PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
- Bien ! A l’arrêt suivant, la plate-forme arrière où je me trouvais fut envahie par un groupe d’une vingtaine d’adolescentes vêtues comme moi, de shorts très courts….Bien entendu, elles n’étaient pas torse nu, mais portaient des chemisettes ou des petit tops très échancrés et décolletés. Quelques-unes n’avaient même qu’un petit foulard noué, leur couvrant les seins.
- Enfin ! soupira Nicky.
- Quel âge, les poupées ? s’enquit Esther.
- Oh ! je ne sais pas, seize ou dix sept ans peut-être…
- Tu ne m’avais jamais raconté cette histoire, me répondit mon épouse…Ni jamais dit que tu t’excitais sur des ados de seize ans…
- Tu ne me l’as jamais demandé, ma chérie.
- C’est ça, la scène de ménage maintenant !...C’est complet ! cria Nicky, réellement furieuse, cette fois. Mais c’est du sadisme de me laisser ainsi l’eau à la bouche depuis une heure…
- Mais c’est Esther et toi qui m’interrompez tout le temps !
- Merde ! Si tu ne racontes pas ton histoire tout de suite, je fous le camp dans ma chambre…Je t’avertis !
Nicky paraissait sérieusement vexée. Un peu déçu par cette nervosité, je repris cependant le fil de mon récit.
- En quelques secondes je fus coincé dans ce paquet de chair tiède et tendre. Les culs et les tétons s’écrasaient contre ma peau à travers un tissu presque impalpable. Nos corps réunis faisaient un amalgame compact.
Bien entendu, tout de suite je me mis à bander comme un taureau à la vue d’un troupeau de génisses…
- On s’en doute ! dit Nicky dans un souffle, tandis que ses deux mains s’agitaient toujours plus vite à l’intersection de ses cuisses écartelées.
Esther aussi se branlait, mais plus légèrement. Pour ma part, au souvenir de cette plaisante aventure, ma queue avait déjà repris forme humaine et une caresse négligente de ma main gauche paracheva l’érection.
- évidemment, les filles qui étaient placées devant moi se rendaient compte de mon état…Un cul se frottait délibérément contre ma bite…
Au milieu de ce groupe rieur et déjà excité à fond, j’étais complètement isolé des autres voyageurs. Je n’avais pas à me gêner…Les filles d’ailleurs me donnaient l’exemple…
- Les salopes ! Que faisaient-elles ?
- Une de celles qui étaient collées contre moi défit le foulard qui lui couvrait les seins et une mignonne poitrine nue se colla à la mienne. Je sentais ses petites pointes déjà très dures…C’était terrible, je vous assure !
Mes mains partirent à l’exploration…Des chemisettes se dégrafèrent, tandis que des shorts se baissaient comme d’eux-mêmes…Mes mains allaient aussi à l’aventure, passant d’un sein à une chatte lisse, mais toute humide et chaude, pour recommencer un peu plus loin…
- Et…elles n’en faisaient pas autant, les gamines ?
- Evidemment ! Deux ou trois mains mignonnes et légères, mais cependant fébriles, avaient déboutonné mon short qui fut ramené à mes genoux pour fureter à leur aise dans toute l’étendue des régions dites secrètes de mon corps…Une petite main me branlait…deux ou trois même, tandis qu’une autre me caressait les couilles et qu’un doigt mutin s’enfonçait dans mon cul…
- Tu n’as pas dû mettre bien longtemps à décharger, petit salaud !
- Dès que ces mains se sont posées sur ma bite, j’ai joui avec violence, à la grande joie des filles…Mais je n’en ai pas débandé pour cela et ma queue put se placer tout à son aise entre de jolies fesses et se frotter à des cons de jeunettes…Je crois qu’elles m’auraient volontiers sucé, mais elles ne pouvaient pas car nous étions trop serrés…
- Qu’est-ce qui te fait croire ça ? Elles te l’ont dit qu’elles voulaient te sucer ?
- Pas précisément, mais elles se passaient de l’une à l’autre les doigts plein de mon foutre, car celles qui étaient plus loin voulait aussi y goûter…Le trajet a duré un quart d’heure, et je crois bien que c’est le quart d’heure le plus voluptueux que j’aie connu de ma vie…J’ai joui trois fois sans débander…
- Tu n’as pas pu en baiser une ?
- Non ce n’était guère possible…Je me suis contenté de leur mettre ma bite entre les fesses et entre les cuisses et de leur jouir dessus…C’était pas mal déjà, avouez-le !
- Pour toi peut-être, mais pour elles, ça ne devait pas être terrible. Surtout celles qui avaient connu la queue…
- Pourtant, j’ai bien l’impression qu’elles se sont drôlement amusées, les coquines…Si tu avais vu dans quel état elles sont parties…Surtout que les voyageurs avaient fini par s’en apercevoir…Ce sont surtout ceux qui attendaient le bus à l’arrêt qui en firent une bouille, lorsqu’ils virent toutes ces nanas jaillir du bus en train de se rajuster les shorts, dont certains étaient aux pieds, et à recouvrir leurs seins encore tout frémissants et aux pointes durcies…
- Et…tu n’es pas descendu avec elles ?
- Je vous avoue avoir été tellement estomaqué par cette aventure que je n’ai pas très bien réalisé lorsque je les ai vues descendre…Et puis j’étais tellement occupé à remettre mon short avant qu’on me voie…
Je m’arrêtai de parler pour regarder mes auditrices. Nicky continuait sa masturbation frénétique. Mais d’une main seulement. L’autre était occupée à branler Esther…
A suivre.
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je viens de rentrer de Paris
merci les amis; je publie demain
bises