PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
- C’est encore une hypocrisie de notre civilisation, comme dirait si bien notre ami Gilles – et en prononçant ces mots il me lança un regard narquois – que cette habitude de parler à mots couverts. Soyons logiques ! Nous avons mis à nu nos corps, puis nos gestes. Sachons le faire aussi pour notre langage et également pour nos pensées.
- Ça y est ! je sens mon foutre qui monte. Aaah ! Vite, suce-moi, je décharge !
Sans cesser de branler son mari, Nicky approcha ses lèvres de sa queue juste au moment où le foutre jaillissait. Elle reçut la première saccade en pleine figure, puis engloutit le gland dans sa bouche et commença un mouvement de succion qui fit crier d’aise Bob. Celui-ci s’affala dans le fauteuil qui était juste derrière lui, entraînant Nicky, la bouche toujours pleine.
*****
Je ne saurais dire au juste si ce que je ressentais était de l’excitation, de la colère, ou du dépit. Les trois à la fois, probablement ! Cependant l’excitation prit rapidement le dessus dès qu’Esther eut posé sa main sur ma verge douloureuse de dureté.
Mais je n’avais pas envie de me faire branler. Je retournai Esther, la poussai en avant de manière à ce qu’elle s’appuie les bras sur les accoudoirs du fauteuil qui se trouvait près d’elle, de façon à bien faire saillir ses fesses entre lesquelles j’introduisis rapidement ma flûte d’amour.
Pendant que je baisais ainsi Esther en levrette, mon regard ne quittait pas le charmant paysage qui se trouvait tout près de nous, sur l’autre fauteuil. Bob en train de continuer à se faire sucer était masqué par le corps de Nicky. Et quand je dis le corps, c’est une façon de parler, car c’est plutôt le cul qu’il faudrait dire.
En effet, Nicky, les jambes droites et écartées, le buste penché en avant, exhibait à mon regard une magnifique paire de fesses bien ouvertes, me montrant généreusement le trou de son cul et une partie de sa chatte toute mouillée qu’elle était d’ailleurs fort occupée à branler vigoureusement tout en continuant à sucer la bite de Bob qui exhalait des râles indistincts.
Ce cul me tentait terriblement ! J’aurais bien volontiers quitté la chatte d’Esther pour y fourrer mon membre frémissant. Ma langue à la rigueur ! Mais au fait ce n’est pas si loin.
Je voudrais bien, mais je n’ose pas ! Bob pourrait mal prendre la chose, ou alors il s’empresserait d’en faire autant avec Esther, et puisque j’ai la chance de pouvoir baiser sa femme quand je veux, sans pour cela avoir à céder la mienne, il serait stupide de perdre cet avantage pour l’excitation d’un instant.
Ce que je peux faire, par contre, c’est y introduire mon doigt, et cela sans que Bob ni Esther ne s’en rendent compte. C’est ce que je fais à l’instant…A ma pénétration, je sens le corps entier de Nicky frémir de plaisir.
On aurait dit qu’elle n’attendait que ça pour jouir…C’est le pouce que j’ai enfoncé dans son cul tandis que les autres doigts se mêlent aux siens pour pénétrer sa fente brûlante et toute dégoulinante de cyprine.
Malgré qu’elle ait la bouche emplie du sexe de Bob, il s’en exhale des soupirs et des râles à demi étouffés tandis que j’ai du mal à maintenir ma main, tant son cul se trémousse.
C’est formidable ! Esther, elle aussi, commence à crier de bonheur. Je me retiens tant que je peux depuis un bon moment, mais à présent, c’en est trop. Voilà, ma semence arrive ! Je la sens monter, monter. Ça me brûle partout. Je ne sais plus où je suis…Je vais mourir…ça y est, je jouiiiiiiiiiiis !!
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