Jeudi 1 décembre 4 01 /12 /Déc 19:11
Je ne l'attendais plus, lorsqu'elle s'est présentée
C'était une nouvelle "inconnue"
Mais tout de suite elle m'a plu
Tant je fus attendri par sa naïveté
C'est un trésor rare et caché
Qui petit à petit me dévoile son intimité
Chaque jour plus complices
Dans l'amour comme dans le vice
Je la sens enfin se détendre
J'ai envie de la prendre
Et remontant à sa source en parfait orpailleur
Je trouve ma pépite du Var
Qui m'offre son corps et son coeur
Et me désaltère de son divin nectar
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Voici ce qu'elle m'a écrit aujourd'hui
 
j'essaie de passer tout à l'heure
laisse moi une trace
demain je pars à Bordeaux jusqu'à lundi, mais tu pourras m'écrire, je reçois sur mon tel
penses-tu un peu à moi, comme je pense à toi
 
baisers doux de ton peter
 

Quelle trace de moi pourrais je te laisser qui fasse de moi la femme que tu fais éclore à la sensualité ?
L'humidité de mon entre jambe que tu sais si bien provoquer
la chaleur qui iradie mon corps à la pensée de tes mains sur mes seins, tes regards sur mes fesses, ta langue descendant mon sillon.
Je t'offrirai la vue de mon cul, à plat ventre j'écarterai mes fesses pour ne rien te cacher de mon cul que je voudrais te donner.
Et pourquoi ne pas découvrir et apprendre avec toi les vices qui hantent ton imagination pour vibrer au diapason de tes envies.
Je découvre que j'ai tant de choses à découvrir, ces choses qui pourraient me plaire tant la lecture des articles de ton blog parviennent à m'exciter à mon étonnement.
Etaient-elles comme moi au début ces amies dont peu à peu je deviens jalouse ? Moi qui ignorais avant de te rencontrer tous ces désirs qui étaient en moi.
Je voudrais tant que tu ne puisses te passer de moi je ne le peux depuis cet aprés midi où j'ai jouis comme je n'avais pas jouis depuis longtemps.
Mais quelle tristesse de te savoir  absent jusqu'à lundi alors que j'avais décommandé une sortie pour te retrouver longtemps samedi. tu vois où j'en suis !
J'essayerais de passer un peu ici de temps en temps pour te retrouver même si je suis plus libre en fin de soirée.
Je t'embrasse.

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Dimanche 27 novembre 7 27 /11 /Nov 15:19

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- Ne t’arrête pas. C’est bon, c’est trop bon.

 

Mes jambes se détendent violemment. Ma jouissance, mon plaisir explose dans ma tête, dans mon ventre. Brusquement, ses mouvements deviennent plus amples et plus puissants. Sa matraque me malmène la chatte. Il se crispe. Je le sens venir en moi. Son sexe m’envahit de ses spasmes annonceurs de sa jouissance proche. Mon ventre s’ouvre, s’offre encore plus à son plaisir. J’ai envie qu’il soit bien dans mon ventre. Bloqué au fond de mon sexe, il se met à jouir de longs flots de sperme. Il va me perforer, me fendre en deux… Son sexe va sortir de l’autre côté de moi… Quelques derniers coups de reins et je sens les derniers spasmes de sa jouissance. Il reste au plus profond de moi. Je me fais l’impression d’être un vulgaire poulet, embrochée de part en part… Mais que c’est bon, cette sensation d’être qu’une femelle lubrique… une femme aimée et désirée… Une femme comme je n’ai pas été depuis bien longtemps. Nous reprenons lentement nos esprits. Ahmed est toujours planté au fond de mon ventre. Je suis bien, béate de plaisir et de bonheur. Mon ventre irradie de bonheur. Une sensation curieuse me parcourt le ventre.

 

  • — ­ Ahmed, non, ne me dis pas que…
  • — ­ Si, j’ai encore envie !

 

- Tu es un monstre…

 

La queue d’Ahmed, en effet, palpite de nouveau dans mon sexe à peine repu. Elle reprend de la vigueur. Il se dégage de moi et s’allonge comme moi sur le côté, me caressant doucement les seins de sa main droite. Je sens sa grosse queue poisseuse de sperme reposer, puis battre contre ma fesse. Mon sexe baille et se vide entre mes cuisses d’une grande quantité de sperme…

 

Il me caresse et je me laisse faire. Une de ses mains joue avec mes seins et surtout mes tétons encore légèrement douloureux. L’autre court sur mon ventre encore douloureux, mais si repu, si bien. Mais mon Dieu que c’est bon !! Je me suis totalement béate. Je pense au bien être de mon corps repu de sexe. Je n’en reviens pas. Je suis redevenue femme ce soir, grâce à cet Africain qui est là derrière moi, calé en petite cuillère. Il a de nouveau envie de moi. Sa Bête bat contre mes fesses, cette bête qui se relève tout doucement. J’ai envie qu’elle me fasse encore l’amour, j’ai encore envie d’elle.

 

Sa tête est penchée dans mon cou. Son souffle léger provoque chez moi des frissons. J’ai la chair de poule sur les cuisses. Il en joue. Il m’embrasse dans le cou. Je me laisse partir dans cet instant de béatitude. Ses bras autour de mon torse me serrent contre lui. Ses mains jouent de nouveau avec mes seins. Ils sont aussi volumineux et aussi sensibles que pendant mes grossesses. Mes tétons sortent comme de petits sexes au milieu de mes aréoles granuleuses. Une de ses main posée sur mon ventre est descendue vers mon mont de vénus. Un doigt fureteur s’insinue dans ma chatte. Je n’ai aucun geste de recul, ni de défense. Bien au contraire, je facilite la progression de l’intrus en ouvrant mes cuisses.

 

Depuis mon orgasme, je suis entièrement disponible. Ma main passe dans mon dos et attrape le bâton de chair. Il est tout poisseux de nos sécrétions. Mon contact lui fait de l’effet. Son pénis saute dans ma main. Je l’empoigne et commence à le masturber doucement. Ma main enregistre un gonflement de l’objet. Il grandit et grossit instantanément. C’est une merveille, cette chose là. Il suffit de demander pour être servie… J’ai le sentiment qu’elle ne va pas s’arrêter d’enfler. Sa longueur et son diamètre m’impressionne. Ahmed est réellement monté comme un âne ! Il pose sa main sur mon épaule et me pousse gentiment. Je bascule à plat ventre. Mes cuisses s’ouvrent d’elles-même. Je lâche sa matraque pour placer mes mains à la hauteur de ma tête.

 

Vu la position qu’Ahmed me fait prendre, je me doute de ce qui va m’arriver. Je n’ai pas de crainte, une simple appréhension. Je m’attends à une douce violence. Le sexe d’Ahmed est au garde à vous, coincé entre mes fesses J’aime bien ce contact. Pourtant il revient sur mon coté. Sa main me flatte les fesses. Un doigt passe et repasse entre mes globes jumeaux. Il s’approche de mon cratère le plus secret. Jamais personne n’a osé s’aventurer dans cette région interdite de mon corps. Jamais personne n’a essayé de profiter de ce puits secret. La pulpe du majeur entre en contact avec la pastille fripée. Le toucher très doux m’est agréable. Mais il continue sa course pour finir dans un sexe.

 

J’ai honte. Mon sexe dégouline, bave, se vide un peu. Le majeur entre en moi et ressort humide et gluant. Ce doigt poisseux et odorant remonte vers mes fesses. Je vois où il veut en venir et je me tais. Je sens le doigt se poser sur mon petit trou et à le masser doucement. Je suis consentante. Je sais ce qu’il veut et malgré la crainte de la douleur et la honte de cette pratique, je m’offre, la tête posée sur le lit. Le doigt continue son doux et lent massage un moment et puis fermement me perfore l’anneau musclé. Je pousse un petit cri d’animal. Mais aussitôt, il ressort laissant un vide et reprend son manège infernal. Vraiment, Ahmed est un expert en la matière. Il va-et-vient dans mon anus, sort son doigt pour l’enduire de nos sécrétions, l’enfonce de nouveau profondément.

 

Quelques minutes d’une telle action me travaillent. Ce contact, cette pratique que je redoute tant me fait envie maintenant. Ahmed se penche vers mon anus. J’ai honte. Il va voir mon trou du cul comme je ne l’ai jamais montré. Une fraîcheur subite me fait serrer les fesses. Il vient de saliver directement dans mon petit trou et immédiatement y enfonce deux doigts entiers. Il pousse, il tourne, il fouille au plus profond de mon cul offert. Je pousse des gémissements. Ahmed retire brutalement sa main. Pendant un court instant, je suis vide. Je n’ai plus rien, ni dans la chatte ni dans le cul.

 

Ahmed se met à genoux. Il passe son bras sous mon ventre et me soulève. J’ai compris. Je m’installe à genoux, les fesses en l’air. Je n’ai pas d’hésitation, je ne discute pas, j’obéis. Son sexe me bat entre les fesses. Ses mains se placent de part et d’autre et saisissent la partie charnue de chacun de mes globes. Il les écartent doucement. Je pense que mon œillet brun et fripé, ne devient point de mire du regard lubrique d’Ahmed. Il a un accès libre à l’objet de ses convoitises. Mon anus est ainsi dégagé et prêt à subir ses assaut. Mais je ne veux pas subir. Je prends doucement son pal et le dirige vers le centre de mon cul.

 

J’ai un peu peur et je ne veux pas qu’il m’éventre. Je ne vais pas lui laisser l’initiative. Je vais m’enculer sur son gros machin tout en douceur Je l’attire à moi, il se rapproche. Je le sens bien obéissant. Après tout, c’est moi qui accepte la sodomie alors, il me laisse carte blanche. Ma main presse sa queue. Je pose l’extrémité de son gland sur ma rosette. J’entreprends de m’enfiler dans l’anus le gland au début. L’intromission commence. Tout d’abord, le gland est très gros. Il y a une telle différence de taille entre son gland et ma rondelle. N’a aucun rapport de volume avec mon anus. Jamais cela ne rentrera, malgré le mélange de ma mouille et de son sperme mêlé qui enduit ma muqueuse anale. Je présente à tâtons, le bout de son gland sur le centre de mon cratère. Je recule mon cul vers ce pal tendu et je pousse sur mon sphincter pour m’ouvrir. Ahmed me guide et me conseille :

 

- Pousse comme si tu allais à la selle…

 

Je voudrais bien le voir à ma place… Je sens la chaleur de sa queue contre mon anneau. La lubrification aidant, il glisse et entre en moi. Curieusement, le début se déroule plus facilement que prévu. Le gland se décalotte et entre sans coup férir d’un seul trait. Je me sens me dilater de plus en plus. Je suis inquiète. Je me retourne et, par dessus mon épaule, je lui jette un regard apeuré. J’ai peur qu’il me fasse mal. Il s’arrête et me demande :

 

- Ca va ? Je ne te fais pas trop mal ?

- Non, mais va doucement… Et j’espère que tu vas me faire du bien…

 

Il ne bouge plus. Il laisse le temps à mon sphincter se dilater. Mon cul se dilate comme par enchantement. D’un petit coup de rein, je lui fais comprendre qu’il peut continuer à me pénétrer. Doucement, il pousse, sans cesse et sans aucun arrêt. Inexorablement et surtout sans aucune brutalité, sans forcer sur ma rondelle, son sexe avance, dilate, perfore mon cul. Ses mains, crochetées sur mes fesses, m’ouvrent l’anus facilitant ainsi le viol (comme si c’était un viol !) Mes mains appuyées contre la tête de lit, les fesses écartelées par les mains puissantes d’Ahmed, je suis sa prisonnière. Il me pénètre inexorablement.

 

Je pousse, lui aussi, nous poussons tous les deux pour la réussite de notre entreprise. Je m’ouvre, il entre… Violée consentante, j’éprouve un délicieux sentiment de plaisir à être forcée. Je suis en train de subir le pire des supplices, celui du pal et j’y prends un certain plaisir. Mais je constate, preuves à l’appui que le supplice peut aussi être un délice. Je me fais empaler et je trouve cela bon et agréable… Il pousse toujours et, bonne élève, je l’aide de toutes mes forces. Je ne vois pas où il en est dans mon enculage. Je tourne la tête et constate, outrée, notre reflet dans la glace fixée au mur. Je vois aussi, non sans une certaine crainte que le sexe monumental d’Ahmed est loin d’être totalement entré dans mon fondement. Il pousse toujours doucement, enfiché qu’il est dans mon cul. Une question me vient soudainement : comment un petit cul comme le mien va-t-il pouvoir absorber un tel morceau ? Et cela n’est pas fini, vu qu’il en reste un bon bout en dehors. Voyant mon regard dans la glace, il s’enquière de ma condition :

 

  • — ­ Ça va toujours ?

 

- Oui, bien sûr, mais tu es tellement énorme que je me demande si je vais pouvoir tout avaler ce que tu me proposes…

- Ça te plaît ?

 

  • — ­ C’est bon, fort, très fort, mais délicieux.

 

La lente, mais inexorable poussée continue jusqu’au moment où je sens le contact de ses couilles sur le bas de mes fesses. Cette fois, il est entré, tout entré. Il reste quelques instants, immobile, pour que ma rondelle accepte la dimension de son mandrin. Il est entré entièrement en moi ! Je n’aurais pas imaginé que je me ferais sodomiser un jour. Jamais je n’aurais cru que c’était physiologiquement possible. Jamais je ne pensais que j’aurais accepté cette relation, moi, une femme BCBG. Mais le constat est bel et bien là. Je me fais enculer en levrette sur le lit conjugal par un noir au sexe démesuré. Je sens son énorme sexe au plus profond de moi et j’y prends un certain plaisir. Et à ce moment, c’est moi qui commence à bouger mon cul. Lentement, j’entame une série de va-et-vient. Je m’empale à chaque fois au plus profond, et cela de plus en plus vite. Arc-boutée sur mes bras, je lui donne, je lui offre mes reins. Prenant appui sur moi, ses mains passent sous mon torse, il saisit mes gros seins blancs qui ballottent au rythme de ses assauts. À chaque poussée de mes fesses, ses couilles claquent sur mes fesses.

 

Pourtant, une poussée plus violente que les autres me fait tomber à plat ventre. Dans le mouvement, le braquemart gigantesque percute mon ventre. Je crie. Ahmed s’arrête de peur de me blesser. Je le retiens d’une main sur ses fesses et l’encourage à continuer d’un mouvement du bassin. Il me pilonne comme un forcené. Je me laisse faire. Il m’épingle comme un papillon. Je halète. J’ai soif. Ma bouche est sèche. Mais je suis fière et consciente de réaliser une grande première : ma première sodomie. Cela m’excite et me fait mouiller comme une malade. Ahmed n’hésite pas et ne se retient plus. Soudain, c’est comme un éclair d’orage, un orage des plus violents. Du fin fond de mon ventre, une boule a grossit, puis s’est enflée. Elle explose. Je rue des quatre fers pour qu’Ahmed me défonce, me pilonne. Je hurle, je crie :

 

  • — ­ Ahmed, continue, ne t’arrête pas, défonce-moi, enfonce ta queue en moi…

 

Je me mets à ruer des quatre fers comme pour amplifier la pénétration. Je pose mes mains sur mes fesses et les écarte. Je veux qu’il comprenne que je lui offre ma première sodomie, ma première enculade. Ahmed comprend et pilonne ce joli cul de femme blanche. Je suis heureuse, j’aime. Puis d’un seul coup, alors que le traitement que je subis me plaît plus que tout, sans savoir pourquoi, Ahmed sort lentement sa queue brillante de mon anus. Il écarte de nouveau mes fesses. Je me doute, car je sens la fraîcheur de l’air dans mon rectum, que mon anus est distendu, béant. Ahmed positionne de nouveau son sexe en face de mon anus et il s’y enfonça lentement, mais sans s’arrêter. Cela me sembla bizarre de sentir cet énorme sexe me perforer lentement le cul.

 

Depuis qu’il me sodomise une nouvelle fois, je cherche ma respiration. À croire que la place prise par son sexe, chasse l’air de mes poumons. Le plaisir de la pénétration se termine quand ses testicules viennent claquer sur mes fesses. Puis, sans cesser son mouvement, il se retire. Je crois qu’il va sortir de mon rectum, mais non, il laisse son gland dans mon anus. Il recommence sa pénétration ; les allers-retours se font sur un rythme lent, mais régulier. Doucement, la cadence s’accélère. Depuis la nouvelle pénétration, j’ai bloqué ma respiration. Je suis muette, et malgré ma bouche ouverte, je cherche de l’air, comme un poisson sur la berge d’un étang.

 

Les mouvements d’Ahmed déclenchent un nouvel orgasme anal. Je le sens venir, monter. Je gémis et, d’un seul coup, l’orgasme arrive, déferle. Je hurle de plaisir, lui demandant de me défoncer comme une putain. Je me conduis comme telle, comme une fille de mauvaise vie. Pour l’encourager dans son action, je donne des coups de reins en arrière pour accentuer de sa propre volonté son envie de se rouler dans la luxure. Il se retire encore, laissant un vide cruel dans mon ventre. Je lui dis de ne pas sortir, de me prendre encore. Pourtant, son sexe sort encore, puis encore. Son gland est au bord de ma rondelle, je serre mon cul pour le garder. Je me retourne vers lui et d’un regard suppliant lui dis :

 

- Reviens, entre encore, reviens fort, très fort…

 

Son regard se plante dans le mien et, sans rien dire, il pousse d’un seul coup son sexe au plus profond de mon cul, le tout d’une seule et unique poussée. La nouvelle intromission de son braquemart me submerge de bonheur. Ce sont comme des flashes certainement comparables à ceux que l’on obtient avec des drogues, douces ou dures. Je n’ai jamais essayé, mon reste d’éducation bourgeoise… Je crie. Il reste quelques secondes, plante son sexe en moi et repart. Je gémis, je supplie. Il donne un grand coup de reins et revient aussi vite, aussi loin, aussi fort. Ses coups de reins sont de plus en plus marqués. Le plaisir arrive à toute vitesse. Je le sens gonfler dans mon ventre. Il vient… Il est là.

 

Un coup de poignard me transperce les reins. Je suis immobile, comme paralysée. Mon corps n’est plus qu’un réceptacle à sexe et mon cerveau est incapable d’avoir d’autres pensées que pour le sexe et le plaisir qui en découle. Je hurle. Je m’arc-boute sous lui et m’offre ainsi encore plus. Il me perfore. Il entre et sort de moi sans aucun problème. Je le sens sortir parfois entièrement de mon cul, mais il y retourne d’un trait, comme si sa queue avait toujours connu le chemin. Plus rien ne fait obstacle à une entrée tonitruante. Mon cœur bat la chamade. Je manque d’air. J’arrête de crier pour prendre ma respiration. Il entre, sort, entre, sort. Ahmed est devenu une machine à me baiser, un mandrin qui me pilonne sans cesse. Moi, je ne suis plus qu’un trou, qu’un cul qui s’offre pour se faire enculer. Il m’encule pendant longtemps et pourtant cela dure trop peu. Je hurle toujours. Je n’en peux plus. Le plaisir fait place à la douleur. Mon sexe, mon anus, tout est douloureux de plaisir. Je n’en peux plus. Je lui crie :

 

  • — ­ Viens, vite… Donne-moi ta semence, donne-moi tout…

 

Ma demande le libère. Il se vide aussitôt. Son sperme s’écoule dans mon ventre. De longs jets, de longues saccades qui se déversent en moi. Une tornade de plaisir commence dans mes reins et s’achève dans mon cerveau. Mes sens sont exacerbés. Je ressens très exactement ce qu’il me fait subir. Ahmed se vide une nouvelle fois, mais en inondant mes entrailles. Plaisir différent, mais agréable, très agréable. Je m’écroule sur le lit. Ahmed se laisse choir sur moi. Il m’écrase, mais j’aime sentir sa force tranquille sur moi. Si mon corps a difficilement accepté son sexe, il ne veut plus le laisser partir. Je serre les fesses, contracte mon anus pour le garder en moi. Mais Ahmed n’en peut plus. Il débande. Malgré tous les efforts de mon sphincter dilaté, je ne peux empêcher le sexe d’Ahmed de me quitter. Je me vide de lui. Il bascule sur le côté près de moi.

 

Cette première expérience de sodomie a été fabuleuse. Ma bouche est trop sèche pour parler. Il m’embrasse. Il ruisselle de sueur.

 

- C’est bon, que c’est bon… Magnifique, exceptionnel, rare…

- C’est, tu ne peux pas savoir, c’est fort, très fort, trop fort… J’ai failli m’évanouir

 

  • — ­ Tu es super bonne… un vrai et très rare bon coup… ton petit cul très serré… un vrai cul de blanche… c’est délicieux…
  • — ­ Mais avec un très gros sexe de noir, c’est peut-être pour cela que c’est si bon…

 

- Tu es merveilleuse…

 

  • — ­ J’ai eu peur que tu me fasses mal. Tu as été merveilleux. Je n’avais jamais pratiqué, même avec Jérôme…

 

- Tu regrettes ?

- Bien sûr que non… Au contraire, j’ai hâte de recommencer…

 

  • — ­ Moi aussi, mais laisse-moi reprendre un peu de force et prépare-toi… Tu es trop excitante…

 

- Tu m’as tellement fait jouir par mon sexe que tu avais bien mérité de me sodomiser, moi, la petite blanche BCBG.

 

Je suis heureuse comme jamais je ne l’ai été. Mes yeux s’embuent. Je passe une main derrière sa nuque pour l’amener à moi. Il se penche vers moi et je l’embrasse goulûment. Je me sens dépendante de lui, comme reliée à lui par un cordon ombilical, ou plus exactement par son bâton de chair merveilleux. Je sens que, lui seul, saura me faire jouir. Je suis sa chose, son objet. Tout le reste de la journée, nous n’avons fait que dormir, manger et baiser. Jamais je n’ai fait cela avec Jérôme, même juste mariés.

 

Nous sommes sortis le soir pour admirer le feu d’artifice. Ahmed a exigé que je porte une jupe fendue. Assise auprès de lui sur la pelouse, il ne s’est pas gêné pour me caresser le sexe. Il avait aussi souhaité que je ne porte pas de soutien-gorge. Je lui ai obéi. C’est donc les fesses à l’air et les seins nus sous mon ensemble en jean’s que j’ai assisté à l’embrasement du ciel, un peu comme le mien en cette merveilleuse journée.

 

Nous sommes revenus à la maison. Ahmed voulait retourner à son hôtel. Mais je n’ai pas voulu. Je le voulais encore pour moi toute seule, je le voulais dans mon lit pour qu’il me fasse l’amour, pour qu’il m’encule, pour que je le suce. Je suis une vraie chienne… Dès notre entrée dans le hall de ma maison, je saute sur Ahmed. Je le pousse contre la porte d’entrée. Je me blottis dans ses bras. Je l’embrasse à pleine bouche. Je lui mange la langue. Il sait mon point faible. Ses lèvres se posent sur mon cou. Il m’embrasse et, aussitôt, je frissonne. Je deviens folle. Ses mains dézipent mon blouson. Expertes et brûlantes, elles happent mes seins dont les tétons sont instantanément durs et arrogants. Ils pointent au creux des paumes roses d’Ahmed. La caresse est délicieuse et horrible à la fois. Elle m’excite et me fait me tortiller comme un ver coupé.

 

Tout mon corps est là, prêt, ouvert, disponible. Je me laisse bercer, porter par cette vague qui naît dans mes reins. Ma tête tombe en arrière pour laisser les lèvres d’Ahmed parcourir mes seins. Il les dévore avec d’infinies précautions. Ils sont là, ronds et fermes, brûlants et durs. Mes tétons pointent sous sa bouche experte qui les suce, les enveloppe. Je ne peux résister. Des soupirs de plaisir sourdent de ma bouche. Mon blouson tombe au sol. Sa main trouve la fermeture de ma jupe. Je l’embrasse avec violence quand le zip de la fermeture déchire le silence de la nuit. Je suis nue. Je défais, un à un, les boutons de la chemise d’Ahmed. Je découvre son torse musclé et glabre. Mes mains le parcourent, le sentent, le caressent. Il sent bon, un parfum mêlé à sa propre odeur indéfinissable, mais excitante, un mâle en rut, suçotant mes seins généreux. Mes mains redécouvrent des gestes lointains et oubliés. Elles descendent vers son ventre, la ceinture de son pantalon. Une bosse déforme le tissu au niveau de sa braguette. Je la caresse doucement et tendrement. Sa main me saisit par les cheveux et me contraint à l’embrasser. Son souffle et le mien se mêlent, nos langues se mélangent. Il me soulève et me colle à mon tour contre la porte.

 

L’aluminium est froid contre mon dos. Son genou écarte mes cuisses sans aucune difficulté. Perchée sur mes talons hauts, son sexe se frotte contre mon pubis. Il se met à genoux. Je sens son souffle sur ma chatte. Les cuisses écartées, j’offre à sa langue mon clito gonflé et tout humide. Je suis en nage et très humide.

 

- Tu es toute trempée… Tu as envie…

- C’est de ta faute… Tu m’as obligée de me promener nue sous mes vêtements et tu m’as tripotée tout le temps du feu d’artifice… alors à toi de faire le pompier de service et d’éteindre l’incendie.

 

Il replonge vers mon entrejambe. Je ne vois que sa tête qui s’agite entre mes cuisses dans la douce pénombre du hall. Le nez planté sur ma chatte, il s’applique à me faire monter au septième ciel. L’orgasme est là, tout près, tout proche. Ahmed grogne son plaisir à me brouter mon petit abricot.

 

- Tu devrais t’épiler le sexe…

 

  • — ­ Oh non, cela ne va pas…

 

- Si, ton sexe serait mis en valeur…

- Tu le veux ?

 

  • — ­ Oui… Bien sûr

 

- Je le ferai…

- Ou bien, je te le ferai…

- Si tu veux…

 

Il me bascule sur le tapis de l’entrée. Allongé, son sexe monumental se dresse vers le plafond. C’est une belle queue, sombre et trapue, avec son énorme gland. Je l’effleure de mes doigts, de la langue. Je me recule un peu pour la regarder mieux. J’ai envie de cet engin. J’accepte d’en prendre soin, de la bichonner. Elle m’a trop fait plaisir toute la journée. Je glisse une de mes mains en dessous de la bite et empaume les couilles velues. Elles sont lourdes. Elles apparaissent grosses dans ma petite main, noires sur mes doigts clairs. Je suis d’humeur joyeuse et préviens Ahmed :

 

  • — ­ Tes couilles sont bien trop pleines. Il va falloir les vider bientôt sous peine de grandes souffrances…

 

Ahmed prend la balle au bond et me rétorque :

 

- Chère madame, si vous croyez qu’il le faut, n’hésitez pas, videz-les…

 

Alors, attirée par la bite chaude comme par un aimant, j’entreprends de la sucer. Je le suce lentement, consciencieusement, sans cesser de caresser doucement les couilles en dessous. J’ai peu pratiqué la fellation avec Jérôme. Pendant des années, mon mari rentrait de son travail à n’importe quelle heure, stressé et énervé. Il avait envie de faire l’amour. Il considérait que c’est le rôle d’une femme de satisfaire son homme quand il a envie. Mais il était très souvent incapable de bander, enfin de bander vraiment. Je devais sucer sa bite à moitié molle. Je me sentais humiliée de ne pas être assez désirable pour qu’il bande dur. Un beau jour, j’ai cessé de le faire. Nous nous sommes disputés, mais j’ai tenu bon. Jérôme ne m’avait plus demandé de le sucer. Cette nuit, tout est différent. Ahmed bande dur depuis longtemps.

 

Pendant le feu d’artifice, il s’est approché derrière moi. Son sexe gonflé s’est calé entre mes fesses. Je me sens belle et désirable. Après tout, je suis encore un joli petit lot et conserve de très bons restes. Je trouve normal qu’un homme ait envie de me sauter. Alors sucer cet énorme gourdin, c’est un vrai plaisir. Je ne le refuse pas, bien au contraire. Je commence à prendre l’engin dans sa bouche, à aller et venir autour de ce gland que je connais si bien. Ma langue va-et-vient autour de la queue. Je tente de l’engloutir entièrement, surprise et à la fois flattée de ne pas pouvoir. En effet, Ahmed devient de plus en plus gros. Sa queue durcit, saute dans ma bouche. Je ne m’en lasse pas et continue à tripoter les couilles dures, sans que ma bouche ne cesse son travail. C’est Ahmed qui jette l’éponge le premier :

 

- Arrête, je vais partir…

- Laisse-toi aller… Vide-toi dans ma bouche…

 

Je n’en reviens pas. Moi qui détestais le goût de la semence masculine, je la réclame, je la veux. Je veux que son sexe se vide sur ma langue, je veux connaître le goût d’Ahmed.

 

- Non je veux ton sexe…

- Tu es sûr…

- Petite garce… Petite salope…

 

Je suis surprise par les propos d’Ahmed.

 

- Je veux bien que tu te vides dans ma bouche, mais n’oublie pas ma condition sociale. Rappelle-toi que je suis mariée, que j’ai été élevée chez les bonnes sœurs et qu’une femme qui se respecte n’est pas censée se livrer à de telles horreurs ni se faire traiter de salope…

 

- Excuse-moi…

- Arrête, sinon je continue et je te vide les couilles, je te les assèche… en te pompant la bite.

 

  • — ­ Bravo pour votre langage de bourgeoise BCBG…

 

Je lui dépose un bisou sur le bout de son gland accompagné d’une léchouille du méat…

 

  • — ­ C’est très bon…

 

Il n’attend plus que moi. Je me place à califourchon et guide le gland violacé au bord de ma grotte intime. Je me laisse descendre, centimètre après centimètre sur cette superbe queue noire. Ma chatte l’accueille et j’absorbe le mandrin en poussant de petits soupirs de plaisir.

 

- C’est bon, très bon… Elle est bonne, ta queue, elle est dure et chaude…

 

Ahmed m’observe, les yeux mi-clos, me pétrissant les seins, me les caressant. Et il commence un lent et puissant mouvement de va-et-vient, je me cambre sur lui, il joue du bassin de plus en plus vite.

 

J’ai trop envie… Je pars… Je sens mon vagin qui serre le sexe d’Ahmed dans des contractions longues et puissantes. Je mouille tellement que je me répands sur ses cuisses.

 

  • — ­ Tu es vraiment une petite salope qui avait une envie folle… Je suis très content de te faire jouir une nouvelle fois…

 

Ahmed prend la direction des opérations. Il me bascule et de me retrouve à quatre pattes. Je sais ce qu’il désire et je ne suis pas contre, bien au contraire. Je lui tends mon petit cul et Ahmed ne se fait pas prier. Il pose son gland gonflé par toutes ces réjouissances sensuelles à l’entrée de ma fente. Il pénètre d’un coup et me ramone sans ménagement, tout en me caressant les fesses de ses larges mains. Quel pied ! Cela explose dans mon ventre. Tout le bas de mon corps est douloureux du plaisir qui monte. Je ne sais même plus ce que je dis. Je jouis sous son pilonnage. Puis il sort de ma fente et remonte plus haut vers mon anus. Il frotte son gros gland contre mon petit trou qui était vierge ce matin. Après avoir humidifié ma rondelle, il place à son entrée le bout de sa queue et pousse doucement…

 

- Allez, ma petite bourgeoise, je vais te sodomiser en douceur… Je suis sûr que tu vas adorer, comme cette après-midi…

 

Sa queue pénètre peu à peu ma rondelle. Mon anneau musclé se détend. D’être les fesses en l’air, à la merci d’un énorme mandrin noir m’excite de plus en plus. Ses mains me tiennent fermement le gras des fesses. Je pousse en arrière mes fesses, dès que je sens mon anus qui se distend. Sa queue entre, s’installe, prend sa place, glisse doucement dans mon conduit anal. Je suis enculée, à quatre pattes, nue, avec juste mes bas auto-fixant et mes chaussures. Ahmed me propose :

 

- Empale-toi, ma Marie adorée, empale ton beau petit cul sur ma queue…

 

Je tends mon cul. Son mandrin me perfore, défonce mon intimité… Brutalement, une sensation nouvelle me surprend. Ses couilles frappent sur mes fesses. Il est fiché aux tréfonds de moi. Le plaisir est tel que j’explose. Je crie de plaisir. Je le supplie de me prendre à fond, de me défoncer, de me pourfendre. Moi, la petite bourgeoise BCBG, je me conduis comme la dernière des traînées, comme une fille de mauvaise vie, comme une chienne. Ahmed commence son travail de sape. Il me pilonne, me pistonne. Il m’encule de toutes ses forces avec toute la vigueur de sa jeunesse et de sa force. Le fait d’enculer une blanche doit le stimuler.

 

À grands coups de reins, il m’empale. Il joue du pouvoir sexuel de sa queue. Une fois au fond de mon ventre, il ressort presque de mon anus dilaté, le gland est au bord de mon cratère, puis il repart au fond de mon boyau. Je l’encourage dans sa mission. Je ne cherche pas à retenir cette jouissance qui, une nouvelle fois, me terrasse. Je crie mon plaisir et ma jouissance déclenche celle d’Ahmed. Il se lâche et éjacule dans mon cul. Il grogne tel un fauve. Nous restons un grand moment allongés sur le tapis. Sa queue perd du volume lentement et je me vide du surplus de nos sécrétions. Nous reprenons nos esprits. Nous passons dans la salle de bains, parsemant sur le carrelage du couloir des tâches blanchâtres suspectes. Je demande à Ahmed de finir la nuit avec moi. Il accepte. Quelques minutes plus tard, propres d’une douche bien méritée, nous nous installons sous la couette et plongeons dans un sommeil réparateur. Il est 4 heures du matin. Je vais avoir une drôle de tête demain matin au travail.

 

Le lendemain, nous avons l’un et l’autre une tête de déterré… Pendant tout le reste de la semaine, nous vivons ensemble. Ahmed se conduit comme mon mari. Heureusement que nous habitons une maison perdue dans la campagne. Vendredi, Ahmed reçoit un fax. Il doit retourner d’urgence dans son pays. Cruelle soirée. Nous avons baisé toute la nuit. Au petit matin, un taxi l’a pris à la porte de la maison."

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Samedi 26 novembre 6 26 /11 /Nov 14:45

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- Ne t’arrête pas, Ahmed, je t’en supplie !

 

Désormais Ahmed sait que je suis à sa merci. Il sait que je suis prête à tout pour ressentir encore ce plaisir divin. Ahmed a compris. Je suis prête à subir tous ses caprices. La bouche ouverte, je cherche ma respiration. Ahmed prend un malin plaisir à ne pas me laisser dépasser le seuil de non retour.

 

Dès que je commence à partir, il arrête sa caresse, puis recommence quand la pression est retombée. Sa main quitte ma chatte. Il se relève et vient m’embrasser goulûment. Il en profite pour me caresser les seins. Il les pétrit doucement. Laissant mes lèvres, les siennes gobent mes seins. Mes gros seins sont durs, gonflés et tendus. Ils sont presque douloureux. Ils sont surmontés de deux belles et larges aréoles rose sombre. Au milieu de chacune d’elles pointent mes tétons, énormes et turgescents. Ils sont très longs et très gros. Ahmed les embrasse voracement. Ses lèvres les pincent, les serrent. Puis ses dents entrent en jeu. Par petites impulsions des mâchoires, mes tétons sont mâchouillés. Je ne supporte plus rien tellement c’est intense. Je supplie :

 

- Donne-moi ton sexe, s’il te plait, ton sexe…

 

Ahmed se relève et se positionne face à moi. J’ai réussi à m’emparer de son sexe. Il est énorme. Je ne connais que le sexe de mon mari. Je le pensais bien monté. Mais là, j’ai en face de moi un mandrin fabuleux. Je n’arrive pas à faire le tour de sa queue (me voilà à parler comme une traînée !) avec mes doigts. Je regarde ce sexe comme si c’était une apparition, un rêve ! Je lui dis :

 

- Tu es merveilleux, somptueux… Tu sais que tu es le deuxième homme que je vois nu de ma vie.

 

        — ¬ Ne me dis pas que tu n’as pas connu d’autres hommes que ton mari ?

        — ¬ Je me suis mariée vierge et j’ai toujours cru que mon mari était normalement constitué, mais, à te voir, je crois que j’ai manqué beaucoup de chose… C’est la seconde verge que je vois de ma vie !

 

Ahmed me chuchote à l’oreille :

 

- Si tu la veux, elle est à toi ! Elle est pour toi ! Suce-la ! Mange-la !

 

Je le regarde, suite à cette proposition :

 

- Tu veux que je suce ton sexe ?

 

        — ¬ Oui ! bien sûr !

 

- Tu veux que je te suce le sexe… Mais je le l’ai jamais fait ! Mon mari ne me l’a jamais demandé !

 

Ahmed me sourit avec une lueur d’ironie dans le regard.

 

- Ne te moque pas de moi !

 

        — ¬ Je ne me moque pas de toi, mais je vais t’apprendre…

 

Je me dis qu’il faut que j’y aille. Je ne dois pas rester ignare. Je m’approche du bâton dressé :

 

- Tu sens bon, tu sens l’homme ! Qu’est-ce que je dois faire ?

 

Je suis assise sur le canapé. Mes seins oscillent devant moi.

 

- Caresse-moi de la pointe de tes seins.

 

Je m’exécute. La sensation est très agréable. Plus je frotte mes seins à sa verge, plus celle-ci tressaute. Mes caresses sont efficaces, car la respiration d’Ahmed se fait plus rapide. Je pose mes mains sur son sexe.

 

        — Serre-le doucement et fais des va-et-vient avec ta main. Ta main doit caresser le gland par le prépuce, jamais par la main…

 

Je commence à le branler doucement. Son sexe devient de plus en plus dur et grossit encore dans ma main. Pendant quelques instants, je continue mon manège, mais instinctivement, j’approche mon visage de ce sexe qui me fascine. Son gland est à quelques centimètres de ma bouche. Je tends ma langue et titille le méat. C’est très doux. Aucun goût désagréable comme je le pensais. Je pose mes lèvres sur son gland. Quelle douceur ! Je le suce entre mes lèvres. Ma langue ne reste pas inactive et s’enroule autour du gland soyeux. J’ouvre ma bouche en grand. J’absorbe lentement le gland en prenant garde de ne pas le blesser avec mes dents. Lentement, je commence de petits mouvements de va-et-vient.

 

Au fur et à mesure, ma bouche prend acte de la dimension du gourdin que je suce. Enfin au bout d’une dizaine de minutes, je réussis à avaler le gland tout entier dans ma bouche. Ahmed ne peut s’empêcher de bouger et pousse lentement son sexe en avant. Il me tient par l’arrière de la tête. Le gland bute contre le fond de ma gorge. J’ai un haut-le-cœur. J’arrête ma fellation pour laisser échapper un petit cri de surprise. Ahmed s’excuse. Je le reprends courageusement en bouche.

 

Ahmed me prend la main et me fait comprendre de lui masser les testicules de l’autre main. Deux à trois minutes plus tard, je cesse ma caresse. Ahmed pousse un petit cri de déception :

 

        — ¬ Déjà ?

        — ¬ Non, mais je pense qu’il vaut mieux que nous allions dans ma chambre… Nous serons plus à l’aise… et je veux bien pour profiter de toi et de ton magnifique sexe…

 

- Tu as envie de ma queue ?

- Oui, très envie, une énorme envie…

 

Je me lève et prend la main d’Ahmed dans la mienne et le tire pour l’emmener vers le couloir. Il se lève et passe un bras sous mes genoux, l’autre autour de mes épaules et me soulève tel un fétu de paille. Je lui prends les lèvres. Mon mari m’avait considéré une femme exutoire à sa libido. Jamais il n’a pensé que je pouvais être sa maîtresse, me faire découvrir les plaisirs de la chair et de la luxure. Je le guide dans le couloir et vers la chambre conjugale. Il me dépose sur le couvre-lit.

 

Aussitôt, il me caresse le ventre en descendant progressivement vers ma toison blonde. Il s’est installé à genoux entre mes jambes qui pendent au dehors du lit et sa tête est entre mes cuisses. Ses mains vont de mes hanches à mon nombril. Lentement, sans avoir l’air de rien, son majeur devient de plus en plus insistant. Il glisse entre mes lèvres tuméfiées et humides. Il empaume mon mont de vénus. Au creux de sa paume, mon clitoris est devenu énorme. Il se gonfle de sang et devient de plus en plus sensible. Le frottement est très agréable, mais devient agaçant. Il le saisit entre ses doigts et le malaxe, le triture. Mon clito prend des dimensions que je ne lui avais jamais vues avant, même lorsque je me masturbe. De l’autre main, il me pénètre le sexe. Je fonds littéralement. Je lui inonde les doigts. C’est presque comme si j’urinais. Les caresses conjuguées me font un effet bœuf. Je me contorsionne pour éviter ou, au contraire, pour mieux me prêter aux caresses libidineuses d’Ahmed. Une envie m’assaille. Mes seins se durcissent. Ils ont besoin de frôlements.

 

Trop occupé par mon sexe, il ne peut me pratiquer les caresses dont j’ai très envie. Je décide de me soulager seule. Les sensations sont grisantes. Mes aréoles sont brûlantes, mes seins fermes, comme gorgés de lait… De ma main droite, je me caresse les seins, Ma main gauche s’aventure enfin sur sa tête crépue et l’entraîne vers ma chatte. Ses mains écartent mes cuisses et sa langue prend possession de mon vagin. Il tourne un peu son visage, repousse ma cuisse gauche de sa joue et réussit à entrer entièrement sa grosse langue dans mon vagin. Il la remonte doucement, me faisant ainsi connaître des sensations inouïes. J’ai envie qu’il s’occupe de mon clito. Sa langue vient jouer avec mon bouton d’amour et il me pénètre sauvagement avec trois doigts. Je cherche ma respiration, puis le mouvement de sa main me fait perdre la raison. Ma tête tourne de droite à gauche. Je gémis, je crie, je feule mon plaisir. Sa main provoque un bruit de succion dans mon sexe inondé. Je bascule dans un orgasme terrible, une main sur un sein, l’autre enfonçant la tête d’Ahmed sur mon sexe qu’il entreprend d’aspirer de plus en plus fort, tout en continuant à me masser le clitoris. Sa grosse langue si douce et pourtant râpeuse m’emplit totalement. Je me raidis et bascule la tête en arrière, les cuisses resserrées autour de sa tête. Il me les écarte un peu, je dois le bloquer dans ses mouvements. Il m’impose une position et me bloque dans mes propres mouvements. J’ai l’impression qu’il me viole… Je crie ma jouissance à pleine gorge. Je sens mon cœur battre dans mon clitoris et ai l’impression que cet orgasme ne s’arrêtera jamais. Ahmed m’encourage dans mon plaisir et je sens un doigt inquisiteur me masser l’anus pendant mon plaisir. Je m’entends prononcer des phrases sans suite et des paroles grossières qui ne sont pas de mon langage courant. Première entorse à mon éducation.

 

- Non, non… N’arrête pas, oui… Continue… C’est très bon… C’est trop bon… Encore… Plus fort, tes doigts… Baisse ma chatte… Pince mon clito, tripote-le, fais-moi jouir…

 

Et là, brutalement, sans prévenir, je pousse un hurlement de femme que l’on tue. C’est presque cela. Mais là, je jouis comme jamais cela ne m’était arrivé auparavant. Ahmed me prend les lèvres et m’embrasse langoureusement. Et là, je ne peux retenir mes larmes. Ahmed s’interroge :

 

        — ¬ Tu pleures ? tu regrettes ?

 

- Idiot ! Je suis heureuse… Tu m’as rendu très heureuse… Je n’ai jamais joui aussi fort…

 

Je l’embrasse fougueusement. Mais je sens le sexe monstrueux d’Ahmed qui bat mon flanc. Son sexe tendu me semble énorme et mes yeux agrandis ne se font pas à la dimension de la "chose". Il me fait asseoir, se met debout en face de moi. Il est monté comme les représentations du Satyre dans tous les tableaux de la mythologie. Je suis donc face à une colonne de marbre noir. Moi qui avais toujours refusé cette caresse à mon mari par crainte des odeurs fortes, je trouve qu’Ahmed sent bon. Son gland décalotté arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules sont énormes et bien visibles. Je tends la main vers « la chose » et il me pointe son énorme membre sur les lèvres.

 

Je me penche un peu plus et m’enhardissant, le prends entre mes lèvres. Je commence par sucer du bout des lèvres le champignon énorme et violacé. Une perle de liquide émerge de son méat. Une envie irrésistible me traverse. Je lape cette émanation. C’est douceâtre, presque sucré. Lentement, je le décalotte et absorbe la grosse prune violette. Cette caresse doit lui plaire car il me semble que son mandrin grossi encore sous cette succion. Le bout de son gland vient de franchir mes lèvres. J’en ai la bouche pleine. Mais je ne cesse pas ma succion. Je le fais sortir de ma bouche en prenant soin de bien l’enduire de salive. Le bruit qui s’en suit l’excite encore plus. Il bande plus fort encore. Je me distends les lèvres pour avaler cette chose qui me procure une satisfaction intérieure inconnue à ce jour. Il pousse un gémissement de plaisir, rejetant la tête en arrière. Ses mains s’appuient sur mes épaules.

 

C’est le plus énorme, le plus gros, le plus long sexe que j’ai jamais vu et encore moins touché. Tout en suçant le gland, je fais aller et venir ma main sur le reste de la hampe. C’est à cet instant que contre mon poignet viennent buter deux petits citrons. Ses couilles (et cela continue ! Ma fille, ton éducation fout le camp !) velues sont dures. La tentation est trop forte. Je les saisis dans ma main et les fait rouler l’une contre l’autre. Jamais je n’aurais cru que cette action puisse plaire à un homme. Son gland grossit encore. C’est une baudruche, ce truc là. Il ne va pas pouvoir se retenir. Il va m’éjaculer dans la bouche, moi qui n’ai jamais voulu sucer mon mari, je suis prête à accepter qu’il se vide dans ma gorge. Je suis prête à le boire.

 

Mais il se recule. Son gland échappe à mes lèvres. Je pousse un "non" de déception. Bien installé sur ses genoux, il me caresse les cuisses avec des gestes d’une infinie douceur. Je me cale plus confortablement sur le lit, me doutant confusément de ce qui va m’arriver. Il se positionne mieux sur ses genoux, face à moi. Je me redresse sur les coudes. Sa tête est maintenant proche de la sienne. Mon bras gauche enserre sa tête et il se rapproche de moi pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres fines reviennent au contact de sa grosse bouche. Sa langue qui joue avec la mienne. C’est un ballet, une lutte presque une guerre que nos langues se font. C’est très agréable. Je reprends mon souffle. Je le regarde, les yeux ivres de bonheur. Son regard est brillant.

 

- Tu m’as rendu très heureuse…

- Je te remercie du compliment…

 

        — ¬ Mais toi ? tu n’as pas eu ton plaisir…

 

- Attends, il va venir…

 

Je me laisse partir en arrière. Il s’allonge de tout son poids sur moi. Pour ne pas être écrasée, j’écarte les jambes et il s’installe sur moi. Je sens son membre énorme qui est coincé entre nos deux abdomens. Le contact de cette matraque m’électrise et relance mes envies libidineuses. Je me sens femme, femelle, disponible au mâle, prête à la saillie. Il m’embrasse dans le cou. Cette caresse est celle qui me rend folle d’envie depuis toujours. Jérôme ne s’en est pas toujours rendu compte, mais un baiser dans le cou me transporte au bord du septième ciel. Il se jette sur mes tétons dardés du plaisir à venir et du bonheur d’être traitée comme une femelle. Ses mains glissent sous mes fesses et me soulève. Il m’écarte les deux globes. Mon sexe se fend encore.

 

        — ¬ Marie, j’ai très envie de toi… J’ai envie de te prendre…

 

- Moi-aussi… Fais-le !

 

J’ai trop envie qu’il me mette sa queue dans le ventre (voilà encore un dérapage verbal…). J’écarte les cuisses. Je l’attends. Il écarte le compas de mes cuisses, à genoux entre elles, A cause de la différence de taille, il descend beaucoup, se repose sur les poignets, son membre à l’horizontale. Il s’avance. Qu’est ce qu’il attend ? J’ai envie qu’il me pénètre, qu’il me prenne, qu’il me mette sa queue dans le ventre. Je veux qu’il m’embroche, me défonce qu’il me fasse rendre l’âme. J’ai envie qu’il me fende, me pourfende, je veux sa queue au fond de mon ventre, au fond de mes entrailles que sa queue me monte à la gorge… (là, ma fille, tu commences sérieusement à penser à avoir des envies comme un vraie salope !) J’écarte au maximum les cuisses.

 

Passant mes mains sous mes cuisses, je saisis mes lèvres intimes et les écarte. Je me conduis telle la pire des salopes. Il a compris et s’amuse de mon envie débordante. Il joue de son gland sur ma vulve, sur mon clitoris, à entrer, à sortir, à s’attarder sur ses lèvres. J’imagine la grosse tête chercheuse de son sexe qui se rapproche, flaire aux portes de mon antre béant et humide, palpitant et avide. Cette fois, il est là. Il ne cherche plus à partir ou à m’agacer. Son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs, passe un premier obstacle de chair. Il pénètre, doucement. Gros comme il est, Ahmed doit savoir qu’il lui faut de la douceur, du tact, voire de la prudence. Mais il doit aussi sentir qu’il ne rencontre aucune résistance, bien au contraire. Je suis béante et attends son entrée. Je suis la plus réceptive possible. Il se sent en confiance. Il me fait mettre mes jambes sur ses épaules. Dans cette position, je lui offre une voie royale sur ma chatte luisante de cyprine. Prenant appui sur ses épaules, je soulève mon bassin pour mieux faciliter l’envahissement. Il pousse toujours. Je me sens comblée, remplie et pourtant, d’après ce que je touche, seulement un tiers de son membre est entré… Mes mains quittent mon sexe pour ses fesses. Je les saisis à pleines mains.

 

- Tu as mal ?

 

        — ¬ Non, bien au contraire, tu me fais du bien…

 

Non, mes mains se sont crispées sur son cul (oh encore) pour l’attirer en moi. Il entre encore et toujours, sans difficulté, sans que ma chair ne se rebelle. Comme ma chatte pourrait-elle ne pas l’accepter, vu que ma mouille déborde de mon sexe et me coule entre les fesses. Son gland bute un peu plus haut et boute mes chairs plus intimes encore. J’ouvre mes yeux. Il me regarde, surveillant mes réactions à son entrée triomphante dans mon ventre. Il me chuchote à l’oreille :

 

- Ton sexe est très doux… et très serré. C’est très bon… pour moi, et pour toi ?

- Moi aussi, c’est très bon…

 

Il cherche mes lèvres, il veut m’embrasser. Je tourne la tête, gênée par ce geste trop intime. Mais il revient à la charge. Au diable mes préjugés, mes réticences. Je lui cède mes lèvres. Il me mange la bouche. Quelques secondes plus tard, je lui demande :

 

- Viens !

 

Il est entré de plus de la moitié. Son bassin pèse encore sur mon ventre. Il avance encore. Je bascule mon bassin et j’écarte encore (si cela est encore possible !) mes cuisses. Une dernière contraction de ses reins et cette fois il est entré totalement. Son gland vient buter conte le col de mon utérus. J’ai la sensation d’être pleine, remplie. Mon sexe est complet, ne peut plus rien accepter. Chaque poussée vient taper un endroit que jamais personne ne semble m’avoir touché. Chaque avancée me provoque une sensation inconnue, électrisante. Je jouis brutalement sous la pénétration profonde. Je m’ouvre encore. Je lui donne mon sexe. Mes genoux tapent sur mes épaules. Il sent que je jouis. Il entame une cavalcade, une courte série de va-et-vient. Il accélère la cadence. Je n’en peux plus. Il va me rendre folle. Il me pilonne de longs coups de reins. Chaque butée me fait pousser des petits cris, chaque recul me fait chercher ma respiration. Il accélère le mouvement, me possède "à fond", me remplit, me défonce le sexe de longues minutes. Il va si loin que j’ai peur que sa queue me remonte dans la gorge.

 

C’est une première, une grande première. C’est plus qu’agréable, c’est merveilleux… Jamais je n’avais connu une telle jouissance, un tel plaisir sous la queue de mon mari. Je crie sous la violence de l’orgasme. Mon ventre me fait mal, mal de plaisir. Je veux que cela cesse, mais en même temps, je veux que cela dure encore, très longtemps, toujours peut-être… J’ai l’impression que mon cœur va sortir de ma poitrine, que je vais mourir d’un infarctus… Je perds ma respiration sous le plaisir. Je retrouve ma respiration superficielle de mes accouchements. Mes mains, crispées sur ses fesses dures lui indiquent que mon sexe a encore faim de lui. Je veux le retenir, le garder en moi, mais aussi lui demander de sortir de moi, mais de revenir. Je veux être sure que je ne rêve pas, pour être sure que sa queue en moi est bien la réalité. Je suis un jouet au bout de son sexe démoniaque. Mais c’est trop bon. Je gémis en le regardant dans les yeux et lui dis tout mon plaisir.

 

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Vendredi 25 novembre 5 25 /11 /Nov 22:19

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Comment en suis-je arrivée là ? Je suis entrée dans un monde de dépravation et de vice. C’est déjà assez grave, mais le pire est que j’aime cela ! Comment la femme respectable que j’étais, il y a encore six mois a-t-elle pu laisser la place à celle qui se vautre dans la luxure ? Je vais vous le décrire par écrit, comme me l’a ordonné mon dernier amant (si je peux l’appeler ainsi). Il souhaite que je vous raconte ma descente dans le vice.

 

Je me présente, Marie B…, 39 ans, mère de trois enfants, une fille et deux garçons. Je suis responsable dans un grand laboratoire d’analyses chimiques. Je forme des responsables de laboratoires du monde entier aux dernières technologies d’analyses environnementales. Je suis mariée à un homme charmant, Jérôme, qui est responsable technique dans une grande entreprise nationale. Il est souvent absent professionnellement, car il est appelé à travailler à l’étranger. Notre vie s’écoule tranquillement et si la passion des débuts de notre union s’est un peu émoussée, nous sommes heureux et nos relations sont empreintes de complicité et affection mutuelle. Une tendresse énorme nous unit.

 

Nos relations sexuelles se sont espacées lentement pour n’être plus que mensuelles, voire plus rares, comme en ce moment. Je ne suis plus très attirée, ni intéressée par tout ce qui touche de près ou de loin au sexe et au plaisir.

 

Sur le plan physique, je suis châtain clair, presque blonde avec des yeux bleus. Je mesure un mètre soixante-dix et pèse cinquante-cinq kilos. Mon travail ne me permet pas de faire des folies vestimentaires. L’utilisation de produits dangereux n’est pas compatible avec des vêtements luxueux. Je ne fais pas non plus d’excès de maquillage. De simples petites touches pour mettre en valeur mon regard et un rouge à lèvres pour soutenir ma carnation de blonde. Je porte les cheveux coiffés à la lionne. Au cours de mes trois grossesses, j’ai particulièrement fait attention à ma ligne et je n’ai pas pris plus de kilos qu’il ne fallait.

 

Aujourd’hui, je n’ai pas honte de mon corps. Mes seins ne s’affaissent pas et mes hanches ne sont pas enrobées de cellulite. Mon mari adore ma poitrine. Il faut dire que mon 90 C, j’en suis fière. Mes seins ne tombent pas et pointent encore. Mais personne, en dehors de mon mari et des médecins que je consulte, n’a eu le privilège de les admirer et de les toucher.

 

Depuis le début du mois de janvier, Jérôme est en Afrique du Sud pour implanter un système français et l’adapter aux normes africaines. Malgré Internet, sa présence rassurante me manque. Il ne reviendra qu’au mois de novembre. Les vacances se préparent pour tous et dans la maison règne une activité débordante. Ma fille termine sa première année de fac et a trouvé un stage en Angleterre du mois de juin au mois de septembre. Mon premier fils part accompagner un groupe en Roumanie pour les vacances scolaires. Mon second fils part en camping avec son association pour les deux mois de juillet et août. Moi, je n’ai rien de prévu. J’avais envisagé de rejoindre Jérôme, mais ce dernier voyage continuellement à travers l’Afrique du Sud et n’est jamais plus de deux jours au même endroit. J’ai donc décidé de rester en France.

 

Le 3 mai 2003, mon directeur m’informe de l’arrivée d’un responsable de laboratoire sénégalais. Je devrai le prendre en charge dès le 4 mai.

 

Le 4 mai 2003, vers 10h00, mon directeur entre dans mon labo. Il est accompagné d’un jeune homme noir. C’est mon nouveau stagiaire. C’est un colosse. Il mesure presque deux mètres et est très large d’épaules. Il est d’une beauté stupéfiante. Moi qui ne suis pas particulièrement attirée par les hommes de couleur, je dois dire que je suis sous le charme. Son visage se fend d’un grand sourire.

 

·                         — ­ Marie, je vous présente Ahmed, qui nous vient du Sénégal pour 6 mois. À vous de le former pour qu’il soit aussi efficace que vous dans son pays.

 

- Ahmed, voici Marie, votre maître de stage. Méfiez-vous, sous ses airs gentils, elle est redoutable et très exigeante avec ses stagiaires… Bien, je vous laisse entre de bonnes mains.

 

J’accueille Ahmed comme tous mes stagiaires. Mais j’avoue que son sourire et sa beauté me troublent. Je lui explique les travaux que nous réalisons et le contenu de son stage.

 

La semaine s’est bien passée. Ahmed travaille vite et bien et, de plus, pige très bien ce que je lui demande. Il est de plus en plus enjoué et de très bonne compagnie.

 

Depuis son arrivée, nous déjeunons toujours ensemble. Ahmed n’est pas habitué aux nourritures occidentales et découvre des saveurs inconnues. Nous rions de ces découvertes pas toujours de son goût. Je le questionne de plus en plus sur son pays, sur ses traditions. Il me parle de la vie au Sénégal. Il est célibataire et souhaite retourner au pays pour le faire évoluer et s’installer, avoir une famille et des enfants. Il aimerait trouver une française pour lui donner des enfants et venir avec lui au Sénégal. Je lui dis que ceci est certainement possible. Il me rétorque qu’il aimerait trouver une femme comme moi. Je suis cloué par sa répartie. Je ne sais que dire. Je bafouille un peu et change de sujet.

 

Tout le mois de juin est passé à une allure folle. Entre les enfants qui préparent leurs départs respectifs, le travail de maison et le travail au labo, je suis sur les rotules. Ahmed m’aide du mieux qu’il peut. Il progresse à vitesse grand "V".

 

Si nous continuons à déjeuner ensemble, nous prenons le temps en fin de journée de faire un point. Ces discutions dérivent immanquablement sur sa vie privée. Je fais en sorte de ne pas comprendre les sous-entendus réguliers qui reviennent dans ses propos. Nous abordons un grand nombre de sujets. En temps que féministe, je lui dis ma façon de penser sur l’excision des fillettes. Il est convaincu de l’absurdité de ces pratiques. Je m’étonne de sa culture et de ses points de vue toujours construits et réfléchis.

 

Je suis seule à la maison depuis dix jours. Pour la fête nationale, j’ai invité Ahmed à passer la journée. Il fait un grand soleil, cette matinée. De la terrasse, le jardin resplendit et la tache bleue de la piscine créé une atmosphère de vacances. Il est neuf heures et je traîne en peignoir après avoir pris mon petit déjeuner. J’ai donné rendez-vous à Ahmed vers dix heures. Je me précipite dans la salle de bains. Douche, maquillage léger comme à l’habitude et parfum… mais quelle tenue choisir ? Chic, BCBG ou détente ? J’essaie un mixe des deux. J’enfile une parure de sous-vêtements couleur chair, puis un chemisier de soie blanche et par dessus un ensemble veste sans manche de lin blanc cassé et une jupe que j’ai toujours trouvée un peu courte. Mais aujourd’hui, le beau temps m’incite à la porter. Je me regarde dans la glace et constate que ma poitrine est mise en valeur dans mon soutien-gorge. Je suis obligée de fermer un bouton, sinon l’on distingue l’amorce de la vallée qui sépare mes globes jumeaux. Mon mari adore et, s’il était là, il m’imposerait de déboutonner au moins deux boutons. Perdue dans mon inspection, la sonnette de la grille d’entrée me sort brutalement de ma rêverie.

 

Je me précipite à la porte d’entrée. L’écran du portier vidéo me renvoie l’image d’Ahmed. Je lui indique qu’il peut entrer et déverrouille le portillon. J’ouvre la porte et attends sur le perron. Il arrive dans un ensemble beurre. Il est magnifique. Il m’offre un bouquet de roses rouges. Je suis un peu gênée. Il me dit que cela n’est qu’un petit présent en guise de remerciement pour la très bonne journée qu’il va passer en ma compagnie. Je sens le rouge me monter aux joues.

 

·                         — ­ Ces roses rouges vous vont parfaitement au teint, Marie…

 

- Venez, entrez…

 

Je m’efface pour lui laisser le passage, mais pas suffisamment. Il me frôle et j’ai le temps de sentir son parfum, son odeur d’homme. Il entre dans le salon.

 

·                         — ­ Votre maison est ravissante… elle est à votre image…

 

- Vous êtes un flatteur, Ahmed…

- Non, je le crois vraiment.

 

Je cherche une diversion

 

- Puis-je vous offrir un café, Ahmed ?

- Avec grand plaisir…

 

·                         — ­ Vous souhaitez le prendre sur la terrasse ou ici, à l’intérieur ?

 

- A l’intérieur, si cela ne vous dérange pas…

 

Je vais dans la cuisine préparer le café. Je reviens dans le salon pour disposer les roses dans un vase. J’ai un peu chaud et j’enlève ma veste. Je pose le vase sur la table face à Ahmed. Je le regarde. Son regard s’est insinué dans mon décolleté. Il a une vue sur ma poitrine. Je me redresse rapidement. Je suis troublée par ce regard de mâle sur la femme que je suis. Pour me permettre de me rependre, je vais chercher le café. Je reviens avec le plateau où trône deux tasses et le sucrier. Je me penche encore. Mes gros seins ont poussé sur les boutons et l’un deux s’est échappé de la boutonnière. Les deux boutons supérieurs de mon chemisier étant ouverts, Ahmed peut découvrir mes deux globes soutenus par un soutien-gorge pigeonnant qui accentue encore leur opulence.

 

Ahmed plonge encore un fois son regard. Je le laisse profiter du spectacle pendant quelques secondes. Mais je remarque que ses yeux se sont baissés. Ils sont en train de parcourir ma silhouette. Comme je me trouve entre Ahmed et la fenêtre, il doit en plus de mon décolleté, admirer mes jambes par transparence de ma jupe. Je suis un peu surprise de son attitude, lui qui n’a qu’une seule fois émis l’hypothèse qu’il aimerait avoir une femme comme moi. Je me laisse tomber dans le fauteuil situé derrière moi. Dans mon mouvement de recul, ma jupe remonte à mi cuisse. Le regard d’Ahmed me suit, me pourchasse. Ses yeux se sont baissés et, dans le mouvement, je suis certaine qui a eu une vue plongeante sur mon entrejambe et mon joli slip blanc…

 

Ma tête tourne et c’est un peu comme si je perdais connaissance… Aussitôt, Ahmed se lève et vient à côté de moi. Il est genoux contre le fauteuil. Il me parle doucement de sa voix chaude et rauque, excitante à souhait. Il pose une main sous mes cuisses et l’autre sous mon épaule droite. Comme une plume, il me soulève et m’allonge sur le canapé. Il place un coussin sous mes pieds en prenant soin de m’ôter mes chaussures. Que m’arrive-t-il ? Je suis perdue dans un rêve… Ahmed me parle toujours et me caresse le front et les cheveux… Il part vers la cuisine et revient, son mouchoir blanc immaculé, trempé d’eau froide, humecte mon front. La fraîcheur me calme, mais je suis lasse, alanguie. Je n’ai aucune envie de me relever, aucune envie qu’Ahmed parte. Il me parle doucement, mais je ne comprends pas ce qu’il me dit. Son visage est très proche. Il est à genoux. Il se penche vers moi. Son regard noir se perd dans mes yeux.

 

Très doucement, son visage s’est approché du mien. Je vois et comprends parfaitement ses intentions. Que m’arrive-t-il ? Ses lèvres charnues rejoignent les miennes. Un petit mouvement de ses lèvres et sa langue vient caresser les miennes. Mes lèvres ne résistent pas à la douceur du contact. Il a compris que je suis vaincue, que je vais lui céder, que je vais accepter ce baiser… Il tente de nouveau de sa langue de me faire ouvrir mes lèvres.

 

Mes lèvres s’entrouvrent, ne faisant plus obstacle à sa langue chaude et dure qui investit ma bouche. Ce nouveau baiser est, cette fois, bien plus profond. Bien vite sa langue s’est mise en mouvement et c’est la mienne qui joue avec la sienne. Puis plus le baiser se prolonge, plus il se transforme en un baiser passionné.

 

Pour favoriser notre échange, il glisse son bras droit autour de mes épaules. Il m’oblige très doucement à accentuer ce baiser. Je n’ai aucun mouvement de recul, bien au contraire. Moi, une femme mariée, sage, rangée, je me conduis comme la dernière des traînées. Je suis dans le commencement d’un adultère. Je vais tromper mon mari pour la première fois et je commence à y prendre un grand plaisir. Son bras autour de mes épaules me serre contre lui. Je me blottis contre lui. Mais Ahmed n’est pas moins homme. Si sa main droite est très sage autour de mes épaules, il n’en est pas de même pour la gauche. Je la sens qui se pose sur ma hanche droite. Je sens la chaleur de cette paume à travers le tissu souple. Lentement, cette main commence un lent va-et-vient de ma hanche au haut de ma cuisse. Mon instinct de femme respectable resurgit :

 

·                         — ­ Ahmed, nous allons faire une…

 

- Chut…

 

Il me ferme les lèvres des siennes. Elles sont chaudes et douces et je ne résiste pas. Je réponds à son baiser enflammé. Mais je me libère et réussis à lui dire :

 

- Ahmed, s’il te plait, laisse-moi te dire…

- Que veux-tu me dire ?

 

·                         — ­ Ahmed, je ne suis pas une femme facile et je me demande bien ce que je fais, ici chez moi, dans tes bras. Nous allons faire une grosse bêtise…

·                         — ­ Mais ce n’est qu’une petite bêtise et nous en avons envie l’un et l’autre…

 

Mais la tentation est trop forte et une pulsion envahit mon corps. C’est moi, comme une midinette, qui lui tend les lèvres et lui reprend goulûment. Mes paroles et mes gestes sont en totale contradiction. Je laisse sa main posée sur ma cuisse. Je ne cherche pas à empêcher ses mouvements. Doucement, elle glisse sur ma cuisse et rencontre le bas de ma jupe. Sa chaleur m’électrise et je l’embrasse à pleine bouche. Je ne peux pas résister à cet appel charnel. Lentement, la main remonte sous ma jupe. Chaque pause est marquée par une appréciation de la fermeté de ma chair par de petites palpations. J’enlace son cou de mes bras.

 

Son bras droit enveloppant mes épaules, sa main en profite. Elle glisse sur mon chemisier et rencontre la masse de mon sein droit emprisonné dans son bonnet de soutien-gorge. Je ne résiste pas. Je suis dans ses bras en jupe et chemisier avec sa main toujours bien avancée sur ma cuisse. De nouveau, nos lèvres se sont rejointes. Sa langue se met à danser un ballet sauvage dans ma bouche, tournant et retournant autour de ma langue et suçant celle-ci, comme si c’était un petit sexe

 

Cette sarabande me fait craquer. J’oublie tout, et je jette par dessus ma conscience tous mes préjugés de femme sérieuse. Le baiser m’enflamme et mon corps ne peut se retenir. Il commence à onduler. Ma respiration s’accélère. Sa main enfouie sous ma jupe apprécie le grain souple de ma peau. Lentement elle remonte plus haut. C’est à cet instant, que mon bassin se met à bouger à réclamer une caresse plus précise.

 

Ahmed retire son bras de mes épaules. Tout en continuant à me dévorer la bouche, ses doigts longs et agiles s’aventurent sur le devant de mon chemisier. Ils sont à la recherche de boutons… Ahmed doit avoir une expérience phénoménale. Les boutons sautent les uns après les autres de leurs boutonnières respectives. D’un revers de main, il écarte les pans offrant à son regard brûlant ma poitrine gonflée. Mes seins emprisonnés bombent au-dessus de la dentelle et les pointes tentent outrageusement la dentelle. Ahmed se recule pour admirer le spectacle que je lui donne.

 

·                         — ­ Tu es merveilleuse…

 

Aussitôt, il se jette sur mon sein et, à travers la dentelle, pince mon téton. La sensation est éblouissante. Je bascule dans un monde que j’ignorais. Ma pointe de sein irradie une sensation étonnante que je ne connaissais pas jusqu’à ce jour. Ahmed change de sein. La sensation renaît à partir de la pointe de mon autre sein. Mais Ahmed continue et son autre main ne reste pas inactive. Elle est remontée complètement sous ma jupe et ses doigts font connaissance avec la dentelle de mon slip. Ce dernier est trempé et ne peut contenir le flot de mouille que mon sexe vomit littéralement. La main palpe mon sexe. Elle a trouvé en haut de ma fente, ce fameux petit bouton infernal. Ahmed le malaxe entre son pouce et son index tout cela à travers la dentelle. La sensation est incroyable.

 

Son autre main très habilement fait sauter l’agrafe de mon soutien-gorge. Ahmed saisit avec ses dents le pontet qui relie les deux bonnets et tire en arrière. Je lui facilite la tâche en libérant mes bras. Mes deux seins sont libres de toute entrave et s’offrent aux caresses et titillements des mains d’Ahmed. Il torture gentiment mes tétons durcis, les presse entre ses doigts. Il continue de les sucer et les mordiller. Mon ventre réagit vivement à ses caresses pleines de douceur. Je sens mon entrejambe se transformer en fontaine. Nos bouches ne se quittent plus. Je ne me reconnais plus. Une pulsion me traverse. Je glisse ma main sur son entrejambe pour palper l’ampleur de son excitation.

 

- Ce n’est pas vrai…

 

Son sexe est en érection. Je l’empaume par-dessus son pantalon pour lui rendre sa caresse intime. Il se redresse doucement, remonte ma jupe en haut de mes cuisses. Je prends appui sur mes talons pour lui permettre de passer les rondeurs de mes fesses. Il m’aide à me relever et la jupe continue son ascension. Au passage, elle emmène mon chemisier et le tout est jeté sur le tapis du salon. Ses mains redescendent et avec beaucoup de délicatesse, saisit l’élastique de ma culotte et l’entraîne vers mes pieds. Le mouvement est tellement lent qu’Ahmed peut se repaître de la vision de mon corps, de mon sexe poilu. Mon mari aurait aimé que je m’épile, mais je n’ai jamais répondu favorablement à sa demande. Je suis maintenant entièrement nue. Ne voulant pas rester seule en tenue d’Eve, je m’enhardis et trouve à tâtons le bouton de son pantalon. La fermeture éclair de la braguette est là. Le zip déchire le silence de la pièce. Je saisis la ceinture et tire comme une forcenée vers le bas. Ahmed se met en appui sur ses pieds. Il ne porte pas de slip et son sexe en érection vient battre brutalement son ventre. Ahmed recule sur ses bras et sa tête plonge entre mes cuisses.

 

Allongée sur le dos, je me laisse embrasser partout. La bouche d’Ahmed tête, lèche, mordille mes tétons. Ils sont durs comme du béton. Je gémis de plaisir. Ahmed est très excité et, doucement, descend jusqu’à ma chatte… Les jambes écartées, je m’offre impudiquement. Hormis mon gynécologue, personne ne m’a vu ainsi, même Jérôme qui n’aime pas cette pratique. Le compas de mes cuisses largement ouvert, je tends mon minou, grand ouvert et humide, aux lèvres de mon futur amant. À grands coups de langue, Ahmed lape la chatte offerte. Je ne peux retenir un feulement dans ma gorge. Ahmed s’arrête, me regarde et me demande :

 

- Tu aimes ?

 

Je m’entends répondre d’une voix langoureuse :

 

·                         — ­ Oh oui ! continue, c’est exquis…

 

Ahmed plonge de nouveau entre mes cuisses béantes. Je ne peux pas me contenir. Je commence à crier de plaisir. C’est la première fois que ceci m’arrive. Le bonheur me submerge. Je pose mes pieds sur les épaules d’Ahmed pour mieux lui donner ma chatte à manger. Je sens mon sexe fondre et se liquéfier. Ahmed avance une main vers mon ventre palpitant, atteint ma toison, puis mon sexe trempé. J’ordonne à Ahmed :

 

- Avec la bouche, fais avec la bouche !

 

Je me demande si je ne suis pas en train de devenir folle. Ahmed s’agenouille entre mes jambes. J’offre ma chatte, ivre de bonheur à cet homme qui a su me révéler à moi-même. Ahmed aspire les chairs tendres de mon sexe. Il s’arrête un instant pour se régaler de la vue que je lui donne. Mon bassin s’agite d’une façon désordonnée, et une plainte rauque sort de ma gorge…

 

·                         — Aah, Aaaaaaaah !!!

 

Ma jouissance me surprend. Ahmed est aussi étonné de ma réaction brutale. Il se redresse et vient vers moi. Il me tend ses lèvres. Je les aspire buvant ainsi ma propre liqueur. Une main ne reste pourtant pas inactive. Elle plonge entre mes cuisses et découvre mon clitoris. Il est énorme. Jamais je ne me suis sentie aussi excitée, jamais je n’ai eu un clito aussi gros et aussi sensible. Ahmed est étonné :

 

- Ton bouton d’amour est énorme !

 

Il délaisse ma bouche et s’accroupit devant mes cuisses largement ouvertes. De ses deux doigts, il ouvre ma grotte intime sous la pression de ses doigts. Puis, tout en haut de ma fente, je vois mon clito. Il darde ses deux ou trois centimètres. Il est tout gonflé et violacé. J’en suis moi-même toute étonnée. Ahmed lape ma mouille et titille de la pointe dure de sa langue mon clito. Sa main revient. Son majeur frotte les lèvres humides. Il s’insinue entre elles et pénètre ma caverne. Luisant de mouille, il remonte vers mon clito, le presse, le malaxe. C’est insoutenable, je crie mon plaisir. Je supplie Ahmed :

 

·                         — ­ Non, arrête, tu ne fais pas cela !!! tu me rends folle !!! c’est bon !!! continue !!!

 

Devant une telle demande, Ahmed reprend de plus bel. Il me doigte avec encore plus de ferveur… je tressaille. Mon clito n’est plus protégé par son capuchon. Ahmed le pince entre le pouce et l’index. Chaque pression me fait sursauter. Ahmed arrête ses agacements. Sa tête plonge vers mon clito. Il suce ma petite excroissance, puis n’hésite pas à le mordiller. Il me regarde, il m’épie. Il surveille la montée lente et inexorable de mon plaisir. Je crie. Jamais personne ne m’avait pratiqué cette caresse avec autant de douceur, de délicatesse. Je commence à comprendre pourquoi l’orgasme s’appelle aussi "petite mort"…

 

 

A suivre 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
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Mardi 22 novembre 2 22 /11 /Nov 17:12

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La partouze

 

J’ai versé tout le champagne qui restait sur ses seins, une demi-bouteille au moins ! Bordel, qu’est-ce que j’en avais envie, elle les avait plantureux ! Elle, c’était la brune, aux cheveux longs et ondulés, je ne me souviens plus de son nom. Du Dom Pérignon, pas de la merde. Il coulait en faisant pssscchhht sur ses globes, puis descendait vers son ventre et son sexe. Je regardais le truc en souriant, béat. Je restais fasciné par le flot qui se divisait autour de ses mamelons. Le champagne froid et l’excitation les faisaient pointer, durs. À genoux, elle tendait son buste en avant, pour accueillir le précieux liquide. Je ne savais pas trop si elle rigolait ou si elle gloussait de plaisir.

 

La blonde s’est rappliquée en vitesse. Celle-là s’appelait Murielle, je m’en souviens parce que j’avais trouvé ça cruche comme prénom. Plus personne ne s’appelait Murielle aujourd’hui. Surtout pas à son âge, elle ne devait pas avoir plus de vingt ans. Elle avait des petits seins, moins de la moitié de l’autre mais un sourire à vous scier les pattes, et un cul ! une Vénus callipyge. Elle s’est allongée sur le dos et a glissé sa tête entre les jambes de la brunette en me faisant un clin d’œil.

 

·                         — Faut pas perdre tout ce bon champagne ! elle a dit, puis elle a collé les lèvres de sa bouche à celles plus intimes de sa copine.

 

Le champagne glissait sur le ventre de Brunette, dans sa toison, et finissait sur le visage de Murielle. Elle sortait la langue pour le lamper et filer de grandes lèches à la chatte de Brunette.

 

À cinquante centimètres de nous, Julien et un autre type que je ne connaissais ni d’Eve, ni d’Adam étaient assis à poil dans le divan. Ils se faisaient sucer par la troisième fille, celle qui disait s’appeler Jessica. Elle avait des formes plus généreuses, sans être grosse. Légèrement ronde, comme on dit aujourd’hui.

 

À genoux sur la moquette, entre eux deux, elle tenait une queue dans chaque main et les pompait à tour de rôle. Un moment, j’ai tendu le bras et j’ai glissé un doigt dans sa chatte. C’était chaud et humide, agréable. Elle s’est cabrée, un peu, en grognant doucement. Mais comme je voulais rester concentré pour ne pas gaspiller le champagne, j’ai retiré ma main rapidement.

 

Quand la bouteille a rendu l’âme – la dernière goutte venait de s’écraser sur le sein droit de Brunette – elle m’a attrapé par les cheveux et a collé ma bouche sur sa poitrine. Je ne me suis pas fait prier. J’ai glissé ma langue partout. Je passais par-dessus, par-dessous, je suçais ses pointes, les mordillais doucement. L’acidité du champagne donnait à sa peau un goût exquis. Un étage plus bas, Murielle continuait à lui bouffer la chatte. Brunette devait commencer à s’exciter grave, elle dégoulinait sur son menton. Je lui léchais les seins, la nuque, même les aisselles, toute langue dehors.

 

Brunette, qui avait attrapé la bouteille vide, a glissé le goulot dans la vulve de Jessica. Elle s’est mise à la tourner, la pousser, de plus en plus loin. Jessica cabrait son dos, reculait son arrière-train pour entrer la bouteille encore plus profond, en émettant des hmpf hmpf, une bite au fond de la gorge. Tout le goulot est entré.

 

La main de Murielle a atterri sur ma queue. Je l’aurais bénie. Je bandais tellement fort que ça en devenait douloureux. La douceur de sa paume m’apaisa un peu. Sa bouche toujours collée à Brunette – je ne pouvais pas voir les détails de l’affaire mais je me doutais qu’elle devait entrer sa langue au plus profond parce que je voyais presque disparaître son menton entre les grandes lèvres par moments – elle glissait sa main sur ma hampe avec douceur, puis de temps en temps me la lâchait pour caresser mes couilles ou glisser un doigt vers mon anus et le titiller. Pour qu’elle ne soit pas en reste, et aussi parce que ça m’excitait à fond, j’ai posé une main sur sa fente. Elle se rasait intégralement, j’ai bien aimé, ça rendait le contact plus doux, son pubis était lisse comme une joue de bébé. Et j’ai commencé à glisser mon majeur entre ses lèvres. Elle a écarté un peu plus les jambes. J’entrais déjà trois doigts, le pouce sur son clito, quand Jessica a lâché :

 

·                         — Baisez-moi, les gars, baisez-moi ! vite ! d’une voix plaintive qui ne laissait aucun doute quant à l’urgence de la demande.

 

À une vitesse folle, elle s’est retournée, plantant là Brunette avec la bouteille au bout du bras. Elle a sorti une poignée de préservatifs du gros bocal posé sur la table du salon, en a décacheté un avec les dents, qu’elle a ensuite déroulé sur la queue du gars que je ne connaissais pas. Puis elle lui a grimpé dessus et s’est empalée sur son sexe, en lui fourrant ses seins volumineux dans la figure. Brunette regardait toute la scène en léchant le goulot de la bouteille, on aurait dit qu’elle lui faisait une fellation.

 

Jessica a fait se lever Julien, dans le divan. De la sorte, elle a pu le reprendre dans sa bouche. Elle lui léchait le gland, la tige, les couilles, l’enfonçait dans sa gorge, tandis qu’elle montait et descendait sur le braquemart dressé de l’autre type, haletante.

 

Un moment, j’ai cru que Brunette allait jouir sous les coups de langue de Murielle, son visage se crispait. Elle a dû juger que c’était trop tôt parce qu’elle s’est reculée. Elle s’est penchée et a roulé un patin d’enfer à Murielle en lui caressant les seins. De la salive leur débordait des lèvres. Moi, je restais là à les regarder, la bite tendue, l’air un peu esseulé. Brunette a dû en prendre conscience parce qu’elle a dit :

 

·                         — Viens, on va le sucer.

 

Elles m’ont fait m’allonger sur le dos. Brunette s’est placée entre mes jambes et Murielle à califourchon sur mon visage. En même temps que je posais le bout de ma langue sur son clito, j’ai senti leurs deux langues s’enrouler autour de mon gland.

 

Dans le divan, Jessica s’est mise à gémir, han han, sa voix grimpant dans les aigus. Sans rien voir – dans ma position, la seule vue possible, c’était la rosette de Murielle – j’ai deviné au bruit que quelqu’un ouvrait un nouvel emballage de préservatif. Puis, juste après, Jessica, le souffle court, a sorti :

 

·                         — Dans le cul, mets-la moi dans le cul !

 

Putain ce que la chatte de Murielle avait bon goût ! Je passais ma langue dans tous les replis, sur le moindre endroit intime, je suçais ses lèvres, aspirais son bouton, le titillais du bout de ma langue, puis je descendais, la langue bien à plat jusqu’à son petit trou, l’introduisant - ma langue - le plus que je pouvais. Et encore, et encore. Elle dégoulinait. Et toutes les deux, Brunette et elle, s’affairaient sur mon engin avec une ferveur diabolique ! Tantôt je sentais les pointes de leurs langues glisser tout le long de ma verge, tantôt une de mes couilles aspirée dans une bouche, puis des sensations divines de douceur sur mon gland, ou encore je me sentais disparaître au fond d’une gorge tandis qu’un doigt pénétrait dans mon cul. Je n’avais vraiment pas à me plaindre, c’était exquis, mais j’avais tout de même un tout petit regret : je ne voyais pas Jessica, prise en sandwich, se faire pistonner. J’entendais juste les floc floc, flap flap, que faisaient leurs corps en s’entrechoquant.

 

Puis Murielle s’est levée. Elle a saisi la bouteille de champagne au passage et est allée s’asseoir à côté du trio, dans le divan. D’une main elle a empoigné le gros sein gauche de Jessica et s’est fourré le téton durci dans la bouche. Le goulot de la bouteille s’est retrouvé dans sa chatte.

 

Brunette a continué encore un peu sa fellation en matant la scène, puis elle a ondulé sur mon corps, frottant le bout de ses seins sur mon ventre, mon torse. Elle les a fourrés dans ma bouche, l’un après l’autre, juste avant de se mettre à les ballotter, m’assénant des petites gifles de ses deux melons. À son tour, elle a attrapé un préservatif, en a déchiré l’emballage et m’a encapuchonné. Et, en me tournant le dos, elle s’est empalée sur mon sexe. Comme elle a posé les mains sur mes genoux, son dos s’est cambré, ouvrant ses fesses et m’offrant une vue de rêve sur son petit trou. Quand j’y ai introduit mon pouce, elle a émis un petit cri et m’a dit :

 

·                         — Hmmm, oui, pousse-le bien à fond !

 

Tour à tour, je reluquais le cul de Brunette qui coulissait sur ma bite, Jessica baisée par ses deux orifices, puis Murielle qui se tronchait avec la bouteille, et qui maintenant roulait un patin à Jessica. Elles se suçaient la langue de bon cœur.

 

Jessica n’avait plus l’exclusive des cris, elles se mettaient toutes à en pousser. De tous côtés fusaient des hmmm, aaah, ooooh, haaan ! Un moment, j’ai dû faire un gros effort de concentration pour ne pas venir, j’étais au bord du gouffre, mais j’ai évité la tempête.

 

Brunette a changé de position la première. Elle s’est mise à quatre pattes et, en se retournant, a pris mon sexe dans une main pour le guider vers sa rondelle. Le trou ayant été déjà bien dilaté par mon pouce, j’y suis entré comme dans du beurre. Ensuite, Murielle a attrapé Julien par le bras et lui a dit :

 

·                         — À mon tour, viens me défoncer le cul !

 

Elle s’est retrouvée à quatre pattes, Julien planté derrière elle, les mains tenant ses hanches, la bite enfoncée dans son anus. Puis, Jessica a suivi avec le dernier gars. On formait une sorte d’étoile à trois branches. Au centre, les filles avaient sorti leurs langues qui s’enroulaient, se déroulaient, se léchaient.

 

On est restés comme ça plusieurs minutes ; ça criait, grognait, par toutes les bouches. Puis Julien a dit :

 

·                         — On change de cul, les gars !

 

On s’est retirés tous les trois, on a remis de nouveaux préservatifs et on a tourné dans le sens des aiguilles d’une montre. J’étais maintenant en train d’enculer Murielle.

 

Comme on avait des capotes à profusion, on s’est permis de jouer ce jeu-là encore plusieurs fois. Je ne pourrais pas dire quel est le cul qui me plut le plus. Mais je me souviens avoir bien aimé les fesses un peu potelées de Jessica, j’avais apprécié de les voir onduler à chacun de mes coups de boutoir.

 

Je ne sais plus combien de temps on les a pistonnées comme ça, mais ça ne devait pas être triste. J’étais maintenant revenu derrière Brunette et, à vrai dire, j’en pouvais plus, j’étais au bord de l’explosion. À voir, et entendre, les rictus et les grognements de mes deux comparses, ils ne devaient pas en être loin, non plus. J’ai presque gueulé :

 

·                         — Oh putain ! Je vais gicler !

 

De concert, les deux autres ont dit :

 

·                         — Ouah, moi aussi !

 

Brunette s’est retirée dare-dare. Je me suis relevé, elle s’est retournée et s’est plantée à genoux devant moi en prenant ses seins dans ses mains. Elle les pressait l’un contre l’autre. Les autres filles ont fait pareil. Murielle avait un peu plus de mal avec ses petits nénés mais je trouvais qu’elle se débrouillait pas mal tout de même.

 

On a viré nos capotes et on s’est branlés. Je crois bien que je suis parti le premier, mais je ne le jurerais pas. Ça n’arrêtait pas, de longs jets chauds s’écrasaient sur les nibards de Brunette. Je lui en ai même mis un filet dans les cheveux ; sur le coup, j’étais un peu désolé, je trouvais que ça faisait comme une tache sur un joli tableau. Les filles se caressaient, étalaient tout le foutre sur leur peau, leurs bouts. Pour sortir les dernières gouttes, elles nous ont attrapés les queues, nous ont branlés en serrant bien comme pour nous essorer.

 

Finalement, ça avait un petit côté surréaliste, je venais de baiser cette fille par tous les trous, je l’avais aspergée de sperme, et je ne pouvais même plus me rappeler son prénom. Étrange, mais agréable.

 

Après, je suis tombé sur le cul, un peu lessivé. Je ne voulais plus bouger, pas tout de suite. Je planais, soulagé, heureux, en sueur. Dingue comme sensation. Mais les filles avaient resserré les rangs. Toujours à genoux, elle s’embrassaient toutes les trois en se frottant les seins les uns contre les autres.

 

Il n’a pas fallu longtemps pour que ma bite se redresse. Je me suis dit « sacrée soirée ! et c’est pas fini ! »."

 

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