Mardi 27 décembre 2 27 /12 /Déc 23:29

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Partagée au cinéma (Merci Revebebe)

J’étais alors étudiant en première année d’architecture, dans une école où se mélangeaient les jeunes architectes, et les graphistes de pub…

Dans cette prestigieuse école parisienne se trouvaient des jeunes de tous les pays. Et en particulier une sublime américaine, aussi stupide que belle. Tous les copains (archis comme graphistes) fantasmaient sur elle, tant parce que son physique était proprement hallucinant, que par l’insondable bêtise dont elle faisait preuve… Vous me direz, c’est tellement facile de se moquer de la "blonde stupide"… Oui, mais là, c’était on ne peut plus réel.

 

De mon groupe d’archi, j’étais le seul à maîtriser l’anglais, grâce à un passage de trois ans dans un collège anglais, et du fait, j’étais le seul à pouvoir "m’occuper" d’elle, lui faire découvrir Paris, les sorties, les cafés, enfin, les mille et un attraits de la ville…

Le schéma classique, quoi… La drague de base, on se promène, on se frôle, on se serre l’un contre l’autre, tout ça plein de romantisme à deux balles, et puis, le soir venu, le dîner, le pot, le dernier pot chez moi, la drague qui s’alourdit, le premier baiser, et la bonne partie de cul.

Et là, surprise, Mary se révéla super chaude, obsédée, pleine de fantasmes qu’elle me décrivait pour nous exciter encore plus (comme si j’en avais besoin !)…

Et puis, une certaine tendresse, en amour le cerveau sert peut, finalement.

 

Le lendemain, une certaine jalousie se voyait sur les visages des copains, surtout parce que Mary se collait à moi, avec l’idée précise de vivre avec moi, et que je n’étais donc pas "un coup d’un soir"…

J’étais fier, vous pouvez me croire.

Et puis, on emménagea ensemble dans un petit studio non loin de l’école, bien parti pour une vie de couple comme on en rêve.

Le seul point qui me dérangeait, c’était ces fameux fantasmes qu’elle décrivait si bien lors de nos ébats.

Je ne peux pas dire que ça ne m’excitait pas, non, mais quand elle commençait à décrire des scènes avec d’autres mecs, qui la prenaient par tous les trous, devant moi, me demandant si j’en avais envie… Ben… Euh… pas trop, non.

Et puis, après l’amour, elle ne revenait jamais sur ces idées, un peu comme si cela ne devait faire partie que de notre intimité…

Mais dans ma tête, finalement, je finissais par la voir en rêve, prise par deux ou trois mecs, inondée de sperme chaud, un filet coulant de ses lèvres superbes, ses seins magnifiques tachés de foutre, sa chatte blonde étroite complètement distendue par le passage de toutes ces queues…

Bref, je ne finissais pas en avoir envie… pour de vrai.

 

Un soir, on était assez chaud, et tout en marchant dans la rue, on commençait à parler de ce fantasme, moitié en rigolant, moitié l’air coquin, histoire de voir si l’autre suit.

Finalement, elle me dit qu’elle voudrait bien essayer maintenant.

 

·                         — Tout de suite ? Dans la rue ? lui demandais-je.

·                         — Oh, no ! Pas dans le rue ! Si tout le monde nous voit, ils vont appeler la police, no ?

·                         — Bon, pas dans la rue… Mais alors ? Chez nous ?

·                         — No !!! Dit-elle, l’air choqué. Chez nous c’est le intimité ! C’est rien qu’à nous ! Il faut que tu trouve un endroit mieux !

·                         — Bon, pas dans les toilettes d’un resto, ça pue… Dans un cinéma ?

·                         — Oh yes !!! Son visage s’éclairait ! Tu veux qu’on le fasse dans le cinéma ?

·                         — Et bien, ma chérie, si ça te fait plaisir…

·                         — And You ? Humm ? Ça ne te ferait pas du plaisir ?

 

Son regard allumé, gourmand, m’empêchait de la contredire…

 

On rentra à la maison, et elle s’habilla pour la circonstance. Il faut que je vous la décrive, tout de même. 1 m 82, cinq centimètres de moins que moi, blonde vénitien, des yeux vert sublimes, une bouche avec de belles lèvres retroussées naturellement, une poitrine (95 D) à faire bander un saint, avec de tout petits tétons, super sensibles. Des jambes à rendre jalouse Adriana K. Une petite chatte toute fine, avec un goût délicieux, étroite, et avec à peine une touffe de petits poils blonds juste au-dessus de son clito.

Bref, comme elle le dit elle-même : "une vrai bombe".

Bon, le point moins drôle, c’est une cervelle d’oiseau… Mais un cœur d’or, et un amour sincère et profond pour moi. Que je lui rendais bien.

 

Donc, elle s’habille. Un petit pull fin, collant, et pas de soutien-gorge. Ses seins ressortaient, et on devinait le téton pointant fièrement sous la laine. Une petite jupe, assez courte, et bien sûr, pas de culotte, ni de string. Quand elle se penche, on a une vue complète de sa chatte, de ces deux lèvres gonflées, entre ses deux fesses divines.

Là-dessus, une paire d’escarpins à talons, pas trop haut, elle ne voulait pas faire pute, quand même… Juste un sex-symbol !

 

Et nous voilà partis pour le cinéma de la rue de l’arrivée. Petites salles, films intellos, et la proximité de la rue de la Gaîté (qui à l’époque, était encore le Pigalle de la Rive Gauche, avec ses sex-shops, et ses putes sur le trottoir…).

On s’installe dans une salle, peu importe le film…

Il y a quelques mecs dans la salle, et Mary passe par le devant de la salle, en plein devant l’écran, pour qu’on trouve une place au milieu. Inutile de dire que tout le monde l’a bien vue !

On s’assoit, et les regards commencent à se tourner vers nous, discrètement.

Mary se colle à moi, et prends ma main pour la coincer entre ses cuisses. Elle est déjà moite, la peau colle, elle soupire. Je glisse vers sa chatte, et je la découvre trempée, limite fontaine. Elle écarte un peu les jambes pour que je lui titille son clito.

Je bande comme un fou, et elle commence à me masser la queue par dessus mon jean. Si ça continue, je vais jouir dans mon caleçon !

 

Elle ferme les yeux, commence à soupirer, je sens son clito gonflé à bloc, et je le pince entre le pouce et l’index, le faisant tourner doucement… Je sens ses lèvres qui s’écartent, la mouille qui commence à couler. Elle se cambre vers l’avant, remonte un peu plus sa jupe, et se retient de ne pas crier.

Elle n’en peut plus, me sort la queue du jean, et me branle carrément.

N’importe qui, pas loin de nous, ne pourrait rien rater de la scène.

Mais voilà, personne ne voit rien. Incroyable. Mary fait du bruit, proche de sa jouissance, et personne ne bronche.

Elle finit par jouir, bruyamment, et inonde son fauteuil de ses jets de mouille. J’en ai plein la main, poisseuse, et elle me la prend pour me lécher les doigts, comme on taille une pipe, tout en continuant de l’autre main à me branler.

Voyant que j’allais aussi exploser, elle se penche sur moi, m’engloutit la bite dans sa gorge, et je finis rapidement par jouir dans sa bouche pulpeuse. Elle se relève, la bouche pleine de sperme (elle n’avale jamais, elle n’aime pas le goût.) Et entrouvre ses lèvres pour que je voie bien le sperme sur sa langue…

 

Mary regarde autours de nous, et me dit d’un air déçu :

 

·                         — Dis donc, les Français, ils ne sont pas si obsédés que ça, hein ?

·                         — Si, ma chérie, mais on était discret, ils n’ont pas pu profiter de la scène…

·                         — Alors, pour le fantasme, c’est foutu ?

·                         — Tu veux vraiment, mon Amour ? Tu veux que des mecs te prennent, là, maintenant ? Avec ta chatte trempée ?

·                         — Oui, mon Amour, me dit-elle avec un air de chatte, je voudrais du sperme plein le pussy, et que tu vois ça…

·                         — Bon, on va aller dans les toilettes, alors.

 

 

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Par Peter Pan - Publié dans : textes érotiques - Communauté : Scorpion-sexy
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