Le blog de Peter Pan

 

Paule est vraiment une bonne élève

Pour de premiers écrits, elle se révèle telle qu'elle est dans le fond d'elle même et découvre ces nouveaux plaisirs qui la font vibrer

Paule je t'aime

 

 

Allongée nue sur ce fauteuil les yeux toujours bandés, ma gorge était aussi sèche que ma chatte était mouillée.

Bêtement je me demandais dans la tête combien étaient-ils en ce moment à regarder ma chatte et ce qu'ils pensaient de moi.

Je ressentais sur les joues les picotements des gifles reçues et le sperme qui séchait peu à peu en exhalant une odeur à la fois douce et aigrelette. 

Je t'entendais discuter de loin avec le coiffeur mais ne parvenais pas à saisir ce que tu disais.

Je restais là, immobile, ne sachant pas ce que je devais faire ni dire et commençais à me rendre compte des mots terribles que je venais de répéter.

"Oui, je veux être votre putain"

Était-ce vraiment moi qui avais pu dire ça !

Et ces gifles reçues, pourquoi les avais-je acceptées sans partir ?

Je commençais à me dégoutter d'aimer cette situation, car la vérité s'imposait à moi dans son évidence.

Oui, j'avais aimé exhiber ma chatte et me faire raser devant des inconnus que je ne voyais pas.

Oui, j'avais aimé être obligée de sucer ces bites, d'en recevoir la semence sur le visage.

Oui, j'avais aimé ces gifles qui m’avaient permises de dire ce que je ressentais et voulais en me donnant l'excuse d'y être obligée.

J'en étais là de mes réflexions quand t'approchant de moi tu m'as dis avec ta voix douce et grave:

" Je suis content de toi ma chérie, mais comme je t'aime, je voudrais que tu dises maintenant ce que tu veux vraiment. Tu peux, si tu le veux, partir dès maintenant sans crainte et nous tous oublierons cela à jamais. Mais si tu en as le désir tu peux confirmer ton désir d'être ma pute, une pute. Réfléchis un instant si tu veux mais si tu acceptes tu dois savoir obéir et t'engager à ne rien refuser de ce que je pourrais te demander "

Je ne savais que répondre mais l'excitation de mon corps et l'attirance de la déchéance fit pencher la balance et je te répondis que, oui je voulais devenir pute.

Tu vois dis-tu alors au coiffeur, je te l'avais bien dit que Paule était parfaite et t'adressant à moi tu me dis de bien retenir ce qu'allait me dire le coiffeur.

" Pour commencer me dit alors le coiffeur, mets toi bien dans la tête que tu n'es plus que pour nous un corps qui doit donner du plaisir. Tu peux penser ce que tu veux, on s'en fiche tant que tu donnes du plaisir, c'est bien compris ! Dans un premier temps c'est moi qui vais m'occuper de toi et de ton éducation à la demande de Peter. Tu vas aussi te débrouiller pour te rendre libre un jour par semaine et tu viendras ici te faire raser la chatte l'après midi afin que je te donne en spectacle à mes clients dans un cabinet privé. Une soirée par semaine on se réunit avec des amis et tu feras le service "

N'était-ce pas là ce dont inconsciemment je rêvais !

Avoir l'excuse de la contrainte pour me livrer à la dépravation.

Pendait qu'il parlait, des mains de nouveau s'occupait de ma chatte, écartant et tirant mes lèvres, pinçant mon clitoris et que d'autres prenaient possession de mes seins en  les serrant et mordant mes tétons.

" Nous pourvoirons tous, continuait le coiffeur, aux dépenses que tu devras faire. Dans un premier temps nous te donnerons ce dont tu as besoin en lingerie et autres babioles. Puis, quand tu l'auras mérité, on t'offrira un tatouage et des bijoux."

 

    La suite bientôt mon chéri.