Jeudi 11 février 4 11 /02 /Fév 16:11
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Nous étions tous les quatre allongés sur le côté gauche. Ma main gauche et celle de Nicky, que l’on ne pouvait voir puisqu’elles étaient cachées par nos corps, se tenaient tendrement, doigts entremêlés. Comme nous le faisions lors de nos premiers rendez-vous.

C’était drôle de retrouver ces gestes d’amoureux naïfs et un peu timides dans les circonstances où nous nous trouvions à présent.

Notre impudeur aussi ouvertement manifestée donnait une étrange saveur à ces délicates manifestations de notre amour, dont la pureté et la fraîcheur n’étaient en aucune façon entamées.

Tout cela, je le disais à Nicky par des pressions de doigts sur les siens, et je l’entendais répondre par le même truchement, qu’elle aussi m’aimait d’un amour limpide et frais que rien ne saurait ternir jamais.

 

                                                *

                                              *  *

 

Nous serions restés je ne sais combien de temps ainsi l’un près de l’autre et la main dans la main, mais malheureusement, il y avait aussi près de nous deux importuns qui ne comprenaient rien à l’affaire.

Esther et Bob n’étaient guère dans le coup, il faut le dire (entre parenthèse, Bob, c’était plutôt dans le cul qu’il était lui !).

Je dois tout de même reconnaître qu’ils ne nous gênèrent pas beaucoup et ne se manifestèrent qu’au bout d’une heure environ…

Esther voulait retourner à la maison et Bob avait sommeil…

 

                                                *

                                              *  *

 

J’eus la satisfaction de constater de la part de Nicky une certaine froideur vis-à-vis de son mari, comme si elle avait voulu par là bien souligner que son enthousiasme de tout à l’heure était uniquement sensuel et faire en quelque sorte la différence entre le sentiment et la volupté.

Par contre, elle me quitta sur un sourire d’une étrange douceur. Son regard s’était fait tendre et suppliant, merveilleusement amoureux. J’entendis d’une manière très distincte son propos muet…Voici ce qu’il me disait, ce regard :

-        Je t’aime, tu le sais ! Tu m’aimes aussi. Ne te fie pas aux apparences ! Excuse-moi pour tout à l’heure. Je m’excite avec Bob, mais je ne l’aime pas. C’est toi que j’ai toujours aimé depuis que je t’ai connu…Comprends le ! Ne désespérons pas, surtout ! Un jour peut-être, nous pourrons nous aimer en paix, et tout seuls, cette fois.

 

                                                *

                                              *  *

 

De retour chez nous, nous ne savions trop quoi dire, Esther et moi. La face du monde avait tellement changé pour nous en quelques heures !

C’est précisément la première phrase que prononça Esther au bout d’un long moment de silence :

-        Ce que tout a changé depuis cet après-midi ! J’ai du mal à m’y reconnaître ! Et toi, mon chéri ? Qu’en penses-tu, de tout ce qui s’est passé ? Tu es content, ou bien déçu ?

-        Pourquoi serais-je déçu, répondis-je un peu distraitement…Nous n’avons rien fait de terrible au fond. Nous nous sommes mis à poils, nous avons mangé et puis nous avons fait l’amour…Rien de bien sensationnel !

Mais nous avions très sommeil tous les deux, et pas trop envie de discuter. Pour ma part, je pensais surtout à Nicky…Esther de son côté, pensait peut-être à Bob, qui sait ?

Le plus sage était de nous coucher sans plus attendre et de renvoyer les commentaires au lendemain.

 

A suivre.



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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Mardi 9 février 2 09 /02 /Fév 15:46
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Le gland entra sans trop d’efforts…Puis, par petits coups, le membre progressait, lentement, mais sûrement…Nicky se trémoussait bien, se tordait, râlait, gémissait, criait parfois, tandis que Bob opérait d’un air important et très satisfait de lui-même, me jetant de temps à autre un petit coup d’œil légèrement narquois.

Il est vrai que de mon côté, je ne me manifestais pas trop, me contentant de caresser et branler Esther qui s’intéressait passionnément au spectacle.

De nouveau, pour moi, la jalousie prenait le dessus sur l’excitation et j’avais une envie féroce de foutre le camp. Je ne pouvais plus supporter de voir Nicky se pâmer ainsi en se faisant enculer par Bob.

Sa bite était maintenant entièrement entrée dans le cul de Nicky qui gueulait son plaisir à tue-tête. Je voyais ses cuisses écartelées sur une vulve que deux mains fébriles masturbaient avec une énergie proche du désespoir.

Nicky s’abandonnait toute à une volupté folle. Ses râles et ses cris étaient entrecoupés de petites phrases et de mots sans suite.

-        Oh ! Ce que tu m’encules bien, ce soir, c’est formidable ! Je sens ta grosse queue qui a pénétré jusqu’au plus profond de mon cul…Je la sens qui fouille mon ventre…Remue ! remue ! Enfonce encore si tu peux…Transperce moi ! C’est terrible ! Plus fort ! Encore ! Ah ! Ce que c’est bon ! Aaaah ! Aaaah !

Cette fois c’étaient de véritables hurlements qui s’exhalaient de sa gorge, tandis que Bob fonçait tant qu’il pouvait.

Mais Nicky répétait maintenant, en criant très fort, comme une folle, les mêmes mots :

-        Oh ! ce que c’est bon !...Tu m’encules !...Tu m’encules !...Tu m’encules !...Tu m’en…

Esther était visiblement dans tous ses états…

Elle crispait désespérément sa main sur ma queue, mais hélas ! Je bandais mou. Cette constatation l’énervait, car elle se rendait un peu compte que si j’avais été à la place de Bob, je me serais certainement conduit comme lui…

En désespoir de cause, elle entreprit de me sucer de nouveau, mais cette fois-ci elle s’agenouilla et se tourna de côté de manière à continuer à profiter du spectacle…

 

 

                                *

                              *  *

 

Pendant quelques secondes, ce fut sur le lit un festival de cris, de râles, de soupirs énormes et de soubresauts, puis soudain, tout se calma.

On entendit seulement la voix mourante de Nicky murmurer :

-        Ne t’en vas pas déjà, mon chéri ! Reste bien dans mon cul jusqu’à ce que tu débandes.

Pour ma part, j’avais surtout sommeil. Je ne fis aucun effort pour retenir ma jouissance tandis qu’Esther me suçait la bite, et je lui déchargeais rapidement entre les dents.

Ensuite Esther remonta à ma hauteur et nous restâmes enlacés en travers du lit. Derrière nous, Nicky et Bob étaient aussi allongés en travers. Bob était derrière bien sûr, ce qui fait que Nicky était tout près de moi. Je me rapprochais doucement, ce qui me permit de ressentir le contact de sa peau sur la mienne. Malgré son état semi comateux, elle réalisa et se rapprocha aussi un tout petit peu…Mais ce fut suffisant pour que nous soyons presque collés l’un à l’autre.

J’éprouvais au contact de cette chair tiède, tendre et toute moite de sueur, un étrange bien-être. Tout ce qui venait de se passer n’avait plus grande importance. Je me sentais heureux comme aux premiers jours où nous nous connaissions, Nicky et moi et que nous flirtions gentiment ensemble.

Il n’y avait pas de doute, j’étais amoureux d’elle comme il y a trois ans. Je l’étais de nouveau…ou peut-être l’avais-je toujours été…

 

 

A suivre







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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Hommage à la Féminité
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Jeudi 4 février 4 04 /02 /Fév 11:03
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Nicky, La tête renversée, collait sa bouche à celle de son mari dont les mains lui caressaient les seins. Je voyais sa grosse queue (pas plus grosse que la mienne, au fait !) qui entrait et sortait, toute mouillée, de la chatte de Nicky, tandis que celle-ci se frottait le clitoris d’un doigt agile.

Pendant ce temps, Esther me branlait et je lui en faisais autant. Puissamment excitée par ce qu’elle voyait, Esther se baissa pour me sucer. Mais au lieu de se mettre à genoux, elle garda les jambes droites et ne pencha que le buste. Elle faisait certainement cela pour faire admirer sa croupe à nos amis. En effet, son cul se trouvait ainsi dans l’axe du regard de Bob qui, du coup, en abandonna les lèvres de Nicky pour mieux voir.

Voyant l’intérêt que l’on portait à la chose, je m’amusais, tandis qu’Esther me bouffait délicieusement la bite, à écarter de mes doigts les fesses de mon épouse, pour que mes amis voient bien  sa petite étoile où j’enfonçais parfois un doigt fureteur.

Esther, visiblement très excitée par ce petit jeu, s’arqua encore plus et écarta encore davantage les jambes, de façon à offrir un panorama complet sur sa région intime. Mes mains tiraient maintenant la peau de ses cuisses pour bien dégager les lèvres de sa chatte. En faisant ce geste, je m’aperçus qu’elle se branlait. Mes mains remontèrent et je tirai à nouveau sur ses fesses au maximum.

L’excitation que je lisais dans le regard de Bob se répercutait bizarrement en moi.Par contre, Nicky ne paraissait pas partager notre enthousiasme. Tiens ! C’était maintenant son tour d’être jalouse, Pourquoi pas, au fond ?

-        Tu as fini, salaud, finit-elle par dire, de regarder le cul d’Esther, Qu’est-ce qu’il a de particulier ? Je ne crois pas qu’elle soit pucelle de ce côté-là. N’est-ce pas Gilles ?

-        Non, bien sûr ! répondis-je un peu vexé que l’on ait pu supposer une chose pareille !

Cette phrase eut pour effet de distraire mon attention qui était fixée depuis un moment sur un effort de concentration destiné à retenir ma jouissance. Cette distraction suffit à me faire tout lâcher et je déchargeai abondamment dans la bouche d’Esther…

-        Allons, mon chéri, disait Nicky, puisque les culs te tentent, ce soir tu devrais t’occuper un peu du mien. Encule-moi, tu veux ?

Bob ne se le fit pas dire deux fois. Tout de suite sa verge sortit toute gluante du vagin où elle se trémoussait depuis une demi-heure, pour se présenter illico aux abords de l’anus.

-        Eh ! Doucement, dit Nicky. Voyons d’abord si tu bandes assez fort.

Elle tâta de sa main le membre pour contrôler son degré de rigidité. Le geste avait quelque chose de franchement comique. Ses lèvres exprimèrent une moue satisfaite.

-        Oui, je crois que ça pourra aller.

-        Pourquoi, lui répondit Bob, narquois, tu avais des doutes ?

-        Oh ! non, mon chéri, mais ce soir je veux que tu m’encules bien ; que tu m’enfonces ta grosse bite tout entière dans le cul…Tout entière, jusqu’aux couilles !!!

 

 

A suivre




résille
Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Hommage à la Féminité
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Mardi 2 février 2 02 /02 /Fév 11:41
main douce


-        Comment, avec vous ? dis-je un peu étonné. Vous proposez une partouze ?

Les yeux de Nicky brillèrent à ces mots d’une flamme intense. La même lueur à peu près s’alluma dans les prunelles d’Esther, mais nuancée d’un voile d’inquiétude et d’un soupçon de colère.

Ces trois éléments se retrouvèrent dans l’expression de Bob, mais ce fut la colère qui domina.

-        Ah non ! Minute ! dit-il, presque furieux, si c’est comme ça, moi je ne marche plus !

Il se dégagea assez brutalement des bras de sa compagne et se leva aussitôt. C’était marrant de voir ce grand bonhomme tout nu dans cet état d’indignation.

-        Vous vous êtes tous mis d’accord pour vous foutre de moi ! Il a fallu des semaines pour vous convaincre d’accepter à vous mettre nus et maintenant vous réclamez la baise collective. Et nous ne sommes pas encore partis ! Qu’est-ce que ça sera quand nous serons à Vence ?

-        Mais qui te parle de partouze ? lança alors Nicky, furieuse et inquiète.

-        Toi et Gilles, si j’ai encore des oreilles !

-        Mais tu as mal compris, voyons ! Quand je proposais qu’ils restent « faire l’amour avec nous » je voulais dire « à côté de nous », comme tout à l’heure, mais mieux, par exemple, sur notre lit, pour ne pas rester sur la chose imparfaite de tout à l’heure. Quant à Gilles, je suppose qu’il plaisantait !

-        Mais certainement ! Et Bob aussi plaisante, j’en suis sûr !

Ce pauvre Bob se sentait nettement ridicule. Il sauta sur l’occasion que je lui offrais d’arranger le coup.

-        Mais bien entendu, je plaisantais. Alors, c’est d’accord ? Tous sur le lit. Et cette fois, nous n’aurons vraiment plus rien à nous cacher.

Je ne tenais pas du tout à assister aux ébats amoureux de Nicky et de Bob, mais au point où nous en étions, il me devenait difficile de refuser cette proposition sans me trahir.

Et nous prîmes tous les quatre le chemin de la chambre…

 

                                              *

                                            *   *

 

Tout de suite Nicky se jeta sur le lit, en travers. Elle se tenait un peu sur le côté. Dès que Bob se fut allongé contre son dos, elle souleva une jambe, ce qui nous permit, à Esther et à moi, de bien voir le membre entrer dans la chatte ainsi ouverte.

Nous étions restés debout tous les deux afin de ne pas perdre une miette de ce qui se passait sous nos yeux et de manière également à nous donner en spectacle au maximum.

Je dus convenir que cette dénudation des corps et de la sexualité permettait de dénuder aussi pas mal de pensées, tendances et désirs qui sont d’ordinaire plus ou moins inconscients, c’est-à-dire du domaine de nos fantasmes.

J’avais remarqué tout à l’heure que les baisers de Nicky à son mari excitaient ma jalousie alors que ceux que ma femme avait pu lui donner ne faisaient que m’exciter. A présent, je constatais avec non moins d’étonnement que les gestes bien plus précis auxquels se livraient Bob et sa femme ne me gênaient pas le moins du monde, et au contraire m’excitaient. Décidément il y avait bien des choses que j’ignorais à l’intérieur de moi-même…

 

A suivre




408286
Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Se dévoiler, se sentir vivre
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Jeudi 28 janvier 4 28 /01 /Jan 15:13
jeune couple


Nous sortions à peine de la salle de bain, lorsque nos réciproques compagnons d’aventure arrivèrent dans la pièce. Je regardais Esther avec attention, guettant sur son corps ou dans son regard les traces du plaisir qu’elle venait sans doute de prendre – ou de donner…

Elle était souriante, un peu lasse, heureuse. Un peu émue et excitée aussi. Dans ces conditions, il était vraiment difficile de déceler si son attitude provenait de notre petite séance de tout à l’heure, ou bien de celle qu’elle avait peut-être réalisée à l’instant.

Mes yeux s’attardèrent sur son pubis, mais là non plus je ne pus rien remarquer…Elle s’était déjà lavée il y a un quart d’heure ce qui fait que ses poils n’avaient pas eu le temps de sécher complètement…Donc, rien à faire !

Toujours ce doute atroce !!!Mais tout cela n’était que séquelles de mes habitudes d’homme « civilisé ». Quand nous serons à Vence, quel moyen aurai-je de contrôler la fidélité de mon épouse ? Si j’étais jaloux, il serait préférable de ne pas tenter l’expérience. Et d’autre part, de quel droit me permettrais-je de refuser à ma femme les libertés que je m’octroyais sans le moindre scrupule ?

 

                                                            *****

 

Le repas se déroula dans une ambiance de joie sereine et égrillarde…Une sorte d’ivresse nous grisait d’oser ce que la foule stupide craint de réaliser par pure étroitesse d’esprit.

-        Ce n’est pas plus gentil comme ça disait Nicky, que de se faire des montagnes de complications pour des choses qui n’en valent décidément pas la peine.

-        Et cela n’est rien, renchéris-je, à côté de ce que ce sera à Vence, au soleil et dans l’air des pins…

Esther aussi était d’accord.

-        Quand je pense qu’il y a une heure, l’idée de me trouver nue en public me paraissait quasi impossible et qu’à présent j’en suis déjà à faire l’amour devant du monde, sans que cela me gêne, je n’en crois pas mes yeux…

-        Comme quoi dit Bob, il ne faut jamais jurer de rien !

-        Cette fois dis-je à Nicky, je crois que nous sommes réellement convertis au naturisme…Tu n’en doutes plus, je pense ?

-        Non bien sûr ! Mais notre naturisme n’est pas celui de tout le monde. Il faudrait trouver un autre mot, car je ne pense pas que les naturistes de l’Ile du Levant fassent l’amour à la vue de tous ?

Cependant, Bob boudait légèrement. Pour le consoler, Nicky l’embrassa sur la bouche tandis que sa main gauche se portait à son membre.

Ce geste me déplut souverainement. Le baiser s’éternisait. Les corps de Nicky et de Bob se frottaient l’un contre l’autre, les seins s’écrasant sur une poitrine masculine.

Je détourne mon regard pour ne pas en voir plus. Je me sens affreusement gêné. La nature humaine est une curieuse machine. Tout à l’heure je m’excitais à la pensée que ma femme était dans les bras d’un autre et à présent je suis jaloux et furieux de voir la femme d’un autre dans les bras de son mari.

Je renonce à comprendre !

 

                                                       *****

 

Par contre, Esther paraissait apprécier le tableau. Elle prit ma main qu’elle porta tout de suite à son sexe, tandis qu’elle-même commençait à me branler doucement. Mais la contrariété m’empêchait de bander.

Et cette salope qui continuait à lutiner son connard de mari. Il fallait faire quelque chose. Mais quoi ? Attraper Nicky et lui, mettre une fessée, puis une raclée à ce salopard de Bob ?

Mais je ne pouvais décemment pas….Je ne voyais pas quel prétexte invoquer et j’étais incapable de dire la vérité : mon « naturisme intégral » n’allait pas jusque là

Ca y est, j’ai trouvé. Je vais dire que nous partons, c’est le plus simple.

-        Eh bien ! les enfants, sur ces bonnes paroles, je crois qu’il est l’heure que nous rentrions nous coucher…

-        Pourquoi dit Esther, il n’est pas tard !

L’imbécile ! Mais sa réflexion n’avait plus d’importance maintenant, car j’avais réussi ! Nicky quittait la bouche de Bob et celui-ci se dégageait mollement de son étreinte.

Ouf ! Ça va mieux !

-        Déjà ? dit à son tour Nicky. Vous n’avez pas envie de faire l’amour avec nous ?

 

A suivre



lumière

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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