PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
La salle du restaurant était dépeuplée depuis ce début septembre.
Les hôtes qui dînaient ce soir étaient des habitués ou quelques vacanciers tardifs. Quelques uns se parlaient à voix basse, les autres lisaient un journal ou un livre tout en dînant.
Ambiance feutrée, guindée pour une jeune fille de seize ans venue passer trois semaines en club de vacances !
Mais où étaient donc les membres de ce fameux club ? Disparus corps et biens à l’exception d’un grand mec tout sec, droit comme un « i », tiré à quatre épingles, maniéré tenant sa fourchette. Curieuse déjà et lui très bavard, je savais qu’il était chef de rang d’un restaurant réputé à Paris, célibataire, d’environ quarante ans, qui pensait trouver une jeune femme distinguée pendant ses congés payés …
Publicité mensongère, ce club avait largué deux personnes totalement différentes et d’âges opposés dans un hôtel, pension de famille qui ne proposait aucune distraction en dehors de visites guidées dans la superbe région d’Annecy.
Alors, devant cette mauvaise fortune, ces deux êtres s’étaient liés pour des ballades, et ils passaient quelques journées ensemble, un panier pique-nique préparé par le chef cuisinier, avant de monter dans un car poussif qui grimpait les routes escarpées et franchissait les cols menant à la frontière italienne.
Cordialité, politesse régnaient entre eux, pas plus. Dès leur retour, chacun regagnait sa chambre.
D’un commun accord, sans s’être consultés, ils ne partageaient pas la même table.
Ce soir, Cathy s’ennuyait à mourir devant son assiette, maudissant sa mère de ne pas avoir pris de plus amples renseignements avant de l’envoyer dans la nature. En réfléchissant bien, elle se demandait même si elle n’aurait pas aimé mieux être en colo avec des copines, à rire, à faire des parties insensées de polochons ! Pourtant, c’est bien elle qui avait mis son veto aux moments des inscriptions, prétextant qu’elle ne partageait plus les mêmes intérêts que ses copines.
Il est vrai qu’elle détonnait depuis un an : elle travaillait comme apprentie coiffeuse. Maquillée, toujours coiffée dernière mode, habillée sexy, on pouvait penser qu'elle avait facilement vingt ans. Tout le permettait aussi dans son comportement : les copains qui l’escortaient avaient tous plus de 25ans, avaient des bagnoles et il n’était plus question de flirt pour elle depuis qu’elle avait goûté au sexe. Il lui semblait désormais être à des années lumières de ses anciennes amies.
Le nez plongé dans ses bouquins, elle reprit consciencieusement sa lecture, les études reprisent en douce pour atteindre le but qu’elle s’était fixé devaient impérativement la mener en tête de peloton pour l’examen d’octobre, une autre manière de passer ce temps libre puisque les vacances n’étaient plus au programme.
La concentration pourtant n’était pas là, elle sentait quelque chose d’inquiétant, de dérangeant autour d’elle, comme si elle était épiée.
Son épaule, sa joue droites la brûlaient, pourtant en glissant ses doigts frais dessus, elle n’avait pas la sensation qu’elles soient rouges ! En détournant les yeux légèrement de côté elle le vit : un homme était assis au fond de la salle et la dévisageait en lui souriant.
Petit coup au cœur. Qui était-il, que faisait-il là, perdu au milieu de tous ces couples d’un certain âge ? Beau, mais qu’il était beau ! Sûrement très grand, carré d’épaule, bronzé, un visage au traits fins, des yeux probablement bleus, des cheveux châtains aux reflets blonds … bien fringué, chemise ouverte, attitude sensuelle … des mains longues qui brisaient le morceau de pain … elle notait tout cela mentalement sans pouvoir baisser les yeux, en allumant une cigarette pour tenter d’évacuer ce stress soudain, pour oublier les tiraillements dans son bas ventre.
La fin du repas devint longue, l’arrivée du café interminable car il avait pris le sien et rassemblait ses affaires, il allait quitter cette salle et il n’aurait pas l’occasion de se croiser, de se parler.
Adieu les petits rêves formés en trente minutes ! Un vrai cinoche venait de se passer dans sa tête ! Terminé ! Ne plus fantasmer et aller fumer sur la terrasse en attendant d’aller se coucher seule dans cette grande chambre.
Dommage, car après tout, être jeune, seule pour la première fois de sa vie, c’était bien le moment ou jamais d’apprendre à partager un lit avec un homme ! Rêve formulé tant de fois ! Faire l’amour dans une voiture ou dans la nature, rien connu d’autre encore, et pourtant, ça doit être complètement différent !
C’est en pestant intérieurement qu’elle rejoignit la balancelle, l’investit rageusement et s’allongea de dépit en tirant des bouffées de sa gitane filtre.
Le balancement devint doux et régulier, poussé par des mains invisibles, elle se laissa aller jusqu’à l’instant ou tout cessa. Se rétablissant en position assise, elle le vit devant elle, souriant, l’observant de près.
Pas de préambules, la question vint directement :
« Je vous emmène faire le tour du lac ? J’ai envie de voir les étoiles avec vous, venez » et il lui prit la main fermement.
Le trajet en voiture demandait en tout et pour tout quinze minutes, mais il mit un peu plus, le temps de se présenter, de lui expliquer qu’il descendait dans cet hôtel plusieurs fois dans l’année, que c’était la première fois qu’il y croisait une ravissante jeune femme, que son métier était de les parer, qu’il était représentant en lingerie féminine ! WHAOU ! ! !
Pas de mention spéciale sur son état civil : ni l’âge, ni marié ou célibataire, de toutes manières, Cathy s’en moquait. Grisée par le parfum subtil de cet homme et cette voix grave, plus rien ne comptait que l’envie d’être dans ses bras.
Après avoir garé sa voiture en bordure du lac, dans un endroit très discret, un baiser mit fin à cette attente. Les caresses étaient légères mais appuyées, elle se sentit chavirer. Cathy mesurait le fossé qui la séparait de lui : il savait où il allait, il savait caresser, rien à voir avec tout ce qu’elle avait connu jusqu’ici. Lorsque la main remonta le long de sa cuisse, elle se mit à trembler de tout son corps mais n'offrit aucune résistance lorsque les doigts se posèrent sur son entrejambe déjà bien humide.
Au contraire elle ouvrit généreusement ses cuisses pour qu’il puisse écarter son slip. Tressaillements dès qu’il entreprit de caresser son bouton tout gonflé, elle s’accrocha à ses épaules en se tendant comme un arc, comme pour repousser une agression tout en la désirant. Elle ne savait plus, elle était perdue, aucun homme ne lui avait prodigué ce genre de caresse … sauf elle, mais elle n’était plus en mesure de savoir si elle pouvait maîtriser sa jouissance ou la donner à cet inconnu.
Il remit de l’ordre dans ses vêtements, déposa un baiser sur ses lèvres et mit le moteur en route. Devant ses yeux étonnés il murmura :
« Le numéro de ta chambre ? »
-115
« On rentre, on monte séparément, je ne veux pas te poser de problèmes. Tu ne fermes pas à clé, je vais te rejoindre, d’accord ? Tu fais un 90C ou D ? »
-C
« 40 ou 38 en slip ?>
-38
Qui parle de romantisme ?
Rien ne dit que c’est une histoire d’amour-sentiment !
C’’est une histoire d’AMOUR tout court … de cul ? = OUI certainement, mais d’Amour quand même ! L’histoire d’une première vraie nuit d’amour, on a bien le droit de la voir comme on veut, non ?
A peine arrivée dans sa chambre, précipitation dans la salle de bain, se rafraîchir, changer de slip, se laver, se parfumer, mettre une nuisette en dentelle, sera-t-elle assez belle ? Va-t-elle lui plaire ?
Regarder la montre, les minutes qui passent, il a eu le temps de garer sa voiture, de repasser pas sa chambre, de monter un étage, d’entrer … plus d’une demi heure et il n’est pas là, il a du réfléchir, se dire qu’il perdait son temps.
Lasse d’attendre, elle s’écroule sur le dessus de lit, puis ferme les yeux en laissant couler des larmes de rage. Le sommeil s’installe doucement.
Un souffle sur son front, le poids d’un corps sur le sien la réveillent.
Il est venu !
Il est nu contre elle, il a pris le temps de l’observer en retirant ses vêtements, il bande, il a envie de cette petite blonde, envie de lui faire découvrir ce qu’elle n’ose pas demander !
La nuisette passe au dessus de la tête de Cathy qui s’abandonne.
L’oreiller prend place sous ses fesses, des baisers couvrent son ventre et la bouche descend vers la toison blonde. Il écarte les lèvres doucement avec ses doigts et sa langue vient titiller le bouton gorgé de liqueur. Il suce avec tendresse faisant naître des ondes de plaisir jusqu’à la pointe de ses seins qui se dressent et lui font si mal qu’elle pose ses mains dessus.
Elle soulève ses hanches et ses mouvements poussent l’antre de son ventre vers lui à la recherche d’autre chose, elle voudrait demander, mais elle ne sait pas ce qu’il faut demander. Lui sait ! Il glisse un, puis deux doigts tout en continuant de la sucer, puis tête le bouton, en aspirant légèrement. Un déferlement ! Tout éclate en même temps dans son corps ! Elle est inondée, étonnée au point de se retenir de jouir totalement.
« Jouis petite, laisse toi aller, abandonne toi, laisse toi faire, c’est normal tout ça, tu jouis ! Tu sens ? Là … oui ma belle, laisse couler ton jus ! »
Plus rien ne va compter à partir de cet instant, elle capitule pour le passeport Jouissance. Des jets de plaisir fusent de sa petite chatte en crue qui s’ouvre aux doigts qui la pénètrent, qui la fouillent et la font gémir de plaisir … et à celui qui entre et distend son petit anneau, découverte inouïe pour elle.
Lorsqu’il vient en elle, la fontaine ne finit plus de couler, il la transporte de plus en plus haut .Il a un membre démesuré, jamais elle n’en n’a vu un aussi grand et large !
Jamais il n’entrera entier dans son ventre, il va me déchirer pense-t-elle ! Et pourtant elle sent qu’il entre doucement, et que petit à petit c’est elle qui l’attire en elle !
Ils basculent, elle se retrouve sur lui. Tendrement il assure sa position en l’aidant de ses bras puissants, il la guide afin qu’elle s’enfonce sur sa queue prête à exploser. Cathy gémit, étouffe ses cris en se mordant les lèvres, donne des petits coups de reins, chaque petit mouvement inonde ses cuisses et le ventre de son amant.
« Viens, empale toi complètement, n’aie pas peur, enfonce-toi pour que je jouisse en toi ! »
En appui ses les genoux, les jambes écartelées, elle prend dans ses mains celles qui lui maintenaient les fesses, leurs doigts s’unissent, leurs bras s’ouvrent alors qu’elle glisse, glisse le long de son sexe tendu à l’extrême, puis remonte, redescend en un va et vient de plus en plus fort, de plus en plus loin … avec des cris rauques, des feulements … et des hurlements étouffés par des baisers à pleines bouches, langues se fouillant, se salivant , se buvant dans un accord de spasmes des corps, dans une extase sans fin pour elle, jusqu’à l’épuisement, jusqu’à sombrer … les cheveux emmêlés sur le torse en sueur de ce merveilleux étranger.
Plus tard il a baigné son corps dans une eau parfumée, essuyé chaque parcelle de son corps de femme révélée.
« Ce n’est pas fini fillette, tu as encore deux choses à apprendre et nous avons jusqu’au matin ! »
Mais l’art de la fellation, Cathy le connaît depuis un an. C’est une experte à son âge. Elle lui prouve en tombant à ses pieds. Le léchant, le suçant, le plongeant jusqu’au fond de sa gorge, ses doigts fins manucurés accompagnent sa langue, dérivent sous ses bourses et s’insinuent dans ses fesses.
Sous la surprise et le désir qu’elle aille plus loin, il appuie sur sa tête pour aller au plus profond de sa gorge … Cette gamine le rend dingue, il a envie de la baiser par tous les pores de sa peau ! Il voudrait pouvoir la mettre dans ses bagages, ne plus la quitter, faire d’elle la maîtresse qu’il recherche depuis si longtemps, une femme vraie partageant ses fantasmes, qu’il initierait aux jeux les plus recherchés … Elle entend tout ça … Ces mots-là sont les plus beaux ! Elle ne les oubliera jamais de sa vie … mais elle l’ignore encore …
Pour ne pas la brusquer il jouit sur ses seins magnifiques, mais elle le reprend aussitôt dans sa bouche et boit sa semence, l’aspire à le faire gémir de douleur et de plaisir.
Entre ses yeux mi-clos, Cathy l’épie. Il a sorti un sac qu’elle n’avait pas remarqué, le voit déposer plusieurs paquets sur une commode et venir vers elle avec un foulard noir.
Il lui bande les yeux, sans faire mal, l’embrassant avec passion. Il la cale avec les oreillers, la mettant légèrement sur le côté droit, lui relève un peu la jambe gauche et la caresse faisant renaître tous les désirs, toute la chaleur de son ventre.
Un liquide froid inonde sa toison et coule entre ses fesses, lui mettant la chair de poule et aiguisant tous ses sens. Quelque chose de dur et de vibrant la pénètre, l’électrisant et la poussant à se mettre sur le dos. D’une pression ferme il la rétablit sur le côté et pousse l’objet au fond de son ventre. Ses bras s’étendent vers le sommet du lit, son corps se tord sous le plaisir, elle roule sur le ventre, s’arc-boute sur les coudes, rampe en s’ouvrant à cette nouvelle caresse. Alors, il met deux oreillers sous son ventre, la scotche dans cette position et recommence la douce torture.
Une autre sensation vient s’ajouter à la première : l’introduction d’un doigt dans son anneau, puis deux … elle s’offre de plus en plus à ce feu qui la ronge, qui la dévore. L’objet vibrant vient buter contre son anneau, instinctivement elle le resserre, une main ferme appuie sur son coccyx et la pression devient plus intense. Les baisers qui cuisent sur ses fesses la détendent lentement et l’objet passe la frontière, dans un mélange de douleur et de plaisir.
N’y tenant plus il la retourne, s’enfonce en elle, la rebascule sur le côté et lui remet le vibro dans son anneau, déchaînant en elle toutes les réserves qu’elle pouvait encore avoir. Il peut tout lui demander, elle sait qu’il lui procure ce qu’elle a toujours cherché.
Il sait aussi. Les yeux de Cathy lui disent. Les oreillers voyageurs se retrouvent propulsés sur la table de petit déjeuner, celle qui fait aussi office d’écritoire ou de bureau dans la journée. Tout ce qui était dessus a volé aux quatre coins de la chambre ! Il la couche à plat ventre dessus, les jambes pendantes, les pieds en appui sur un tapis écorné, usé jusqu’à la trame.
Le gel entre sous les doigts pressés de son amant. Des deux mains elle tend ses fesses, les écartelant au maximum. Le sexe bandé appuie et pénètre à peine. La douleur est immense, intense, insupportable, elle mord le tissu de la taie, les larmes coule, les sanglots lui coupant la respiration. Elle se débat, lui demande d’arrêter, le supplie de ne pas continuer. La pression s’arrête.
Un autre coulée de gel dégouline de ses fesses à ses cuisses, un petit œuf vibrant passe sur son clito, puis pénètre sa petite chatte, les vibration s’intensifient de plus en plus, la projetant à nouveau dans un espace hors temps, la pression sur son anneau revient en même temps, mais ses fesses s’ouvrent, appellent , aspirent … la douleur aussi revient, mais moins présente, une douleur qui en appelle une autre, moins précise, une douleur qui exacerbe le désir, celle qui stimule tous les autres sens, celle qui précède l’extase.
Celle qui ordonne au corps d’aller plus loin, de s’ouvrir, de passer les frontières, cette douleur qui n’en n’est pas une, celle qui permet au corps de se surpasser dans les plaisirs, une douleur pour un plaisir extrême. Et elle ressent ce plaisir extrême au fond de son ventre, exigeant encore plus, toujours plus fort, suppliant de ne pas arrêter, le priant de la baiser sans fin, jouissant comme une folle, mouillant comme une sauvageonne en recevant la semence divine, bouillante dans ses entrailles.
La première fois de Cathy, cette toute première fois restera gravée à jamais.
Devenue femme en une nuit sous des mains expertes, celle d’un amant de passage, celui dont elle ne connaîtra jamais le prénom, mais dont elle se souviendra avec tendresse, avec reconnaissance.
Lorsqu’elle s’est réveillée le lendemain vers onze heures du matin, elle a trouvé au pied de son lit trois merveilleux ensembles de grandes marques, un petit vibro doré, un tube de gel et ce petit mot griffonné à la hâte :
« N’oublie rien de cette nuit, choisis tes amants ma belle, tu es une princesse. Je te garderais dans mon cœur à jamais. Ce jouet est à toi désormais, fais en bon usage petite ! »
Lorine
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Merci Peter d'avoir publié ce texte de notre amie Lorine ! Un texte très féminin dans l'écriture sensible tout autant que dans le ressenti physique fort bien exprimé. Beaucoup de sensualité et tout autant d'érotisme en conservant, même dans les scènes les plus chaudes et explicites, une élégance aérienne que j'apprécie énormément ! Nul douye que cette jeune Cathy conserve un souvenir pérenne de cette nuit avec un amant expérimenté ! Certainement pour elle, une découverte intégrale de son corps, de sa géographie érotique. Une expérience absolue certainement assez rare et due au fait qu'elle ait eu affaire à un homme plus âgé qui a su répondre à ses attentes informulées ou à pas mal de ses fantasmes . D'ordinaire, les amours débutantes et avec des partenaires jeunes et plus ou moins intimidés ne sont que des découvertes partielles et plus ou moins gauches mais là: elle a été gâtée! le grand jeu et l'immersion totale !
Est ce un bien pour autant ? Seule Cathy pourrait le dire a postériori .. L'efficacité contre le tâtonnement , l'expérience contre l'apprentissage : chacune présente ses avantages et ses inconvénients et c'est aussi peut être avant toute chose une question d'alchimie des peaux et de synchronicité des désirs et des pulsions...
En tous les cas, j'ai grandement apprécié et savouré cet écrit!
Baisers à vous deux
Elise
Entre Lorine et moi, il y a fusion
donc je vis dans ses textes et elle dans les miens
baisers à vous deux
peter
désolé pour le retard mais débordé en ce moment ! merci pour cette jolie lecture à nouveau ! et le choix de tes clichés est encore magnifique ! gros biz et à bientot
merci les amis
Cette Cathy ... qui n'est autre que Lorine mais ça, est-ce utile de le préciser !
Pour répondre à Elise : cette expérience est bien entendu inoubliable. A 16 ans ... sans doute en avance en comparaison de certaines de mes amies, j'avais déjà " couché " avec deux ou trois " copains" et je n'en avais pas gardé un souvenir mémorable.
Cette rencontre d'Annecy m'a marquée. J'ai découvert mon corps et toutes ses possibilités en une seule nuit. Seul inconvénient de cette expérience, c'est qu'ensuite, il ne m'était pas possible de ne " pas comparer " et de ce fait : en manque de ces plaisirs divins. Je les désirais tous à la fois ! J'avais compris une chose, et je ne suis pas convaincue que c'était la bonne conclusion : je ne voulais qu'un homme mûr, en tous cas d'au moins dix ans de plus que moi.
Tu vois, je ne savais pas encore que l'attraction, l'osmose entre deux êtres, étaient autre chose ! J'ai mis des années à le comprendre ! Je n'ose même pas dire à quel âge je l'ai découvert !
et quand l'osmose se transmet par le net quel bonheur et aussi quelle souffrance
je t'aime Lorine
peter
Pour toi Peter :
Dis donc, je sais que j'étais dans les choux ces derniers jours, je n'ai pas ouvert ma bal yahoo ... tu aurais pu me le dire que tu l'avais enfin lu et publié !
Je t'adore !
Tendres baisers
merci ma Lorine