PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
Suzanne suçait la pointe de mes seins tandis que la langue de l’homme s’était enfoncée dans mon sexe. Je n’étais plus que gestes incontrôlés, soubresauts et envie folle de me donner. Mes mains cherchaient ce qu’elles pouvaient bien caresser à leur tour. Je m’emparai bientôt du sexe de notre partenaire et le branlai vigoureusement. Ses dimensions étaient impressionnantes. Je n’avais pas l’impression qu’il fût allé jusqu’au bout avec Suzanne et je le sentais plein d’une sève que je voulais boire.
Maintenant, ma tête se trouvait entre ses jambes. Ma langue avide explorait le moindre carré de chair. Je ne voulais rien perdre, et rattraper le temps perdu dans l’autre pièce. Eux, de leur côté, s’occupaient de moi. Suzanne avait enfoncé deux doigts dans mon anus qu’elle ouvrait amplement. Lui continuait à me gamahucher. Prise de toutes parts, il ne me restait plus qu’à enfourner le membre qui me tentait si fort. Je le pris à pleine bouche. Mes lèvres eurent du mal à entourer le gland. La hampe emplissait complètement ma bouche, et chaque mouvement m’obligeait à enrouler ma langue autour de ses chairs durcies. Je massais ses bourses à deux mains, prête à les déchirer, tant mon excitation était grande. Par à-coups successifs, il était parvenu au fond de ma gorge.
Je me sentais prise sans merci. Alors que d’habitude j’ai l’impression de sucer librement l’homme auquel je consens une fellation, je voyais cette fois que c’était lui qui baisait ma bouche. Il l’avait transformée en sexe et s’y enfonçait avec la même force, me privant de la liberté de jouer avec lui. Il allait se répandre en moi, sans que je ne puisse rien contrôler. Je m’apprêtais donc à goûter ce nouveau plaisir, à avaler quand il le voudrait et à boire autant qu’il le souhaiterait.
C’est alors que je sentis les mains de Suzanne sur mon visage. Elle retira ce sexe de ma bouche et le prit à son tour. En assistant à cette pénétration nouvelle – car je n’étais qu’à quelques centimètres – je me sentis comme enivrée d’extase. Je voulus reprendre ce sexe et je poussai Suzanne. Mais elle résista. Elle dévorait ce membre avec une force incroyable. Elle était comme vissée à lui. Elle consentit à se retirer légèrement, pour que je puisse glisser la langue autour de cette queue enflammée. Nos salives se mêlaient, nos lèvres se touchaient et nous nous embrassâmes sur le sexe de cet homme qui se donnait à nous.
Les muscles de son ventre se tendirent d’un coup, ses fesses que je tenais à pleines mains se contractèrent. Il poussa un cri sourd et se répandit entre nos lèvres. Nous lapions tant bien que mal le foutre qui partait. Suzanne allait le chercher jusque dans ma bouche, éveillant en moi une jouissance aussi vive qu’une brûlure. Mais ce plaisir là ne me suffisait pas. Je voulais être pénétrée. Sans y être invitée, je me mis à genoux. J’offrais mon sexe et mo cul à n’importe quelle pénétration. A celle que l’un ou l’autre (ou, qui sait, les deux à la fois) consentirait à me donner.
Une langue que je reconnus comme étant celle de Suzanne vint aussitôt entre mes fesses, et je la sentis frétiller d’un trou à l’autre, de plus en plus rapidement. Anesthésiée par le plaisir, je perdais conscience de mon corps. Prise entre plaisir et douleur, j’aspirais à une jouissance qui ne pouvait venir que d’un instrument plus dur et plus franc.
L’homme dut le sentir. Il poussa Suzanne, vint derrière moi et s’enfonça d’un coup violent. J’étais si excitée que, dans un premier temps, je ne pus savoir s’il m’enculait ou me baisait. Je me donnais autant qu’on le peut, lorsque Suzanne enfila dans mon con un godemichet qui me ramena à une sensibilité…comment dire ? Plus « différenciée » !
Je crus d’abord qu’ils me déchiraient tous deux. Mais leur perversité était telle qu’après une phase d’une violence inouïe ils passèrent à un rythme si lent que je les suppliai de me « mettre », de telle sorte que j’atteignisse enfin au plaisir. Dieu merci, ils entendirent mon appel, et je fus emportée par un orage d’une extraordinaire sensualité.
Voilà, Monsieur, à vous de jouer maintenant. Donnez-moi des sensations. Je n’attends que ça !
Vôtre***
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Il se passe là des choses qui me sont totalement inconnues........
alors ça Lilly, ça m'étonnerait bien
bises
Eh bien dis donc ! Je débarque, je ne peux pas commencer par le début de l'histoire et me voilà emportée avec des aiguillons partout !
Comme quoi ...la neige peut fondre plus rapidement que prévu, lol !
Doux bisous mon Peter.
Lo ... de retour !
Ah ma LO, ma lectrice qui apprécie et qui revient se réchauffer sur les braises de mon blog
tu vas avoir du travail, surtout si tu dois te rafraîchir entre chaque récit
doux baisers
peter
un petit passage vite fait pour te remercier de ton commentaire sur notre blog a bientot bisous
mais vous pouvez vous attarder
bises
Je persiste: totalement inconnues.....
Bises!
baisers également
peter