grosse que mes lèvres étaient tendues au maximum autour de son pourtour impressionnant. Relevant la tête, j'ai observé mon reflet dans la glace en face du lit. Je baissais et relevais lentement la tête au rythme de la caresse que j'administrais et de ma bouche rose sortait un pieu impressionnant et palpitant de plaisir. Au bout d'un moment le jeune homme s'est mis à regarder également dans le miroir, il me regardait dans les yeux sous ses paupières à demi closes.
Je le fixais tout en le suçant, m'attachant à faire rentrer autant que je le pouvais ce membre entre mes lèvres, enfonçant son gland au fond de ma gorge. Chaque contact me faisait mouiller encore davantage.
Le suçant toujours je me suis mise à masser délicatement ses couilles de ma paume gauche, tandis que de l'autre main je le branlais pour prolonger la caresse de mes lèvres. Parfois, je ne faisais que sucer son gland en faisant coulisser ma main le long de sa hampe bien gonflée et veinée, puis je recommençais à l'avaler entièrement, ne m'arrêtant que lorsque mon nez butait contre son ventre. Ses gémissements de plus en plus intenses me montraient qu'il était plus que sensible au traitement que je lui faisais subir et j'ai décidé de faire une petite pause.
Je me suis remise sur le dos et j'ai largement écarté les cuisses, caressant mes petites lèvres de la main gauche tandis que la droite se concentrait que mon clito. Il me regardait avec attention, et bientôt il s'est mis à se branler. J'aimais le regarder, j'aimais comme toujours surprendre les gestes les plus intimes d'un homme, voir sa main sur sa queue, et découvrir la façon dont il se caresse secrètement. Quant à moi je me touchais toujours, titillant mon clito de l'index, plongeant quelques doigts de mon autre main dans mon vagin trempé. Soudain il s'est baissé et il a commencé à me lécher, faisant d'abord le tour de mon minou du bout de la langue, puis se concentrant sur mon clitoris pour le lécher d'une divine façon. Il s'est mis à me doigter en même temps qu'il me léchait et bientôt je n'ai plus pu me contrôler : je me suis mise à crier de plaisir comme si j'avais été sur une île déserte.
Ses doigts me remplissaient divinement, et sa langue savait bien comment me faire mouiller encore plus. Mon clito était maintenant tout gonflé par le plaisir, je n'allais pas tarder à jouir. Il l'avait attrapé doucement entre ses lèvres et tirait légèrement dessus. Cette tension était délicieuse. Ensuite il l'a lâché et s'est remis à le lécher d'un petit mouvement circulaire soutenu, avant de recommencer à doucement tirer dessus. Cette fois je pouvais sentir qu'il l'avait pris entre ses dents, et cette idée m'excitait terriblement. Il continuait toujours à me pénétrer de ses doigts et bientôt j'ai été traversée par un orgasme de toute beauté, un de ceux qui naissent au creux du ventre pour irradier tout le corps et venir mourir au creux de la gorge...
Je suis restée quelques instants immobile sur le lit avant de constater que la queue de mon jeune étalon était plus dure et plus grosse que jamais. Il ne m'en a pas fallu plus pour me relever et me mettre à quatre pattes, lui tendant ostensiblement les fesses. J'ai saisi sa queue et je l'ai dirigée vers ma chatte avide de plaisir, caressant ma vulve trempée de son gland avant de l'introduire en moi, gémissant tandis qu'il me pénétrait, lentement, très lentement...
J'ai relevé la tête pour bien me voir dans la glace. J'étais cambrée, les cuisses largement écartées, et il était derrière moi, les mains bien agrippées à mes hanches. Il me prenait bien à fond, et sur son visage je lisais une extase qui allait sans doute trouver son apogée d'ici peu. Je sentais sa queue bien dure dans mon ventre et j'avais même la sensation qu'elle devenait de plus en plus dure et de plus en plus grosse. A chaque coup de queue ses couilles claquaient contre ma chair avec un petit bruit net. J'étais littéralement pleine de mouille.
Je me suis mise à me toucher en même temps qu'il me prenait et c'était véritablement trop bon, si bon qu'au bout de quelques secondes j'ai été envahie par un orgasme surpuissant. Je me suis mise à crier et aussitôt il m'a baisée plus fort, répondant à mon excitation par la sienne à son paroxysme. Il a joui juste après moi, et j'ai senti de longs jets de foutre chaud gicler en moi. Je suis retombée sur le lit, épuisée. Quant à lui, il me remercia très sincèrement.
Après avoir repris mes esprits, je passais dans le salon voisin. Une dizaine de jeunes gens dansaient près d’une table sur laquelle se trouvaient un grand bol à punch et de nombreux verres. Ils étaient assez jeunes, il y avait des noirs des blancs et des métis, des hommes et des femmes, et tout le monde semblait beaucoup s'amuser.
Tout en sirotant mon verre de punch, je me suis mise à examiner le spectacle qui m'entourait. Non loin de moi, un couple s'étreignait passionnément. Je me suis laissé aller et cette idée m'a excitée plus que tout. Il était à noter que tout le monde paraissait dans le même état de lascivité que moi.
Une fille noire s’est mise à danser superbement. A voir ainsi son corps d'ébène remuer sensuellement au rythme des djembés, j'ai soudain eu envie de l'imiter. Je l'ai rejointe et sans même que je réfléchisse mon corps a commencé à bouger. Dans mes tympans résonnaient les rythmes lourds des tambours, le sang bourdonnait à mes oreilles. Elle s'est approchée de moi et a saisi le bas de ma robe. Sans s'arrêter de danser, elle l'a relevé au dessus de ma tête et l'a tout simplement ôtée. J'ai levé les bras pour l'y aider. J'étais nue dessous. Face à moi, elle caressait mes seins avec douceur, insistant bien sur mes tétons déjà tout durs, puis elle s'est mise dans mon dos et s'est collée à mon corps.
A l'orée de mon champ de vision je pouvais voir que le couple qui s'embrassait au début s'ébattait à présent sur le canapé. La fille se tenait allongée, les cuisses largement écartées, et le mec était en train de la lécher. A en juger par ses gémissements il ne se débrouillait pas mal. Toujours derrière moi, la fille noire s'est mise à toucher le haut de mes cuisses, là où la peau est insupportablement tendre, d'un geste si délicat qu'il me donnait envie de m'ouvrir comme une fleur à ses caresses. Elle a sans doute compris car de seconde en seconde son geste devenait plus intime, plus insidieux. Glissant l'index entre mes petites lèvres encore jointes, elle les a séparées puis s'est mise à caresser mon clitoris d'un geste expert.
Cela m'excitait, je mouillais comme une folle et j'avais envie de lui dire. Doucement elle m'a fait me mettre à quatre pattes. Perdant toute pudeur, je me suis mise à me caresser tandis qu'elle se plaçait derrière moi pour me lécher profondément. Je sentais sa langue s'immiscer au creux de mon vagin trempé, dure et tendue comme un doigt. Elle me lapait et me titillait comme une experte, me mettant au supplice, me faisant désirer avec violence d'être prise par quelque chose de plus gros et plus dur encore.
Me relevant, je l'ai saisie par la taille et je l'ai fait s'allonger sur le sol, me plaçant au dessus d'elle en 69. Sa chatte était entièrement épilée et avait une jolie forme bien nette. J'ai écarté ses petites lèvres brunes et lisses et j'ai découvert sa vulve rose, pleine de mouille. Son clito était bien gonflé et quand j'ai posé le bout de ma langue dessus elle a laissé un feulement sauvage. Excitée par ce bruit j'ai continué de la sucer tout en la doigtant de l'index. Elle était bien trempée et chaude, et bientôt j'ai ajouté le majeur et l'annulaire puis le petit doigt, la branlant jusqu'aux premières phalanges d'un mouvement ample et régulier qui la faisait crier. Pendant ce temps elle me léchait toujours, faisant tourbillonner sa langue de mon clito à l'entrée de mon vagin en une valse perverse qui faisait monter le plaisir au creux de mon ventre.
Un homme est venu s'agenouiller devant moi, la queue dure et tendue. La vue de ce braquemart juste devant mes yeux n'a fait que m'exciter encore plus: tendant le cou j'ai attrapé son gland entre mes lèvres et j'ai commencé à le sucer, avant d'avaler progressivement toute sa queue.
Je l'ai sucé un moment tout en branlant la noire. Avoir ainsi une chatte et une queue si près des yeux me mettait dans un état pas possible, je mouillais plus que jamais et la noire en faisait bon usage, si j'en jugeais par les sensations que sa langue me procurait.
Dans ma bouche la bite était de plus en plus dure, et bientôt j'ai cessé de la sucer pour la diriger vers la chatte trempée de ma complice. J'ai frotté le gland sur sa vulve luisante de mouille puis je l'ai dirigé vers son anus, lui faisant faire de petits cercles pour bien la lubrifier de sa propre cyprine.
Le mec est resté immobile quelques minutes puis il a entrepris de pénétrer lentement la noire. Tandis que je regardais sa queue bien dure s'enfoncer dans le cul, je doigtais et léchais toujours sa chatte, excitée comme jamais. Elle aussi semblait rendue plus chaude que jamais par le traitement qu'on lui faisait subir: sa chatte était toujours plus mouillée et de plus en plus souple. Sa langue également se déchaînait: elle me suçait à présent comme si sa vie en dépendant, lapait ma mouille, titillait mon clito, tirait doucement sur mes petites lèvres...
Pendant ce temps je la regardais se faire prendre, jouissant du spectacle qui s'offrait à moi. Mes doigts allaient et venaient dans le fourreau nacré de sa chatte et cette vision m'excitait déjà énormément, mais observer en plus le mouvement de l'énorme bite noire qui allait et venait entre ses fesses achevait de me mettre en transe. Au bout de quelques temps, je l'ai entendue gémir différemment, et alors qu'elle haletait j'ai senti son ventre se contracter autour de mes doigts, preuve qu'elle était pour le moment envahie par l'orgasme.
Sans chercher à me retenir plus longtemps, j'ai joui moi aussi, sous sa bouche de lécheuse experte qui n'avait pas interrompu ses caresses même en prenant son propre plaisir. Puis, nous relevant toutes les deux, nous nous sommes embrassées, les lèvres encore humides de nos sucs respectifs. Ses lèvres étaient chaudes et moelleuses, et exhalaient le même parfum entêtant de vanille que tout son corps.
"Tu m'as bien fait jouir..." a-t-elle soufflé à mon oreille durant cette étreinte.
Je lui ai rendu la politesse, sans trop chercher à me préoccuper des gens qui nous entouraient, tous plus ou moins engagés eux-mêmes dans des activités plus ou moins masturbatoires ou bien orgiaques.
Échaudée par l'entrée en matière, j'avais maintenant envie d'une queue à sucer et même de plusieurs queues, je les voulais toutes dures et grosses et tendues, les couilles bien pleines et prêtes à exploser pour moi. Sans façon, j'ai fait signe à quelques jeunes hommes de s'approcher de moi, Alexandre compris, et je les invitais à se mettre à genoux autour de moi. Saisissant la queue du premier mec j'ai commencé à lui lécher le gland, à le déguster lentement, à en titiller chaque point, avant de m'amuser avec son prépuce et son frein. Le jeune homme laissait échapper des gémissements qui me montraient que j'étais sur la bonne voie. J'ai pris sa queue toute entière dans ma bouche, la massant de la langue, du palais et de l'intérieur des joues.
Ma bouche était toute entière remplie par cette grosse bite et ça me faisait mouiller. J'aimais la sentir s'enfoncer loin en moi, puis la faire glisser le long de mes lèvres arrondies en un O de gourmandise.
Décidant de changer de friandise, j'ai continué à branler cette queue tout en en prenant une autre dans la bouche. J'avais envie de goûter un autre gland et d'entendre des gémissements différents répondre à mes caresses buccales. Celui-là avait un sexe beaucoup plus court que le précédent, mais aussi plus épais. Je devais vraiment ouvrir tout grand la bouche pour pouvoir le happer.
A ce moment la noire s'est agenouillée près de moi, apparemment désireuse de me prêter main forte. Elle s'est mise à lui lécher les couilles pendant que je suçais son gland, et les halètements de plaisir du mec ont redoublé. De temps à autre mes lèvres rencontraient celles de la noire et alors nous oubliions momentanément la belle bite dure que nous sucions pour nous abandonner en un baiser brûlant, pour le plus grand plaisir de tous ceux qui nous mataient, et qui apparemment se branlaient plus que jamais dès qu'ils nous voyaient faire des choses.
Je me suis remise à lécher le gland du type tout en branlant sa hampe épaisse, et la noire a pris ses deux couilles dans sa bouche. Je me suis vite rendu compte qu'il n'allait pas tenir longtemps, et en effet quelques secondes plus tard il s'est mis à jouir, éjaculant de longs jets de sperme nacré et chaud qui finirent dans ma bouche ou bien à côté.
Aussitôt la noire s'est relevée et s'est mise à lécher la semence répandue sur mon visage. Elle a d'abord léché mes lèvres, puis mon menton et mes joues, pour finir par m'embrasser langoureusement, mélangeant nos deux salives au sperme chaud.
Excitée comme une folle par ce concept, j'avais recommencé à mouiller abondamment, et je ne désirais plus qu'une chose, être prise...
J’allais dans le salon suivant. On y donnait un film porno américain de bonne facture, mettant présentement en scène une plantureuse blonde à seins énormes se faisant somptueusement pistonner en levrette par un homme vêtu en pompier. Les gros plans sur son visage la montraient la bouche grande ouverte, les lèvres brillantes et la langue frétillante, gémissant sous les coups de boutoir de son compagnon.
Ses gros seins remuaient en rythme et dansaient une sarabande infernale. Bientôt la caméra a glissé vers le théâtre principal des opérations, montrant les deux organes également rasés des protagonistes s'élançant à la rencontre l'un de l'autre avec une précipitation grandissante. La netteté de l'image rendait le tout extrêmement réaliste et peu après je me suis rendu compte que je mouillais abondamment. Mais quand la blonde héroïne s'est mise à sucer son partenaire, léchant voluptueusement son gros braquemart bien luisant de salive et de cyprine, j'ai commencé à me caresser, plongeant mes doigts dans mon intimité chaude et accueillante...
Deux hommes se tenaient près de moi. Un coup d'œil à leur musculature puissante de bonne bête de somme m'a convaincue de relever le défi. L'un des hommes a relevé ma robe, dénudant mes fesses qu'il a écartées de ses deux mains, me faisant me pencher instinctivement en avant alors qu'il révélait ma vulve trempée et rose d'excitation. Alors que je me branlais toujours, il m'a donné quelques petites tapes qui, faisant rosir mes fesses, m'ont littéralement donné comme des électrochocs. Je pouvais sentir sous mes doigts ma mouille augmenter.
Tirant un siège de je ne sais où, le type s'est assis dedans et m'a attirée sur lui, me faisant reposer à plat ventre sur ses genoux. Les cuisses toujours largement écartées je continuais de me caresser, rencontrant de temps à autre ses doigts qui s'aventuraient sur ma vulve et sur le pourtour de mon vagin trempé.
Pendant ce temps l'autre mec a défait sa braguette et baissé son pantalon. Il ne portait pas de sous-vêtements en dessous et sa bite bien dure s'est dressée sous mon nez comme un diable qui sort de sa boîte.
Ultra excitée par ce spectacle je l'ai saisie d'une main et l'ai approchée de ma bouche avide. De ma langue dardée j'ai léché son gland rose et luisant de quelques gouttelettes, en traçant le pourtour puis titillant alternativement son frein et son méat. Sa queue était animée de soubresauts involontaires et ses couilles se rétractaient délicieusement dans ma paume.
Quand je l'ai entièrement englouti dans ma bouche il s'est mis à me raconter des trucs entre ses dents, que je ne pouvais pas vraiment comprendre mais qui devaient se rapporter au bien que je lui faisais. Sa queue était bien longue, bien dure, légèrement recourbée vers la gauche, avec un gros gland rond très appétissant. Plus je l'enfonçais loin dans ma bouche et plus je mouillais, et plus le type sur les genoux de qui j'étais étalée me doigtait profondément.
Sur l'écran, la blonde ricaine se faisait maintenant prendre par deux hommes, et la vision de ces deux grosses queues enfoncée dans ses orifices m'excitait plus encore. Ouvrant les mâchoires au maximum, je suçais à présent le type en vraie gorge profonde, laissant son gland s'enfoncer loin dans ma gorge, jusqu'à ce que sa queue entière soit entrée dans ma bouche. Mes lèvres butaient contre son ventre et ses couilles, j'étais parfois au bord de l'asphyxie mais peu à peu je sentais monter en moi un orgasme dévorant.
Quant au mec qui me doigtait, il me travaillait maintenant de trois doigts, me donnant l'impression d'être remplie par quelque chose de bien plus gros et remuant qu'une bite. C'était si bon que j'en aurais crié si je n'avais pas eu la bouche totalement pleine de la queue de son collègue.
J'ai soudain senti sous mes lèvres que celui que je suçais n'allait pas tarder à jouir et au moment même où un geyser de foutre chaud et crémeux à jailli de sa queue directement au fond de ma gorge j'ai été traversée par un orgasme dévorant. Sans même me donner le temps de dire ouf, l'homme sur les genoux de qui je trônais s'est soudain levé, me portant dans ses bras, et m'a déposée sur la table.
A genoux sur le bord de la table, j'ai cambré les reins et lui ai présenté mon cul, désirant avec fureur me faire défoncer la chatte sur le champ. Il a joué à faire glisser sa queue très dure le long de ma vulve, titillant mon clito avant de revenir caresser ma chatte trempée. J'ai glissé une main entre mes cuisses pour aller tâter son membre, et j'ai été surprise de sa largeur : sans être spécialement long il était sans doute l'homme le mieux pourvu que j'aie jamais rencontré. Je ne pouvais pas faire le tour de sa hampe entre le majeur et l'index. Cette découverte, et la perspective de me faire prendre par une si impressionnante chose n'ont fait qu'augmenter mon excitation. Lentement je l'ai guidé en moi et bientôt j'étais en train de me faire pilonner comme la blonde ricaine du film, à grands coups de bite. Je criais de plaisir et plus je criais et plus l'autre me défonçait. Lorsque j'ai cru que j'allais perdre la tête il a ralenti la cadence pour adopter un rythme plus cool, mais toujours aussi jouissif.
Au bout d'un moment j'ai commencé à être dévorée par l'envie de le sucer lui aussi. Me dégageant de son étreinte, je me suis retournée, et j'ai ouvert grand la bouche pour accueillir son énorme bite, qui n'était pas moins grosse que ce que son toucher m'avait suggéré. Mes lèvres toutes tendues faisaient à grand peine le tour de son membre et je devais le sucer assez lentement pour garder le contrôle de ce que je faisais. L'autre s'est rapproché et j'ai pu voir qu'il avait recommencé à se branler, à nouveau dur cinq minutes après avoir joui. Il devait vraiment être en manque. Lui faisant signe pour qu'il s'approche encore davantage, je me suis mise à les sucer alternativement, goûtant avec plaisir leurs deux queues et leurs deux glands si différents. Je m'aventurais parfois vers leurs boules gonflées, les léchant, les prenant dans ma bouche, les massant de la langue et du palais, puis je revenais à leurs glands avides d'être léchés.
Après quelques minutes de cette activité, j'ai eu très envie d'être prise à nouveau. Comprenant tout de suite où je voulais en venir, Mr Très bien monté s'est rassis dans son siège tandis que je venais m'empaler la chatte sur sa queue dure et tendue. L'autre s'est placé à genoux derrière moi et a entamé un petit mouvement léger et circulaire sur mon anus avant de s'y enfoncer lentement. La sensation d'être ainsi totalement prise était irrésistible. Quelques secondes plus tard je n'étais plus que mouille, et je gémissais de plaisir tandis que les deux mecs m'enfonçaient alternativement leurs queues dans la chatte et dans le cul. Ils y allaient lentement, mais implacablement, et je n'ai pas mis longtemps à sentir le plaisir monter en moi.
J'ai ainsi connu l'orgasme final, double pénétrée par deux mecs. Il était temps de rentrer et j’allais chercher Alexandre dans un salon voisin. Le spectacle était à son comble. Deux jeunes femmes se faisaient prendre en sandwich ; double pénétrées elles aussi, et en même temps elles branlaient une queue dans chaque main.
Avant de quitter le club, Alexandre m’a présenté Catherine, une fille très classe dont il venait de faire la connaissance et dont il m’a dit le plus grand bien ... à suivre !
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Un récit circonstancié, détaillé, très visuel et très hard :-)
Je ne vais jouer ni les Jocrisses ni les Jésuites et encore moins les vierges effarouchées mais ce texte est un peu trop brut de décoffrage à mes yeux et je ne trouve pas dans l'écriture ( parfaitement maîtrisée au demeurant) ce supplément de sensualité subtile que j'aurais aimé rencontrer en prélude ...
Affaire de sensibilité personnelle... En revanche j'ai bien aimé l'effet multiplicateur et érotique provoqué par cette sorte de dédoublement dans le miroir... c'est bien vrai ...
Et puis , Alexandre reste un peu sur la touche non ? Dommage que le rôle qui lui est dévolu par l'héroïne vorace soit essentiellement passif...
Ma naïveté et mon romantisme indécrottable certainement font que je ressens cette écriture comme étant de facture très masculine...
Et puis, pour avoir déjà "coquiné" en couple dans des clubs libertins je suis fort surprise et même franchement affolée de constater le non usage du préservatif !!!!
Pardon pour cette critique en demi-teintes mais j'essaie d'être sincère avant tout... Encore un peu trop fragile peut être ?:-)
Baisers et tendresses surrannés
Elise
E&M
tout à fait d'accord avec toi, cette absence de préservatif m'a également choquée
je suis moi aussi un grand romantique malgré la teneur de certains des écrits publiés ici
tendres baisers
peter
Interressante, la première photo !
Quant au texte, je lui trouve un petit coté "dissertation"...
avec toutes ses fautes bien sûr
Bonjour. Je viens de prendre connaissance de vos commentaires. Quelques éléments de contexte permettront de mieux comprendre en effet : Peter Pan m'a proposé de publier ces textes, je lui ai donné mon accord. Ces textes ont été rédigés il y a plusieurs années lorsque je concourais pour un site de récits érotiques. Il y a bien longtemps, je rédigeais un journal intime dans lequel j'écrivais beaucoup. C'est à partir de tous ces écrits que j'ai rédigé mon histoire, cela faisait un très gros document dont j'ai extrait quelques pages par ci-par là, pages qui constituent ces récits ici publiés. Quant à la forme du récit, c'était en effet imposé par le site pour lequel je concourais, le format "courte dissertation" était imposé. Je dois dire qu'effectivement, lorsqu'on lit un récit séparé de son contexte, on rentre un peu trop vite dans le sujet ! J'en suis désolée pour le lecteur, mais on ne peut pas publier un trop gros document qui serait fastidieux à lire.
Quant au préservatif, j'en suis désolée pour le le lecteur. mais c'est une convention dans ce genre de récit, on ne précise pas à chaque fois que cela est nécessaire "il enfile un préservatif" ou bien "je lui enfile un préservatif". Rassurez-vous, je me protège. De toute façon, dans ce genre de club, le préservatif est obligatoire aujourd'hui ; c'était moins vrai il y a 20 ans. Pour terminer enfin, certains de mes récits sont beaucoup plus romantiques, comme moi. Et ce sera avec plaisir que je les enverrai à Peter. Tendres pensées .... Mouna
Bonjour Mouna
Je viens de faire indirectement ta " connaissance" par le biais de Peter Pan.
Sincèrement désolée si mon com a pu te blesser ( le mot est mal choisi certainement) en quoi que ce soit et, si tel est le cas, je te prie de m'excuser car tel n'était pas mon propos.
Merci pour les précisions que tu apportes conernant l'extrait publié.
Quant au fait que tu sois aussi romantique j'en suis convaincue et il est évident que le contexte de ton récit ne se prête absolument pas à ce genre d'épanchement :-)
Cordialement
Elise
Merci de ta compréhension. Mais pas de problème, aucun souci ! Ton commentaire est tout à fait naturel. J'ai ajouté le mien uniquement pour que chacun connaisse le contexte. Merci à tous,
Bien cordialement
Mouna
Etonnant en fait, moi aussi j'etais dans le plaisir de la lecture et ce "non preservatif" a coupé mon plaisir . Il y a 20 ans, j'utilisais deja le preservatif si ce n'etais pas mon homme .... bisous coquins
Ne soyons pas pudibondes à propos des préservatifs, bien sur qu'il est indispensable de se protéger, mais est-il nécessaire de le préciser à chaque fois !
Et soyons franches, laquelle d'entre nous aime sucer du latex ?
comment dire, toute mouillée et je peux taper ce com seulement car je viens de me caresser...
bises
tania
alors le but est atteint
baisers Tania
peter
Mounia et Peter.
Je n'ai pu lire que la moitié du récit.
En effet ce texte est beaucoup trop long...,
En le lisant , je me suis dit: dommage, trop long! On perd l'attention au fur et a mesure des lignes qui féfilent.
Mais je comprends , après avoir lu les commentaires et ton explication Mounia, qu'un texte, sorti de son contexte, n'a plus la même valeur.
Il aurait peut être fallu le fractionner ?
Mais bon? Je dis ça comme ça...
On a peur de s'exprimer maintenant sur les blogs !!
Sourires...
Quand au bonheur? Facile... Deux doigts et une langue... Une bonne queue bien dure (oupss!) Et le tour est joué !
Bizous à tous les deux.
j'aime beaucoup ta conclusion Titia, nous allons la mettre en pratique
baisers
peter
Bonjour,
Trop long en effet, mais fort bien écrit.
Bravo à la rédactrice,
Marie
et on prend goût à cette longueur, pour mieux profiter de la fin
bises
peter