Mercredi 25 janvier 3 25 /01 /Jan 18:56

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  Inconsciemment, son pied s’est écrasé sur l’accélérateur. Son ventre la brûle, sa faim augmente. « M’arrêter là, dans un chemin creux, m’occuper de moi du bout du doigt ? Ou bien monter chez moi, retrouver ma chère « bougie »? Mais quoi ? Pourquoi un doigt, pourquoi une bougie, alors qu’il y a ce cher Philippe, ce bon petit scout, toujours prêt ? »

   Tous volets clos, écrasée de soleil, la bastide semble dormir quand elle s’arrête devant le perron. Lise évite de claquer la portière et, relevant sa longue jupe entre deux doigts, court dans le vestibule, monte quatre à quatre l’escalier, parvient devant la porte de Philippe, l’entrouvre le plus silencieusement possible.

-        Alors ? Tu dors ? chuchote-telle.

   Etendu sur son lit, bras et jambes écartés, les yeux dans le vague, tout nu, Philippe sursaute et tire sur le drap pour se recouvrir. Ses yeux deviennent fixes, ses lèvres se plissent, ses sourcils se relèvent, il pousse un long sifflement d’admiration. Lise sourit, ravie, lève les bras, joint les mains au-dessus de la tête, amorce un déhanchement de danseuse orientale. Son ventre et ses flancs lisses semblent se mouvoir indépendamment de son buste.

-        Tu as oublié que nous devions aller nous promener ensemble ? ajoute-t-elle en s’approchant du lit.

   Philippe ne peut détacher les yeux de ce ventre nu qui ondule devant lui.

   -Tout…tout de suite ? Bredouille-t-il.

   - Tu n’as pas l’air très chaud ! C’est ma robe qui ne te plait pas ?

   - Oh si ! Proteste-t-il ; elle te va très bien ! Mais je croyais que tu étais fâchée contre moi.

   - Fâchée ? Pourquoi ? Tu rêves !

   - Mais, ce matin…

   - Quoi, ce matin ? Je te taquinais, grand bêta ! Comment, monsieur fait l’amour avec sa tante, et puis se vexe parce qu’un gamin le bat aux échecs !

   - Ce n’est pas ça. Mais pourquoi est-ce que tu n’as pas voulu m’emmener ? Tu allais…tu allais rejoindre quelqu’un ?

   - Mais il est jaloux ! s’exclame Lise, enchantée ; mon pauvre chou, je te l’ai dit, j’avais des tas de courses à faire. Et puis les essayages c’est très ennuyeux pour les hommes !

 

Elle ne peut s’empêcher de sourire en pensant à l’essayage de tout à l’heure. Philippe ne s’y serait peut-être pas tellement ennuyé…

-        Alors tu n’es pas fâchée ?

-        Moi, fâchée ? Je vais te montrer comme je suis fâchée ! Tu disais donc qu’elle te plait, ma robe de Schéhérazade ?

   Elle lui plaît tant que Philippe est dévoré par l’envie de caresser ce ventre lisse. Il se sent un peu ridicule, tout nu, avec son membre qui s’est mis à raidir sous le drap, devant Lise qui l’observe avec un petit sourire et continue sa danse du ventre. Elle porte de longs pendants d’oreille dorés qui tintent à chaque mouvement de la tête. Ses mains sont maintenant à la hauteur de ses épaules, paumes en avant, comme si elle voulait repousser quelqu’un, tandis que son ventre, tendu vers Philippe, oscille à moins d’un mètre de son visage. Les pans de la jupe se sont écartés, une jambe passe par l’échancrure, presque immobile. Mais Philippe voit se contracter les muscles qui font naître le balancement provocant du bassin.

   Il bande tout à fait maintenant. Cela se voit, même sous le drap. Que faire ? S’il déplace la main pour cacher la protubérance, cela ne fera qu’attirer l’attention de Lise. « Elle a déjà vu, sûrement ». Il cherche quand même à se cacher en se tournant sur le côté. Il s’accoude pour mieux la voir, tend sa main libre vers elle.

-        Lise ! Oh, Lise ! Comme tu es belle !

-        Pas assez belle pour t’emmener en promenade, pourtant ! Ou alors tu es trop paresseux pour sortir en plein soleil. Tu as donc tellement chaud ?

   Elle s’assied sur le bord du lit et pose la main sur son front.

-        Mais non, tu es tout frais ! Alors c’est que tu ne veux pas sortir avec moi, dis-le tout de suite !

   Elle fait mine de se lever. Pour Philippe, c’est la dernière chance : si elle s’éloigne du lit, il n’osera jamais se lever, tout nu, sexe dardé, pour courir après elle. Il l’attrape dans ses bras, l’attire vers lui.

-        Comment peux-tu dire cela ? Reste, Lise, ne t’en vas pas.

-        Pourquoi voudrais-tu que je reste ? Je vais te laisser tranquille, seul tu seras bien mieux pour faire la sieste.

-        Mais je ne veux pas faire la sieste ! Je veux…Je voudrais…

   Philippe n’ose pas dire les mots, mais il trouve les gestes. Sa main se lève vers le boléro comme s’il voulait la glisser par-dessous. Lise l’esquive en riant.

-        Tu veux…Tu voudrais…quoi, au juste ? Allons, dis-le !

-        Je veux faire l’amour avec toi, bredouille Philippe.

-        C’est bien vrai ? Tu ne dis pas ça par politesse ? Rien ne t’y oblige, tu sais ? D’ailleurs le meilleur moyen de savoir…

   Elle lui donne une poussée qui le fait basculer en arrière, sur le dos. Le drap s’écarte.

-        Mais tu bandes ! s’exclame Lise, comme si elle venait seulement de s’en apercevoir ; tu n’as pas honte ! Tu bandes même fort joliment, ajoute-t-elle en saisissant l’épieu brandi ; tu aimes que je te tienne comme ça ?

-        Oh oui ! dit Philippe qui retrouve toute son audace maintenant qu’il n’a plus rien à cacher ; mais je serais encore mieux si tu enlevais ta robe

 

-        Elle ne te plait pas ?

-        Tu sais bien qu’elle me plaît…Mais tu me plais encore plus !

-        Ce qu’il est galant ! Allons, ôte-la moi puisque tu en as tellement envie.

   Les doigts de Philippe tremblent sur les pressions du boléro puis cherchent l’attache de la jupe sur le devant. Mais le nœud qui l’orne, juste au-dessous du nombril, n’est qu’une décoration. Il passe la main autour de la taille de Lise pour trouver la fermeture. Lise frissonne en sentant cette main hésitante sur sa peau. C’est à peine une caresse mais c’est si doux, si timide que c’en est bouleversant. Elle se détourne un peu pour aider Philippe à trouver. Il trouve enfin, baisse la glissière ; la jupe tombe aux pieds de Lise. Des deux mains, Philippe empoigne le slip, l’abaisse.

-        Bravo ! dit Lise, tu fais des progrès ! Le soutien-gorge maintenant…

   Nue, elle se penche vers le lit, serre plus fort la tige de chair durcie. Retrousse lentement la peau. Philippe halète.

-        Lise, Lise…Et moi qui croyais que tu ne voulais plus !

-        Pourquoi, grand idiot ?

-        Parce que tu étais sortie sans moi. Je pensais…Je pensais que tu allais rejoindre quelqu’un…

-        Comme tu es bête, dit Lise, attendrie par cette jalousie toute neuve.

   Mais au moment où elle parle, la saveur d’Amanda lui revient aux lèvres. Elle ferme les yeux, elle sent encore, en elle, la langue pointue qui la fouille avidement et ce seul souvenir réveille en elle son sentiment de « creux ». Elle crispe la main sur la verge brandie.

-        Qu’est-ce que tu as ? demande Philippe.

-        Rien. Tu es trop mignon.

   Elle se penche sur le ventre de Philippe, passe la langue sur le gland gonflé. Philipp, éperdu, a un brusque retrait, puis le plaisir l’emporte, il l’attire plus près de lui, laisse son sexe glisser entre les lèvres arrondies qui l’engloutissent lentement, parviennent au repli, s’y attardent un instant, descendent encore. Philippe se sent peu à peu s’enfoncer dans un petit gouffre étroit, brûlant et tendre, des dents le mordillent au passage, une langue l’enveloppe, le presse, fouille, s’insinue. Philippe cambre les reins, gémit. Jamais, non jamais il n’a éprouvé un pareil plaisir…

Et Lise non plus. Ce n’est pas la première fois, il s’en faut, qu’elle donne une telle caresse. Mais il ne lui était pas encore arrivé de sentir, dans sa bouche, un sexe aussi jeune, aussi frémissant, aussi tremblant de bonheur et de reconnaissance. Le creux, au bas de son ventre est devenu presque intolérable. Elle serre entre ses cuisses une des jambes du garçon, se frotte contre lui au rythme où sa bouche monte et descend le long de la colonne gonflée et qui se durcit de plus en plus. Philippe gémit. Lise sourit. Elle sait soudain, ce qu’elle veut, ce qu’elle va faire faire à Philippe. Maintenant qu’elle est sûre d’avoir  ce qu’il lui faut, impérieusement, pour calmer sa faim, elle veut faire durer le plaisir, elle veut obliger le jeune homme à prendre, devant elle, la pose d’Amanda, lui apprendre à faire ce qu’Amanda a fait…Ainsi, connaîtra-t-elle un double plaisir ; celui qu’une femme peut dispenser à une femme, et l’autre, celui qu’un homme seul peut lui donner.

 

Elle relève la tête, regarde Philippe, prêt à jouir, murmure :

-        Tu aimes ?

   La tête de Philippe roule sur le lit. Sa voix est presque inaudible.

-        Tellement, tellement, si tu savais…

-        Je veux savoir…

   Le mouvement de la tête s’interrompt, Philippe rouvre les yeux, la regarde.

-        Je veux que tu me fasses la même chose.

-        Comment…comment cela ?

-        Tu feras ce que je te dirai ?

-        Oh oui, Lise, ma chérie.

-        Tout, même si ça ne te plait pas, même si ça te dégoûte ?

-        Oui…non…rien ne peut me dégoûter…de toi…Dis-moi…

-        Mets-toi à genoux, au pied du lit, devant moi. Et maintenant, regarde, donne ta main…

   Elle s’assied devant l’adolescent prosterné, ouvre son sexe entre deux doigts.

-        Tu vois là, ce bouton ?

-        Oui. C’est le clitoris, le point le plus sensible, je sais dit Philippe, un peu vexé de ce qu’elle croie devoir lui faire la leçon sur des connaissances aussi élémentaires.

   En fait, il est fasciné par cette grotte rose qui bée devant lui parmi les poils cuivrés, par ces plis et ces replis, ces stalagmites et ces stalactites qui la peuplent, ces dédales luisants où il s’est déjà enfoncé mais qu’il n’a jamais vus d’aussi près. Cela bouge, cela palpite sous ses yeux comme une fleur carnivore, une anémone de mer, une bouche qui l’appelle.

-        Si tu le suces comme je viens de te sucer, dit Lise, c’est quelque chose de merveilleux pour moi. Mais il faut aussi passer ta langue tout le long de la fente, la faire rentrer aussi loin que possible, rien n’est plus doux. Tu veux ?

-        Oui, souffle Philippe en posant ses lèvres sur sa bouche…

   C’est incroyablement doux et tiède, avec un goût de sel et de coquillage, une âcreté marine. Et, dès qu’il a touché, cela remue, vibre, tressaille. Les yeux fermés, Philippe tend la langue, rencontre l’aspérité durcie, s’y attarde, la presse, la lèche. Et Lise commence à gémir, doucement d’abord, puis plus haut. La langue de Philippe quitte le bouton, pénètre dans la fente, s’y enfonce. Lise crispe les doigts dans les cheveux du jeune homme…C’es bon…Cette langue rêche, impatiente, un peu maladroite n’a pas l’assurance, l’habileté de celle d’Amanda. Mais sa maladresse même est exquise, et cette bouche est tout neuve…Lise se cambre, lève une jambe pour mieux s’ouvrir, son pied frôle la cuisse de Philippe, heurte la verge raidie…

-        Viens, souffle-t-elle en détachant d’elle les lèvres de Philippe, viens sur moi, je vais te sucer pendant que tu me suceras. Viens…

 

Elle le fait étendre sur le dos, l’enjambe, s’installe cuisses écartées au-dessus de sa tête, se penche, la bouche ouverte, et engloutit le sexe qui se tend vers elle. En même temps, elle s’abaisse jusqu’à sentir à nouveau la langue pointue s’insinuer dans sa fente, un peu hésitante, si légère que Lise se sent plus chatouillée que caressée. Elle resserre les lèvres autour du gland, glisse une main entre les cuisses du garçon, le palpe, enfonce légèrement ses ongles dans la peau. Philippe tressaille, grogne, perd toute réticence, fouille le sexe offert, l’explore, retrouve le bouton, le mordille. Lise sent son ventre brûler, gonfler…Elle s’arrache à Philippe.

-        Pas trop vite ! Je ne veux pas jouir tout de suite. Et je ne veux pas que tu jouisses. Mets simplement ta langue dans ma fente.

   Philippe obéit, tend la langue. Le goût de coquillage devient plus fort, la moiteur plus onctueuse…Soudain il tressaille, se raidit. La main de Lise descend entre ses jambes, un doigt se dresse, écarte ses fesses, suit la raie, se pose, appuie, s’enfonce avec un léger mouvement tournant dans le petit bourrelet de muscles contractés. Philippe est si surpris qu’il se sent peu à peu mollir. Lise le sent, se précipite. Elle enfouit sa tête au bas de la verge fléchissante, mordille la peau, prend dans sa bouche un des petits globes oblongs, le suce comme elle le ferait d’une dragée. Philippe reprend de la vigueur. Lise revient au gland, l’agace du bout de la langue, explore le méat.

Philippe geint, donne des coups de reins pour aller à la rencontre de cette bouche qui le dévore…ou est-ce pour faire pénétrer plus avant ce doigt qui l’envahit ? C’est une sensation nouvelle, étrange, à la limite extrême du plaisir et de la douleur.

-        Je te fais mal ? souffle Lise.

-        Non…Oui un petit peu…Mais en même temps c’est bon…

-        Fais-moi la même chose…

   Philippe lève le doigt, le mouille dans la grotte humide, remonte le long de la raie jusqu’au petit orifice sombre à la chair étrangement froncée, s’y pose, hésite.

-        Va ! gronde Lise, en enfonçant son doigt plus profond entre les fesses du jeune homme.

   Philippe sursaute, il a mal. Alors, comme pour se venger, il pousse fortement le doigt, force le barrage de muscles, glisse dans l’étui de chair contracté. Lise pousse une plainte, remue le doigt, comme en réponse, entame un mouvement de va et vient que Philippe imite aussitôt, tandis que de la langue il se remet à presser le bouton de chair.

   Lise gémit à nouveau, sa plainte monte vers l’aigu. D’un seul coup, elle s’arrache à Philippe, se laisse tomber sur le dos, empoigne ses jambes, les écarte en grondant.

-        Là ! Viens ! Je veux ta queue dans ma chatte !

 

 

Philippe bondit, s’écrase contre le ventre offert, s’enfonce d’un seul coup. Les mains de Lise se crispent sur ses fesses, l’attirent plus fort encore, plus près, lui impriment une cadence violente, presque sauvage. Philippe voit le visage de Lise se tordre peu à peu comme sous l’effet d’une souffrance atroce. De sa bouche grande ouverte s’échappent de petits cris plaintifs et suraigus. Les cris s’arrêtent net, les yeux de Lise se révulsent, une onde énorme fait onduler son ventre. Philippe sent une griffure à l’extrémité de son gland, comme si des dents minuscules taquinaient les chairs congestionnées. Et l’onde passe en lui, le soulève, le précipite, vertigineusement, dans un gouffre au fon duquel il s’écrase dans un éclatement de lumière…

   Elle est maintenant allongée, la tête sur l’épaule de Philippe. Elle lui caresse la poitrine, s’amuse à rebrousser les poils sous sa paume.

-        Alors, tu as toujours peur que je sois fâchée contre toi ?

-        Non, dit Philippe. Tu es…adorable. Mais j’ai un peu honte…

-        Honte de quoi ? De ce que nous venons de faire ? Est-ce que ça t’a fait plaisir ?

-        Oui, mais…

-        Et moi aussi, j’ai eu du plaisir, autant que toi, plus peut-être. C’était merveilleux de sentir ta langue me toucher, me lécher, de sentir surtout que tu t’enhardissais, que tu y prenais goût. Car tu y as pris goût, n’est-ce pas ?

-        Oui.

-        Tu ne m’aurais pas fait autant plaisir si tu n’aimais pas ça. Sais-tu que tu es très doué ?

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Jeudi 19 janvier 4 19 /01 /Jan 23:07

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J’allais répondre pour donner mon accord le plus total, lorsque je pris conscience de certaine réaction physiologique de mon organisme se produisant avec violence rien qu’à la pensée que je verrais bientôt Nicky toute nue…Cela me fit réfléchir. Comment dominer mes réactions physiques lorsque nous serons tous en tenue ?

Mon silence inquiéta Nicky.

-        Tu n’es pas jaloux à ce point, tout de même ! Bien sûr, Bob et Marc verront Esther nue, mais toi de ton côté tu me verras et tu verras Cathy…L’équilibre est donc rétabli !

-        Non, ce n’est pas cela ! Ce qui m’inquiète, c’est que je n’ai jamais fait de nudisme et je me demande quel sera mon comportement en présence de trois femmes nues…Et de trois jolies femmes. Tu vois ce que je veux dire ? Il m’est impossible de voir Esther à poil sans bander, alors là comment faire ?

Nicky éclata d’un rire sonore, puis devint soudain soucieuse.

-        C’est exact, je n’y avais pas pensé. Il est vrai que nous les femmes pouvons mieux cacher nos sentiments…Quoique dans certains cas, un regard averti réussit à déceler certains détails révélateurs…Mais pour l’instant il est question de toi…Qu’en penses-tu Bob ? tu nous écoutes ?

-        Oui ma chérie !

-        Viens ici un moment ! Le problème à résoudre me paraît sérieux…

Bob docile nous rejoint.

-        Il faudrait que Gilles ait déjà fait un séjour dans un lieu nudiste, dit-il tout de suite.

-        Evidemment, mais ce n’est pas le cas !...

-        Eh bien ! Il n’est pas trop tard !

-        Tu n’y penses pas ? Tu sais bien que nous devons partir au plus tôt.

-        J’ai une idée, cria soudain Nicky radieuse.

-        Elle se leva d’un bond…D’un geste vif, elle saisit le bas de sa robe pour le ramener par-dessus sa tête et en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire elle était devant nous en string et soutien-gorge. Une main passée dans son dos dégrafa celui-ci pour libérer deux merveilleux fruits blancs aux boutons de rose, puis le string disparut comme par enchantement dans un entrechat affolant.

-        Voilà ce que nous allons faire, dit-elle d’une voix un peu rauque. Le plus simple est de commencer ici ! Allons, tous à poil là-dedans !

-        D’accord dit Bob en ôtant sa chemise sans la moindre gêne.

Quant à moi, j’étais toujours assis dans mon fauteuil, incapable de détacher mes yeux du corps somptueux et délicat qui se promenait à quelques centimètres de ma personne avec tant de désinvolture. Quelle poitrine ! Et la taille, cette finesse ! La parfaite harmonie de la chute des reins et des hanches ! Et ces mignonnes fossettes au-dessus des fesses ! Je ne savais plus où regarder, quoi admirer le plus, du galbe des cuisses ou de la finesse veloutée de ce grain de peau qui attirait irrésistiblement le baiser…

Mais Bob était nu, lui aussi, à présent.

-        Allons, toi aussi, en tenue !

-        Mais, dis-je un peu affolé. Je ne vais pas me montrer dans l’état où je me trouve ?

-        Tant pis dit Nicky ! Nous n’avons pas le choix…Mon chéri, penses-tu que je puisse sans danger pour ma vertu apercevoir la nudité agressive de notre ami Gilles ?

-        Mais tu plaisantes Nicky !

-        Le ton assez méprisant avec lequel furent dites ces paroles me vexa un peu. Et puis je n’avais aucune raison de me cacher. Ma force de mâle dressée comme elle l’était en ce moment n’avait rien de désobligeant pour moi. Au contraire ! Et Nicky ne serait certes pas déçue ! Mais je protestai pour la forme.

-        Vous êtes fous ! Je n’oserai jamais !

-        Allons, pas d’histoires, à poil !

Et tous deux se précipitèrent sur moi. Tandis que Bob déboutonnait brutalement ma chemise, sa femme s’attaquait plus délicatement aux boutons de mon jean…En quelques secondes, je fus en shorty.

Là il y eut quelques instants d’hésitation. Pour ma part, j’étais bien décidé à continuer à me laisser déshabiller. Bob ne tenait pas spécialement à m’ôter le shorty. Nicky en mourait d’envie, mais n’osait pas.

 

Finalement elle se décida. Le saisissant à deux mains, elle le baissa d’un geste nerveux, libérant ma vigueur magnifiquement dressée et splendide dans son arrogance impudique. D’un air confit, je finis par me libérer du sous-vêtement.

Je n’étais plus gêné du tout, à présent. Puisqu’ils m’y avaient obligé, je n’avais pas à me cacher. Je dois même avouer que la situation m’excitait terriblement et que je n’étais pas prêt d’avoir l’engin au repos !

-        Je suis confus, mais je vous ferais remarquer que vous m’avez déshabillé de force ! Donc cette tenue impudique n’est pas de mon fait !

-        Ne t’inquiète pas me dit Bob, d’un ton faussement indifférent, tu vas vite t’habituer, tu vas voir. Mais il faut que je retourne à la cuisine terminer le repas. Dans cinq minutes, je suis à vous !

Dès qu’il eut le dos tourné, Nicky, une drôle de lueur dans le regard, vint près de moi. Mon corps frémit d’émotion. Elle était contre moi. Je sentis un instant le contact doux et tiède de sa peau, les pointes durcies de ses seins qui me chatouillaient la poitrine, son ventre qui s’écrasait contre mon sexe. Une seconde sa main se crispa sur lui de toutes ses forces tandis que nos lèvres se rejoignaient dans un baiser éclair…

 Puis comme si rien ne s’était passé, elle s’assit tranquillement dans le fauteuil pour prendre une nouvelle cigarette. J’en fis autant.

-        Le mieux est de faire comme si de rien n’était, me dit –elle, un sourire complice au coin des lèvres. Oublions que nous sommes nus et tout va s’arranger. Il y a quand même de par le monde un certain nombre de peuples qui vivent nus, sans parler de l’Ile du Levant. Les hommes ne sont tout de même pas en érection continuellement.

Tout en parlant, elle avait un peu écarté ses jambes et je ne pouvais détacher mon regard de la troublante toison qui s’épanouissait à leur intersection. Tout un frisottis de boucles brunes couronnant deux lèvres roses que je mourais  d’envie de couvrir de baisers fous.

  A présent, elle parlait de choses et d’autres tout en fumant. Sa main gauche tenait la cigarette et sa main droite se promenait négligemment sur son flanc, puis sur ses seins, les enserrant l’un après l’autre  dans sa paume, les prenant par-dessous, puis les malaxant durement. Tantôt elle en frottait les bouts, tantôt elle les caressait légèrement d’un mouvement rotatif.

   Cloué à ma chaise par l’éventualité de l’arrivée de Bob, j’en étais réduit à admirer l’affolant spectacle, la gorge sèche et le membre tendu aux limites de ses possibilités, tellement, que je n’osais faire le moindre mouvement.

   La main de Nicky était maintenant descendue sur son ventre. Elle se crispa une demi-seconde sur son abricot, puis parcourut lentement l’intérieur de la cuisse droite jusque vers le genou, puis remonta. Arrivée tout en haut, elle redescendit presque imperceptiblement, tirant la peau. A ce mouvement, une fleur brune s’ouvrait, s’ouvrait. Deux pétales roses s’évasèrent à leur tour sur un petit pistil durci.

-        Tu es prêt, chéri ? demanda-t-elle tranquillement tout en continuant ce voluptueux massage.

-        J’arrive mon chou, répondit Bob du fond de sa cuisine. Deux minutes…

 Nicky s’envoya alors carrément en arrière, sa jambe droite s’écartant, tandis que la gauche se rejetait nerveusement par-dessus l’accoudoir. D’un geste brutal, la cigarette fut lancée dans la cheminée et les deux mains se portèrent aux genoux pour se rejoindre sur un sexe béant et baveux qu’elles frottèrent d’un mouvement saccadé et rageur qui très vite devint frénétique…

   Je n’en pouvais plus !...Aurai-je le temps ?

« Deux minutes » avait dit Bob. Non, ce n’était pas possible ! Oui ! Je ne savais plus et n’arrivais pas à me décider, les yeux rivés sur ces mains affolées qui ne demandaient qu’à être remplacées par autre chose…

 

 

Ces quelques secondes me parurent des siècles…

Au moment où j’étais sur le point de me lever, renonçant à réfléchir, prêt à m’élancer sur ce corps pâmé comme une proie, la furie du désir ayant anéanti toute prudence, Nicky était déjà debout.

Une fraction de seconde plus tard elle était à genoux devant moi, son visage en feu contre ma verge tendue qu’elle absorba tout entière. Immédiatement tout éclata dans mon corps, comme si chaque atome de mon sang partait rejoindre l’infini des cieux…

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Dimanche 15 janvier 7 15 /01 /Jan 18:37

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Cette fois, nous ne nous sommes pas endormis. Après nous être lavés les parties intimes, qui étaient brûlantes et commençaient à nous faire un peu mal, nous nous sommes étendus tranquillement sur le lit, souriants, las, heureux et repus…

Après avoir bu un peu de Bourbon pour nous remettre en forme, nous avons fumé quelques clopes tout en devisant gentiment…

C’était Esther, un peu vexée d’avoir été traitée de novice, qui cherchait à s’instruire en interrogeant Nicky, comme si celle-ci avait été professeur à l’école de la jouissance et de la volupté…

-        Tu devrais nous raconter, Nicky, disait-elle, quelques une de ces petites séances que tu as faites à plusieurs, histoire de nous remettre dans le bain…

-        Quel genre de séances ?

-        Ce qui me plaisait le plus, ce sont celles où tu étais avec plusieurs mecs à la fois…

Nicky réfléchit un instant, comme s’il lui eût fallu choisir parmi un nombre considérable…

-        Il y a trois ans…non, deux ans, quelques mois après mon mariage, je suis allée à une soirée…

-        Avec Bob, demandai-je avec humour.

-        Tu es fou ! Il ne l’a jamais su ! Une soirée disais-je, où, par je ne sais plus quel concours de circonstances, je me suis trouvée la seule fille parmi une dizaine de garçons…

Je dois avouer que cette  que cette sorte de confidence ne m’enthousiasmait pas particulièrement et j’en voulais à Nicky de tomber dans le piège que lui tendait ma femme.

-        Magnifique s’extasia Esther, qui commençait à se branler tout en l’écoutant. Et alors ?

-        D’abord nous avons dansé puis flirté…J’ai embrassé deux ou trois garçons, puis comme les autres étaient jaloux, je les ai embrassés aussi. Mais pendant que j’en embrassais un, ses copains me caressaient et commençaient à me déshabiller…J’eus beau me défendre…

-        Tiens tu te défendais ?

-        J’étais un peu inquiète, tout de même…Dix garçons à la fois, c’est beaucoup ! …Lorsque je fus complètement à poil, je me sentis transportée sur un lit où tout mon corps fut littéralement couvert de bouches…L’une sur la mienne, une autre sur chaque sein, une sur le ventre, une sur chaque cuisse…Une à la chatte, une au cul…

-        Terrible ! s’exclama Esther qui se branlait maintenant avec ardeur d’une main, tandis que l’autre, qui venait d’écraser la cigarette, se crispait sur ma bite qui commençait à se durcir douloureusement…Ce que tu as dû te régaler, salope !

-        Je dois avouer que ce n’était pas trop désagréable…Mais il y avait quand même trois ou quatre mecs de trop, et puis j’étais toujours un peu inquiète. Ce qui était drôle c’est que de temps à autre, j’entendais une voix qui disait : « Mais enfin, laissez-m’en un morceau. »

Mais pendant ce temps, les garçons se déshabillaient et, au bout d’une demi-heure je me trouvais avec une bite dans la bouche, une dans le cul, une autre dans la chatte, une à chaque main, une sous chaque aisselle, une autre entre les seins…

-        Fantastique ! gémit Esther. Tiens, au lieu de me laisser me branler seule, tu pourrais me le faire, pendant que je te le ferai à toi d’une main et de l’autre à Gilles…

-        Oh ! excuse-moi ma chérie, je croyais que tu préférais le faire toute seule…Alors où en étais-je ?

-        Tu étais en train de te faire baiser par tous les trous…et même ailleurs ! J’espère qu’ils ont tous déchargé en même temps…

-        Ça je ne m’en souviens pas ! Ce qui est certain, c’est que j’étais inondée de partout…Toute gluante ! Ils avaient tous joui, mais ils n’en étaient pas calmés pour ça !...Moi non plus !

Alors je les ai fait asseoir chacun sur des chaises disposées en rond et je me suis agenouillée devant chacun d’entre eux pour leur sucer la bite à tour de rôle…

-        Et tu as avalé tout ce foutre ?

-        Non je ne crois pas ! Une partie seulement…Ce qui m’a le plus amusée, c’est de comparer toutes ces bites…Il n’y en avait pas deux de pareilles…Comme ils rebandaient toujours ces braves garçons, je me suis faite baiser en m’asseyant dessus…

-        Comment ça ?

-        Eh bien !je m’asseyais sur une bite que je rentrais dans ma chatte…Je faisais deux ou trois mouvements de haut en bas, puis je passais au voisin, et ainsi de suite…

-        Formidable !

-        Et puis j’ai fait la même chose pour le cul…

-        Oh !...

-        Esther, à présent, se jetait sur le sexe de Nicky pour la sucer avec rage…

Celle-ci se renversa de manière à amener sa bouche entre les cuisses de ma femme et ce fut le soixante-neuf le plus rageur et échevelé que l’on puisse imaginer…

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Jeudi 12 janvier 4 12 /01 /Jan 20:07

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-        Oh ! C’est très simple ! Ça s’est passé il y a à peine six mois…J’étais allée avec Bob dans un ciné de la Porte Saint Denis où l’on projetait un film X…Nous étions assez émoustillés tous les deux, comme d’ailleurs tous les autres spectateurs…

 A un certain moment, la caméra s’insinua sous les draps et nous avion réellement l’impression d’être dans le lit. Pour ma part je croyais sentir contre mon corps les bras et le torse musclé du jeune premier, tandis que ses lèvres se promenaient sur mes seins frémissants, puis sur mon ventre…

 Les spectateurs masculins retenaient leur respiration. Cette vision sur grand écran d’un couple enlacé entre deux draps, c’était terrible…On voyait les seins de la vedette féminine s’écraser sous les doigts de son amant, tandis que ses cuisses se nouaient maintenant autour de son cou…

Bien entendu, Bob avait passé ses mains sous ma jupe…Comme je porte rarement de culotte, il avait tout de suite atteint la zone brûlante qui mouillait déjà abondamment, et branlait mon clitoris avec dextérité.

Ma main gauche avait de son côté, fébrilement déboutonné son pantalon pour en extraire une verge déjà prête à éclater. Mon mari était assis à ma gauche. Soudain une main se posa sur ma cuisse droite. Le contact de cette paume chaude inconnue sur ma peau nue me fit un effet extraordinaire, d’autant plus que quelques centimètres plus loin il y avait celle de mon époux occupée à une bien douce besogne…

-        Comment interrompit Esther, tu as bien dit : « ma peau nue » ? Et les bas ? Et la robe ? Tu n’es pas allée au ciné à poils, tout de même !

Nicky parut manifester une certaine humeur à cette réflexion d’Esther.

-        En voilà une affaire ! Je n’avais pas de bas ni de culotte…Quant à la jupe, elle était relevée, puisque Bob me branlait le bouton…

Je jetais un petit coup d’œil à mon voisin…Je faillis pousser un cri…Tandis que sa main gauche me pelotait fermement la cuisse en remontant avec lenteur vers le haut et se rapprochant dangereusement de la main de mon mari, sa droite masturbait avec énergie une énorme queue qu’il avait complètement sortie de son pantalon…Jamais je n’avais vu un engin pareil…Elle devait avoir trente centimètres au moins de long et je ne vous parle pas de sa circonférence !!!

-        Eh ! tu es calée en dimensions mon chou ! Tu les apprécies ainsi au premier coup d’œil ?

-        En effet, répondit Nicky, rieuse, je me suis souvent amusée à mesurer la longueur et la circonférence des bites de mes différents amoureux…

En tout cas, sans trop réfléchir au fait que Bob eut pu s’en apercevoir, ma main droite alla en quelque sorte d’elle-même se crisper sur cette gigantesque queue…Ce double contact provoqua en tout mon corps une véritable révolution…Mes tempes bourdonnaient à tout rompre…Mon cœur battait partout à la fois et mes yeux ne voyaient plus rien…Une volupté démentielle fondit sur moi en quelques secondes et je poussai un cri…

J’eus le réflexe de lâcher immédiatement la queue de mon partenaire inconnu et, dès que j’eus un peu repris mes esprits, je me tournai vers Bob…Oh ! Je ne risquais rien ! Il était bien trop occupé à suivre ce qui se passait sur l’écran où la caméra s’était placée, cette fois au dessus du lit dont le drap avait été rejeté, pour se cadrer sur le buste de la fille. De son amant on ne voyait que les cheveux, tout à droite de l’écran, sous son nombril…

 La vedette, le visage pâmé et en sueur, les yeux presque révulsés, ballottait sa tête de droite à gauche en haletant de plaisir tandis que ses seins lourds et luisants de salive palpitaient follement…On ne voyait pas, mais on comprenait parfaitement ce qui se passait.

-        Elle se faisait sucer par le mec ?

-        Evidemment ! Pour ma part, je sentis ma main qui continuait de masturber la bite de Bob toute mouillée…Il avait déjà déchargé sans que je m’en rende compte, sans doute en même temps que moi…

-        On a toujours dit que le synchronisme de la jouissance est nécessaire dans les rapports conjugaux railla Esther.

-        Je me penchai à son oreille pour lui demander :

« Tu veux que je continue à te branler, mon chéri ?

« Oui ! Oui…Et toi tu veux ?

« Non, moi, laisse-moi, j’ai trop joui…Je vais m’amuser à me caresser un peu toute seule en regardant le film… »

Je m’installai alors commodément, avançant mes fesses jusqu’au bord du fauteuil et relevant carrément ma robe jusqu’au nombril…J’ouvris bien largement mes cuisses…

Mon voisin comprit tout de suite ce que je voulais…Sa main gauche qui n’avait pas quitté ma cuisse, alla gentiment se poser sur ma vulve baveuse et brûlante pour s’y livrer à une caresse qui enflamma de nouveau mes sens…

-        Bien entendu, toi tu as recommencé à le branler, ce qui fait que tu avais une queue à chaque main, sans que Bob ne s’aperçoive de rien.

-        Ç’est surtout ça qui m’excitait formidablement…Je t’assure que c’était tellement fantastique, énorme, que je ne pourrai jamais le décrire…Les mots sont trop faibles…

-        Nous te comprenons tout de même un peu, ma chérie !

-        Et quand il a joui !!! Si vous aviez vu ce que ça a giclé ! Jusque sur les cheveux de la fille qui était placé sur le fauteuil situé devant le sien…

Nous avons discuté encore longtemps…Après Nicky, ce fut mon tour de faire de nouvelles confidences, puis ce fut Esther, puis encore Nicky…Il faut reconnaître qu’elle nous enterrait tous sur ce chapitre, et de très loin…

Ses aventures étaient réellement sensationnelles. Tellement, que j’en arrivais à douter de leur réalité…

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Lundi 9 janvier 1 09 /01 /Jan 23:17

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De vers pour vous je ne veux point

Tant vous m'excitez au plus haut point

Je veux pouvoir avec vous dire sans barrières

Toutes ces choses sur votre derrière

Qui inexorablement m'attire

Et ne vous en déplaise je vous tire

Et décharge dans votre chatte transformée en outre

Des litres et des litres de mon foutre

 

 

 

De mes doigts et de ma langue

Écarter vos fesses

Pour vous prouver sans faire de prouesses

Que ma queue vers vous se dresse

Que mon intérêt sans cesse progresse

Et que dans votre cul je l'enfonce et qu'elle vous blesse

Sachant que douleur et plaisir chez vous se rejoignent

À chaque fois que je vous empoigne

Faisant couler votre chatte dans ma bouche et sur ma langue

 

Peter

 

 

 

 

 

 

Pourquoi ne feriez-vous pas de ces vers

Un billet exaltant mes désirs pervers ?

A l'idée que votre queue se dresse,

Prête à défoncer sans tendresse mes fesses,

Je me sens remplie d'ivresse et je mouille

En sentant contre moi battre vos couilles.

Par vous je veux être enculée, cravachée, bafouée,

De me faire baiser et comme un cadeau, être partagée.

 

Votre cul adoré

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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