PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
Elle le fait étendre sur le dos, l’enjambe, s’installe cuisses écartées au-dessus de sa tête, se penche, la bouche ouverte, et engloutit le sexe qui se tend vers elle. En même temps, elle s’abaisse jusqu’à sentir à nouveau la langue pointue s’insinuer dans sa fente, un peu hésitante, si légère que Lise se sent plus chatouillée que caressée. Elle resserre les lèvres autour du gland, glisse une main entre les cuisses du garçon, le palpe, enfonce légèrement ses ongles dans la peau. Philippe tressaille, grogne, perd toute réticence, fouille le sexe offert, l’explore, retrouve le bouton, le mordille. Lise sent son ventre brûler, gonfler…Elle s’arrache à Philippe.
- Pas trop vite ! Je ne veux pas jouir tout de suite. Et je ne veux pas que tu jouisses. Mets simplement ta langue dans ma fente.
Philippe obéit, tend la langue. Le goût de coquillage devient plus fort, la moiteur plus onctueuse…Soudain il tressaille, se raidit. La main de Lise descend entre ses jambes, un doigt se dresse, écarte ses fesses, suit la raie, se pose, appuie, s’enfonce avec un léger mouvement tournant dans le petit bourrelet de muscles contractés. Philippe est si surpris qu’il se sent peu à peu mollir. Lise le sent, se précipite. Elle enfouit sa tête au bas de la verge fléchissante, mordille la peau, prend dans sa bouche un des petits globes oblongs, le suce comme elle le ferait d’une dragée. Philippe reprend de la vigueur. Lise revient au gland, l’agace du bout de la langue, explore le méat.
Philippe geint, donne des coups de reins pour aller à la rencontre de cette bouche qui le dévore…ou est-ce pour faire pénétrer plus avant ce doigt qui l’envahit ? C’est une sensation nouvelle, étrange, à la limite extrême du plaisir et de la douleur.
- Je te fais mal ? souffle Lise.
- Non…Oui un petit peu…Mais en même temps c’est bon…
- Fais-moi la même chose…
Philippe lève le doigt, le mouille dans la grotte humide, remonte le long de la raie jusqu’au petit orifice sombre à la chair étrangement froncée, s’y pose, hésite.
- Va ! gronde Lise, en enfonçant son doigt plus profond entre les fesses du jeune homme.
Philippe sursaute, il a mal. Alors, comme pour se venger, il pousse fortement le doigt, force le barrage de muscles, glisse dans l’étui de chair contracté. Lise pousse une plainte, remue le doigt, comme en réponse, entame un mouvement de va et vient que Philippe imite aussitôt, tandis que de la langue il se remet à presser le bouton de chair.
Lise gémit à nouveau, sa plainte monte vers l’aigu. D’un seul coup, elle s’arrache à Philippe, se laisse tomber sur le dos, empoigne ses jambes, les écarte en grondant.
- Là ! Viens ! Je veux ta queue dans ma chatte !
A suivre
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