textes érotiques

Lundi 12 janvier 1 12 /01 /Jan 22:31


J'aime regarder quand tu poses tes mains sur toi, en espérance de moi, lorsque du bout des doigts, tu t'ouvres pour mieux me préfacer la béance de ton désir. Tu es prête. J'ai longtemps joué, jusqu'à t'exaspérer, sur ton corps, de la bouche et des doigts, à te laisser jouer avec moi sans rien en donner. Je ne peux pas faire autrement que de lécher encore tes lèvres, ces muqueuses violacées et gonflées au goût de cupidité au milieu d'un buisson détrempé par l'orage. Tu te fends et tu te touches, toute pudeur rejetée par tes doigts allumés. Tu ne me vois même plus et cela t’attise encore davantage. J’en ai plein les yeux de toi, là, en bas de ton ventre, entre tes cuisses béantes, remplies de chaleur et d'humidité. Tu ne vis plus que par là. C'est fascinant. Rien d'autre n’existe. Toute entière dans ce sexe en alerte, dominée, tu te soulèves, te creuses davantage, enragée que je ne réponde pas. Tu le tends, affamé, assoiffé, sans savoir que mes yeux le dévorent. Et puis, et puis, d'un coup de rein j'y suis enfin, Je le remplis, je le presse, Je l'écrase. Je lui donne, tout, mes os, jusqu'à la moelle, mes tripes, et tu jouis en criant quand je m'y déverse. J'en ai fini de toi, que tu me retiens encore. Tu n'en peux plus mais tu veux me garder. Lorsque je glisse hors de toi malgré moi, je lis dans tes yeux, une lueur de regret

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Mercredi 7 janvier 3 07 /01 /Jan 18:13

Tu es là assis devant ton écran,
Tu tapes je ne sais quoi
Je te regarde comme pour la première fois
J’entends cette musique qui ne sort plus de ma tête
Elle m’emporte tellement loin
J’ai une seule envie venir te rejoindre
Alors je ferme mes yeux
Lentement je commence à sentir cette ivresse
Lentement une chaleur douce m’envahit
Mes joues brûlent, mes mains tremblent, mon cœur s’accélère

Je m’approche, je passe ma jambe de l’autre coté
Je me retrouve à califourchon sur toi
Je ne sais toujours pas ce que tu attends de moi
Mais peu importe
Ma main caresse ta joue
Mes yeux brûlent de désir
Ce désir que tu as fait naître en moi
Mes lèvres cherchent le contact de ta peau
Je sais maintenant que tu me désires
Car tes lèvres se posent sur les miennes

La quête du plaisir commence
Tes mains découvrent mon corps
Légèrement par de doux effleurements
Légèrement par de tendre caresse.
Tes mains charnelles
Tes lèvres délicates
Ton parfum enivrant
Ta musique tellement sensuelle

Je sens mon plaisir grandir
Je sens ton désir croître
Nos langues fusionnent. Notre souffle s’accélère
Tes mains s’approprient  mon corps
Ma bouche goûte cette peau si douce
Elle a soif de connaître ce corps
Une ivresse s’empare de nos corps
La passion du plaisir.

Doucement je prends cette verge
Si chaude, si douce
Elle glisse timidement
Elle glisse tendrement
Mes lèvres l’encerclent
Ma langue la lèche
Délicatement mes mains se joignent aux mouvement
Ce rythme ne cesse d’augmenter
Je te regarde, j’aime lire ton désir
Nos yeux se croisent
Tu m’attrapes le menton et me relèves

Je reprends ma place sur toi
Mais là je sens une chaleur s’introduire
Une onde  sensuelle me remplit le corps
Tes mains se posent sur mes seins tendus
Tu joues avec mes mamelons
Mon corps s’anime à une cadence frénétique
Je sens mon plaisir grandir
Je ne contrôle plus mon corps
Tu me regardes, mon visage s’empourpre  d’extase
Mes lèvres laissent échapper un cri de bonheur
Tu t’agrippes à mes fesses
Car toi aussi tu jouis
Je t’offre une dernière fois mes lèvres
J’ouvre mes yeux ta photo est toujours là

Il est tard
je coupe la musique
Les ordinateurs vont s’éteindre
Bonne nuit.

 


Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Se dévoiler, se sentir vivre
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Lundi 29 décembre 1 29 /12 /Déc 23:06



     Elle rejette les draps loin d’elle pour se regarder. Ses seins ont l’air d’être presque plats dans cette position. Cela l’agace, elle se redresse sur ses oreillers, comme ça, c’est mieux, ils forment une saillie plus marquée. Si elle les serre entre ses mains, comme Jacques le faisait hier, c’est encore mieux, ils commencent à être vraiment gros. Elle les lâche, ils s’écartent un peu, mais les pointes restent dures là où elle les a touchées.

   Elle regarde, au-dessous, son ventre brun, long et plat, à peine marqué par un pli au nombril. Elle se laisse tomber en arrière pour effacer le pli, pose la main sur son ventre avec un sourire d’orgueil. Pas un défaut, il est tout lisse, le nombril est bien rond, parfaitement dessiné. Et, en dessous, une zone blanche très étroite encadre très exactement le triangle de poils noirs, extraordinairement bombé. Elle y passe les doigts. « Comme ils sont frisés ! ». Elle s’amuse à y tracer une raie qui se marque en clair dans le prolongement exact de la ligne sombre qui s’amorce plus bas.

   « Comme je suis belle, se dit-elle, en effleurant son ventre de la main ; c’est dommage, cette tâche blanche, Lise a de la chance, elle peut se bronzer au soleil toute nue, elle ! Au fait, il faudrait que je lui demande si je peux y aller avec elle, quoi, ça ne la gênerait pas de se laisser voir toute nue…Et moi ? Ça me gênerait ? Non, je ne crois pas…enfin…pas vraiment…ça m’exciterait plutôt, elle est si belle. Lise, avec ses seins comme des melons, tout durs, tout dorés, et ses petits poils blonds entre ses cuisses, comme ceux de Maryse…Est-ce que j’oserais les toucher comme ceux de Maryse, est-ce que j’oserais embrasser ses seins, est-ce qu’elle me ferait la même chose, est-ce qu’elle glisserait un doigt dans ma fente, sur mon bouton, en disant  « la pureté est impossible, ma pauvre fille », comme Maryse ?...Oh là là ! Que je suis mouillée ! Bon ! Oui ! Faut y passer, on y va… »

   Elle se lève, va prendre dans son armoire le nécessaire de toilette que tante Lise lui a donné, pour son anniversaire, et dont elle ne se sert jamais. Les flacons sont encore tout neufs. Un miroir grossissant est inséré dans le couvercle. Hélène s’assied sur son lit, les genoux écartés, les pieds accolés par la plante, dans une position de yoga et appuie le miroir sur ses talons. Des deux mains glissées entre ses cuisses, elle s’ouvre, écarte les lèvres brunes qui béent sur l’étrange écrin rouge de velours mouillé. Devant, c’est la perle, presque blanche. Hélène se suce l’index, le pose sur la pointe de chair, la fait bouger doucement dans un mouvement tournant.

   Elle entrouvre la bouche, ses paupières se baissent, elle pousse de petits soupirs saccadés. C’est bon…bon…Mais doucement, mademoiselle, il ne faut pas aller si vite…Elle s’arrête et reprend son examen.

   Un peu plus loin, en arrière, au milieu d’une toute petite saillie, un minuscule trou noir. C’est par là qu’elle fait pipi. Plus loin encore, au centre de la vallée, une sorte d’entonnoir qui ne révèle rien. Elle y met le bout du doigt qui entre facilement ; elle essaye d’écarter les rebords avec les autres doigts, mais cela se referme aussitôt. Alors elle pousse, du fond de son ventre ; et voilà que ça s’ouvre, comme une fleur. Comme c’est étrange ! Cela n’a pas l’air d’un simple conduit, comme elle l’imaginait ; il y pousse des coraux aux formes tourmentées. Elle se relâche, et cette végétation moite se referme sur elle-même comme une anémone de mer.

 

 

                                                  A suivre

  




Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Mardi 23 décembre 2 23 /12 /Déc 18:52


                                                                   5

 

 

Hélène dort. Elle rêve qu’elle dort et qu’elle se réveille. Et elle se réveille avec, encore, de petites bouffées de rêve dans la tête, des visages qui flottent et s’en vont, comme les morceaux d’une photo déchirée qu’on a jetés dans le ruisseau…Jacques, sa broussaille de cheveux blond blanc, ses yeux noisette, son visage triangulaire aux pommettes hautes…Beau comme un dieu, c’est bien banal, beau comme un loup, un loup qui serait le dieu des loups…Encore trois semaines avant la pension, pas la peine de s’encombrer l’esprit…Quoique la pension , ce n’est  pas seulement les profs, la pension c’est aussi, c’est d’abord Maryse, la blonde, la divine Maryse…Elle ne m’a pas écrit une fois, la salope, moi non plus d’ailleurs, mais on a juré de tout se raconter de ce qu’on aura fait en vacances et je ne sais vraiment pas si je serai capable de lui raconter Jacques. Jacques et moi, Jacques couché sur moi, son doigt dans moi, ma main sur lui, je laisserai Maryse raconter la première, si elle en a fait d’aussi belles, je verrai…Jacques…Jacques…

   Elle ferme les yeux, tire le drap au-dessus de sa tête, essaye de toutes ses forces, de revoir ce gros gourdin rouge et rigide qui se dressait au bas du ventre de Jacques…Rien à faire…Si ! Ça vient, ça se dessine, mais ce n’est pas tout à fait pareil, ce n’est pas un gourdin, c’est une longue tige blanche et fine, presque élégante, au bas du ventre plat et musclé…et, au-dessus il y a Philippe…Comment Philippe ? Comment peut-elle imaginer si distinctement le machin de Philippe qu’elle n’a jamais vu alors qu’elle est incapable d’évoquer l’image de celui de Jacques qu’elle a regardé si souvent ?...Philippe…Il est beau, lui aussi, très différent de Jacques, deux ans de plus, des cheveux noirs et des yeux bleus, très clairs, on dirait qu’il y a derrière deux petites lampes toujours allumées et, tout autour, une bonne tête un peu rude, carrée, rassurante, avec des mâchoires de…non, pas de loup, de chien, de chien fidèle et protecteur…J’aime bien Philippe, je l’aime bien quand il me regarde et que je sais ce qu’il a envie de me faire et qu’il écrit dans son journal. Ça me donne chaque fois un drôle de petit vertige, dans l’estomac et plus bas, entre mes cuisses, là où j’ai ma main…Tiens ! Qu’est-ce qu’elle fait là ma main ? « Sortez vos mains de dessous vos draps, mesdemoiselles ! » dit la mère Anselme, la surveillante du dortoir quand elle passe, sans faire un bruit, la salope, tu parles, si elle savait ce que Maryse et moi, nous en faisons de nos mains, l’une contre l’autre…Non ! Pas penser à ça, pas maintenant, dans trois semaines, heureusement qu’il y aura ça, Maryse chérie, adorée, ma belle garce, pour faire passer tout le reste, où en étais-je ?

   Oui, Philippe. Donc il m’aime, il me désiiiiiire, Hélène, mon amour des amours, je te ferai ceci et ça, viens vite…Tout doux, tout doux, moi je m’en fous !...Non ! Pas vrai, je ne m’en fous pas. Ça me fait même un drôle de plaisir, plusieurs drôles de plaisirs, d’abord qu’il pense à tout ça en me regardant, et puis qu’il ne sache pas que je sais et puis qu’il soit jaloux de Jacques, alors ça c’est exquis, ça me fait, je ne sais pas, un petit bonheur aigu…Au fond, j’aimerais bien faire souffrir Philippe, lui faire mal, par exemple, le tenir là, dans ma main, et serrer et voir son visage se contracter, sentir qu’il veut jouir et l’en empêcher, ou bien, commencer à le faire jouir, voir sa bouche et ses yeux s’ouvrir de plus en plus grands et m’arrêter d’un coup, et l’empêcher de se finir, Hélène, tu es une abominable garce, pauvre Philippe, au fond, j’aimerais bien qu’il me prenne dans ses bras, contre lui, presque sans me toucher, rien que du doux, du bon chaud, même pas de baisers, rien que ça, être contre lui, être dans sa chaleur, sans bouger…Tu parles ! On n’en resterait pas là, la pureté est impossible, comme dit Maryse quand elle sent ma main glisser sous sa jupe, bon revoilà Maryse, je ne sais pas ce que j’ai ce matin, ou plutôt si je sais…et je sais que je vais le faire mais doucement, ma fille, tout doucement, que ça dure…

 

 

                                      A Suivre





Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Se dévoiler, se sentir vivre
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Mardi 9 décembre 2 09 /12 /Déc 18:50


   - Alors Philippe ? Toujours plongé dans tes livres ? Je parie que tu n’es pas sorti de l’après-midi ! Grommelle la grand-mère Castres.

   Philippe lui sourit gentiment. Il l’aime bien, cette femme vive et gaie.

-         Si c’est permis de tourner comme ça le dos au soleil quand on est dans ce pays ! Poursuit-elle ; quand les vacances seront finies, tu auras le teint tout blanc, comme une pastèque pas mûre ! Ton père aussi. Tous les mêmes ! Toujours le nez plongé dans vos écritures et qu’il n’en sort que de la bordille ! Si mon pauvre Castres était encore là, il aurait vite fait de vous prendre par les épaules, le père et le fils, et de vous envoyer sulfater la vigne !

-         Mais Philippe est sorti, maman, intervient Lise, sans lever les yeux ; il m’a aidé à cueillir des abricots chez le père Sylve.

-         Ah bon, comme ça, ça va, bougonne la grand-mère ; mais Bernard, lui, il n’a pas mis le nez dehors.

-         Tu sais bien qu’il termine un livre, dit Philippe ; tiens ! Laisse-moi t’aider à mettre le couvert…

-         Un livre, un livre, encore un livre. Quand il aura fini celui-là, il commencera le prochain. Et alors, qu’est-ce qu’il y changera au monde, avec toutes ses phrases ?

   Philippe ne l’écoute plus. Il regarde les vieilles mains noueuses qui disposent les assiettes de faïence sur la nappe, les épaules affaissées sous la serge noire du corsage, le visage creusé, ridé. « Et dire qu’elle aussi a été une femme jeune ! songe-t-il ; et qu’elle aussi a fait l’amour…Est-ce avec ces mains-là qu’elle a caressé le grand-père Castres, est-ce qu’elle s’est assise sur lui, toute nue, comme Lise, tout à l’heure en criant ? » Philippe frissonne un peu. Il n’ose pas aller plus loin, poursuivre cette pensée qui lui répugne et lui fait un peu peur…

   La grande cuisine se remplit d’ombre, peu à peu. Le beau visage de Lise apparaît nettement dans un dernier poudroiement de lumière dorée. « Est-ce qu’elle aussi, un jour aura des rides, des poils blancs et des seins tout flasques ? Est-ce qu’un jour, je ressemblerai au père Sylve, ou au grand-père Castres ? Il faut faire l’amour, vite, beaucoup, il faut faire énormément l’amour pour ne pas se sentir vieillir… »

-         Lise, ma fille, tu te crèves les yeux dans ce noir ! Philippe, allume s’il te plait.

   La lumière chaude envahit la pièce, fait étinceler les chaudrons de cuivre qui pendent au mur, rend plus claires les pierres enfumées de la cheminée. Philippe se sent mieux, regarde autour de lui.  « Mais où donc peut bien être Hélène ? »

   La voici justement qui arrive en riant, le visage tout noir. Jacques la suit de près. Philippe a une bouffée de jalousie.

-         Mais d’où sortez-vous ? s’exclame la grand-mère ; vous avez l’air de deux charbonniers !

-         Ce n’est pas du charbon, ce sont des mûres ! Regardez !

   Jacques brandit triomphalement un grand pot de baies noires. Philippe se sent rassuré. « Ce n’était que ça. Ce sont encore des enfants… » se dit-il, en oubliant complètement ce que des « enfants » - et des adultes – peuvent faire en ramassant des fruits… « Et puis Jacques est un vrai bébé. Tout juste bon à se masturber en regardant les femmes nues ». Et, comme pour se prouver sa virilité, Philippe va s’asseoir à côté de Lise. Elle lui lance un sourire furtif, presque sans lever les paupières, mais elle se penche un peu plus et l’échancrure de son corsage se met à bâiller largement. Philippe revoit les seins bruns qu’il a serrés dans ses mains, tenus dans sa bouche…Il recommence à bander. « Heureusement que je suis assis, pense-t-il ; et dire que je les ai vus dix fois avant, sans qu’elle le sache… Mais maintenant, tout est différent. Je connais leur parfum, leur consistance, leur texture, je sais qu’elle aime qu’on les caresse, qu’on les embrasse, qu’on les suce…Je l’ai entendue gémir de plaisir… » Et, rien que d’y penser, il pousse un soupir qui résonne presque comme un gémissement et fait tourner toutes les têtes. Il n’a plus que la ressource de transformer le soupir en quinte de toux. Lise lui tape dans le dos, de la main droite. La gauche se pose sur son épaule et la serre, relâche sa pression, recommence…

-         Merci, merci, bredouille-t-il, pour la faire cesser.

   Mais elle continue.

-         Mon pauvre Philippe, tu as pris froid dans la citerne du père Sylve. Voilà ce qui arrive quand on vole au secours de dames en péril !

   « Elle se fout de moi ! se dit Philippe, furieux ; pour qui se prend-elle ? Elle m’a eu, oui, mais, après tout, elle en avait drôlement envie ! »

   Il avance un bras pour la repousser, mais elle fait dévier sa main qui se pose sur sa cuisse dont il sent le galbe ferme sous la mousseline de sa robe. « Devant tout le monde, pense-t-il en rougissant ; elle a vraiment le feu au derrière ! Elle ferait n’importe quoi… »

-         Mais tu as le hoquet ! s’écrie Lise, impitoyable ; attends, je sais ce qu’il faut faire. Jacques, mon petit Jacques, apporte-lui vite un verre d’eau.

   Elle lui montre comment boire sur le bord éloigné du verre en se penchant en se penchant en avant et, une fois encore, lui dévoile ses seins et l’inonde de son parfum. Pendant qu’il s’exécute , elle garde la main posée sur son dos, comme pour l’aider à garder la bonne position ; Philippe se relève, très rouge, toussant pour de bon , mais enfin libéré de la bosse

embarrassante qui gonflait son pantalon.

 

 

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