- Oh ! C’est très simple ! Ça s’est passé il y a à peine six mois…J’étais allée avec Bob dans un ciné de la Porte Saint Denis où l’on projetait un film X…Nous étions assez émoustillés tous les deux, comme d’ailleurs tous les autres spectateurs…
A un certain moment, la caméra s’insinua sous les draps et nous avion réellement l’impression d’être dans le lit. Pour ma part je croyais sentir contre mon corps les bras et le torse musclé du jeune premier, tandis que ses lèvres se promenaient sur mes seins frémissants, puis sur mon ventre…
Les spectateurs masculins retenaient leur respiration. Cette vision sur grand écran d’un couple enlacé entre deux draps, c’était terrible…On voyait les seins de la vedette féminine s’écraser sous les doigts de son amant, tandis que ses cuisses se nouaient maintenant autour de son cou…
Bien entendu, Bob avait passé ses mains sous ma jupe…Comme je porte rarement de culotte, il avait tout de suite atteint la zone brûlante qui mouillait déjà abondamment, et branlait mon clitoris avec dextérité.
Ma main gauche avait de son côté, fébrilement déboutonné son pantalon pour en extraire une verge déjà prête à éclater. Mon mari était assis à ma gauche. Soudain une main se posa sur ma cuisse droite. Le contact de cette paume chaude inconnue sur ma peau nue me fit un effet extraordinaire, d’autant plus que quelques centimètres plus loin il y avait celle de mon époux occupée à une bien douce besogne…
- Comment interrompit Esther, tu as bien dit : « ma peau nue » ? Et les bas ? Et la robe ? Tu n’es pas allée au ciné à poils, tout de même !
Nicky parut manifester une certaine humeur à cette réflexion d’Esther.
- En voilà une affaire ! Je n’avais pas de bas ni de culotte…Quant à la jupe, elle était relevée, puisque Bob me branlait le bouton…
Je jetais un petit coup d’œil à mon voisin…Je faillis pousser un cri…Tandis que sa main gauche me pelotait fermement la cuisse en remontant avec lenteur vers le haut et se rapprochant dangereusement de la main de mon mari, sa droite masturbait avec énergie une énorme queue qu’il avait complètement sortie de son pantalon…Jamais je n’avais vu un engin pareil…Elle devait avoir trente centimètres au moins de long et je ne vous parle pas de sa circonférence !!!
- Eh ! tu es calée en dimensions mon chou ! Tu les apprécies ainsi au premier coup d’œil ?
- En effet, répondit Nicky, rieuse, je me suis souvent amusée à mesurer la longueur et la circonférence des bites de mes différents amoureux…
En tout cas, sans trop réfléchir au fait que Bob eut pu s’en apercevoir, ma main droite alla en quelque sorte d’elle-même se crisper sur cette gigantesque queue…Ce double contact provoqua en tout mon corps une véritable révolution…Mes tempes bourdonnaient à tout rompre…Mon cœur battait partout à la fois et mes yeux ne voyaient plus rien…Une volupté démentielle fondit sur moi en quelques secondes et je poussai un cri…
J’eus le réflexe de lâcher immédiatement la queue de mon partenaire inconnu et, dès que j’eus un peu repris mes esprits, je me tournai vers Bob…Oh ! Je ne risquais rien ! Il était bien trop occupé à suivre ce qui se passait sur l’écran où la caméra s’était placée, cette fois au dessus du lit dont le drap avait été rejeté, pour se cadrer sur le buste de la fille. De son amant on ne voyait que les cheveux, tout à droite de l’écran, sous son nombril…
La vedette, le visage pâmé et en sueur, les yeux presque révulsés, ballottait sa tête de droite à gauche en haletant de plaisir tandis que ses seins lourds et luisants de salive palpitaient follement…On ne voyait pas, mais on comprenait parfaitement ce qui se passait.
- Elle se faisait sucer par le mec ?
- Evidemment ! Pour ma part, je sentis ma main qui continuait de masturber la bite de Bob toute mouillée…Il avait déjà déchargé sans que je m’en rende compte, sans doute en même temps que moi…
- On a toujours dit que le synchronisme de la jouissance est nécessaire dans les rapports conjugaux railla Esther.
- Je me penchai à son oreille pour lui demander :
« Tu veux que je continue à te branler, mon chéri ?
« Oui ! Oui…Et toi tu veux ?
« Non, moi, laisse-moi, j’ai trop joui…Je vais m’amuser à me caresser un peu toute seule en regardant le film… »
Je m’installai alors commodément, avançant mes fesses jusqu’au bord du fauteuil et relevant carrément ma robe jusqu’au nombril…J’ouvris bien largement mes cuisses…
Mon voisin comprit tout de suite ce que je voulais…Sa main gauche qui n’avait pas quitté ma cuisse, alla gentiment se poser sur ma vulve baveuse et brûlante pour s’y livrer à une caresse qui enflamma de nouveau mes sens…
- Bien entendu, toi tu as recommencé à le branler, ce qui fait que tu avais une queue à chaque main, sans que Bob ne s’aperçoive de rien.
- Ç’est surtout ça qui m’excitait formidablement…Je t’assure que c’était tellement fantastique, énorme, que je ne pourrai jamais le décrire…Les mots sont trop faibles…
- Nous te comprenons tout de même un peu, ma chérie !
- Et quand il a joui !!! Si vous aviez vu ce que ça a giclé ! Jusque sur les cheveux de la fille qui était placé sur le fauteuil situé devant le sien…
Nous avons discuté encore longtemps…Après Nicky, ce fut mon tour de faire de nouvelles confidences, puis ce fut Esther, puis encore Nicky…Il faut reconnaître qu’elle nous enterrait tous sur ce chapitre, et de très loin…
Ses aventures étaient réellement sensationnelles. Tellement, que j’en arrivais à douter de leur réalité…
A suivre
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