Mardi 9 novembre 2 09 /11 /Nov 15:51

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Monsieur,

 

   Je vous avais invité à me tenter, nullement à m’intimer un ordre. Mais soit ! Une fois de plus, je vous obéirai. D’ailleurs, ne m’y suis-je pas engagée en reprenant cette correspondance ?

   Je ne vous promets pas pour autant de demeurer de marbre. J’ai déjà en effet connu une situation analogue que je n’ai guère maîtrisée.

   Depuis longtemps déjà, je connaissais un homme dont les manières, l’esprit et le visage m’attiraient follement. Une seule chose m’éloignait de lui, une sorte de superbe que je ne pouvais supporter. « Superbe » est peut-être excessif. Disons qu’il posait sur moi un regard tellement assuré qu’il me mettait mal à l’aise. J’avais l’impression qu’en lui cédant, je deviendrais un jouet entre ses mains, ce que je ne souhaitais point.

   Je conçus donc de l’attirer à moi et de tenter de « retourner » la situation à mon profit. Ah ! S’il m’était donné un jour de le tenir à ma merci. Je savais que je pourrais ensuite être à lui avec délice et abandon.

   Nous nous rencontrions souvent chez un ami commun. Soirées, repas, discussions sans fin comme je les ai toujours appréciées, dans une ambiance parfois ambiguë qui donnait à ces rendez-vous épisodiques et imprévus un sel que je n’oublierai sans doute jamais. Les vapeurs de l’alcool et la bonne chair aidant, nous nous laissions aller les uns et les autres à des confidences parfois bien imprudentes mais qui réchauffaient le sang et pimentaient ces dîners en ville qui sont toujours des pensums.

   Là, chacun se laissait aller, effrayé parfois de ses propres paroles, mais que l’impassibilité apparente des autres semblait banaliser.

   J’appris ainsi quels phantasmes animaient les personnes que je rencontrais dans ce cercle. Certains n’étaient pas banals. D’autres, plus courants si l’on peut dire, prenaient toute leur saveur de la façon dont on les racontait ou des anecdotes dont ils étaient le prétexte.

   Plus d’une fois, à demi couchée dans un fauteuil bas, je me suis sentie frémir au récit d’une escapade particulièrement risquée ou d’une rencontre digne, dans son genre, de Rocambole.

   Je ne me livrais que rarement. Pourtant un soir, surprise probablement par les traîtres effets d’un vieux Vouvray, la tête chavirée, je racontai combien, depuis toujours, je désirais voir un homme se caresser devant moi sans qu’en aucune manière j’aie à intervenir. Je crois, mais comment me souvenir précisément de ce que j’ai avoué ce jour- là, que je donnai à mon auditoire un luxe de détails qui ne tombèrent pas dans l’oreille d’un sourd.

   Le lendemain matin, vers onze heures, un livreur apporta un magnifique bouquet de fleurs. La carte qui y était épinglée contenait sous le nom de notre homme, gravé en « Anglaises », cette simple phrase : «  Je serai à vous lorsque vous le désirerez. »

   Je ne compris pas tout de suite cette allusion sibylline, puis la mémoire me revint…Seule dans ma chambre, je rougis jusqu’au blanc des yeux, transportée par un de ces accès de pudeur qui me donnent presque aussitôt l’envie des plus grands débordements. Il faut parfois mesurer l’ampleur ou le caractère saugrenu de certains de ses désirs pour en profiter vraiment. Ah ! Que le honte et la timidité sont de bons adjuvants de l’amour !

   Je ne balançai pas longtemps et envoyai aussitôt un petit mot d’invitation pour le lendemain, avec la précipitation de ceux qui font brûler leurs vaisseaux pour ne point être tentés par la retraite.

   A peine ce pli envoyé, je ne vécus plus que dans l’attente de sa venue. Je craignis jusqu’au dernier instant qu’il ne pût différer à mon invitation, qu’un empêchement de dernière minute le retînt loin de moi. Une heure au moins avant l’heure prévue, je guettai le moindre bruit qui eût pu annoncer son arrivée.

 

A suivre

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Dimanche 31 octobre 7 31 /10 /Oct 17:15

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2. LE LENDEMAIN

Il était tard et je pressais le pas pour rejoindre au plus vite mon rendez-vous, pris hier après la visite de la Galerie, fendant la nuit de ma démarche rapide bien que ce soir-là je portais mes longues cuissardes. J'étais vêtue comme convenu d'une jupe noire arrivant à peu près aux genoux, d'une veste de même couleur, sous laquelle je portais un chemisier de soie au-dessus de mon sous-pull blanc moulant à col roulé. Alexandre l’avait beaucoup apprécié hier soir et m’avait demandé de revenir ainsi vêtue. Un petit vent frais agaçait mes tétons qui se durcissaient sous mon sous-pull, et chaque pas me rappelait en haut de mes cuisses la limite de mes bas.

Je me rendais donc en toute hâte chez Alexandre, avec qui je passais souvent des moments d'une grande intensité, et la simple évocation de ces instants en sa compagnie suffisait déjà à me rendre humide, alors que je ne faisais que marcher dans la rue. Le vent s'engouffrait parfois sous ma jupe, caressant ma chatte nue et me faisant toute entière frissonner. Une fois dans l'ascenseur, je me suis cambrée au maximum, tendant à l'extrême le tissu de mon chemisier sur ma poitrine que l’on devinait gonflée sous le sous-pull tendu. Mes yeux étaient légèrement opaques, et mes lèvres ainsi que mes pommettes rougies par l'excitation. Le reflet que me renvoyait le sempiternel miroir était clairement celui d'une femme prête à s'abandonner à la luxure.

Je suis arrivée à destination et la porte était déjà légèrement entrouverte, n'attendant plus que moi. Je suis entrée à pas feutrés, et j'ai tout de suite été happée par deux mains solides, qui ont saisi mon corps comme s'il s'était agi d'un fétu de paille pour le plaquer contre un mur sans plus de façons. Je n'ai pas résisté, me livrant avec délice à cette étreinte à la fois douce et brutale. Mon amant a enfoncé sa langue très loin dans ma bouche, puis l'a retirée et l'a enfoncée plus loin encore, déclenchant automatiquement chez moi un intense désir de recevoir sa queue. Il a léché le pourtour de ma bouche grande ouverte du bout bien dardé de sa langue, et son souffle semblait délicieusement frais sur mes lèvres recouvertes de salive. Mes seins étaient plaqués contre sa poitrine, et ses mains l'étaient sur mes fesses. Je sentais contre moi la barre de sa queue qui bandait très dur dans son pantalon.

Pendant quelques minutes, nous n'avons fait que nous embrasser. Sa bouche m'excitait énormément, je n'en avais jamais assez, et pendant ce temps je remuais doucement le bassin contre sa queue, dont la proximité me mettait dans tous mes états. J'ai attendu un moment avant de refermer dessus ma paume avide, et il a gémi alors que j'exerçais une pression de plus en plus ferme. En même temps, ses mains qui jusqu'alors tenaient mes fesses prisonnières ont commencé à remonter lentement, très lentement, le tissu de ma jupe le long de mes cuisses gainées de bas. Ce contact m'a fait frémir, car au travers des bas toute caresse est magnifiée jusqu'à parfois devenir presque insoutenable, et j'ai serré plus fort la queue qui ne faisait que grossir au creux de ma paume.

J’ai enlevé ma veste et j'ai attiré mon charmant comparse à ma suite en une pièce plus accueillante de son appartement, je l'ai fait asseoir au fond d'un canapé, puis je me suis installée à califourchon sur ses genoux. J'ai commencé à défaire lentement sa braguette, ouvrant d'abord le pantalon, puis le caleçon. En libérant sa queue de sa prison de tissu j'ai senti le feu s'emparer de mon ventre. Ma chatte était plus mouillée que jamais, et tandis que je m'occupais de son sexe il s'occupait toujours de ma jupe, faisant durer le plaisir en la remontant vers ma taille.

Il a doucement caressé les deux globes de mes fesses, puis a dirigé ses doigts vers ma fente brûlante. J'ai haleté, je pouvais déjà imaginer ses doigts s'immiscer en moi, caresser doucement mon clitoris avant d'enfoncer son index dans mon vagin. Il a écarté légèrement mes grandes lèvres afin de m'ouvrir à ses caresses pendant que je caressais doucement sa queue. Je le branlais d'un geste lent et ferme, dégageant son gland et tendant sa peau au maximum puis le recouvrant presque entièrement dans le mouvement contraire, avant de le dénuder à nouveau, implacable. De l'autre main, je caressais ses couilles, les massant doucement. Je me suis penchée pour l'embrasser à nouveau, chavirée par l'expression de plaisir qui se lisait sur son visage. Plus mes caresses lui plaisaient et plus il enfonçait rapidement ses doigts en moi, et plus je me mettais à penser que notre position était peu propice à ce que nous étions en train de faire. D'un bond je me suis dégagée de son étreinte et je me suis agenouillée devant lui, léchant avec avidité son gland luisant. Je n'ai pu m'empêcher de parsemer sa queue de baisers désordonnés avant de l'engloutir entièrement dans ma bouche, resserrant bien mes lèvres et ma langue autour de la hampe gonflée et palpitante.

Le sucer m'excitait tellement que je me sentais devenir liquide. J'ai porté une de mes mains à ma chatte et j'ai commencé à caresser délicatement mes petites lèvres et mon clitoris au rythme auquel je le suçais. J'étais si mouillée que mes doigts glissaient complètement sur ma chair chaude, et je sentais mon cœur battre de plus en plus vite. J'aimais particulièrement quand ses doigts venaient à la rencontre de mes lèvres écartelées autour de sa bite, les caressaient, puis s'attardaient sur ma joue. Mon complice a attrapé ma taille et m'a fait regrimper sur le sofa à ses côtés. Je me suis cambrée pour suivre le mouvement que sa poigne de fer imposait à mon corps, tout en ne lâchant pas sa queue dont je me régalais. Il s'est mis à me doigter la chatte avec trois doigts, et j'ai relevé la tête pour reprendre mon souffle, mise à mal par l'intensité de cette caresse. Je sentais ses doigts remuer en moi, habiter ma chatte peu habituée à ce traitement, et cette sensation était à la fois déconcertante et terriblement excitante. Je me sentais de plus en plus chaude, et je sentais mes petites lèvres et mon clito qui gonflaient de plaisir. J'ai tendu la main pour me toucher et toucher ses doigts, tout recouverts de mouille. J'ai massé mon clitoris et j'ai eu envie d'enfoncer plus loin sa queue dans ma bouche, de la sentir au fond de ma gorge, d'avoir les mâchoires grandes ouvertes, écartelées autour de cette imposante masse de chair.

Puis il s'est mis à faire aller et venir son autre index de ma chatte à mon cul, le barbouillant de mouille afin de faciliter l'intromission de son doigt. Une fois qu'il l'a eu enfoncé de quelques centimètres, il s'est mis à coordonner le mouvement de ses deux mains, me prenant de deux gestes complémentaires et jumeaux. J'étais de plus en plus excitée, et l'idée d'être ainsi offerte à sa vue, les cuisses largement écartées, les jambes ornées de bas, me gênait un tout petit peu et me rendait surtout complètement folle. Je sentais mes seins tout gonflés dont les tétons se dressaient vaillamment sous le tissu tendu du sous-pull en stretch moulant. Dans ma bouche sa queue me semblait de plus en plus grosse, de plus en plus longue, et à mesure que je sentais venir l'orgasme j'avais une envie croissante de sentir tout son sperme jaillir comme d'un geyser au fond de ma gorge. Il me caressait de plus en plus fort, enfonçait ses doigts loin en moi, me mettait au supplice... Si je n'avais pas eu la bouche pleine j'aurais crié, mais je ne pouvais émettre que des gémissements étouffés.

Puis il a murmuré qu'il allait jouir, et ça a été le coup de grâce : pendant qu'il éjaculait dans ma bouche je me suis mise à jouir aussi, me laissant aller au feu d'artifice qui explosait dans mon ventre. Je suis restée un moment la tête sur son ventre, reprenant mon souffle. Ensuite je me suis réfugiée dans ses bras, m'abandonnant à la douceur de son étreinte. En songeant que je n'étais pas là depuis beaucoup plus de cinq minutes j'ai souri, une goutte de liqueur nacrée coulant sur ma lèvre inférieure. Tout s’était passé si vite. Comme un sauvage, il m’avait baisée toute habillée ou presque, pour augmenter encore plus mon excitation.

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Mardi 26 octobre 2 26 /10 /Oct 14:05

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Monsieur

 

   Vous auriez tort de croire que je suis devenue compliquée, et que mes sens ont désormais besoin de circonstances exceptionnelles ou recherchées pour s’affoler. Non, n’ayez crainte ! Je prends encore de « bons petits plaisirs » et je sais trouver toute leur saveur aux actes les plus simples.

   C’est vrai, à force de rechercher ce qui semble le plus relevé, on risque de trouver fade ce qui, en fait, est plus subtil. Je pensais à cela il n’y a pas si longtemps.

   J’étais dans les bras d’un homme qui pour toute caresse, s’était depuis près d’une heure contenté de baiser mes lèvres, mes tempes, mes poignets et le lobe de mes oreilles. Ma peau était devenue si sensible qu’il provoquait au moindre frôlement des frissons incroyables. Je me laissais transporter, relâchée, comme je ne l’avais pas été depuis fort longtemps.

   Je sentais jusqu’à mon cerveau qui s’engourdissait, dominé par une torpeur proche de l’extase. Je devenais grâce à ce « baiseur » fabuleux la spectatrice de mon propre plaisir. Je me sentais comme endormie et pourtant, chaque fois qu’il me touchait, je ne me contrôlais plus.

   Lorsqu’il se décida à explorer mon corps plus avant, j’étais à lui, et il aurait pu tout obtenir de moi. C’est à peine si je sentis qu’il me pénétrait tant il avait réussi à transformer mon corps en un instrument de jouissance. Et j’eus pour la première fois, oui pour la première fois, un orgasme dont le centre ne fut pas mon sexe, mais certainement mon âme.

   Ce fut comme un éclair. Le cri que je poussai libéra une énergie que je ne soupçonnais pas. J’en avais même oublié que je n’étais pas seule. Son corps que je sentais sur moi, son sexe si profondément enfoncé, ne pesaient nullement.

   Un plaisir si simple qu’il en était presque aérien. En tout cas tellement rare que je ne sais si un jour je pourrai le connaître à nouveau. Peut-être cela tenait-il à lui ; peut-être aussi à la disponibilité dans laquelle je me sentais et qui fit que je pus me donner ainsi.

   Je vous lis déjà, objectant que cette simplicité était toute apparente et, qu’en fait mon partenaire pratiquait l’amour avec un art consommé. Soit, j’en conviens, cette simplicité n’est pas à la portée de tout le monde, et il est souvent plus aisé d’inventer des montages complexes propres à impressionner les âmes sensibles, y compris à l’occasion, la mienne. Mais vous ne disconviendrez pas qu’il n’usa d’aucun artifice de ce genre, d’aucune manigance.

   Oui, je le sais, le mot « simplicité » revient sans cesse sous ma plume, mais votre lettre prétendait que j’étais devenue une « machine infernale ». Je préfère donc me répéter plutôt que de vous laisser croire quelque chose qui pourrait fausser notre relation.

   Ainsi, je le pense, pourrez-vous me proposer aussi bien des aventures sans malice que de grandes choses. Je suis femme à tout accepter.

   Tentez-moi !!!

                                              Vôtre***

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Mardi 19 octobre 2 19 /10 /Oct 17:39

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Mon maître avait empoigné mes cheveux. Il contrôlait le rythme de ma fellation. Chaque fois qu’il retirait ma bouche du sexe de son ami, il provoquait en moi une insoutenable frustration. Je me tendais encore plus fort, cambrant mes reins labourés par ses coups ininterrompus.

 

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   La femme s’était enfin rapprochée. Elle regardait intensément la scène qui se déroulait devant elle. Sa main s’agitait entre ses cuisses. Les pupilles de ses yeux étaient dilatées, comme pour mieux s’imprégner de nos ébats.

   Elle partit dans un grand cri, au moment où son compagnon éjaculait sur mon visage. La langue de la femme rencontra la mienne pour lécher cette liqueur exquise. Mon maître ne se retint plus, et je sentis enfin son chaud liquide jaillir au plus profond de moi.

   S’il ne m’avait puissamment maintenue, la force de ses décharges m’eût projetée à terre.

   Les hommes s’étaient retirés, tandis que la femme était venue se lover contre moi. Elle caressait mon dos, massait ma nuque et buvait le sperme qui coulait de moi. Rompue, je ne bougeais pas, me laissais faire, goûtais ces instants paisibles qui succédaient aux moments de folie que nous venions de vivre.

   Je sentais sur nous le regard de nos deux compagnons. L’un et l’autre s’étaient assis dans des fauteuils placés de telle sorte qu’ils ne pouvaient rien perdre de ce qui se préparait. La femme se faisait plus insistante. Sa langue, après avoir excité la pointe de mes seins, cherchait dans les replis de mon sexe l’endroit le plus sensible. Elle eut tôt fait de le découvrir. Le contraire m’eût étonnée. Elle s’en empara et provoqua en moi presque instantanément une émotion presque in contrôlable. Mes ongles griffaient le tapis. J’oscillais sans cesse entre la volonté d’en prendre encore et celle de résister pour connaître quelque chose de plus intense. A vrai dire, elle ne me laissa guère le choix et manoeuvra tant et si bien que, mes reins paralysés dans un immense frisson, je connus encore un orgasme qui me fit perdre conscience.

   Calés dans leurs fauteuils, nos partenaires prenaient un plaisir pas tout à fait solitaire et, en dépit de celui qu’ils venaient de connaître, ils avaient retrouvé une vigueur extraordinaire. Je me serais volontiers emparée à nouveau d’eux mais, de toute évidence, ils préféraient en rester là. Mon maître, jamais à court d’idées, exigea que je me fasse jouir devant eux et me tendit un godemiché qu’il gardait dissimulé sous un coussin.

   Je le maniai avec tant de conviction que, très vite, je sentis remonter en moi des ondes de volupté. Je m’écartais pour qu’ils puissent voir, tous trois, cette pénétration que je leur offrais. La femme avait pris leur membre dans chacune de ses mains et les branlait avec une lenteur calculée. Je voyais fort bien ces sexes gonflés qui auraient pu me prendre. Ma bouche, mon cul, mon con les quémandaient, j’aurais voulu être pleine d’eux, et j’enfonçais encore plus profond l’instrument que l’on m’avait fourni pour m’assouvir.

   Comme l’ami de mon maître allait jouir, sa compagne couvrit son gland de ses lèvres, me frustrant du spectacle du jaillissement du foutre. Elle pompait comme une folle et, de l’autre côté, sa main s’était crispée sur l’autre sexe. Je ne pus me retenir et me jetai sur lui, l’enfournant d’un seul coup.

   Mon maître me saisit la tête, m’asséna un soufflet au visage, me rejeta en arrière tandis que sa semence inondait mes seins. Je partis à mon tour, pleurant de jouissance et de honte, de douleur et de plaisir. Mes larmes se mélangeaient au foutre que je recueillais avec mes doigts et que je suçais goulûment.

   Allongée sur le sol, j’achevais de leur donner l’image de ce que j’étais : offerte et soumise, une femme dont le plaisir dépend en grande partie du regard des autres.

VÔTRE*****

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Dimanche 17 octobre 7 17 /10 /Oct 10:13

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j'aurais bâti une fin différente, mais celle-ci est "amusante"

 

baisers

 

peter

Par Peter Pan - Communauté : Hommage à la Féminité
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