Mercredi 7 avril 3 07 /04 /Avr 18:34

fesses 3

 

 

Après la tempête je m’étendis tout près des deux corps apaisés, mais encore suants et tout palpitants, pensant me reposer et dormir un peu.

Impossible ! Dix minutes ne s’étaient pas écoulées que Nicky se levait pour courir à la salle de bain, suivie d’Esther. J’assistai d’un œil amusé à une toilette intime qui n’avait pas l’air de leur déplaire, car chacune lavait et épongeait le sexe de l’autre.

Lorsque les deux corps furent débarrassés des traces laissées par les liquides déversés pendant la jouissance, les deux beautés vinrent s’allonger près de moi, souriantes, heureuses et merveilleusement détendues…

-        Verse- nous un peu de whisky, tu veux, mon chou ? demanda Nicky, tournant vers Esther un regard tout empreint de reconnaissance.

-        Mais bien sûr ma chérie !

-        Vous n’êtes pas fatiguées après avoir tant joui, leur demandai-je, quelque peu étonné de tant d’endurance.

-        Un peu, dit Esther.

-        Et vous n’avez pas sommeil ?

-        Nous avons sommeil, dit Nicky, mais nous n’avons pas envie de dormir ! Il y a une nuance…Moi je veux jouir encore !

-        Moi aussi, approuva Esther.

-        Je veux bien dis-je à mon tour, mais je ne me sens pas trop dans le coup, en ce moment.

-        Il faut trouver un moyen de nous exciter. Qu’est-ce qu’on pourrait bien faire ?

-        Il est clair que nos corps nous excitent moins depuis que nous avons l’habitude de les voir tout le temps sans le moindre voile…

-        Si je comprends bien, dit Esther, il ne nous reste plus qu’à nous rhabiller si nous voulons nous exciter ? Ne pourrions-nous pas essayer autre chose ? Qu’en penses-tu Esther ? Dis-nous ce qui t’excite le plus ?

-        Pour ma part répondit ma femme, je me suis terriblement excitée en écoutant ce que tu nous racontais tout à l’heure…Je voudrais bien continuer…

-        Et toi Gilles ?

-        Oh ! moi je ne sais pas !

-        Comment reprit Nicky, tu ne sais pas ce qui te fait le mieux bander ?

-        Eh bien ! c’est difficile à prévoir d’avance…

-        Bon, coupa Nicky, c’est très simple, nous allons le savoir tout de suite…Chacun d’entre nous va nous raconter dans quelles circonstances il a été le plus excité, qu’il a bandé et joui le plus fort ! Si chacun raconte deux ou trois épisodes, nous serons vite fixés…Qu’en pensez-vous mes chéris ?

-        Ça va, dit Esther. Mais qui commence ?

-        Toi Gilles !

-        Si vous voulez…

J’acceptai sans trop rechigner, car en fin de compte, je préférais encore raconter mes fredaines, qu’entendre celles de Nicky…

-        Il y a quelques années, commençais-je…

-        Précise, mon chéri, m’interrompit Esther avec un sourire malicieux. Combien d’années, exactement ?

-        Cinq ou six, ne t’inquiète pas ! Je n’avais pas, à cette époque le bonheur de te connaître, sinon, tu penses bien que je ne me serais pas amusé à ces petits jeux que je vais décrire maintenant…

-        Bon, ça va, au fait ! dit Nicky, impatiente. Tu vois bien que j’ai recommencé à me branler…Ne me fais pas languir, je t’en prie !

-        Eh bien ! voilà…Je me trouvais ce jour-là à Toulon où je logeai chez des amis qui habitaient une villa au Mourillon.

-        Nous étions au mois d’août et je circulai torse nu, simplement vêtu d’un petit short et de tongs.

Après avoir fait quelques courses dans le centre, je pris le bus pour retourner chez mes amis…

-        Merde ! s’exclama Nicky…

-        Qu’est-ce qui t’arrive, mon petit ?

-        Tu le fais exprès ? Tu te perds dans les détails…Tu ne vois pas que ça contrarie mon branlage ? J’étais bien partie et maintenant je sens l’excitation tomber. Rien n’est plus désagréable, je t’assure, qu’une masturbation qui vasouille !

-        Si  tu ne m’interrompais pas tout le temps, j’aurais peut-être déjà fini…Où en étais-je ?

-        Dans le bus de Toulon où tu venais de monter….me renseigna Esther.

 

 

A suivre.

 

 

fesses 4

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Mardi 6 avril 2 06 /04 /Avr 16:16

fesses 1

 

 

Pour ma part, cette histoire ne m’avait guère plu. Sans être un « père la pudeur », j’estime que certaines choses peuvent se faire, à condition de ne pas les raconter, surtout en présence de celui qu’on aime…

Mais probablement que j’étais moi aussi, un novice !

En tout cas, à présent, je ne bandais plus et je n’avais qu’un désir, toujours le même d’ailleurs depuis quelques jours, être seul avec Nicky…

 

C’est chaque fois la chose que l’on n’a pas que l’on désire le plus…

Pendant que je gambergeais ainsi tout en fumant et en buvant, mes femmes continuaient à se sucer le con (et même le cul…) Moi qui rêvais d’éliminer Esther, qui sait si, en fin de compte, ce ne serait pas moi qui, le serais, éliminé ?

Ce qui me réconfortait, dans cette histoire, c’est que cet imbécile de Bob était bien couillonné…C’était l’essentiel…Quel con, alors, celui-là !

 

                                     *

                                   *  *

 

Il suffit de parler du loup, pour en voir la queue…La queue y était…Quant au loup, il était plutôt tocard, puisqu’il s’appelait Bob…

Il venait d’entrer, la bite à ma main, bien dressée…

-        Tu permets que je vienne me mêler à la conversation, me dit-il en guise de salutation.

-        Fais ce que tu veux…En tout cas  je te signale que je n’ai guère l’intention de m’en mêler…Tu vois, elles paraissent fort occupées en ce moment !

-        Son arrivée avait dérangé les filles, qui n’en paraissaient pas très satisfaites…Nicky surtout, était furibarde.

-        Tu peux nous foutre la paix, non ? Qu’est-ce que c’est que ces façons de venir nous emmerder juste au moment où nous allions jouir ? On ne peut même plus faire un soixante-neuf en paix maintenant ?

Pendant qu’elle parlait, à quelques centimètres de sa bouche, on voyait la chatte d’Esther, bien ouverte et toute dégoulinante, le clitoris bien visible, qui se trémoussait d’impatience…

-        Si tu continues à discuter, dis-je à Nicky, je vais prendre la relève…

-        Tu vas nous laisser tranquille toi aussi !...Mais qu’est-ce qui se passe cette nuit ? C’est la révolte des nains ma parole ! Enculez-vous tous les deux et foutez-nous la paix ! Laissez-nous nous sucer tranquilles !

Bob, quelque peu décontenancé par l’accueil, dut se contenter de se masturber debout devant les deux bacchantes déchaînées qui avaient repris leurs caresses.

Il ne pouvait rien me dire puisque je ne participais pas à l’action…J’avais le beau rôle !

Se rendant compte qu’il avait l’air d’un con, une fois de plus, il fit contre mauvaise fortune bon cœur et déchargea tranquillement son foutre sans chercher à faire le mariole, puis retourna dans sa chambre…

-        Je m’excuse, mais j’ai sommeil, dit-il, tout penaud, en guise d’au revoir.

 

Quelques instants plus tard, toute une série de soupirs et de cris à demi étouffés provenant d’un curieux amalgame de bras, de jambes, de seins et de culs qui s’agitaient désespérément comme des anguilles dans la poêle, m’informa de la réalisation d’un synchronisme jouissif presque parfait…

 

A suivre

 

 

 

fesses 2

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Hommage à la Féminité
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Vendredi 2 avril 5 02 /04 /Avr 23:31

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Sensualité, sexualité,

Fidélité, infidélité.

Des doigts qui courent

Sur un corps convoité

Est-ce ça l'amour

Serait-il dépité?

Seul dans son rêve

Il ne connait de trêve

Et attend, sans réponse

Ses mots, ses gestes, ses signes

Qu'il sent comme absents; il trépigne,

Se morfond, mais très digne,

Se tait, se contente,

Ne glisse sur la pente.

Il sait qu'il est seul,

Puisque ses sens sont uniques,

Que le partage est difficile,

Mais à quoi bon se faire de la bile,

Reprenons nos jeux lubriques

Et cessons d'être veules.

PETER 

 

ec Shock waves

 

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Se dévoiler, se sentir vivre
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Jeudi 1 avril 4 01 /04 /Avr 14:36

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Cette fois, nous ne nous sommes pas endormis. Après nous être lavés les parties intimes, qui étaient brûlantes et commençaient à nous faire un peu mal, nous nous sommes étendus tranquillement sur le lit, souriants, las, heureux et repus…

Après avoir bu un peu de Bourbon pour nous remettre en forme, nous avons fumé quelques clopes tout en devisant gentiment…

C’était Esther, un peu vexée d’avoir été traitée de novice, qui cherchait à s’instruire en interrogeant Nicky, comme si celle-ci avait été professeur à l’école de la jouissance et de la volupté…

-        Tu devrais nous raconter, Nicky, disait-elle, quelques une de ces petites séances que tu as faites à plusieurs, histoire de nous remettre dans le bain…

-        Quel genre de séances ?

-        Ce qui me plaisait le plus, ce sont celles où tu étais avec plusieurs mecs à la fois…

Nicky réfléchit un instant, comme s’il lui eût fallu choisir parmi un nombre considérable…

-        Il y a trois ans…non, deux ans, quelques mois après mon mariage, je suis allée à une soirée…

-        Avec Bob, demandai-je avec humour.

-        Tu es fou ! Il ne l’a jamais su ! Une soirée disais-je, où, par je ne sais plus quel concours de circonstances, je me suis trouvée la seule fille parmi une dizaine de garçons…

Je dois avouer que cette  que cette sorte de confidence ne m’enthousiasmait pas particulièrement et j’en voulais à Nicky de tomber dans le piège que lui tendait ma femme.

-        Magnifique s’extasia Esther, qui commençait à se branler tout en l’écoutant. Et alors ?

-        D’abord nous avons dansé puis flirté…J’ai embrassé deux ou trois garçons, puis comme les autres étaient jaloux, je les ai embrassés aussi. Mais pendant que j’en embrassais un, ses copains me caressaient et commençaient à me déshabiller…J’eus beau me défendre…

-        Tiens tu te défendais ?

-        J’étais un peu inquiète, tout de même…Dix garçons à la fois, c’est beaucoup ! …Lorsque je fus complètement à poil, je me sentis transportée sur un lit où tout mon corps fut littéralement couvert de bouches…L’une sur la mienne, une autre sur chaque sein, une sur le ventre, une sur chaque cuisse…Une à la chatte, une au cul…

-        Terrible ! s’exclama Esther qui se branlait maintenant avec ardeur d’une main, tandis que l’autre, qui venait d’écraser la cigarette, se crispait sur ma bite qui commençait à se durcir douloureusement…Ce que tu as dû te régaler, salope !

-        Je dois avouer que ce n’était pas trop désagréable…Mais il y avait quand même trois ou quatre mecs de trop, et puis j’étais toujours un peu inquiète. Ce qui était drôle c’est que de temps à autre, j’entendais une voix qui disait : « Mais enfin, laissez-m’en un morceau. »

Mais pendant ce temps, les garçons se déshabillaient et, au bout d’une demi-heure je me trouvais avec une bite dans la bouche, une dans le cul, une autre dans la chatte, une à chaque main, une sous chaque aisselle, une autre entre les seins…

-        Fantastique ! gémit Esther. Tiens, au lieu de me laisser me branler seule, tu pourrais me le faire, pendant que je te le ferai à toi d’une main et de l’autre à Gilles…

-        Oh ! excuse-moi ma chérie, je croyais que tu préférais le faire toute seule…Alors où en étais-je ?

-        Tu étais en train de te faire baiser par tous les trous…et même ailleurs ! J’espère qu’ils ont tous déchargé en même temps…

-        Ça je ne m’en souviens pas ! Ce qui est certain, c’est que j’étais inondée de partout…Toute gluante ! Ils avaient tous joui, mais ils n’en étaient pas calmés pour ça !...Moi non plus !

Alors je les ai fait asseoir chacun sur des chaises disposées en rond et je me suis agenouillée devant chacun d’entre eux pour leur sucer la bite à tour de rôle…

-        Et tu as avalé tout ce foutre ?

-        Non je ne crois pas ! Une partie seulement…Ce qui m’a le plus amusée, c’est de comparer toutes ces bites…Il n’y en avait pas deux de pareilles…Comme ils rebandaient toujours ces braves garçons, je me suis faite baiser en m’asseyant dessus…

-        Comment ça ?

-        Eh bien !je m’asseyais sur une bite que je rentrais dans ma chatte…Je faisais deux ou trois mouvements de haut en bas, puis je passais au voisin, et ainsi de suite…

-        Formidable !

-        Et puis j’ai fait la même chose pour le cul…

-        Oh !...

-        Esther, à présent, se jetait sur le sexe de Nicky pour la sucer avec rage…

Celle-ci se renversa de manière à amener sa bouche entre les cuisses de ma femme et ce fut le soixante-neuf le plus rageur et échevelé que l’on puisse imaginer…

 

A suivre

 

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Se dévoiler, se sentir vivre
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Mardi 30 mars 2 30 /03 /Mars 16:25

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Lorsque j’estimai que l’orifice était suffisamment lubrifié, je me mis en position, c'est-à-dire à genou entre ses cuisses, au bord du lit…Je m’amusai un instant à promener mon gland déjà douloureux et violacé dans la raie sombre et chaude qui se trouvait à ma portée, puis je le frottai à la porte…

J’aurais voulu faire durer le plus longtemps possible ces  « bagatelles de la porte », petites agaceries qui ne réveillaient pas ma victime, mais ce ne fut pas possible, tellement je sentais la jouissance proche…

Je me décidai enfin à mettre le bout de ma queue bien en face du trou et, m’appuyant alors solidement des deux mains à ses hanches où je sentais sous mes doigts  les os du bassin, je fonçai d’un coup de reins décisif…

Et le gland passa victorieusement l’obstacle du sphincter qui se referma derrière lui…Au même instant un grand cri déchirait le silence de la nuit…

-        Aaaaah !...

Je dois avouer que j’en fus un peu effrayé…

Esther se réveilla en sursaut…Certainement, Bob aussi avait entendu ! Cette pensée m’excita tellement que je fonçai de nouveau de toutes mes forces…

Nicky, mal réveillée, cria alors toujours à tue-tête :

-        Mais qui c’est qui m’encule si fort ?

Cette fois c’était le comble ! Non seulement Bob, mais toute la maisonnée avait certainement entendu cette phrase précise…C’était joli pour notre réputation !

Mais, Esther, bien mieux éveillée que Nicky, cette fois se mit à éclater de rire :

-        Mais qui veux tu que ce soit, puisqu’il n’y a qu’un homme dans la chambre ?

Nicky tourna vers moi des yeux embués de sommeil…Elle sourit puis réalisa soudain…

-        Merde ! J’ai gueulé un peu fort, il me semble !

-        Oui, ma chérie, à présent il n’y a plus à s’inquiéter, tout le monde est au courant !

-        Si tu crois que je m’en inquiète !

-        Je ne t’ai pas trop fait mal au moins ?

-        Tu es fou ! Tu ne me fais que du bien…Continue Gilles, enfonce tant que tu peux !...Si tu savais comme c’est bon ! Je t’assure, tu devrais essayer avec Bob…

-        Ah ! je t’en prie, ferme-la, tu vas me faire débander à débiter pareilles conneries…

-        Bon, ça va, je ne dis plus rien…Et toi Esther, viens sous moi, je vais te baiser pendant que Gilles m’encule, tu veux ?

-        Bien sûr, ma chérie ! Mais ne m’écrasez pas, tous les deux ! Gilles, appuie-toi des bras sur le matelas…

-        Voilà, ne t’inquiète pas, répondis-je, mais dépêchez-vous si vous voulez que nous jouissions ensemble…Je ne suis pas loin de décharger…

Nicky s’était placée sur Esther, comme la première fois qu’elles avaient fait l’amour ensemble, c’est-à-dire sexe contre sexe…Quant à moi, la bite toujours solidement plantée au plus profond de son cul, j’étais dessus, genoux écartés et les mains au matelas exactement comme quand on marche à quatre pattes…

Je restais immobile, mais les mouvements de Nicky occupée à frotter son clitoris contre celui de ma femme, secouèrent ma bite et il me fut impossible de retenir mon foutre…

-        Tu aurais pu attendre, vieux con, ragea Nicky. Il est arrivé un peu tôt ton jet !...Remarque que ce n’est pas mauvais quand même !

-        Ne t’inquiète pas lui dis-je. Je me suis retenu à moitié…J’en ai encore un peu en réserve que je te déverserai tout à l’heure…

En effet, il m’arrive parfois, lorsque je pars malgré moi de ne pas décharger complètement. J’aime assez cette sorte d’accident, qui comporte l’avantage de rester dans un état de demi jouissance jusqu’à la prochaine éjaculation et de continuer à baiser sans débander…

C’est ce que je fis et je pus ainsi râler de bonheur en même temps que mes deux femmes…

A suivre

 

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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