Dimanche 31 octobre
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2. LE LENDEMAIN
Il était tard et je pressais le pas pour rejoindre au plus vite
mon rendez-vous, pris hier après la visite de la
Galerie, fendant la nuit de ma démarche rapide bien
que ce soir-là je portais mes longues cuissardes. J'étais vêtue comme convenu d'une jupe noire arrivant à peu près aux genoux, d'une veste de même couleur, sous laquelle je portais un chemisier
de soie au-dessus de mon sous-pull blanc moulant à col roulé. Alexandre l’avait beaucoup apprécié hier soir et m’avait demandé de revenir ainsi vêtue. Un petit vent frais agaçait mes tétons qui
se durcissaient sous mon sous-pull, et chaque pas me rappelait en haut de mes cuisses la limite de mes bas.
Je me rendais donc en toute hâte chez Alexandre, avec qui je passais souvent des
moments d'une grande intensité, et la simple évocation de ces instants en sa compagnie suffisait déjà à me rendre humide, alors que je ne faisais que marcher dans la rue. Le vent s'engouffrait
parfois sous ma jupe, caressant ma chatte nue et me faisant toute entière frissonner. Une fois dans l'ascenseur, je me suis cambrée au maximum, tendant à l'extrême le tissu de mon chemisier sur
ma poitrine que l’on devinait gonflée sous le sous-pull tendu. Mes yeux étaient légèrement opaques, et mes lèvres ainsi que mes pommettes rougies par l'excitation. Le reflet que me renvoyait le
sempiternel miroir était clairement celui d'une femme prête à s'abandonner à la luxure.
Je suis arrivée à destination et la porte était déjà légèrement entrouverte,
n'attendant plus que moi. Je suis entrée à pas feutrés, et j'ai tout de suite été happée par deux mains solides, qui ont saisi mon corps comme s'il s'était agi d'un fétu de paille pour le plaquer
contre un mur sans plus de façons. Je n'ai pas résisté, me livrant avec délice à cette étreinte à la fois douce et brutale. Mon amant a enfoncé sa langue très loin dans ma bouche, puis l'a
retirée et l'a enfoncée plus loin encore, déclenchant automatiquement chez moi un intense désir de recevoir sa queue. Il a léché le pourtour de ma bouche grande ouverte du bout bien dardé de sa
langue, et son souffle semblait délicieusement frais sur mes lèvres recouvertes de salive. Mes seins étaient plaqués contre sa poitrine, et ses mains l'étaient sur mes fesses. Je sentais contre
moi la barre de sa queue qui bandait très dur dans son pantalon.
Pendant quelques minutes, nous n'avons fait que nous embrasser. Sa bouche m'excitait
énormément, je n'en avais jamais assez, et pendant ce temps je remuais doucement le bassin contre sa queue, dont la proximité me mettait dans tous mes états. J'ai attendu un moment avant de
refermer dessus ma paume avide, et il a gémi alors que j'exerçais une pression de plus en plus ferme. En même temps, ses mains qui jusqu'alors tenaient mes fesses prisonnières ont commencé à
remonter lentement, très lentement, le tissu de ma jupe le long de mes cuisses gainées de bas. Ce contact m'a fait frémir, car au travers des bas toute caresse est magnifiée jusqu'à parfois
devenir presque insoutenable, et j'ai serré plus fort la queue qui ne faisait que grossir au creux de ma paume.
J’ai enlevé ma veste et j'ai attiré mon charmant comparse à ma suite en une pièce plus
accueillante de son appartement, je l'ai fait asseoir au fond d'un canapé, puis je me suis installée à califourchon sur ses genoux. J'ai commencé à défaire lentement sa braguette, ouvrant d'abord
le pantalon, puis le caleçon. En libérant sa queue de sa prison de tissu j'ai senti le feu s'emparer de mon ventre. Ma chatte était plus mouillée que jamais, et tandis que je m'occupais de son
sexe il s'occupait toujours de ma jupe, faisant durer le plaisir en la remontant vers ma taille.
Il a doucement caressé les deux globes de mes fesses, puis a dirigé ses doigts vers ma
fente brûlante. J'ai haleté, je pouvais déjà imaginer ses doigts s'immiscer en moi, caresser doucement mon clitoris avant d'enfoncer son index dans mon vagin. Il a écarté légèrement mes grandes
lèvres afin de m'ouvrir à ses caresses pendant que je caressais doucement sa queue. Je le branlais d'un geste lent et ferme, dégageant son gland et tendant sa peau au maximum puis le recouvrant
presque entièrement dans le mouvement contraire, avant de le dénuder à nouveau, implacable. De l'autre main, je caressais ses couilles, les massant doucement. Je me suis penchée pour l'embrasser
à nouveau, chavirée par l'expression de plaisir qui se lisait sur son visage. Plus mes caresses lui plaisaient et plus il enfonçait rapidement ses doigts en moi, et plus je me mettais à penser
que notre position était peu propice à ce que nous étions en train de faire. D'un bond je me suis dégagée de son étreinte et je me suis agenouillée devant lui, léchant avec avidité son gland
luisant. Je n'ai pu m'empêcher de parsemer sa queue de baisers désordonnés avant de l'engloutir entièrement dans ma bouche, resserrant bien mes lèvres et ma langue autour de la hampe gonflée et
palpitante.
Le sucer m'excitait tellement que je me sentais devenir liquide. J'ai porté une de mes
mains à ma chatte et j'ai commencé à caresser délicatement mes petites lèvres et mon clitoris au rythme auquel je le suçais. J'étais si mouillée que mes doigts glissaient complètement sur ma
chair chaude, et je sentais mon cœur battre de plus en plus vite. J'aimais particulièrement quand ses doigts venaient à la rencontre de mes lèvres écartelées autour de sa bite, les caressaient,
puis s'attardaient sur ma joue. Mon complice a attrapé ma taille et m'a fait regrimper sur le sofa à ses côtés. Je me suis cambrée pour suivre le mouvement que sa poigne de fer imposait à mon
corps, tout en ne lâchant pas sa queue dont je me régalais. Il s'est mis à me doigter la chatte avec trois doigts, et j'ai relevé la tête pour reprendre mon souffle, mise à mal par l'intensité de
cette caresse. Je sentais ses doigts remuer en moi, habiter ma chatte peu habituée à ce traitement, et cette sensation était à la fois déconcertante et terriblement excitante. Je me sentais de
plus en plus chaude, et je sentais mes petites lèvres et mon clito qui gonflaient de plaisir. J'ai tendu la main pour me toucher et toucher ses doigts, tout recouverts de mouille. J'ai massé mon
clitoris et j'ai eu envie d'enfoncer plus loin sa queue dans ma bouche, de la sentir au fond de ma gorge, d'avoir les mâchoires grandes ouvertes, écartelées autour de cette imposante masse de
chair.
Puis il s'est mis à faire aller et venir son autre index de ma chatte à mon cul, le
barbouillant de mouille afin de faciliter l'intromission de son doigt. Une fois qu'il l'a eu enfoncé de quelques centimètres, il s'est mis à coordonner le mouvement de ses deux mains, me prenant
de deux gestes complémentaires et jumeaux. J'étais de plus en plus excitée, et l'idée d'être ainsi offerte à sa vue, les cuisses largement écartées, les jambes ornées de bas, me gênait un tout
petit peu et me rendait surtout complètement folle. Je sentais mes seins tout gonflés dont les tétons se dressaient vaillamment sous le tissu tendu du sous-pull en stretch moulant. Dans ma bouche
sa queue me semblait de plus en plus grosse, de plus en plus longue, et à mesure que je sentais venir l'orgasme j'avais une envie croissante de sentir tout son sperme jaillir comme d'un geyser au
fond de ma gorge. Il me caressait de plus en plus fort, enfonçait ses doigts loin en moi, me mettait au supplice... Si je n'avais pas eu la bouche pleine j'aurais crié, mais je ne pouvais émettre
que des gémissements étouffés.
Puis il a murmuré qu'il allait jouir, et ça a été le coup de grâce
: pendant qu'il éjaculait dans ma bouche je me suis mise à jouir aussi, me laissant aller au feu d'artifice qui explosait dans mon ventre. Je suis restée un moment la tête sur son ventre,
reprenant mon souffle. Ensuite je me suis réfugiée dans ses bras, m'abandonnant à la douceur de son étreinte. En songeant que je n'étais pas là depuis beaucoup plus de cinq minutes j'ai souri,
une goutte de liqueur nacrée coulant sur ma lèvre inférieure. Tout s’était passé si vite. Comme un sauvage, il m’avait baisée toute habillée ou presque, pour augmenter encore plus mon
excitation.
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