Le blog de Peter Pan

Pour que Sophie ma putain se régale elle aussi

 

 

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Au fur et à mesure, alors que j'éprouvais un sentiment de chaleur depuis de longues minutes, je sentis une bouffée d'air frais parcourir mon entrejambe, ce contraste était divin. Il a retiré ma culotte et l'a portée à son visage. Mon mari haletait, et je lui demandais ce qu'il aimerait me faire. Il a répondu qu'il aimerait me lécher le sexe. Répétant à haute voix ce qu'il venait de me dire, Jérôme me fit un clin d'œil et approcha mon bassin du bord du lit. Il a alors enfoui sa tête sous ma jupe. Il s'est d'abord arrêter à quelques centimètres de ma chatte. Je sentais sa respiration, ou plutôt son souffle. Puis du bout de la langue il a commencé à agacer mon clitoris. Mariée depuis sept ans, et avec mon chéri depuis une dizaine d'années, à trente-trois ans cela faisait longtemps que quelqu'un d'autre n'avait pas eu la faveur de mon corps. Je gémissais, en guidant par mes paroles mon mari, mais surtout Jérôme. Je devais mouiller comme une folle, je ne cachais même plus mes jouissances.

 

Après quelques minutes, mon mari me demanda ce que moi je lui ferai. Jérôme s'est alors relevé, a défait son ceinturon, a baissé son pantalon, et s'est retrouvé en boxer short face à moi. J'ai compris ce qu'il attendait. Je l'ai attrapé par le boxer, et de ma main gauche l'ai descendu. Sa bite a jaillit, droite comme un I, elle était longue et assez large, sans commune mesure avec celles que j'avais connues. Il s'est allongé près de moi. Reprenant notre jeu, j'ai alors dit à mon mari que j'avais vraiment envie de le prendre dans ma bouche. Je me suis alors penché vers le sexe de Jérôme, et ai commencé à le mordiller sur les cotés. De ma main libre je caressais ses bourses, je les sentais se contracter sous mes doigts. Par petites poses, j'expliquais à mon incrédule mari ce que je faisais. J'ai alors pris complètement en bouche ce sexe qui me faisait tant envie. J'y mettais tout mon cœur, ne pouvant éviter des bruits de succions. Mon mari, trouvant cela plus que réaliste, m'a une nouvelle fois demandé si j'étais seule. Amusée, et devenue intrépide par tant d'excitation, je lui ai dit sur un ton sarcastique que je suçais un homme qui était dans ma chambre. Devant sa colère, j'ai coupé court et l'ai rassuré, en lui expliquant que pour me mettre parfaitement dans l'ambiance, je suçais mes doigts. Mon mari a tout gobé au quart de tour.

 

Jérôme semblait apprécier ma pipe, vu les soubresauts de son sexe. Je savais pertinemment qu'avec ces coupures, il ne pourrait pas jouir. Il s'est mis à cheval sur moi, et a mis son sexe entre mes seins. Les maintenant avec mes avant-bras, il se payait une bonne cravate de notaire. Je lançais vers son gland des coups de langues. Mon mari était toujours à notre histoire, il avait repris le cours des descriptions. Jérôme s'est relevé et a mis son bassin au dessus de mon visage. Je l'ai pris dans ma bouche. Il allait et venait se servant de mes lèvres comme d'une chatte. Je n'avais jamais connu ça...

 

Mon mari qui était au bord de la jouissance, m'a dit qu'il voulait me prendre. J'ai repoussé mon assaillant pour pouvoir lui répondre. Je lui ai dit que moi aussi je voulais le sentir en moi. Jérôme a compris le message, m'a laissé me retourner pour que je me mette à quatre pattes. Il a retroussé ma jupe, et j'ai senti son membre à l'entrée de ma chatte. Je me suis retournée et lui ai fait signe que « NON ». Il est alors allé vers son pantalon, et a sorti de son portefeuille un préservatif. Il l'a enfilé, et s'est présenté de nouveau derrière moi.

 

J'avais les fesses en l'air et le visage sur l'oreiller. J'ai dit à mon mari que je n'en pouvais plus, qu'il fallait qu'il me défonce. J'ai alors senti l'énorme bite de Jérôme me perforer. Je n'avais jamais été aussi remplie. J'ai dit à mon chéri que j'allais jouir, je ne mentais pas. Mon mari a voulu que je le prévienne pour que l'on jouisse en même temps. Jérôme variait admirablement les rythmes. Mon plaisir montait, montait, montait... Quand j'ai entendu mon mari crier, un orgasme me terrassa, tandis qu'au même moment Jérôme crispait ses mains sur mes hanches et se vidait dans le préservatif.

 

J'ai embrassé Benjamin en lui disant à demain et me suis écroulée sous le poids de mon amant sans même prendre la peine de raccrocher.

 

Il s'est retiré, puis nous nous sommes embrassés longuement à pleine bouche comme un jeune couple. Sa bite a recommencé à prendre de la vigueur. J'ai retiré le préservatif et, alors que je ne l'avais jamais fait auparavant, j'ai nettoyé son sexe de ma langue. Je me suis mis à le sucer, sans cette fois être interrompue. J'étais gourmande de sa queue. En peu de temps, il était de nouveau en forme, et je me suis empalée dessus pour le sentir en moi. Tout à mon plaisir je le chevauchais. Je lui ai demandé s'il avait d'autres capotes. Il m'a répondu qu'il en avait suffisamment pour ce soir.

 

Je me suis levée et ai pris un chapelet de préservatifs. Je lui en ai enfilé un à l'aide de mes lèvres. Nous avons baisé dans toutes les positions. A un moment, alors qu'il me prenait en levrette, il a caressé avec son majeur ma rosette. Je n'ai rien dit. Puis il a enfoncé son doigt dans mon cul. La sensation était étrange, mais encore une fois je n'ai rien dit. Il me dit enfin qu'il adorait mon cul et souhaitait y mettre sa bite. Je lui ai répondu que j'étais vierge de ce coté, et qu'il était certainement trop gros. Il était étonné qu'avec ce cul là, personne n'y ait pensé avant lui. Il m'a rassurée, puis convaincue.

 

J'ai senti son gland contre mon anneau. Il a poussé lentement, et peu à peu mon sphincter s'est ouvert. Il est rentré d'un coup, la douleur était là, une larme perlait au coin de mon œil, mais il y avait autre chose. Je sentais au loin une sorte de plaisir, j'ai caressé mon clitoris. La douleur et le plaisir s'inversaient proportionnellement. Jérôme était toujours immobile, tout au fond de moi. C'est moi qui aie commencé à bouger les fesses. Doucement, il prit mon relais, il n'y avait maintenant que du plaisir. Il a accéléré la cadence, je me sentais chienne. Après cinq bonnes minutes de besogne il s'est retiré et s'est couché près de moi, son torse au niveau de mon visage. Il a retiré le préservatif et a fait courir ses doigts le long de son sexe. De son autre main, il me caressait les cheveux. Il a pressé légèrement sur ma tête en direction de son sexe. Dans un état second, ma bouche a pris le relais de sa main. Il me caressait toujours les cheveux. Je l'ai vu se contracter, et ressenti un premier jet au fond de ma gorge. Même si sa main était sur ma nuque, et même si c'était une première, j'en avais envie. Je l'ai sucé plus fort, aspirant sa semence, jusqu'à ce qu'il ne reste rien.

 

Nous avons fait l'amour tout les soirs de la semaine avec et sans préservatifs. Je suis devenue une accro de la sodomie, mais mon mari ne le sait pas. Cette aventure extraconjugale a duré d'un commun accord que pendant le salon. Nos relations sont restées professionnelles. Mon mari n'a jamais rien suspecté, tant mieux. Une chose trotte pourtant dans ma tête, au mois de Septembre, toute la société est supposée aller au Packaging Show, le salon de l'emballage de Dusseldörf, et ce pour dix jours...

 

Par Chloé - Vos contributions

 

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Ven 4 mar 2011 3 commentaires

Je me "régalerais" plus encore si, au lieu de retranscrire les récits d'autres femmes vous parleriez de nous.

Sophie - le 04/03/2011 à 16h14

je crois que c'est fait ma chère, pour votre plus grand plaisir

baisers

peter

Peter Pan

Il m'est agréable de savoir que vous avez pensé à moi en publiant ce récit d'une femme découvrant la sodomie, et d'y prendre goût.

Comme moi.

Sophie - le 05/03/2011 à 10h19

à l'unisson, pour un plaisir toujours plus grand

Peter Pan

Je découvre ce site, et cette bien belle histoire. Merci.
Marie

Marie - le 15/03/2011 à 23h23

bienvenue Marie; je t'accueille bras ouverts

baisers

peter

Peter Pan