PETER - PAN
Pour l'amour de toutes et de tous, aimons-nous vivants!
Lise porte les mains au bas de son ventre. Ecarte les lèvres, s’assied sur la tige raidie en la repliant. La tête brûlante occupe exactement le milieu de la fente.
-C’est cela que tu veux ? demande-t-elle encore en balançant le bassin d’avant en arrière.
Les chairs humides et gonflées glissent l’une sur l’autre. Lise se sent ouverte, offerte, elle n’est plus qu’un vide béant qu’il faut combler à tout prix. Sa bouche d’en bas a faim, une faim dévorante.
- Et maintenant, que veux-tu ? demande-t-elle d’une voix qui tremble un peu.
Philippe se dresse, les yeux fous. Il l’empoigne par les fesses, la soulève au-dessus de lui.
- Te baiser, je veux te baiser, je veux entre en toi !
- Bien, murmure-t-elle ravie ; bien…
Le sexe de Philippe est dressé à nouveau et pointe vers la bouche goulue. Lise demeure ainsi, un moment écartée au-dessus de lui, puis se recule. Elle n’en peut plus, mais elle veut faire durer encore le plaisir aigu de l’attente, et celui, plus trouble, d’entendre Philippe, répéter les mots qu’elle lui enseigne.
- Tu veux entrer dans moi ? Où ça dans moi ?
Philippe ferme les yeux, balbutie quelques syllabes incompréhensibles.
- Dis-le, ordonne Lise ; dis : je veux entrer dans ton con ».
- Je veux entrer dans ton con, souffle Philippe.
- Tu vas enfoncer ta queue dans ma chatte…
- Je vais enfoncer ma queue dans ta chatte. Répète-t-il docilement, d’une voix de plus en plus rauque.
- Mais ça ne te plait pas ce que nous faisons maintenant ?
- Oh ! Lise, justement, c’est si merveilleux, si…excitant d’être…d’être comme ça, tout près de toi, de sentir…de te sentir sur moi…
- De sentir ton gland contre mon clitoris…
- Mon gland contre ton clitoris…Oh ! Lise, donne-moi, donne-moi ton con maintenant, tu vois bien que je bande pour toi, je veux te…
Philippe sent ses lèvres trembler d’excitation. Tous ces mots défendus donnent un nouveau pouvoir à ce qu’il éprouve. Jusqu’à présent il se laissait mener par son corps, presque sans y penser. Mais, en nommant les parties de ce corps, et du corps de Lise, il lui semble mieux les sentir, elles et la prodigieuse excitation qu’elles lui apportent…
- Tu veux me…Allons, dis-le ! insiste Lise.
- Je veux te baiser, te foutre !
- Ah ! C’est bien, c’est bon. Oui mon petit Philippe, viens, enfonce ta queue dans ma chatte, baise-moi, fous-moi, viens…
Philippe se cambre à nouveau et, cette fois, Lise ne se retient plus. Elle se laisse retomber d’un coup sur le ventre du jeune homme, engloutissant la masse brûlante qu’elle sent remonter en elle, glisser entre les parois humides qui s’écartent sur son passage, arriver au fond d’elle-même.
Philippe lâche les fesses qu’il pétrissait à pleines mains, lui saisit les seins, se met à les palper. « Ah ! Philippe chéri ! » Souffle Lise. Eperdue, elle se penche en arrière, passe la main entre les fesses du jeune homme, la referme sur le sac de chair où frémissent les glandes oblongues, les serre. Philippe gronde, arque les reins. Les hanches de Lise oscillent plus vite, d’avant en arrière, et aussi d’un côté à l’autre du ventre plat. Elle sent la griffure exquise que font les poils rêches entre ses lèvres béantes et sur le bourgeon qui durcit à leur commissure, tandis que tout son corps se balance sur la tige qui la fouille à coups de reins fougueux.
Lise pousse maintenant un gémissement ininterrompu. A travers ses paupières closes. Elle voit se lever un grand nuage rouge et étincelant.
Elle crie
- Philippe !...Oui Philippe…je viens, je vais jouir, je jouis….Ah !!!Comme je jouis…
Philippe lance un dernier coup de reins qui arrache encore un cri à Lise, pousse à son tour un râle rauque et, soudain, se détend, tandis qu’elle s’affale sur lui, sans souci de la liqueur
Chaude qui coule entre leurs cuisses et leurs ventres accolés.
A suivre
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