Mercredi 14 octobre 3 14 /10 /Oct 21:50


Il est des jours

Il est des lunes

Il est des jours sans soleil

Il est des nuits sans lune.

Il est des jours, il est des lunes

Où le soleil a rendez-vous avec la lune

Où tous les sens sont en éveil

Où chaque parole est une merveille

Où tous les sons sortant de tes lèvres

Capturent mon esprit

Pour me donner la fièvre,

L'envie de te voir à tout prix.

 

Il est des jours

Où par Amour

Le soleil discrètement s'éclipse

Pour permettre à la lune en plein jour

De briller de tous ses atours...

 

 

 


Par Peter Pan - Communauté : Hommage à la Féminité
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Samedi 10 octobre 6 10 /10 /Oct 14:52
toujours la belle Sylvie










Par Peter Pan - Communauté : Scorpion-sexy
Ecrire un commentaire - Voir les 8 commentaires
Mardi 6 octobre 2 06 /10 /Oct 16:55




   Lise n’en peut plus, elle non plus, elle se laisse tomber sur le tapis, étreint l’Italienne qui gémit, lui arrache son corsage, sa jupe, lui écarte les cuisses, plonge la tête dans la toison noire et suce goulument les lèvres ruisselantes. Le gémissement d’Amanda monte à l’aigu, puis s’interrompt.

-        Attends, attends, halète-t-elle, moi aussi, comme toi…

   Des vêtements volent dans la pièce, Lise voit le beau corps blanc l’enjamber, le sexe rouge et noir s’abaisser sur sa bouche tandis que la tête d’Amanda disparaît dans son buisson cuivré…

Puis elle voit aussi la porte s’ouvrir et Philippe entrer, rouge comme un coq, tout nu, la verge en avant. Il marche vers le couple tête-bêche, que secoue un lent mouvement de roulis, puis s’arrête, les bras ballants, l’air indécis.  «  Il ne sait plus par quel bout nous prendre ! » songe Lise, amusée, malgré sa folle excitation. Elle lui tend les mains. Philippe s’agenouille derrière Amanda dont les fesses luisent comme deux conques de nacre au-dessus du visage de Lise qui sourit au jeune homme, et prend dans la main la tige dure qui la domine. Elle la caresse sur toute sa longueur, retrousse la peau sur le gland distendu, se crispe autour de la base. Puis de l’autre, elle entrouvre les fesses d’Amanda. L’Italienne gémit, se cambre, creuse les reins.

-        Amanda, souffle Lise, il manquait quelque chose à notre jeu, quelqu’un plutôt. Il est là, Philippe est là, tu le veux ?

   Les fesses s’écartent un peu plus, comme en réponse.

-        Tu le veux là où Angelo t’a prise ?

   Les fesses s’ouvrent d’avantage, l’orifice sombre apparaît, palpitant, au milieu de la raie noire et rose. Lise prend le sexe brandi, le place contre le bourrelet de chair.

-        Va ! ordonne-t-elle d’une voix rauque.

   Philippe pousse. Il voit son gland écarter peu à peu l’anneau de chair qui se contracte, se détend, se contracte à nouveau. A chaque spasme il s’enfonce un peu plus. Puis, d’un seul coup, son  gland s’engage jusqu’à la base, Amanda redresse la tête, pousse une plainte sourde. Aussitôt, Lise tend la bouche et, la langue tendue, se met à fouiller largement la fente rouge ouverte devant elle. La plainte d’Amanda se transforme en un halètement rauque.

-        Oui…oui…enfonce…encore…Là…Je te sens descendre…Oui…

   Philippe glisse lentement dans le fourreau brûlant qui le serre à lui faire mal. Il a l’impression que son gland va se déchirer sous les contractions spasmodiques, de plus en plus rapides. Sous ses mains, les fesses d’Amanda sont devenues dures comme du marbre. La tête de l’Italienne est à nouveau plongée entre les cuisses de Lise qui, les yeux grands ouverts, darde la langue dans le creux rouge sang qui bée au-dessus d’elle.

   Soudain Lise détourne la tête, regarde Philippe, lui sourit.

-        Elle va jouir, souffle-t-elle ; mais toi, ne jouis pas, chéri, je veux que tu jouisses dans moi.

   Et, comme si elle voulait arrêter le plaisir que Philippe sent monter en lui, elle saisit d’une main le sac de peau qui pend entre les jambes du jeune homme et le presse si fortement que Philippe pousse une plainte.

-        Et maintenant, fais-la jouir, elle !

   Philippe se cabre, donne un coup de reins, puis un autre. Amanda se redresse sous les secousses et gronde.

-        Là, oui, comme ça, que c’est bon, que tu m’encules bien !

   L’étui de chair se resserre encore, Amanda halète, crie des syllabes sans suite, gémit, râle, sanglote en répétant sans cesse le même mot italien que Philippe ne comprend pas et s’affale enfin sur le côté, le corps parcouru de frissons. Lise se dégage, se redresse sur les genoux. Les cheveux fous, les yeux étincelants, elle fixe sur Philippe un regard impérieux.

-        A moi ! dit-elle.

   D’un geste elle désigne le lit, s’y précipite, les cuisses écartées, comme l’autre fois. Philippe se rue sur elle. Mais au moment où il va la prendre, elle s’écarte.

-        Etends-toi sur le dos.

   Il obéit sans comprendre. Il voit Lise lui tourner le dos, l’enjamber, s’accroupir et se laisser descendre sur le pieu qui l’empale.

-        Amand, viens !

   Toujours la voix impérieuse. L’Italienne obéit, elle aussi, se lève, s’approche du lit.

-        Couche-toi là, devant nous, lèche-nous tous les deux en même temps.

   Presque aussitôt, Philippe sent sur la base de sa queue, sur ses couilles, le long de la raie des fesses une langue chaude qui passe, disparaît, revient. Des lèvres se pressent à l’endroit exact où il s’enfonce dans Lise qui accélère son va-et-vient en grondant.

-        Oui, lèche, encore, mon bouton maintenant…Là…Lèche-le, mords-le doucement. Mords-moi aussi…ta langue, ta langue sur mon bouton…plus vite…Et maintenant Philippe, maintenant, tu peux jouir…Va…va…va…

   Philippe éclate, se répand, se vide, son gland le brûle comme s’il était à vif. Chaque spasme est si violent qu’il a l’impression de ne plus pouvoir en émettre un autre. Mais chaque fois, une contraction de Lise lui arrache une autre parcelle de substance qui gicle, s’écoule, remplit la chatte, glisse jusqu’à la bouche d’Amanda qui s’affole, s’ouvre, lape goulûment les traînées de plaisirs mêlés. Lise hurle, d’une voix que Philippe ne lui a jamais connue. Puis le hurlement s’interrompt net, le beau corps brun s’arque, se détend, s’écrase contre celui de Philippe qui se sent couler dans une torpeur irréelle.

   Quelques minutes ou quelques siècles plus tard, des lèvres fraîches se posent sur les siennes.

-        Je pars Philippe, il faut que j’aille chercher Jacques chez le dentiste.

   Jacques…Le dentiste…C’est donc pour le conduire chez le dentiste que Lise l’avait pris dans sa voiture…Philippe sourit sans ouvrir les yeux.

-        Mais toi reste, continue Lise ; Amanda serait ravie de t’avoir un peu à elle, n’est-ce pas Amanda ?

-        Oh oui, souffle une voix toute proche tandis qu’un corps potelé et soyeux se presse contre Philippe.

-        A moins que tu ne sois trop fatigué, dit Lise ; Amanda, crois-tu qu’il est trop fatigué ?

   Philippe sent deux mains étonnamment douces, le palper et, aussitôt, la chaleur se rallume au fond de son ventre.

-        Je ne crois pas, Madame Lise, dit la voix d’Amanda : regardez…

-        Superbe, dit Lise en riant ; eh bien je vous laisse, mes tourtereaux. Amanda, déjà !!!

-        Ce ne sont plus des doigts qui palpent Philippe. C’est une bouche, une langue, des lèvres pulpeuses.

-        Ah ! Vous êtes bien beaux tous les deux, soupire Lise, et si je n’avais pas à faire…C’est égal, Philippe, j’espère que tu ne traiteras plus jamais Amanda de couturière imaginaire…

 

                             A Suivre (peut-être)

 



Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Samedi 3 octobre 6 03 /10 /Oct 12:18

Que la vie serait triste et fade sans les Femmes
Sylvie en est une belle illustration.




Par Peter Pan - Communauté : les blogs persos
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Mardi 29 septembre 2 29 /09 /Sep 16:50



-        C’est une idée ça souffle Lise ; nous allons parler un peu plus fort pour qu’il entende, pour qu’il croie que nous faisons des choses ensemble. Tel que je le connais, il finira par être tellement excité qu’il débouchera ici comme un taureau furieux. Et il nous trouvera là, bien sages et bien décentes, qu’en dis-tu ?

-        J’en dis…J’en dis que si vous continuez à me caresser comme ça, je ne resterai pas très longtemps décente, murmure Amanda.

   Lise sourit, libère les seins palpitants, se tourne vers la porte.

-        Il fait horriblement chaud, chez vous, Amanda, dit-elle d’une voix normale ; si je m’écoutais, j’enlèverais tout, même mes dessous…

-        Mais faites donc, Madame Lise, réplique Amanda les yeux brillants.

-        Je ne vous choquerais pas ?

-        Allons donc ! Au contraire ! Vous êtes si belle, Madame Lise, bronzée comme ça, de partout. Et cette poitrine !

-        La vôtre est belle aussi, Amanda. Je parie que vous ne portez pas de soutien-gorge, montrez…

   Instinctivement la main d’Amanda se porte à son corsage, puis s’interrompt.

-        Magnifiques ! s’exclame Lise ; mais vous aussi, vous avez chaud ma pauvre ! Allons, mettez-vous à l’aise, comme moi ! Entre femmes, il n’y a pas à se gêner !

-        Mais si jamais votre neveu entrait ? demande Amanda.

-        Lui ? Il n’osera pas. D’ailleurs, il doit dormir, votre muscat l’a assommé…Voilà, on est mieux ainsi, non ? Vous êtes superbe, Amanda, vraiment !

-        Dommage que je sois aussi…chevelue, là, en bas, une vraie crinière ! Vous au moins, Madame Lise, c’est blond, c’est soyeux, on dirait des cheveux. Moi, c’est du crin, touchez…

   Cette fois, c’est la main de Lise qui se tend vers le ventre de l’Italienne, se pose sur le mont de Vénus proéminent, s’y attarde.

-        Chut ! souffle Amanda qui rosit, on joue seulement, non ?

-        C’est vrai murmure Lise avec regret ; c’est incroyable, dit-elle d’un ton plus haut, une vraie forêt ; mais ils ne sont pas si durs que vous le dites, Amanda ; ici, entre les cuisses, écartez-vous un peu, ils sont très doux, comme les miens, tenez…ici…

-        Oh, Madame Lise, dit Amanda d’une voix un peu rauque, comme elle est agréable votre main, si vous saviez…

-        Je ne demande qu’à savoir, dit Lise, que cette petite comédie commence à enfiévrer.

-        Je peux, vraiment vous toucher…là ? demande l’Italienne.

-        Mais bien sûr, dit Lise en écartant les jambes sans le savoir.

   La main d’Amand glisse sous sa jupe, remonte, caressante, le long des cuisses, un doigt s’insinue sous le bord du slip, écarte la fente, presse le bouton. Lise frémit, se raidit.

-        C’est bon n’est-ce pas ? dit Amanda.

-        Exquis, murmure Lise en reculant d’un pas ; mais si nous commencions cet essayage, Amanda ? Et racontez-moi où vous en êtes avec votre Angelo et sa petite coquine. Vous avez recommencé à trois ?

-        Eh bien oui, avoue Amanda ; je m’étais bien jurée pourtant…Il faut dire qu’il m’a prise par surprise, le voyou. Il est donc revenu avec sa coquine, comme vous dites si bien, mais cette fois, me dit-il, c’était vraiment pour un essayage, et rien d’autre. Elle voulait un ensemble pantalon-boléro. Je lui prends ses mesures, tout se passe normalement. J’arrive à la longueur de jambes. Je place mon mètre ruban, ici, au pied, je me mets à genoux devant la petite et je remonte ma main, comme ça, jusqu’à l’entre-jambe, comme je vous fait Madame Lise. Et voilà que dès qu’elle me sent là, elle portait pourtant un slip, la petite se met à gigoter comme une folle, à se frotter sur ma main.

   « Eh là, pas de ça, on travaille », je lui dis. Elle fait semblant de ne pas entendre, elle se frotte plus fort, je la sens qui devient toute chaude, tout humide et ça commence à me faire quelque chose, vous me comprenez, Madame Lise, mettez-vous à ma place…

-        Oh, je comprends très bien, à moi aussi, ça commence à me faire quelque chose, Amanda.

-        C’est vrai ? Laissez-moi voir, Madame Lise.

   L’Italienne se met à genoux, la main disparaît sous la jupe, le doigt reprend sa place sous le slip. Lise le sent glisser dans sa fente, s’enfoncer lentement. Et, cette fois, elle n’a plus le courage de reculer.

-        C’est vrai, dit l’Italienne d’une voix de plus en plus rauque ; vous êtes encore plus mouillée qu’elle, Madame Lise. Alors, en sentant ça, je n’y tiens plus, je glisse un doigt sous son slip, puis un autre, comme ça, vous sentez, puis j’approche ma bouche, comme ça, et je souffle du chaud sur son mont de Vénus à travers le slip, comme ça, Madame Lise…

   Lise pousse un petit cri aigu et oublie complètement le jeu. C’est extraordinaire, cette haleine chaude qui pénètre à travers l’étoffe et l’envahit, tandis que les deux doigts continuent à la fouiller profondément

-        Elle a crié comme vous, Madame Lise. Mais à ce moment là, j’ai senti brusquement quelque chose dans mon dos. C’était Angelo qui me retroussait, par derrière, qui me baissait mon slip, et qui m’enfonçait son machin d’un coup, jusqu’au fond. Heureusement que j’étais trempée moi aussi sinon il m’aurait déchirée, le voyou ! Mais, comme ça, c’était bien, il était énorme…

-        C’est presque dommage que Philippe dorme, murmure Lise, le visage tourné vers la porte.

-        Oh, mais il ne voudrait pas jouer à ces jeux là, murmure Amanda ; et surtout pas la suite, attendez ! C’était comme s’ils avaient réglé leurs mouvements d’avance. Au moment où Angelo entre, la petite baisse son slip, écarte les jambes et se colle contre ma bouche, comme ça, Madame Lise.

   Lise qui tient sa jupe troussée jusqu’à la taille, voit l’Italienne faire descendre son slip sur ses jambes, lui ouvrir la fente avec les pouces, approcher les lèvres…Et, aussitôt, elle pousse un nouveau cri, plus aigu. Qu’importe Philippe ! Tout ce qui compte maintenant, c’est cette langue qui la fouille, ces lèvres qui la sucent…

-        C’est merveilleux, ce goût, dit Amanda, haletante, et j’aime vous entendre crier, Madame Lise, comme l’autre coquine. Mais à peine avait-elle crié, que, comme sur un signal, Angelo se retire, puis revient mais…ailleurs, je ne sais pas comment vous dire, Madame Lise, je sens sa bite se pousser là où elle ne devrait pas être, et entrer de plus en plus loin. J’essaye de m’écarter, mais il me tenait bien, le voyou, il avait mis une main entre mes cuisses et enfoncé trois doigts, allez bouger quand vous êtes comme ça, et puis j’étais terriblement excité, il ne m’avait jamais prise ainsi. Ça m’avait fait mal, au début, mais plus il s’enfonçait, plus ça devenait agréable et quand il est arrivé tout au bout, c’est devenu formidable, je sentais son sexe aller et venir dans mon ventre, et la petite qui nous regardait en criant et en jouissant dans ma bouche…ah ! Lise, Lise, je n’en peux plus…

 

                             A Suivre

 

 


Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : les blogs persos
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires

Pages

Le blog de Peter Pan

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Novembre 2024
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30  
<< < > >>

Derniers Commentaires

me contacter

Texte Libre

Compteur de visiteurs en lignes

Texte Libre

Texte Libre

Texte Libre

Compteur Global

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés