A présent, Esther était couchée contre moi, toute frémissante. Elle m’embrassait le ventre et la poitrine par de petits baisers chauds qui couraient sur mon corps comme des fourmis ou des abeilles d’amour !
On sentait qu’elle avait quelque chose à se faire pardonner. Si elle avait su que c’était plutôt le contraire, elle aurait certainement eu une tout autre attitude !
- Alors ma chérie, tu t’es bien amusée cette nuit ?
- Oui, et cette fois c’est moi qui ai fait le mec avec Nicky !
- Ah ! ce qui veut dire… ?
- Eh bien ! c’est moi qui l’ai baisée !
- Tu l’as sucée aussi, je suppose !
- Ouiiii ! Et elle aussi.
- Et ça t’a plu ?
- Pas mal !
- C’était mieux qu’avec moi ?
- Mais ce n’est pas du tout la même chose !...Les baisers et les caresses des filles ont une douceur et une violence que n’ont pas celles des garçons. Ça paraît contradictoire et pourtant c’est bien cela…C’est précisément cette douceur qui permet cette violence. Tu comprends ce que je veux dire ? Par exemple, si tu m’embrassais ou me suçais, et même si tu me baisais avec la fureur de Nicky, tu me déchirerais la bouche et me ravagerais la chatte, tu comprends ?
- Mais très bien ! D’ailleurs tu as pu faire la comparaison cette nuit, puisque tu avais le garçon et la fille sous la main en même temps…Bob s’est bien un peu mêlé de la conversation, je suppose ?
- Esther leva vers moi des yeux presque suppliants tandis que ses joues rougissaient…
- Oh ! Qu’est-ce que tu vas penser ?
- Tu ne vas pas me dire qu’il est resté en spectateur ?
- Il agissait, lui aussi…A un certain moment, pendant que je suçais Nicky, il l’enculait.
Cette précision me fut terriblement désagréable à entendre et je répondis assez sèchement à Esther…
- Je te demande ce que Bob a fait avec toi et non ce qu’il faisait avec sa femme. Ça ne me regarde pas !
Esther encore une fois se méprit sur la raison de ma nervosité. Il fallait que je change de tactique si je voulais apprendre quelque chose.
- Tu sais ma chérie, lui dis-je du ton le plus amoureux que je pus, je t’aime suffisamment pour que tout ce qui peut te faire plaisir me fasse plaisir également. Tu n’as donc pas à te gêner pour faire aussi bien avec Bob qu’avec Nicky, tout ce qui te plait…Tu ne dois pas te gêner non plus pour tout me raconter. C’est une preuve de confiance que je te demande.
Esther fut très émue de ce petit discours hypocrite.
- Oh mon chéri, tu es merveilleux !!!
En disant ces mots, elle se blottit contre moi avec un élan qui n’était pas feint.
- Alors tu es décidée, cette fois à tout me raconter ? Vous avez fait une partie à trois, n’est-ce pas ?
- Evidemment ! Mais Bob s’occupait bien plus de sa femme que de moi.
- C'est-à-dire ? N’aie pas peur, ma chérie, je ne te dirai rien….
En disant cela, je serrai contre moi ce paquet tendre de chair tiède et humide encore…Mes doigts caressaient ses cheveux tandis que mes lèvres couraient, légères, sur son cou, ses épaules, à la naissance de ses seins…
- Dis-moi tout, chérie !
- Eh bien ! oui, Bob m’a un peu caressée…
- Il t’a embrassée ?
- Un peu…
- La bouche ?
- A peine
- Les seins ?
- Oui…surtout les seins…
- Il t’a sucée aussi ?
- Oui…
- Et toi, que faisais-tu, pendant ce temps ?
- Moi, je suçais Nicky.
- Et elle ?
- Elle suçait son mari !
A suivre
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