Mercredi 25 février
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09:41
- Angelo m’a demandé d’aller dîner au restaurant avec eux, mais j’ai refusé. J’avais bien trop honte. Avec cette roulée,
cette…
- Pourtant vous avez eu du plaisir ? insiste Lise.
- Elle a glissé une main sur son ventre, là où elle se sent gonflée et chaude de désir. Mais elle ne sait pas bien ce
qu’elle désire.
- Justement, dit Amanda, c’est de ça que j’avais honte : d’avoir pris du plaisir avec une
femme !
Lise la trouve étonnamment belle, toute émue par son récit, ses longs cheveux défaits, la poitrine haletante.
- Au fond, pourquoi pas ? demande Lise, à mi-voix ; pourquoi les femmes ne prendraient-elles pas leur plaisir
ensemble ? Moi, vous me faites plaisir aussi quand vous me caressez…comme ça…
Elle place la main D’Amanda sur ses seins et la sienne va chercher sous le corsage le téton durci de l’Italienne.
- C’est tellement doux, un sein de femme, souffle Lise.
Elle le sent palpiter sous sa main. C’est émouvant, un peu comme un sexe d’homme, aussi fragile mais plus tendre, moins mystérieux, plus
rassurant.
- C’est vrai que c’est bon dit Amanda d’une voix de plus en plus rauque ; j’ai envie…envie de sentir votre main…sur
ma peau…Je peux ?
Et sans attendre la réponse de Lise, elle déboutonne son corsage, dégrafe son soutien-gorge. Les seins jaillissent, énormes. Lise les regarde, fascinée.
Ils sont gros comme des melons, plus arrondis vers le bas que vers le haut où leur attache se joint en pente insensible à la gorge et aux aisselles ; si fermes que c’est à peine si une mince
ligne noire vient souligner leur base. L’auréole est très large, rose et toute lisse, prolongée par une pointe rose, elle aussi, qui semble remarquablement longue. Lise ne peut résister au désir
de la prendre dans sa bouche, de faire fléchir sous sa langue cette pointe apparemment si dure. Amanda soupire, gémit, pose la main sur le ventre de Lise, la glisse sous l’élastique du slip
minuscule, ses doigts arrivent à la limite du pubis, s’emmêlent dans les poils blonds.
- Ah ! Vous êtes toute douce, toute soyeuse, c’est comme vos cheveux. Moi on dirait une crinière,
regardez…
Elle trousse sa jupe jusqu’à la taille, écarte les cuisses. Elle est plus grasse que Lise, sa peau est plus blanche, un peu moite. Sous le slip blanc,
étonnamment renflé par le mont de Vénus proéminent, des touffes de poils noirs et frisés jaillissent de partout. Du bout des doigts, Lise caresse la peau satinée et sent son ventre se
contracter.
- Montre, murmure-t-elle, montre ta crinière.
D’un geste, Amanda enlève son slip, et reste là debout, le visage en feu, les yeux fixés sur le ventre de Lise qui comprend et se met nue en deux
mouvements.
- Oui, dit-elle, une vraie crinière, viens un peu plus près…
Elle empoigne la masse touffue, y plante ses doigts. Amanda frissonne, ferme les yeux, s’écarte davantage. Les poils découvrent peu à peu, les grandes
lèvres roses, pulpeuses qui s’ouvrent sur la fente rouge sang. Les doigts de Lise y glissent, s’enfoncent parmi les chairs humides et brûlantes. Amanda pousse un soupir rauque, se laisse tomber à
genoux devant Lise, avance la tête, un bout de langue pointant entre les lèvres. Lise la laisse ainsi un instant. Elle savoure le spectacle insolite et gracieux de la tête noire prosternée, des
cheveux interminables qui ruissellent sur le corps blanc, le regard presque implorant qu’Amanda lève sur elle, plein d’une prière silencieuse. Lentement, Lise écarte les cuisses, puis, des deux
mains ouvre sa fente.
- Oh ! C’est beau, souffle Amanda
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