Jeudi 26 novembre 4 26 /11 /Nov 10:57




   Là, viens t’étendre près de moi, viens, sage, prends-moi contre toi, sage, embrasse-moi, ainsi, doucement, c’est vrai que j’ai un goût de mer et de sel, sage…Je sais, mon chéri, tu es tout dur, tout tremblant, tu es comme une grosse pierre contre ma cuisse, comme sur la plage quand on s’étend, et qu’il y a un gros galet quelque part qui vous gêne mais on est trop bien pour bouger, je suis bien, Philippe, mon amour et tu m’as fait jouir, pour la première fois, comme personne, jamais, ne m’avait fait jouir, laisse moi toucher tes lèvres, et ta langue, elle est bonne, je l’aime, c’est elle qui m’a fait jouir, donne-la-moi, dans ma bouche, enfonce ta langue entre mes lèvres, comme tout à l’heure dans mon con, oui…

   Je sais, mon pauvre amour, tu trembles, tu meurs d’envie de jouir, et je vais te faire jouir, et je vais jouir encore, moi aussi, nous allons jouer, nous allons jouir, jouer à faire un autre rêve, un rêve avec Lise, étends-toi sur le dos, ainsi, les genoux relevés que je m’appuie sur eux et maintenant, regarde, je t’enjambe, je m’assieds au-dessus de toi, je m’abaisse lentement, à la rencontre de ta queue, et je la vois, dans la glace, là-bas, qui monte peu à peu vers moi, comme une bête, comme une épée, comme une queue, ah, là, oui, je la sens, elle me touche, Philippe, je sens ton gland glisser sur mon con humide, et c’est comme un baiser terrible, c’est comme une torture merveilleuse, je m’abaisse un peu plus, ma fente s’ouvre, ton gland pénètre, il est gros, il m’écarte, il m’élargit, là, oui, je le prends, je l’accueille, les lèvres de ma chatte se referment sur lui, là, je te sens logé dans moi, tout brûlant, tout tremblant, et je me frotte sur toi, et je sais que tu n’en peux plus et que tu ne rêves que d’une chose, c’est de t’enfoncer, de m’empaler sur toi. Tu peux, Philippe, si tu veux, maintenant, tout de suite, tu peux me prendre les fesses dans tes mains et m’attirer sur toi, je m’empalerai d’un seul coup, tu peux Philippe, mon amour, veux-tu ? Philippe tu es tout pâle, tu gémis comme si je te torturais, tu es beau comme un dieu, Philippe, je sens ta queue grossir encore dans ma chatte, Philippe , je sais que tu vas jouir, que tu veux jouir, que tu jouis, jouis mon dieu, jouis mon homme, jouis, ton plaisir gicle dans moi, il me trempe par saccades, c’est chaud, c’est laiteux, c’est épais, tu m’inondes, tu me noies, cela coule le long de mes cuisses, et j’aime, j’aime tellement que je voudrais en boire, que je voudrais te boire, jouis, Philippe, mon amour, oui, mon amour, oui…

   Là, je m’étends tout contre toi, je te serre, je te berce, tu es tout engourdi et c’est moi qui ne suis plus sage, qui ne peux plus être sage, je brûle en bas, je brûle de partout, je sens encore la marque de ton gland à l’intérieur de ma chatte, là où ton plaisir et le mien se sont mêlés. Philippe, mon amour, tu dors, tu dors déjà, je ne suis pas encore à toi, tu sais, pas encore, pas tout à fait, tu es entré en moi, mais tu ne m’as pas encore prise, pas jusqu’au fond, pas jusqu’au bout, ne t’endors pas, d’ailleurs je t’empêcherai bien de dormir, je ne te laisserai pas t’endormir, je ne laisserai pas ton ventre s’engourdir, ni cette petite chose-là, cette chose molle et ridée, rester ainsi entre tes cuisses, inutile, sans emploi, je vais la réveiller, moi, ainsi, entre mes doigts, ainsi, oui, la pauvre petite, déjà, déjà moins petite, elle ne dormait que d’un œil, l’œil trouble, au milieu, qui palpite, grandit, là, elle est déjà plus qu’à moitié belle, je la retrouve, je te retrouve, mon épieu, mon gourdin, bonjour, ma queue…Ne bouge pas, laisse-toi faire, laisse-moi faire, je veux, c’est encore une part du rêve, avec Lise, avec moi, je ne sais plus, qu’importe, voilà, je descends lentement vers toi, les lèvres en avant, la langue en avant, à la rencontre de ta queue, et toi tu ne veux pas, peut-être, toi tu te débats, tu protestes, mais ta queue, elle, ne proteste pas, ta queue, elle, sait ce qu’elle veut, et ce qu’elle veut, c’es moi, c’est ma bouche, mes lèvres, ma langue…Tiens, la sens-tu, ma langue, sur ton gland, le long du filet, dans le creux de la petite bouche palpitante où la perle est blanche, maintenant, salée, et toi aussi, tu as un goût de mer, et de fruit, un fruit âcre et acide, un fruit sauvage, donne, donne le fruit que je l’enfonce dans  ma bouche comme une bête prisonnière qui cherche à fuir, qui cherche à mordre, il me remplit, il distend mes lèvres, mes joues, comme il va distendre ma fente, mon con, ma chatte, tout à l’heure, maintenant, tout de suite…

   Tout de suite, oui, Philippe, oui, tout de suite, je suis prête, nous sommes prêts tous les deux, je m’étends, pour toi, nue, ouverte, je m’étale, je m’écarte, je m’ouvre, viens te placer entre mes cuisses, regarde, je m’ouvre à deux mains pour mieux t’accueillir, pour mieux te faire voir, viens, oui, viens, je veux, je veux ta queue dans mon con, maintenant, tout de suite, là…Là, je te sens, je sens ton gland retrouver le chemin de mon con, il m’écarte, m’envahit, me prend, il s’enfonce, viens, oui, plus loin, là, oui, je sais, tu es allé aussi profond qu’il t’est possible sans me faire mal, mais maintenant, il faut forcer le passage, viens, oui, force, oui, j’ai mal, oui, force encore, j’ai mal mais force toujours, ta queue monte dans moi comme une bête qui mord, qui déchire, qui dévore, ta queue me mange, force, ah, que j’ai mal, mais va, va, je veux sentir ta bête plus loin, plus profond, même si elle mord, même si elle arrache en passant, mords, arrache, oui, j’ai mal, n’aie pas peur, même si je crie, même si je pleure, même si je saigne, entre, c’est pour toi que je crie, que je pleure, que je saigne, entre, oui, prends-moi, prends ta femme, je te la donne, je me donne, je te donne mes larmes et mon sang, là, encore, dieu que j’ai mal, dieu que je t’aime, oui…

   Là, tu es en moi, ma queue, ma bête, mon homme, tu es en moi jusqu’au fond, tu m’occupes de ta présence énorme et brûlante, tu m’envahis, tu me possèdes. Et tu bouges encore et encore, c’est comme un pieu dans la terre, comme un soc dans un champ, comme une proue dans la vague, j’ai mal, je pleure, mais il y a autre chose qui naît, très lentement, tout au fond de moi, la où ta bête me mord le plus, quelque chose qui monte, comme une petite étincelle palpitante qui s’éteint, se rallume, s’éteint, se rallume encore, devient plus forte, plus vive, plus brûlante, s’étend, devient une flamme, je brûle, j’ai mal encore, mais j’ai mal et bien, je pleure encore, mais de joie, Philippe, mon amour, bouge encore, bouge ta queue dans ma chatte, bouge, enfonce, enfonce, oui, la flamme augmente, elle me brûle le ventre, partout, je ne sais plus si je saigne ou si je mouille, je ne sais plus si je pleure ou si je jouis, Philippe, oui, oui, oui, ta queue encore, plus fort, plus dur, tu deviens de plus en plus beau, tes lèvres se retroussent, tes yeux chavirent, encore, oui, encore, la flamme monte, elle me dévore, il n’y a plus rien en moi qui ne brûle, Philippe, mon chéri, mon amant, mon homme, il n’y a…jamais eu…rien de pareil…au monde…je viens, oui…et tu vas venir, je le vois…tu souffles comme un fauve qui meurt…et ta bête éclate dans moi, je la sens, je sens cette coulée de lave…et moi…aussi…j’éclate, mon ventre éclate, il n’y a jamais eu un tel plaisir…au bout d’une telle douleur…Je jouis mon amour…je jouis…avec toi…je suis tordue comme par un feu…le feu coule…comme mon sang…je jouis…ouiiiiiiiiii, encore…encore…oui je jouis et je n’en finis pas de jouir et je ne finirai plus jamais de jouir, il n’y a pas de fin à ceci, tout commence, oui, tout recommence, oui, je t’aime, Philippe, oui, mon amour, et c’est le commencement de tout.

 

                                 FIN



Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Hommage à la Féminité
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