PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
De tes mots en résonance dans ma mémoire
Seule dans cette chambre noire
Mes mains s'enfièvrent à ce corps désert
Prêt à lui faire subir ce concert
De ces caresses de satin qui en font des brûlures
De mes appels qui en deviennent des soupirs
Vertiges de cet instant où je rejoins
Le mont Vénus qui se fait loin
De la tendresse de mes doigts
Comme s’ ils étaient toi
A cet antre oublié qui souvent se tait
Pour n'avoir nul besoin de se mouiller
Et pourtant ce soir, il se déverse de cette liqueur
Où mes souvenirs seront encore vainqueurs
De ton corps en accord avec le mien
Comme ce jour là, un soir ou un matin
Où l'harmonie de nos sexes en fusion
Appeler notre union
Mes doigts se délectent de ce bouton qui se dresse
A l'appel de ces flashs de nos caresses
La fièvre qui emporte mon corps
S'élève à chaque seconde sans remords
Et la caresse ultime où tout devient flou
Où je me rends tel un cheval fou
Basculant mes hanches
Prenant ma revanche
Vertiges sensuels d'une explosion de ce volcan
Où je crie ton nom avec élan
Et me voila parti quelques instants
Dans cet orgasme qui se fait géant
De mes doigts aux gestes étranges
Mais où sont partis les tiens?
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