Mardi 27 avril 2 27 /04 /Avr 17:05

00 10sagesse

 

 

 

-        Oh ! C’est très simple ! Ça s’est passé il y a à peine six mois…J’étais allée avec Bob dans un ciné de la Porte Saint Denis où l’on projetait un film X…Nous étions assez émoustillés tous les deux, comme d’ailleurs tous les autres spectateurs…

 A un certain moment, la caméra s’insinua sous les draps et nous avion réellement l’impression d’être dans le lit. Pour ma part je croyais sentir contre mon corps les bras et le torse musclé du jeune premier, tandis que ses lèvres se promenaient sur mes seins frémissants, puis sur mon ventre…

 Les spectateurs masculins retenaient leur respiration. Cette vision sur grand écran d’un couple enlacé entre deux draps, c’était terrible…On voyait les seins de la vedette féminine s’écraser sous les doigts de son amant, tandis que ses cuisses se nouaient maintenant autour de son cou…

Bien entendu, Bob avait passé ses mains sous ma jupe…Comme je porte rarement de culotte, il avait tout de suite atteint la zone brûlante qui mouillait déjà abondamment, et branlait mon clitoris avec dextérité.

Ma main gauche avait de son côté, fébrilement déboutonné son pantalon pour en extraire une verge déjà prête à éclater. Mon mari était assis à ma gauche. Soudain une main se posa sur ma cuisse droite. Le contact de cette paume chaude inconnue sur ma peau nue me fit un effet extraordinaire, d’autant plus que quelques centimètres plus loin il y avait celle de mon époux occupée à une bien douce besogne…

-        Comment interrompit Esther, tu as bien dit : « ma peau nue » ? Et les bas ? Et la robe ? Tu n’es pas allée au ciné à poils, tout de même !

Nicky parut manifester une certaine humeur à cette réflexion d’Esther.

-        En voilà une affaire ! Je n’avais pas de bas ni de culotte…Quant à la jupe, elle était relevée, puisque Bob me branlait le bouton…

Je jetais un petit coup d’œil à mon voisin…Je faillis pousser un cri…Tandis que sa main gauche me pelotait fermement la cuisse en remontant avec lenteur vers le haut et se rapprochant dangereusement de la main de mon mari, sa droite masturbait avec énergie une énorme queue qu’il avait complètement sortie de son pantalon…Jamais je n’avais vu un engin pareil…Elle devait avoir trente centimètres au moins de long et je ne vous parle pas de sa circonférence !!!

-        Eh ! tu es calée en dimensions mon chou ! Tu les apprécies ainsi au premier coup d’œil ?

-        En effet, répondit Nicky, rieuse, je me suis souvent amusée à mesurer la longueur et la circonférence des bites de mes différents amoureux…

En tout cas, sans trop réfléchir au fait que Bob eut pu s’en apercevoir, ma main droite alla en quelque sorte d’elle-même se crisper sur cette gigantesque queue…Ce double contact provoqua en tout mon corps une véritable révolution…Mes tempes bourdonnaient à tout rompre…Mon cœur battait partout à la fois et mes yeux ne voyaient plus rien…Une volupté démentielle fondit sur moi en quelques secondes et je poussai un cri…

J’eus le réflexe de lâcher immédiatement la queue de mon partenaire inconnu et, dès que j’eus un peu repris mes esprits, je me tournai vers Bob…Oh ! Je ne risquais rien ! Il était bien trop occupé à suivre ce qui se passait sur l’écran où la caméra s’était placée, cette fois au dessus du lit dont le drap avait été rejeté, pour se cadrer sur le buste de la fille. De son amant on ne voyait que les cheveux, tout à droite de l’écran, sous son nombril…

 La vedette, le visage pâmé et en sueur, les yeux presque révulsés, ballottait sa tête de droite à gauche en haletant de plaisir tandis que ses seins lourds et luisants de salive palpitaient follement…On ne voyait pas, mais on comprenait parfaitement ce qui se passait.

-        Elle se faisait sucer par le mec ?

-        Evidemment ! Pour ma part, je sentis ma main qui continuait de masturber la bite de Bob toute mouillée…Il avait déjà déchargé sans que je m’en rende compte, sans doute en même temps que moi…

-        On a toujours dit que le synchronisme de la jouissance est nécessaire dans les rapports conjugaux railla Esther.

-        Je me penchai à son oreille pour lui demander :

« Tu veux que je continue à te branler, mon chéri ?

« Oui ! Oui…Et toi tu veux ?

« Non, moi, laisse-moi, j’ai trop joui…Je vais m’amuser à me caresser un peu toute seule en regardant le film… »

Je m’installai alors commodément, avançant mes fesses jusqu’au bord du fauteuil et relevant carrément ma robe jusqu’au nombril…J’ouvris bien largement mes cuisses…

Mon voisin comprit tout de suite ce que je voulais…Sa main gauche qui n’avait pas quitté ma cuisse, alla gentiment se poser sur ma vulve baveuse et brûlante pour s’y livrer à une caresse qui enflamma de nouveau mes sens…

-        Bien entendu, toi tu as recommencé à le branler, ce qui fait que tu avais une queue à chaque main, sans que Bob ne s’aperçoive de rien.

-        Ç’est surtout ça qui m’excitait formidablement…Je t’assure que c’était tellement fantastique, énorme, que je ne pourrai jamais le décrire…Les mots sont trop faibles…

-        Nous te comprenons tout de même un peu, ma chérie !

-        Et quand il a joui !!! Si vous aviez vu ce que ça a giclé ! Jusque sur les cheveux de la fille qui était placé sur le fauteuil situé devant le sien…

Nous avons discuté encore longtemps…Après Nicky, ce fut mon tour de faire de nouvelles confidences, puis ce fut Esther, puis encore Nicky…Il faut reconnaître qu’elle nous enterrait tous sur ce chapitre, et de très loin…

Ses aventures étaient réellement sensationnelles. Tellement, que j’en arrivais à douter de leur réalité…

 

A suivre

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Dimanche 25 avril 7 25 /04 /Avr 12:06

Une petite chanson de Colette Renard qui n'a pas dû passer souvent (voire jamais) sur nos radios

 

jap 3

 

 

 

Les nuits d'une demoiselle

By Colette Renard

Que c'est bon d'être demoiselle
Car le soir dans mon petit lit
Quand l'étoile Vénus étincelle
Quand doucement tombe la nuit

Je me fais sucer la friandise
Je me fais caresser le gardon
Je me fais empeser la chemise
Je me fais picorer le bonbon

Je me fais frotter la péninsule
Je me fais béliner le joyau
Je me fais remplir le vestibule
Je me fais ramoner l'abricot

Je me fais farcir la mottelette
Je me fais couvrir le rigondonne
Je me fais gonfler la mouflette
Je me fais donner le picotin

Je me fais laminer l'écrevisse
Je me fais foyer le cœur fendu
Je me fais tailler la pelisse
Je me fais planter le mont velu

Je me fais briquer le casse-noisettes
Je me fais mamourer le bibelot
Je me fais sabrer la sucette
Je me fais reluire le berlingot

Je me fais gauler la mignardise
Je me fais rafraîchir le tison
Je me fais grossir la cerise
Je me fais nourrir le hérisson

Je me fais chevaucher la chosette
je me fais chatouiller le bijou
Je me fais bricoler la cliquette
Je me fais gâter le matou

Et vous me demanderez peut-être
Ce que je fais le jour durant
Oh! Cela tient en peu de lettres
Le jour, je baise, tout simplement



 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Hommage à la Féminité
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Jeudi 22 avril 4 22 /04 /Avr 16:11

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- Voilà…J’avais un peu plus de douze ans, comme je vous l’ai dit, et cette année-là j’étais en vacances chez ma tante qui avait une villa à Cannes.

Dans la journée je l’accompagnais sur la plage, mais la nuit elle me couchait tôt pour sortir.

-        Quel âge elle avait, cette tante ?

-        Trente à trente-cinq ans, je ne m’en souviens pas au juste. Mais elle était assez jolie et d’après ce que j’ai pu comprendre elle devait beaucoup flirter et même baiser.

Bref, chaque soir, dès qu’elle se tirait, je me levais, me déshabillais et m’amusais à me promener nue dans la maison. Je me délectais à me regarder dans la glace. Ouvrant mes cuisses, me baissant pour voir mon cul à l’envers par-dessous mes jambes et autres amusettes de même goût…

-        Tout le monde a fait ça, dit Nicky d’un ton légèrement méprisant.

-        Bien sûr, je n’ai jamais prétendu le contraire…Puisque ça ne vous plait pas, je m’arrête !

Esther s’énervait…Elle souffrait visiblement de son inexpérience en fait de perversité. Il fallut que  Nicky s’excuse, la cajole au moins pendant dix minutes, et que j’en fasse tout autant, pour qu’elle consente à reprendre son récit…

-        Ce que je vais vous dire n’est peut-être pas terrible, mais vous m’avez demandé ce qui m’excitait le plus…Il me semble bien que c’est à cette époque que j’ai joui ,le plus fort…

En explorant la maison de ma tante, je n’oubliais pas la bibliothèque où les ouvrages classiques attirèrent bien moins mon attention que certains livres aux titres curieux et au contenu plus curieux encore, surtout pour moi qui n’avais encore jamais rien lu de semblable…

Je me souviens que le premier livre de ce genre que je parcourus parlait d’une époque où les femmes portaient des robes très longues et très amples. Il racontait que des garçons se plaisaient à rester sous leurs robes des heures entières en y faisant les choses que vous devinez…

-        ça devait être bien agréable pour les dames !

-        Et pour les messieurs aussi !

-        Euh ! Etant donné l’inconfort de leur position, on peut en douter.

-        Il y en a qui aiment ça ! En tout cas, le livre disait que la chose était très courante et que la vogue des crinolines n’avait pas d’autre raison…

-        Mais les femmes restaient immobiles ?

-        Oui ! bien sûr ! Il paraît qu’elles s’invitaient réciproquement à des réceptions pendant lesquelles un orchestre leur jouait de la musique douce, tandis qu’elles avaient chacune un galant sous les jupes…

-        Et les musiciens ?

-        Ah ! eux, ils n’étaient pas au courant !

-        Dans un autre livre il était question des coutumes érotiques de l’ancienne Grèce…

On y lisait que dans certaines îles des Cyclades la jeune fille qui devait se marier était invitée à un grand festin, parmi les fleurs et les fruits…

On l’étendait alors nue sur la table…Chaque convive écrasait sur son corps des raisins ou autre chose, la caressait partout et était tenu de boire les jus des fruits à même la peau et de lui sucer longuement le sexe…

A la fin du repas, la jeune épouse, couverte des restes de fruits et de fleurs effeuillées, devait se donner, là, sur la table, à son mari, et accomplir tous les gestes de l’amour devant les convives qui jugeaient de son aptitude aux choses du plaisir.

Si le jugement était négatif, la fille était répudiée sur l’heure…

-        Curieux !

-        Toutes ces lectures m’avaient empli le corps d’un trouble inconnu…J’avais les joues en feu et quelque chose me démangeait terriblement entre les cuisses…Je me demandais ce qui m’arrivait : « Suis-je malade ? » me disais-je.  « On dirait que je le suis, mais pourtant c’est différent, car je me sens merveilleusement bien »

J’ouvris un autre livre. Celui-là était illustré…Il  représentait des filles qui retroussaient leur robe pour montrer leurs fesses nues et même autre chose.

Je n’en pouvais plus. Je tournai la page…Et ce fut la révélation…Le dessin, fort soigné et précis, représentait une fille assise sur un fauteuil…Allongée plutôt…,d’une main elle tenait un livre qu’elle regardait avec la plus grande attention pendant que l’autre main était posée entre ses cuisses, bien ouvertes et entièrement nues sous la jupette retroussée jusqu’au nombril…

Je me mis dans la même position et c’est ainsi que je connus ma première volupté, qui fut d’une force et d’une saveur que j’avoue n’avoir jamais plus retrouvées depuis…

Voilà mon récit…Je m’excuse s’il n’est pas terrible…A toi maintenant ! Là nous sommes bien tranquilles, ce sera sûrement un peu plus chaud !

-        Oh ! Non, ce n’est pas certain, dit Nicky, modestement. Avec l’histoire que je vous ai racontée tout à l’heure de mes dix amants simultanés et les séances de ces dernières nuits, je vois un autre épisode qui m’a terriblement excité, et pourtant il ne paraîtra peut-être pas très formidable à entendre…

-        Raconte toujours, nous verrons bien !

 

A suivre

 

 

jap 2

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Se dévoiler, se sentir vivre
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Mardi 20 avril 2 20 /04 /Avr 23:54

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-        Baise-nous, tu veux ? me demanda-t-elle tout de go.

-        Bien volontiers. J’ai l’impression que je bande suffisamment…Mettez-vous l’une sur l’autre…Voilà !...Parfait !...

Esther s’était étendue sur Nicky pour former une sorte de X, de façon à ce que les visages soient côte à côte, afin que les bouches puissent s’embrasser tandis que les sexes étaient superposés…

Je m’approchai de ce double compas de jambes ouvertes pour frotter ma verge contre les deux vulves en même temps. Puis d’un coup sec, je la fis pénétrer dans le vagin d’Esther où elle resta quelques secondes pour, ensuite, se retirer lentement, glisser à l’étage au-dessous et enfiler le con de Nicky.

Ce mouvement de double va-et-vient se précisa, se rythma et s’accéléra régulièrement. C’était un peu comme si j’avais baisé une seule femme, mais avec cette différence qu’à chaque fois que je reculais, je me retirais complètement et chaque fois que j’avançais, je changeais de chatte…

Un coup pour Esther, un coup pour Nicky…

                           

                                    *

                                  *   *

 

C’est une posture que je vous conseille, amis lecteurs ! Bien sûr, elle demande une certaine dextérité, mais vous m’en direz des nouvelles après…

Après avoir connu un nouveau plaisir simultané et nous être rafraîchis, nous voici encore, insatiables, à nous raconter des histoires…

-        A qui le tour, maintenant ? dit Nicky, toujours aussi excitée, sinon plus que tout à l’heure.

-        A toi, non ?

-        A toi, plutôt, Esther…Tu ne nous as encore rien dit de tes fredaines…

-        C’est que j’en ai si peu !...Tu l’as dit, je ne suis qu’une novice du vice…

-        Il t’est quand même arrivé de jouir quelques centaines de fois déjà ?

-        Evidemment !

-        Alors, essaye de te rappeler tes plus fortes jouissances…Ce n’est pas bien compliqué...

Mon épouse paraissait songeuse.

-        Je crois…Oui, il me semble bien que les premières ont été les plus fortes…

-        Les premières fois que tu as baisé ?

-        Non !

-        Enculée, alors ?

-        Oh ! pas du tout ! Je veux parler de mes premières branlettes…

-        A quel âge ?

-        Vers les douze, treize ans…

-        Ce n’est pas vrai ! dit Nicky, comme choquée.

-        Je t’assure !

-        Tu as un drôle de retard, tu sais ! Moi, je me branlais déjà à quatre ans…Et peut-être avant…Même que ma mère avait essayé de me lier les mains…Mais je me débrouillais quand même…

-        Et comment ça ?

-        Avec les cuisses, évidemment ! répondit Nicky, de nouveau les doigts à la vulve.

Quel tempérament cette Nicky ! J’avoue en avoir été un peu effrayé…Pour ma part, mon sexe était cette fois à l’état de repos complet.

-        Et toi, Gilles, m’apostropha-t-elle soudain, à quel âge as-tu commencé à jouir ?

-        Vers six, sept ans…

-        Mais comment, dit Esther, tu jouissais à cet âge ? Tu déchargeais ?

-        Non, pas encore…J’ai commencé à décharger à douze ans…Mais auparavant, j’éprouvais quand même une volupté très comparable à la jouissance normale. Avec l’explosion finale et tout, mais sans éjaculation…

-        Bon, ça va, coupa Nicky, toujours impatiente, n’oublions pas que la parole est à Esther qui va nous faire le récit de ses premières branlettes…Nous t’écoutons !

 

A suivre

 

jap 10

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Jeudi 8 avril 4 08 /04 /Avr 17:54

fesses 5

 

 

 

-        Bien ! A l’arrêt suivant, la plate-forme arrière où je me trouvais fut envahie par un groupe d’une vingtaine d’adolescentes vêtues comme moi, de shorts très courts….Bien entendu, elles n’étaient pas torse nu, mais portaient des chemisettes ou des petit tops très échancrés et décolletés. Quelques-unes n’avaient même qu’un petit foulard noué, leur couvrant les seins.

-        Enfin ! soupira Nicky.

-        Quel âge, les poupées ? s’enquit Esther.

-        Oh ! je ne sais pas, seize ou dix sept ans peut-être…

-        Tu ne m’avais jamais raconté cette histoire, me répondit mon épouse…Ni jamais dit que tu t’excitais sur des ados de seize ans…

-        Tu ne me l’as jamais demandé, ma chérie.

-        C’est ça, la scène de ménage maintenant !...C’est complet ! cria Nicky, réellement furieuse, cette fois. Mais c’est du sadisme de me laisser ainsi l’eau à la bouche depuis une heure…

-        Mais c’est Esther et toi qui m’interrompez tout le temps !

-        Merde ! Si tu ne racontes pas ton histoire tout de suite, je fous le camp dans ma chambre…Je t’avertis !

Nicky paraissait sérieusement vexée. Un peu déçu par cette nervosité, je repris cependant le fil de mon récit.

-        En quelques secondes je fus coincé dans ce paquet de chair tiède et tendre. Les culs et les tétons s’écrasaient contre ma peau à travers un tissu presque impalpable. Nos corps réunis faisaient un amalgame compact.

Bien entendu, tout de suite je me mis à bander comme un taureau à la vue d’un troupeau de génisses…

-        On s’en doute ! dit Nicky dans un souffle, tandis que ses deux mains s’agitaient toujours plus vite à l’intersection de ses cuisses écartelées.

Esther aussi se branlait, mais plus légèrement. Pour ma part, au souvenir de cette plaisante aventure, ma queue avait déjà repris forme humaine et une caresse négligente de ma main gauche paracheva l’érection.

-        évidemment, les filles qui étaient placées devant moi se rendaient compte de mon état…Un cul se frottait délibérément contre ma bite…

Au milieu de ce groupe rieur et déjà excité à fond, j’étais complètement isolé des autres voyageurs. Je n’avais pas à me gêner…Les filles d’ailleurs me donnaient l’exemple…

-        Les salopes ! Que faisaient-elles ?

-        Une de celles qui étaient collées contre moi défit le foulard qui lui couvrait les seins et une mignonne poitrine nue se colla à la mienne. Je sentais ses petites pointes déjà très dures…C’était terrible, je vous assure !

Mes mains partirent à l’exploration…Des chemisettes se dégrafèrent, tandis que des shorts se baissaient comme d’eux-mêmes…Mes mains allaient aussi à l’aventure, passant d’un sein à une chatte lisse, mais toute humide et chaude, pour recommencer un peu plus loin…

-        Et…elles n’en faisaient pas autant, les gamines ?

-        Evidemment ! Deux ou trois mains mignonnes et légères, mais cependant fébriles, avaient déboutonné mon short qui fut ramené à mes genoux pour fureter à leur aise dans toute l’étendue des régions dites secrètes de mon corps…Une petite main me branlait…deux ou trois même, tandis qu’une autre me caressait les couilles et qu’un doigt mutin s’enfonçait dans mon cul…

-        Tu n’as pas dû mettre bien longtemps à décharger, petit salaud !

-        Dès que ces mains se sont posées sur ma bite, j’ai joui avec violence, à la grande joie des filles…Mais je n’en ai pas débandé pour cela et ma queue put se placer tout à son aise entre de jolies fesses et se frotter à des cons de jeunettes…Je crois qu’elles m’auraient volontiers sucé, mais elles ne pouvaient pas car nous étions trop serrés…

-        Qu’est-ce qui te fait croire ça ? Elles te l’ont dit qu’elles voulaient te sucer ?

-        Pas précisément, mais elles se passaient de l’une à l’autre les doigts plein de mon foutre, car celles qui étaient plus loin voulait aussi y goûter…Le trajet a duré un quart d’heure, et je crois bien que c’est le quart d’heure le plus voluptueux que j’aie connu de ma vie…J’ai joui trois fois sans débander…

-        Tu n’as pas pu en baiser une ?

-        Non ce n’était guère possible…Je me suis contenté de leur mettre ma bite entre les fesses et entre les cuisses et de leur jouir dessus…C’était pas mal déjà, avouez-le !

-        Pour toi peut-être, mais pour elles, ça ne devait pas être terrible. Surtout celles qui avaient connu la queue…

-        Pourtant, j’ai bien l’impression qu’elles se sont drôlement amusées, les coquines…Si tu avais vu dans quel état elles sont parties…Surtout que les voyageurs avaient fini par s’en apercevoir…Ce sont surtout ceux qui attendaient le bus à l’arrêt qui en firent une bouille, lorsqu’ils virent toutes ces nanas jaillir du bus en train de se rajuster les shorts, dont certains étaient aux pieds, et à recouvrir leurs seins encore tout frémissants et aux pointes durcies…

-        Et…tu n’es pas descendu avec elles ?

-        Je vous avoue avoir été tellement estomaqué par cette aventure que je n’ai pas très bien réalisé lorsque je les ai vues descendre…Et puis j’étais tellement occupé à remettre mon short avant qu’on me voie…

 

Je m’arrêtai de parler pour regarder mes auditrices. Nicky continuait sa masturbation frénétique. Mais d’une main seulement. L’autre était occupée à branler Esther…

 

A suivre.

 

 

 

jap 1

Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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