- Eh bien, Angelo donc me caressait les seins, comme je vous fais. Et, machinalement, je me suis mis à faire la même chose à la petite, à lui palper les pointes qui sont devenues dures. Et le cochon, pendant ce temps, il avait soulevé ma jupe et il avait glissé sa main entre mes cuisses, et un doigt…enfin, vous comprenez…J’étais toute mouillée et il m’est venu comme une envie d’embrasser. Je ne sais pas comment, je me suis trouvée avec un téton de la fille dans la bouche. Ça avait l’air de lui plaire beaucoup, elle poussait des petits cris, elle serrait ma main contre elle, elle se trémoussait comme une anguille. Un petit bout de chou de rien du tout, j’aurais pu lui manger la soupe sur la tête ; des tâches de rousseur partout, jusque sur les seins, et les cheveux coupés courts, comme un garçon…Ce n’est pas comme vous Madame Lise. Vous avez des cheveux magnifiques. Vous êtes une vraie femme, vous ! Je peux les toucher ?
- Mais bien sûr Amanda.
Amanda se met à caresser les cheveux de Lise, enfonce les doigts entre les mèches blondes et ondulées, lui masse légèrement le crâne.
- Vous aussi, Amanda, vous avez de beaux cheveux, dit Lise ; jusqu’où vous arrivent-ils ?
- Vous ne devineriez jamais ! répond fièrement Amanda, en levant les mains vers son énorme chignon, noir et parfaitement lisse.
Dans ce mouvement, ses seins se redressent et pointent triomphalement à la hauteur du visage de Lise qui pense : « Elles ont des poitrines étonnantes ces Italiennes ! ». Mais son attention est détournée par le flot de cheveux qui se déroule, ruisselle, couvre la poitrine, retombe jusqu’aux cuisses.
- Vous voyez dit Amanda, je pourrais m’asseoir dessus !
- C’est incroyable, murmure Lise en passant elle aussi ses doigts à travers les mèches interminables et soyeuses.
- C’est bon, souffle Amanda en fermant les yeux à demi et en devenant un peu plus rouge.
La main, toujours posée sur les seins de Lise se crispe.
- Et alors, cette petite ? demande Lise qui ne veut rien perdre de l’histoire.
- Cette petite, répète Amanda d’une voix qui a baissé d’un ton ; oh ! Cette petite ? Il n’y avait rien du tout ! Je ne sais pas comment cela peut plaire à un homme. Pas de cheveux, les seins non plus pas bien gros, formés, solides, mais pas de quoi remplir la main. Mais sensibles ! Pendant que ma langue lui taquinait les pointes, elle s’était mise à gémir, elle était presque renversée en arrière. Alors Angelo nous a poussées toutes les deux vers le canapé, là où nous sommes maintenant, il avait toujours sa main entre mes cuisses et son doigt enfoncé, et de l’autre main il a arraché le slip de la fille. Le tissu est venu tout seul, c’était moins que rien. Il m’a lâchée, je me suis sentie toute vide, mais la petite a tout de suite mis sa main à la place de celle d’Angelo. Ça m’a fait un drôle d’effet d’être touchée là par une femme, mais c’était bon. Même, elle bougeait ses doigts mieux que lui, plus doucement, et habile avec ça…Je ne sais pas comment elle faisait, mais elle réussissait, avec une seule main, à me caresser en même temps à l’intérieur et sur le bouton…Mais vous êtes sûre que je ne vous ennuie pas ?
- Vous savez bien que non, Amanda, murmure Lise, avec un petit sourire malicieux, et alors ?
- Alors, Angelo a ouvert les jambes de la petite, juste devant moi, sous mon nez pour ainsi dire. Et il m’a dit : « Suce-la ».Moi, je n’avais pas très envie. Je n’avais jamais vu une femme d’aussi près ; ça me rendait toute drôle. « Tu n’as pas envie ? Alors c’est moi que tu vas sucer ». Et il s’est déboutonné, il a sorti son truc énorme, tout gonflé, déjà décalotté, le salaud, vous pensez, ça faisait un bout de temps qu’il nous regardait et qu’il me tripotait. Je l’ai pris dans ma bouche, ça j’ai l’habitude, et j’aime. C’était bon, un peu salé, ça me remplissait presque jusque dans la gorge. J’avais une envie folle de le faire jouir, j’aime quand ça vient, quand ça jaillit dans ma gorge, tout chaud…Mais qu’est-ce que je vous raconte, moi !
- Des choses très intéressantes, dit Lise d’une voix un peu rauque ; continuez Amanda.
- Oui, je sens que ça vous intéresse vraiment, dit Amanda en serrant une pointe de sein entre deux doigts ; et ça me rend bien heureuse, Madame Lise…Mais où en étais-je ?
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