Mardi 31 janvier 2 31 /01 /Jan 16:03

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Oui. Sur le canapé, la petite gigotait comme une folle. On l’avait un peu oubliée. « Attends, dit Angelo, je vais m’occuper d’elle. Toi, continue avec ta main ». Il se met à genoux devant elle et commence à la sucer, et moi je le serrais dans ma main et je le…je le branlais, est-ce qu’on peut utiliser ce mot là avec vous Madame Lise ?

-         Bien sûr, dit Lise qui commence à sentir son string devenir vraiment mouillé entre les jambes, et cette fois ce n’est plus de la sueur.

-         Mais, tout en le branlant je regardais Angelo et sa langue qui passait dans la fente, qui entrait, ressortait, ça me faisait penser à la mienne quand il me suce. Parce qu’il suce bien, le salaud, vous pouvez pas savoir, Madame Lise…

-         Et je le regrette, murmure Lise, sincère.

-         Mais quand même, les hommes, ça ne sait pas tout. Il lui fait l’amour avec sa langue, comme si c’était avec…

-         Avec sa queue, dit Lise, nonchalante.

-         Oui, et de temps en temps il lui mordillait le bouton. Mais moi je savais qu’il aurait dû lui passer la langue tout le long de la fente à grandes lampées, parce que c’est encore ça qui fait le plus de plaisir, ce n’est pas vrai ?

-         C’est vrai.

-         La fille se tortillait sur le canapé, gémissait. Et tout d’un coup j’ai eu envie de m’en mêler, vous savez, comme quand on a envie de faire un travail soi-même parce qu’on aime le bel ouvrage. J’ai poussé Angelo de côté, j’ai pris sa place, à genoux devant la fille et je me suis mise à la sucer, comme j’aime qu’on me le fasse. Et, en même temps, j’ai relevé les bras pour lui caresser les seins, tout doucement d’abord, puis en serrant de plus en plus, comme ça, vous sentez, vous sentez ?

-         Oh oui, souffle Lise qui se laisse aller en arrière sur les coussins, les yeux fermés ; elle est passionnante, votre histoire, Amanda. Et ensuite ?

-         Ensuite, Angelo s’est mis derrière moi, et il m’a prise comme ça. C’était terrible quand il est entré, j’ai cru que j’allais, je ne sais pas, m’évanouir peut-être. Mais j’ai tenu bon, je ne voulais pas jouir avant eux. Il avait refermé ses bras autour de moi et il me caressait les seins, il ; me donnait des grands coups jusqu’au fond de mon ventre ; parfois il ressortait presque entièrement et, pour revenir, il devait de nouveau écarter mes lèvres et j’étais chaque fois ouverte et pénétrée comme si c’était la première fois. Et puis j’ai senti la fille se raidir sous mes lèvres, ses cuisses se sont serrées autour de ma tête. Je l’ai entendue crier : «  J’arrive, j’arrive !!! » et je me suis aperçue que c’était la première fois que j’entendais sa voix, et ça ne devait même pas être sa voix habituelle, n’est-ce pas, dans ces circonstances…

   La voix d’Amanda a encore baissé d’un ton et set si rauque qu’on la dirait enrhumée.

-         Moi, je n’en pouvais plus, j’ai joui, comme une folle, comme jamais, je me plantais sur la queue d’Angelo une fois, deux fois, dix fois, je croyais que ça ne finirait jamais et il s’agitait dans moi pour arriver au bout et la fille hurlait maintenant, sa fente écrasée sur ma bouche et son bouton tout dur tressaillait. Finalement, Angelo a poussé un grognement terrible, il m’a serré les seins à me faire mal et j’ai senti son jus chaud qui me coulait dans la chatte et entre les cuisses…Ah !!!Madame Lise !!!Comme c’est bon de vous raconter tout ça, ça me rend toute chose…

-         Moi aussi, murmure Lise ; et vous racontez très bien, Amanda. Et après, qu’est-ce qui s’est passé ?

 

-        Angelo m’a demandé d’aller dîner au restaurant avec eux, mais j’ai refusé. J’avais bien trop honte. Avec cette roulée, cette…

-        Pourtant vous avez eu du plaisir ? insiste Lise.

-        Elle a glissé une main sur son ventre, là où elle se sent gonflée et chaude de désir. Mais elle ne sait pas bien ce qu’elle désire.

-        Justement, dit Amanda, c’est de ça que j’avais honte : d’avoir pris du plaisir avec une femme !

   Lise la trouve étonnamment belle, toute émue par son récit, ses longs cheveux défaits, la poitrine haletante.

-        Au fond, pourquoi pas ? demande Lise, à mi-voix ; pourquoi les femmes ne prendraient-elles pas leur plaisir ensemble ? Moi, vous me faites plaisir aussi quand vous me caressez…comme ça…

   Elle place la main D’Amanda sur ses seins et la sienne va chercher sous le corsage le téton durci de l’Italienne.

-        C’est tellement doux, un sein de femme, souffle Lise.

   Elle le sent palpiter sous sa main. C’est émouvant, un peu comme un sexe d’homme, aussi fragile mais plus tendre, moins mystérieux, plus rassurant.

-        C’est vrai que c’est bon dit Amanda d’une voix de plus en plus rauque ; j’ai envie…envie de sentir votre main…sur ma peau…Je peux ?

   Et sans attendre la réponse de Lise, elle déboutonne son corsage, dégrafe son soutien-gorge. Les seins jaillissent, énormes. Lise les regarde, fascinée. Ils sont gros comme des melons, plus arrondis vers le bas que vers le haut où leur attache se joint en pente insensible à la gorge et aux aisselles ; si fermes que c’est à peine si une mince ligne noire vient souligner leur base. L’auréole est très large, rose et toute lisse, prolongée par une pointe rose, elle aussi, qui semble remarquablement longue. Lise ne peut résister au désir de la prendre dans sa bouche, de faire fléchir sous sa langue cette pointe apparemment si dure. Amanda soupire, gémit, pose la main sur le ventre de Lise, la glisse sous l’élastique du slip minuscule, ses doigts arrivent à la limite du pubis, s’emmêlent dans les poils blonds.

-        Ah ! Vous êtes toute douce, toute soyeuse, c’est comme vos cheveux. Moi on dirait une crinière, regardez…

   Elle trousse sa jupe jusqu’à la taille, écarte les cuisses. Elle est plus grasse que Lise, sa peau est plus blanche, un peu moite. Sous le slip blanc, étonnamment renflé par le mont de Vénus proéminent, des touffes de poils noirs et frisés jaillissent de partout. Du bout des doigts, Lise caresse la peau satinée et sent son ventre se contracter.

-        Montre, murmure-t-elle, montre ta crinière.

   D’un geste, Amanda enlève son slip, et reste là debout, le visage en feu, les yeux fixés sur le ventre de Lise qui comprend et se met nue en deux mouvements.

-        Oui, dit-elle, une vraie crinière, viens un peu plus près…

   Elle empoigne la masse touffue, y plante ses doigts. Amanda frissonne, ferme les yeux, s’écarte davantage. Les poils découvrent peu à peu, les grandes lèvres roses, pulpeuses qui s’ouvrent sur la fente rouge sang. Les doigts de Lise y glissent, s’enfoncent parmi les chairs humides et brûlantes. Amanda pousse un soupir rauque, se laisse tomber à genoux devant Lise, avance la tête, un bout de langue pointant entre les lèvres. Lise la laisse ainsi un instant. Elle savoure le spectacle insolite et gracieux de la tête noire prosternée, des cheveux interminables qui ruissellent sur le corps blanc, le regard presque implorant qu’Amanda lève sur elle, plein d’une prière silencieuse. Lentement, Lise écarte les cuisses, puis, des deux mains ouvre sa fente.

-        Oh ! C’est beau, souffle Amanda

 

 Puis elle se jette sur le fruit offert et aussitôt, Lise se sent perdre la tête. Les lèvres d’Amanda l’avalent, la vident, son sexe est si violemment aspiré qu’elle ne sait plus, soudain, où il finit et où  commence la bouche de l’Italienne dont la langue la fouille sur toute la longueur de sa fente. Ouiiii…Amanda sait ce qui fait plaisir à une femme…  « Mais moi aussi ! »

-        Viens ! balbutie Lise d’une voix haletante ; viens sur moi…

   Amanda grimpe sur le canapé, enjambe Lise, se place au-dessus de sa tête, cuisses béantes. Son grand corps blanc et dodu surplombe le corps élancé et hâlé ; ses seins pendant au-dessus du ventre plat. Lise les saisit, les soupèse. Amanda en fait autant. Puis, comme si elles s’étaient concertées, elles entament en même temps leur baiser. Lise sent à nouveau la langue d’Amanda qui la pénètre. Elle tend la sienne et l’enfonce dans le sexe ouvert qui se colle à ses lèvres. Un goût âcre, un peu acide lui remplit la bouche, un parfum l’étourdit. « Est-ce qu’elle se parfume toujours ou est-ce aujourd’hui, pour moi ? »

   Puis elle ne pense plus, elle se soude au sexe qui s’écrase contre elle, des dents, des lèvres, de la langue, trouve la petite aspérité dure qu’elle engloutit avec délices. Car, au même moment, Amanda prend dans sa bouche le clitoris de Lise et le suce, comme jamais Lise n’a été sucée. Et c’est en même temps qu’elles se contractent, une fois, puis une autre, plus violemment, c’est en même temps que leur double gémissement monte dans la pièce, devient un cri saccadé, rauque chez l’une, aigu chez l’autre, en même temps que leurs cuisses se referment autour de leur tête, en même temps qu’elles jouissent, longuement, à petites secousses lancinantes. Lise sent le parfum se faire plus fort, le goût plus acide, un liquide onctueux glisse entre ses lèvres. Mais elle n’éprouve aucun dégoût, au contraire, car elle sait qu’en même temps, son sexe laisse, lui aussi, couler sa liqueur dans la bouche d’Amanda.

   Elles demeurent ainsi, longtemps, enlacées, tête- bêche. Lise s’ébroue la première, se redresse, Amanda s’écarte, la tête basse, les yeux clos. Lise la prend contre elle, la serre dans ses bras.

-        Tu racontes de bien jolies histoires, Amanda, et avec les gestes encore ! Mais je ne comprends vraiment pas pourquoi tu étais si fâchée contre Angelo, ni si honteuse devant la petite.

   Amanda sourit, se presse un peu plus contre Lise. Sa voix est plus grave que jamais.

-        Oh ! Mais je n’aurai plus honte, désormais. C’est trop bon !!!

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Lundi 30 janvier 1 30 /01 /Jan 18:57

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         Bonjour,  Madame Lise, dit Amanda en ouvrant la porte ; j’étais justement en train de tout préparer pour vous.

   La couturière prononce  « Bonnejourr » et sa belle voix grave d’Italienne, semble monter du fond de sa gorge. Lise ne l’entend jamais sans ressentir un picotement dans le dos. Elle va chez sa couturière pour se faire faire des robes, bien sûr, mais aussi, comme d’autres vont chez la masseuse, pour de détendre, s’abandonner. Pour se sentir une autre. Amanda est une fée qui la transforme en toutes sortes de personnages fabuleux. A l’aide d’une coupe de tissu qu’elle drape autour de Lise, elle fait apparaître dans le grand miroir à trois faces, tantôt une matrone romaine, tantôt une Merveilleuse du Directoire, tantôt une Schéhérazade en personne.

-         Comme ça vous va bien, Madame Lise ! S’est-elle écriée la semaine dernière avec un enthousiasme communicatif ; vous avez le ventre parfait, avec un nombril haut placé. C’est exactement ce qu’il faut. Pourquoi ne vous faites pas faire une de ces robes à la mode cette année, qui laissent le ventre nu ? Je vous ferais une jupe longue à volants – tenez, comme ça – et un petit boléro pour couvrir les seins.

   Elle avait joint le geste à la parole et Lise n’avait pas résisté. Elle avait commandé la robe, cette robe qui est là, maintenant, sur le mannequin d’osier, prête à être essayée.

-         ça a l’air bien joli, Amanda, dit Lise en entrant. Mais laissez-moi souffler un peu avant l’essayage. Il fait une chaleur !

-         Bien sûr mon petit. Mais vous êtes toute en sueur ! Otez donc votre robe, vous serez mieux…

   En slip et soutien-gorge, Lise s’est affalée sur le canapé de velours, les bras en croix, les cuisses écartées. Dans la pénombre de l’appartement aux persiennes closes, elle savoure la fraîcheur de l’évaporation sur sa peau moite.

-         Alors Amanda ? demande-t-elle ; ça va bien ? Où en sont les affaires de cœur ?

-         Oh, Madame Lise, c’est terrible, je ne veux plus le voir.

-         Qu’est-ce qu’il a encore fait ?

-         Je ne sais pas si j’oserai vous le raconter, dit Amanda, pour la forme, en prenant la main de Lise dont elle caresse légèrement les doigts ; vous êtes si délicate ! Une vraie fleur…

-         Moi, vous savez, je peux tout entendre.

-         Eh bien voilà : l’autre soir, il est arrivé avec une petite, je ne sais pas trop où il l’avait ramassée, un traînée, une…

-         Et vous l’avez laissée entrer ?

-         Je n’ai pas compris tout de suite. Et puis j’étais trop contente de le voir, lui. Alors je me suis dit qu’il m’amenait une cliente et que, quand elle serait partie, on ferait l’amour. J’ai décidé de l’expédier au plus vite. Il fallait d’abord prendre ses mesures. Elle n’avait rien sous sa robe, juste un tout petit string, pas de soutien-gorge. Et Angelo qui était là, à regarder. Quand j’ai mesuré son tour de poitrine, il lui a mis les mains sous les seins pour les redresser, en disant : « Il faut que tu mesures comme ça, autrement ce sera trop étroit quand elle portera un soutien-gorge. – Espèce de cochon, je lui ai dit, tu n’as pas honte de la tripoter comme ça ? » Mais, elle, la petite salope, elle ne disait rien. Alors il me répond : «  Fais-le toi-même, si ça te fâche. Je prendrai le centimètre ». Et pendant que je lui tenais les deux seins – tenez, comme ça, vous voyez, Madame Lise, que je vous montre – il est arrivé par derrière et il m’a mis une main sur le sein et l’autre…enfin vous me comprenez, Madame Lise, entre femmes…Il faut vous dire, moi, les caresses sur les seins ça me rend folle. Il a pris une pointe entre le pouce et l’index et il serrait doucement en tournant un peu, comme ça…vous sentez, Madame Lise, malgré votre soutien-gorge ?

-         Oui, je sens très bien, dit Lise, qui commençait à s’amuser beaucoup.

   Elle adore les histoires de cœur que la belle Italienne lui raconte souvent avec un mélange de verdeur et de naïveté qui l’enchante. Et elle ne déteste pas les gestes tantôt hardis, tantôt timides, dont Amanda accompagne ses récits…Timides ? Ou n’est-ce qu’un jeu ? La voilà qui hésite, ses grands yeux noirs interrogent Lise avec une sorte de crainte, ses mains s’écartent des seins qui durcissaient déjà.

-         Mais je vous ennuie peut-être, Madame Lise, avec mes histoires ?

-         Pas du tout Amanda. Et n’enlevez pas votre main. Moi aussi j’adore ça. Mais il ne faut pas seulement pincer. Il faut passer la paume sur les pointes, doucement…Oui, comme ça, c’est exquis.

-         Ah, vous êtes bien comme moi ! dit Amanda dont les joues rosissent ; dès qu’on me touche là, dès qu’on me caresse comme ça, je perds la tête. C’est à cause de ça…que tout est arrivé, l’autre jour…

-         Tout quoi ? demande Lise, les yeux mi-clos.

 

         Eh bien, Angelo donc me caressait les seins, comme je vous fais. Et, machinalement, je me suis mis à faire la même chose à la petite, à lui palper les pointes qui sont devenues dures. Et le cochon, pendant ce temps, il avait soulevé ma jupe et il avait glissé sa main entre mes cuisses, et un doigt…enfin, vous comprenez…J’étais toute mouillée et il m’est venu comme une envie d’embrasser. Je ne sais pas comment, je me suis trouvée avec un téton de la fille dans la bouche. Ça avait l’air de lui plaire beaucoup, elle poussait des petits cris, elle serrait ma main contre elle, elle se trémoussait comme une anguille. Un petit bout de chou de rien du tout, j’aurais pu lui manger la soupe sur la tête ; des tâches de rousseur partout, jusque sur les seins, et les cheveux coupés courts, comme un garçon…Ce n’est pas comme vous Madame Lise. Vous avez des cheveux magnifiques. Vous êtes une vraie femme, vous ! Je peux les toucher ?

-         Mais bien sûr Amanda.

   Amanda se met à caresser les cheveux de Lise, enfonce les doigts entre les mèches blondes et ondulées, lui masse légèrement le crâne.

-         Vous aussi, Amanda, vous avez de beaux cheveux, dit Lise ; jusqu’où vous arrivent-ils ?

-         Vous ne devineriez jamais ! répond fièrement Amanda, en levant les mains vers son énorme chignon, noir et parfaitement lisse.

   Dans ce mouvement, ses seins se redressent et pointent triomphalement à la hauteur du visage de Lise qui pense : « Elles ont des poitrines étonnantes ces Italiennes ! ». Mais son attention est détournée par le flot de cheveux qui se déroule, ruisselle, couvre la poitrine, retombe jusqu’aux cuisses.

-         Vous voyez dit Amanda, je pourrais m’asseoir dessus !

-         C’est incroyable, murmure Lise en passant elle aussi ses doigts à travers les mèches interminables et soyeuses.

-         C’est bon, souffle Amanda en fermant les yeux à demi et en devenant un peu plus rouge.

   La main, toujours posée sur les seins de Lise se crispe.

-         Et alors, cette petite ? demande Lise qui ne veut rien perdre de l’histoire.

-         Cette petite, répète Amanda d’une voix qui a baissé d’un ton ; oh ! Cette petite ? Il n’y avait rien du tout ! Je ne sais pas comment cela peut plaire à un homme. Pas de cheveux, les seins non plus pas bien gros, formés, solides, mais pas de quoi remplir la main. Mais sensibles ! Pendant que ma langue lui taquinait les pointes, elle s’était mise à gémir, elle était presque renversée en arrière. Alors Angelo nous a poussées toutes les deux vers le canapé, là où nous sommes maintenant, il avait toujours sa main entre mes cuisses et son doigt enfoncé, et de l’autre main il a arraché le slip de la fille. Le tissu est venu tout seul, c’était moins que rien. Il m’a lâchée, je me suis sentie toute vide, mais la petite a tout de suite mis sa main à la place de celle d’Angelo. Ça m’a fait un drôle d’effet d’être touchée là par une femme, mais c’était bon. Même, elle bougeait ses doigts mieux que lui, plus doucement, et habile avec ça…Je ne sais pas comment elle faisait, mais elle réussissait, avec une seule main, à me caresser en même temps à l’intérieur et sur le bouton…Mais vous êtes sûre que je ne vous ennuie pas ?

-         Vous savez bien que non, Amanda, murmure Lise, avec un petit sourire malicieux, et alors ?

-         Alors, Angelo a ouvert les jambes de la petite, juste devant moi, sous mon nez pour ainsi dire. Et il m’a dit : « Suce-la ».Moi, je n’avais pas très envie. Je n’avais jamais vu une femme d’aussi près ; ça me rendait toute drôle.  « Tu n’as pas envie ? Alors c’est moi que tu vas sucer ». Et il s’est déboutonné, il a sorti son truc énorme, tout gonflé, déjà décalotté, le salaud, vous pensez, ça faisait un bout de temps qu’il nous regardait et qu’il me tripotait. Je l’ai pris dans ma bouche, ça j’ai l’habitude, et j’aime. C’était bon, un peu salé, ça me remplissait presque jusque dans la gorge. J’avais une envie folle de le faire jouir, j’aime quand ça vient, quand ça jaillit dans ma gorge, tout chaud…Mais qu’est-ce que je vous raconte, moi !

-         Des choses très intéressantes, dit Lise d’une voix un peu rauque ; continuez Amanda.

-         Oui, je sens que ça vous intéresse vraiment, dit Amanda en serrant une pointe de sein entre deux doigts ; et ça me rend bien heureuse, Madame Lise…Mais où en étais-je ?

 

A suivre

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Samedi 28 janvier 6 28 /01 /Jan 17:52

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Merci Maître de ces photos qui alimentent mes plaisirs, dommage que le visage de Sophie soit souvent masqué, même son regard me trouble comme si elle me regardait en train de me caresser en étant excitée de son corps dont je n'ose imaginer ce qu'elle en faisait.
Je suppose qu'elle doit aimer que l'on jouisse en la regardant, avec moi elle doit être satisfaite lol.
Tu peux encore m'en envoyer. Est-ce toi qui la photographiais ?
Que j'aimerais embrasser sa chatte qu'elle montre sans pudeur.
J'attends la suite avec impatience.
Ta putain.

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Samedi 28 janvier 6 28 /01 /Jan 17:25

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Mon Maître,
Merci de me considérer comme ta "pute chérie", je craignais qu'à tes yeux je ne puisse rester ta chérie lorsque, mon éducation terminée et devenant putain tu ne me garderai plus dans ton affection.
J'ai conscience des étapes que tu me souhaites voir franchir, notamment que je me dévoile.
Tu sais, mais je préfère aussi le faire savoir à tes lecteurs (et lectrices...)les angoisses qu'il m'a fallu surmonter pour que j'admette mes penchants et encore plus de les reconnaître publiquement.
C'est maintenant chose faite et je n'ai aucune difficulté à me reconnaître comme une salope, une putain.
J'ai même du plaisir à faire savoir que je suis une femme qui recherche à se faire enculer dans la posture de la soumise qui tend sa croupe à tous. mais n'est-ce pas la moindre des choses pour une putain ?
Des étapes qu'ils me restent à franchir, celle de mes photos n'est pas la moindre. Il est pour moi plus facile de me faire baiser lors de rencontre que d'envoyer des photos. laisse moi encore un peu de temps et je surmonterai cette peur.
Les exemples que tu me montres feront petit à petit leur effet et viendra surement le moment où tu pourras me montrer sur ton blog.
Ta putain.

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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Jeudi 26 janvier 4 26 /01 /Jan 19:39

Si Paule progresse de jour en jour et qu'elle commence à assumer ses fantasmes

Sachez vous qui me lisez qu'ele aussi me fait bien fantasmer

Une fois son éducation terminée, ces fantasmes seront réalité

Baisers Paule

 

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Oui Maître, je suis ta soumise.
En tout et pour tout tu me guides pour que mes fantasmes deviennent notre réalité, et qu'ainsi l'album photo que tu m'as dédié s'enrichisse de ma dépravation mise à ton service.
Rien n'est jamais acquis mais avec et pour toi je me sens intérieurement capable de réaliser ces fantasmes qui feront de moi la pute que tu souhaites que je devienne.
Cette pensée me fait mouiller et ne cesse de me causer des tourments que seules mes caresses apaisent.
J'ai en ce moment où je t'écris le plug que tu souhaitais que je commande en moi, dans mon cul.
Ce cul de putain qui accueillera les sexes de ceux à qui tu me demanderas de l'offrir pour qu'ils viennent y jouir.
Me livrer aux plaisirs des autres, les satisfaire et que je devienne dans la totale soumission à tes ordres celle qui ne refusera jamais rien.
Merci Maître.
Ta putain.

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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