PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
Lise maîtrise un sursaut. « Eh bien ! Il en a des audaces, le respectable professeur ! Mais il a bon goût, ça il faut l’avouer… »
- Tu ne crois pas, demande-t-elle doucement, qu’il a justement eu peur de te faire mal ?
- Il a dit…Il a dit qu’il voulait me laisser pour les jeunes. Comme si j’étais une part de tarte.
- Que tu es sotte ! Au fond tu es encore une petite fille, tu crois qu’il suffit de s’en remettre aux adultes pour que tout marche bien. Mais il a raison, Bernard, entre jeunes c’est beaucoup mieux. Pour lui, tu ne peux être qu’une expérience de plus. Pour Philippe par exemple, tu serais quelque chose d’unique, dont il se souviendra toute sa vie.
- Tu crois ?
- J’en suis sûre.
- C’est vrai, dit Hélène en se rengorgeant, que Philippe est amoureux de moi.
- Comment le sais-tu ?
- Je la sais parce que je…parce que Jacques l’a lu dans son journal !
- Philippe tient un journal ? demande Lise, émoustillée.
Elle se promet d’aller voir un jour quelle place elle y tient.
- Oui, et Jacques a lu ce que Philippe voudrait me faire.
- Nous y voilà ! Et qu’est-ce que Philippe voudrait te faire de si terrible ?
- Il veut entrer en moi. Il ne pense pas que cela me fera mal. Il…
- Mais ma pauvre chérie, si cela te fait mal ou si tu as peur, tu n’as qu’à lui dire ! Tu es sûre qu’i t’aime ?
- Certaine.
- Alors tu ne crois pas qu’il fera tout ce que tu lui demandes ? Il sera très doux avec toi. Tu imagines ce que ce pourrait être ? Tu étais déjà excitée tout à l’heure quand je te touchais les seins en parlant de lui ; et moi je ne suis qu’une femme, et je suis ta tante. Imagine lui, qui est un garçon et qui t’aime, ce que ce sera quand il te caressera ! Cela te fera tant de plaisir que tu t’ouvriras toute seule. Tu n’auras plus peur, tu en auras tellement envie que c’est toi qui lui demanderas de te faire l’amour.
- Et alors ? demande Hélène, de plus en plus rose.
- Et alors, quand tu seras vraiment sûre de vouloir, il te préparera d’abord doucement, avec son doigt pour t’élargir…
- Comment ? Il n’entrera pas avec…avec son…
- Si, bien sûr, mais pas tout de suite. Il le posera d’abord contre toi, contre ta fente, et tu aimeras tellement ça que tu le pousseras toi-même à l’intérieur. Comme il t’aime, il enfoncera seulement la pointe. Puis, à mesure que tu t’élargiras, il s’enfoncera un peu plus, mais seulement quand il sentira que tu es prête à le recevoir, que ça te fait plaisir, que tu ne souffres pas.
- Et ça me fera vraiment plaisir ? Raconte encore…
- Ça, ma chérie, tu le verras toi-même. Ce n’est pas quelque chose qui se raconte, tu sais. Ça se fait…
Un ange passe. Ou un démon ? La tante et la nièce sont là toutes deux, les seins nus, à se regarder, un peu haletantes. En décrivant la façon dont Philippe fera l’amour à Hélène, Lise revoit la queue de Philippe brandie devant sa bouche, elle croit presque en sentir la saveur. Une moiteur chaude naît au bas de son ventre et ses seins durcissent sous les yeux d’Hélène, manifestement troublée.
Lise tend la main vers sa nièce, soupèse un des petits fruits tendres.
- Tu sais, dit-elle, si tu veux vraiment avoir l’air d’une femme, tu devrais porter un soutien-gorge.
- Je n’en ai pas.
- Tu veux que je t’en prête un ?
- Mais il sera trop grand pour moi.
- J’en ai un qui devrait t’aller parfaitement. Après tout ma poitrine est à peine plus grosse que la tienne. Elle est simplement mieux maintenue.
- Tu crois ?
- Mais oui, ils sont presque pareils. Tiens, prends-en un dans une main, tu verras.
Lise donne l’exemple, tient dans une main un de ses seins et dans l’autre un de ceux d’Hélène qui hésite un peu, puis l’imite.
- Oh non, soupire-t-elle, le tien est plus gros. Et quand je le fais remonter, regarde, il est comme un melon. Oh ! Lise, comme ils sont beaux tes seins !
Hélène palpe maintenant Lise des deux mains et Lise sent une grande faiblesse monter au creux de ses genoux. Elle est prête à défaillir, à prendre dans sa bouche les deux petits bourgeons tendus, elle donnerait n’importe quoi pour qu’Hélène en fasse autant…Et il lui semble que peut-être, Hélène ne demanderait pas mieux, qu’il suffirait de l’attirer vers elle, de lui glisser entre les lèvres une pointe de sein pour qu’elle se mette aussitôt à la lécher comme un petit animal glouton…Et après…
Lise se raidit, se reprend. « Il ne sera pas dit que Bernard soit le seul à pouvoir se tenir, à avoir l’esprit de famille ». L’expression saugrenue en la circonstance la fait pouffer. Hélène, surprise, la regarde, s’écarte.
- Un peu de patience, dit Lise, et les tiens seront aussi beaux que les miens, plus beaux sans doute.
- Mais les tiens sont bronzés. Les miens sont blancs, c’est laid ! Oh Lise ! Est-ce-que tu me permettras de venir me bronzer dans ton solarium ?
- Quand tu voudras, chérie. Mais le plus important maintenant, c’est que tu portes un soutien-gorge. Viens, referme ton corsage, ajoute-t-elle en se rajustant, et allons en chercher un dans ma chambre.
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