Lundi 25 janvier 1 25 /01 /Jan 10:19

Copie de 05286








Mais à quoi bon se biler…Le plus simple est d’en faire autant avec Nicky. Je vais me mettre à côté d’elle sur son fauteuil.

Je n’aurai même pas à prendre cette peine, car c’est elle qui vient à moi. La voici qui s’assied sur mes genoux. Ses lèvres s’approchent des miennes, se réunissent ! Oh ! Elle ne s’est pas lavée la bouche… Je sens sur ses lèvres un goût très net de foutre masculin. Ah ! La salope ! C’est bizarre, mais ce goût m’excite ! Deviendrais-je homo à présent ?

Ca m’excite tellement que je rebande tout de suite. Il est vrai que Nicky a commencé à me branler et que le contact de son corps doux et tiède sur ma peau est quelque chose de délicieusement excitant.

Mais c’est magnifique ! Je bande déjà comme un taureau. Il est vrai qu’il y a autre chose qui m’excite. C’est l’incertitude dans laquelle je suis au sujet de ma femme et de Bob. Remarquez que lorsque je dis « incertitude », je suis franchement optimiste ! Après ce qu’il s’est passé ici, que voulez-vous qu’ils fassent, tous les deux ? Certainement la même chose que nous…

Je dois me rendre à l’évidence ! D’imaginer Esther dans les bras de Bob, ça m’excite terriblement. Tout est pour le mieux dans ces conditions !

 

                                                             *****

 

Pendant ce temps, notre baiser se prolonge. Ma langue explore dans tous ses recoins la bouche de Nicky tout imprégnée du foutre de Bob, tandis qu’une main douce continue à me branler et que les miennes, de mains, s’affairent entre les cuisses de ma partenaire.

Soudain Nicky se déplace un peu pour me chevaucher carrément. D’un geste prompt, elle a placé ma verge à l’entrée de sa vulve. Lentement, elle s’empale sur ma queue…Je pense soudain que je ne l’ai jamais baisée, Nicky, et j’aurais tout de même préféré que notre première possession se fasse dans des conditions un peu plus confortables.

Mais ce n’est certainement pas l’avis de Nicky que la situation a l’air d’exciter terriblement. En effet, si Bob et Esther nous voyaient, ça ferait tout de même un peu de pétard. Il est vrai qu’ils sont fort probablement en train d’en faire autant. Suis-je bête !

Comme pour s’en assurer, Nicky quitte un instant ma bouche pour parler.

-        Hé ! Là-bas ! De la cuisine ! Où en êtes vous tous les deux ?

La phrase est  savoureuse et je ne puis réprimer un sourire…Quelques secondes passent et personne ne répond. Le doute n’est plus possible, cette fois ! Puis c’est Bob qui répond d’une voix molle, bizarre, un peu rauque.

-        C’est presque fini ! Ne vous impatientez pas. Dans cinq minutes vous serez servis !

-        Ne vous pressez pas, surtout, rétorque Nicky en riant, il faut prendre son temps et bien faire les choses…

Je me mêlai aussi à la conversation, prenant bien garde de ne pas rompre le jeu subtil commencé par Nicky, qui consistait à ne jamais dire que des phrases à double sens, qui pourraient être interprétées aussi valablement vis-à-vis des activités culinaires des deux complices, que de leurs activités amoureuses.

C’est délicieusement excitant de discuter ainsi en maintenant l’équivoque, pendant que je baise la femme de Bob alors que lui se tape la mienne ! Nicky monte et descend sur ma bite en un rythme délicieux. A chaque fois qu’elle se soulève, on dirait qu’elle va la quitter, mais elle la reprend à chaque coup, l’engloutissant avec autant de violence qu’elle met de douceur à la faire ressortir.

Je me suis à demi allongé dans le fauteuil et la coquine se régale à regarder attentivement cette belle bite qui entre et sort de sa chatte à nouveau toute mouillée. Ma récente jouissance me permet de faire durer le plaisir bien plus longtemps, cette fois…

Mais la voix de Bob nous fait soudain sursauter en nous tirant de l’océan langoureux où l’approche de l’orgasme commençait à nous faire sombrer.

-        Voilà, ça y est, nous arrivons !

Immédiatement Nicky activa ses mouvements et nous avons joui tout de suite, peut-être encore plus fort que tout à l’heure. Pour étouffer le cri qu’elle n’aurait pas manqué de jeter, Nicky avait collé ses lèvres aux miennes et nous bûmes en quelque sorte, nos râles respectifs provoqués pat l’orgasme.

 

A suivre

 

femme-mariee-et-amant







Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Jeudi 21 janvier 4 21 /01 /Jan 14:50
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Nous venons de nous rendre les uns après les autres dans la salle de bain pour laver nos corps des torrents de sperme que nous venons de répandre.

Nous sommes allongés chacun dans un fauteuil, une cigarette aux lèvres, parfaitement abrutis de fatigue voluptueuse.

Nous ne parlons pas. Une certaine gêne plane sur le groupe et nous ne savons pas trop comment la dissiper.

Je m’amuse de profiter du silence pour observer chacun de nous. Nicky est parfaitement décontractée et paraît très heureuse. Pour elle, il n’y a pas de problème, c’est visible.

Par contre, son époux paraît un peu moins serein. Oh ! Ce n’est certainement pas grave, mais une ombre semble flotter dans son regard. Quelque chose le chiffonne, c’est plus que sûr ! Peut-être s’est-il aperçu de mon geste vis-à-vis de Nicky ?

Esther me sourit, repue. Elle paraît un tout petit peu gênée, mais à peine. En tout cas, bien moins que je l’aurais cru. Ah ! La coquine ! Il faudra que je la surveille lorsque nous serons à Vence !

Cette pensée m’attriste car elle me prouve que je suis comme presque tous les hommes, jaloux. Et exclusif à sens unique…

En tout cas, notre petite séance a atteint les objectifs visés. Mon sexe, comme celui de Bob sont parfaitement au repos.

 

                                                               *****

 

C’est finalement Nicky qui se décide à rompre le silence en s’adressant à son mari :

-        Bob, mon chéri, si tu commençais à préparer le repas. J’ai une faim de loup, pas vous ?

-        Oui dit Esther. Si vous le permettez, je me propose de donner un coup de main à Bob.

Cette initiative me causa, je dois le reconnaître, un certain étonnement. D’ailleurs en disant cela, Esther nous regardait tous les deux, Nicky et moi, d’un drôle d’œil. Que se passait-il ?

Décidément, je connais bien moins ma femme que je ne l’aurai cru ! Sade aurait-il raison, lui qui, prétend que la femme n’est « jamais épouse, ni mère, toujours putain » ? Peut-être ! De toute façon, nous verrons bien !

Ce qu’il y a de clair dans tout cela, c’est qu’Esther et Bob viennent de partir tous les deux en direction de la cuisine.

Il y a une semaine, si on m’avait dit que quelques jours plus tard je laisserai ma femme et Bob à poil ensemble et tout seuls dans une pièce isolée sans protester le moins du monde, j’aurai taxé de folie celui qui m’aurait dit cela !

A présent me voici seul avec Nicky qui me jette un coup d’œil complice en dodelinant de la tête en direction de la cuisine.

Que font Bob et Esther en ce moment ? Ils s’embrassent peut-être ! Bob veut sans doute se venger de ma désinvolture vis-à-vis de sa femme. Mais est-ce bien certain qu’il se soit aperçu que je lui mettais un doigt dans son cul ?

Pourtant l’initiative est venue d’Esther. C’est peut-être elle qui a vu. A moins qu’elle soit très excitée sans la moindre idée de vengeance ?

Que fait-elle en ce moment ? Peut-être qu’elle a pris sa verge dans sa bouche ? J’ai envie d’aller voir. Ou alors, c’est Bob qui la suce ? Non, j’y suis, il l’a d’abord embrassée dans le cou, puis sur la bouche et maintenant il lui suce le bout des seins pendant que ma femme le branle doucement…

 

A suivre

 

 

canapé003

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Mardi 19 janvier 2 19 /01 /Jan 15:58
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-        C’est encore une hypocrisie de notre civilisation, comme dirait si bien notre ami Gilles – et en prononçant ces mots il me lança un regard narquois – que cette habitude de parler à mots couverts. Soyons logiques ! Nous avons mis à nu nos corps, puis nos gestes. Sachons le faire aussi pour notre langage et également pour nos pensées.

-        Ça y est ! je sens mon foutre qui monte. Aaah ! Vite, suce-moi, je décharge !

Sans cesser de branler son mari, Nicky approcha ses lèvres de sa queue juste au moment où le foutre jaillissait. Elle reçut la première saccade en pleine figure, puis engloutit le gland dans sa bouche et commença un mouvement de succion qui fit crier d’aise Bob. Celui-ci s’affala dans le fauteuil qui était juste derrière lui, entraînant Nicky, la bouche toujours pleine.

 

                                                        *****

 

Je ne saurais dire au juste si ce que je ressentais était de l’excitation, de la colère, ou du dépit. Les trois à la fois, probablement ! Cependant l’excitation prit rapidement le dessus dès qu’Esther eut posé sa main sur ma verge douloureuse de dureté.

 Mais je n’avais pas envie de me faire branler. Je retournai Esther, la poussai en avant de manière à ce qu’elle s’appuie les bras sur les accoudoirs du fauteuil qui se trouvait près d’elle, de façon à bien faire saillir ses fesses entre lesquelles j’introduisis rapidement ma flûte d’amour.

Pendant que je baisais ainsi Esther en levrette, mon regard ne quittait pas le charmant paysage qui se trouvait tout près de nous, sur l’autre fauteuil. Bob en train de continuer à se faire sucer était masqué par le corps de Nicky. Et quand je dis le corps, c’est une façon de parler, car c’est plutôt le cul qu’il faudrait dire.

En effet, Nicky, les jambes droites et écartées, le buste penché en avant, exhibait à mon regard une magnifique paire de fesses bien ouvertes, me montrant généreusement le trou de son cul et une partie de sa chatte toute mouillée qu’elle était d’ailleurs fort occupée à branler vigoureusement tout en continuant à sucer la bite de Bob qui exhalait des râles indistincts.

Ce cul me tentait terriblement ! J’aurais bien volontiers quitté la chatte d’Esther pour y fourrer mon membre frémissant. Ma langue à la rigueur ! Mais au fait ce n’est pas si loin.

Je voudrais bien, mais je n’ose pas ! Bob pourrait mal prendre la chose, ou alors il s’empresserait d’en faire autant avec Esther, et puisque j’ai la chance de pouvoir baiser sa femme quand je veux, sans pour cela avoir à céder la mienne, il serait stupide de perdre cet avantage pour l’excitation d’un instant.

Ce que je peux faire, par contre, c’est y introduire mon doigt, et cela sans que Bob ni Esther ne s’en rendent compte. C’est ce que je fais à l’instant…A ma pénétration, je sens le corps entier de Nicky frémir de plaisir.

On aurait dit qu’elle n’attendait que ça pour jouir…C’est le pouce que j’ai enfoncé dans son cul tandis que les autres doigts se mêlent aux siens pour pénétrer sa fente brûlante et toute dégoulinante de cyprine.

Malgré qu’elle ait la bouche emplie du sexe de Bob, il s’en exhale des soupirs et des râles à demi étouffés tandis que j’ai du mal à maintenir ma main, tant son cul se trémousse.

C’est formidable ! Esther, elle aussi, commence à crier de bonheur. Je me retiens tant que je peux depuis un bon moment, mais à présent, c’en est trop. Voilà, ma semence arrive ! Je la sens monter, monter. Ça me brûle partout. Je ne sais plus où je suis…Je vais mourir…ça y est, je jouiiiiiiiiiiis !!

 

             A Suivre

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Jeudi 14 janvier 4 14 /01 /Jan 17:47
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Vous voyez, dit Nicky, que cette petite expérience était nécessaire pour nous habituer. Nous ne pouvions pas nous présenter ainsi devant Marc et Cathy, et quand je dis nous, il s’agirait plutôt  de vous messieurs !

Sur ces mots elle éclata d’un rire des plus insolents.

-        Je m’en excuse, dit Bob d’un ton ironique…Je m’en excuse vis-à-vis d’Esther.

-        Oh ! Je t’en prie, coupa Nicky en riant de plus belle…Ce n’est pas la peine puisque Gilles est dans le même état que toi…Et puis au fond je ne trouve pas que ce soit particulièrement gênant…Qu’en penses-tu Esther, tu n’as pas l’air trop à ton aise…Pourtant jolie comme tu es tu ne devrais pas être gênée de te montrer nue…

-        Mais je ne suis pas gênée, répondit vivement ma compagne. Je n’ai pas l’habitude, c’est tout ! Et puis nous sommes là, plantés, il faudrait faire quelque chose…

Esther avait raison. Tout en parlant, les yeux de chacun de nous se braquaient alternativement sur les divers détails des trois anatomies qui l’entouraient.

Nicky promenait un regard ravi et gourmand sur les deux magnifiques verges glorieusement dressées de son époux et de son futur amant. Il était visible qu’elle cherchait à se préfigurer les jouissances qu’elle pourrait tirer de la mienne.

Pour ma part, je m’amusais également à comparer Nicky et Esther. Là je devais reconnaître la supériorité de ma femme, tout au moins sur le plan esthétique. Mais Nicky quoique moins parfaite, était certainement plus sexy, plus excitante…Son déhanchement, son attitude provocante et quelque chose d’indéfinissable dans le domaine de l’insolence et de l’impudeur qui s’exhalait du moindre de ses gestes, tout cela produisait sur mes parties « nobles » un effet fantastique…Sans compter le souvenir de nos caresses de la veille !

-        Au fait, dit-elle soudain, il serait facile de vous ramener tous deux à une tenue plus correcte…N’est-ce pas mon chéri ?

-        Et comment cela ? répondis-je naïvement, ce qui provoqua un de ces rires particulièrement ironiques et insolents dont elle paraissait avoir le secret.

-        Mais c’est très simple, en faisant l’amour ! Vous n’y avez pas pensé ?

Non je n’y avais pas pensé ! Elle riait de plus belle. Tout en disant ces mots, elle venait de passer sa main sur le membre de Bob. En faisant ce geste, elle me regardait avec des yeux où se lisait une excitation folle en même temps qu’un défi…Elle se foutait de moi la salope ! Et elle continuait de branler son mari avec le plus grand sans-gêne. Celui-ci non plus n’en paraissait guère gêné. Indéniablement, cette petite séance l’excitait. Surtout de faire cela devant ma femme. Et aussi devant moi.

J’étais furieux. Je regardais Esther. A mon grand étonnement, elle me parut elle aussi, plus excitée que gênée. Bon, ça va, puisque tout le monde est d’accord, je ne vais pas être le seul à rechigner.

Bien au contraire, je pris le parti de renchérir lorsque Nicky fit mine d’entraîner Bob vers la chambre, le tirant par la queue…

-        Mais où allez-vous ?

-        Mais dans la chambre, bien sûr ! Vous ne voudriez pas que nous baisions devant vous ? Ce serait un peu gênant…

-        Et pour quelle raison, au fond ? Puisque nous sommes naturistes et nudistes, il vaut mieux que nous soyons capables de l’être jusqu’au bout. A mon avis, il n’est rien de plus stupide que de faire les choses à moitié. Soyons logiques !

J’avais visé juste ! Mon indifférence, qui dénotait une absence totale de jalousie, parut décevoir Nicky. Je m’en aperçus à son regard dans lequel la flamme de l’excitation s’atténua quelque peu.

Bob voulut ajouter son grain de sel.

-        D’autant plus que ce n’est plus la peine à présent, d’aller dans la chambre, car je sens, depuis que Nicky me branle que je vais bientôt jouir. Dans quelques secondes, ma bite va décharger tout son foutre !

-        Oh ! Quel langage mon chéri !

 

A suivre




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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Hommage à la Féminité
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 18:38
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Soupir

Long soupir...

Agonie d'un prolongement du désir.

Fantasmes vivaces de nos amours torrides.

Me font encore vibrer de toi, inlassablement.

Aux moments inattendus, sans prévenir,

Une sensation montante s'impose,

Dominant le fouillis de mes pensées éparses.

Les plaisirs de notre tango serpentin,

Reprennent possession de mon corps.

Absence du maître danseur...

Virtuose composant à même mes courbes,

Des harmonies jouissives.

Notre danse de noces festives,

Au temps le plus allegro de notre duo.

Partition que nous inscrivions par nos caresses,

Sur le papier fin de notre couche.

Tout mon être chantant l'allégresse de mon délice.

Nous devenions instruments orgasmiques,

Aux mille et une mélodies érotiques.

Fusionnant sur la gamme de notre portée enlevante,

Notre volcan symphonique.

Long soupir...



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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Se dévoiler, se sentir vivre
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