PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
Lorsque j’estimai que l’orifice était suffisamment lubrifié, je me mis en position, c'est-à-dire à genou entre ses cuisses, au bord du lit…Je m’amusai un instant à promener mon gland déjà douloureux et violacé dans la raie sombre et chaude qui se trouvait à ma portée, puis je le frottai à la porte…
J’aurais voulu faire durer le plus longtemps possible ces « bagatelles de la porte », petites agaceries qui ne réveillaient pas ma victime, mais ce ne fut pas possible, tellement je sentais la jouissance proche…
Je me décidai enfin à mettre le bout de ma queue bien en face du trou et, m’appuyant alors solidement des deux mains à ses hanches où je sentais sous mes doigts les os du bassin, je fonçai d’un coup de reins décisif…
Et le gland passa victorieusement l’obstacle du sphincter qui se referma derrière lui…Au même instant un grand cri déchirait le silence de la nuit…
- Aaaaah !...
Je dois avouer que j’en fus un peu effrayé…
Esther se réveilla en sursaut…Certainement, Bob aussi avait entendu ! Cette pensée m’excita tellement que je fonçai de nouveau de toutes mes forces…
Nicky, mal réveillée, cria alors toujours à tue-tête :
- Mais qui c’est qui m’encule si fort ?
Cette fois c’était le comble ! Non seulement Bob, mais toute la maisonnée avait certainement entendu cette phrase précise…C’était joli pour notre réputation !
Mais, Esther, bien mieux éveillée que Nicky, cette fois se mit à éclater de rire :
- Mais qui veux tu que ce soit, puisqu’il n’y a qu’un homme dans la chambre ?
Nicky tourna vers moi des yeux embués de sommeil…Elle sourit puis réalisa soudain…
- Merde ! J’ai gueulé un peu fort, il me semble !
- Oui, ma chérie, à présent il n’y a plus à s’inquiéter, tout le monde est au courant !
- Si tu crois que je m’en inquiète !
- Je ne t’ai pas trop fait mal au moins ?
- Tu es fou ! Tu ne me fais que du bien…Continue Gilles, enfonce tant que tu peux !...Si tu savais comme c’est bon ! Je t’assure, tu devrais essayer avec Bob…
- Ah ! je t’en prie, ferme-la, tu vas me faire débander à débiter pareilles conneries…
- Bon, ça va, je ne dis plus rien…Et toi Esther, viens sous moi, je vais te baiser pendant que Gilles m’encule, tu veux ?
- Bien sûr, ma chérie ! Mais ne m’écrasez pas, tous les deux ! Gilles, appuie-toi des bras sur le matelas…
- Voilà, ne t’inquiète pas, répondis-je, mais dépêchez-vous si vous voulez que nous jouissions ensemble…Je ne suis pas loin de décharger…
Nicky s’était placée sur Esther, comme la première fois qu’elles avaient fait l’amour ensemble, c’est-à-dire sexe contre sexe…Quant à moi, la bite toujours solidement plantée au plus profond de son cul, j’étais dessus, genoux écartés et les mains au matelas exactement comme quand on marche à quatre pattes…
Je restais immobile, mais les mouvements de Nicky occupée à frotter son clitoris contre celui de ma femme, secouèrent ma bite et il me fut impossible de retenir mon foutre…
- Tu aurais pu attendre, vieux con, ragea Nicky. Il est arrivé un peu tôt ton jet !...Remarque que ce n’est pas mauvais quand même !
- Ne t’inquiète pas lui dis-je. Je me suis retenu à moitié…J’en ai encore un peu en réserve que je te déverserai tout à l’heure…
En effet, il m’arrive parfois, lorsque je pars malgré moi de ne pas décharger complètement. J’aime assez cette sorte d’accident, qui comporte l’avantage de rester dans un état de demi jouissance jusqu’à la prochaine éjaculation et de continuer à baiser sans débander…
C’est ce que je fis et je pus ainsi râler de bonheur en même temps que mes deux femmes…
A suivre
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