Le blog de Peter Pan
J'aime regarder quand tu poses tes mains sur toi, en espérance de moi,
lorsque du bout des doigts, tu t'ouvres pour mieux me préfacer la béance de ton désir. Tu es prête. J'ai longtemps joué, jusqu'à t'exaspérer, sur ton corps, de la bouche et des doigts, à te
laisser jouer avec moi sans rien en donner. Je ne peux pas faire autrement que de lécher encore tes lèvres, ces muqueuses violacées et gonflées au goût de cupidité au milieu d'un buisson détrempé
par l'orage. Tu te fends et tu te touches, toute pudeur rejetée par tes doigts allumés. Tu ne me vois même plus et cela t’attise encore davantage. J’en ai plein les yeux de toi, là, en bas de ton
ventre, entre tes cuisses béantes, remplies de chaleur et d'humidité. Tu ne vis plus que par là. C'est fascinant. Rien d'autre n’existe. Toute entière dans ce sexe en alerte, dominée, tu te
soulèves, te creuses davantage, enragée que je ne réponde pas. Tu le tends, affamé, assoiffé, sans savoir que mes yeux le dévorent. Et puis, et puis, d'un coup de rein j'y suis enfin, Je le
remplis, je le presse, Je l'écrase. Je lui donne, tout, mes os, jusqu'à la moelle, mes tripes, et tu jouis en criant quand je m'y déverse. J'en ai fini de toi, que tu me retiens encore. Tu n'en
peux plus mais tu veux me garder. Lorsque je glisse hors de toi malgré moi, je lis dans tes yeux, une lueur de regret
Bises
Peter Pan
bises douces