Le blog de Peter Pan
Philippe retrouve sans surprise le désordre de sa chambre et de son lit. La serviette sous le lavabo le fait sourire avec un rien de condescendance. « Finis, ces jeux-là ! Je suis un homme, maintenant, je suis l’amant de Lise… »
Il se passe de nouveau la langue sur les lèvres, se frotte les mains et se met à siffloter une marche militaire en se déshabillant. Puis, vêtu seulement d’un peignoir, il va prendre le cahier dans sa cachette. « Bon sang ! J’étais si pressé de la suivre que j’ai même oublié de le fermer ! Encore heureux que je ne l’aie pas laissé ouvert sur la table ! Si quelqu’un était entré… »
Il s’assied à sa table et, avant de se mettre à écrire, se regarde dans la glace, bombe le torse.
« C’est vrai, quand même, que je suis un beau gars ! » Il fait jouer ses biceps, s’adresse un sourire, tente de se faire des yeux langoureux. Mais le regard change d’expression quand on cherche à le voir dans un miroir. Philippe ne réussit qu’à loucher affreusement, renonce à s’admirer et se met à écrire.
Comme il avait l’air penaud, le petit Jacques, de me voir partir seul avec Lise ! Il se croit bien malin parce qu’il va la regarder toute nue. S’il savait ! S’il savait ce que ses seins sont fermes et sensibles ! Je les avais à peine touchés que déjà les pointes durcissaient, et elle renversait la tête en arrière, comme si elle n’avait plus la force de la soutenir…ou comme si elle voulait m’offrir sa gorge. Et quand je lui léchais le cou et la poitrine, comme elle tremblait contre moi…Elle…Elle ne demandait que ça, au fond, tante Lise, avec son air affranchi de jeune femme bien de son temps ! « Il nous en faut au moins deux paniers », disait-elle, en jouant les bonnes ménagères. Oui, oui…Deux paniers de quoi ?
C’est incroyable ! Elle m’a fait jouir rien qu’en me laissant caresser ses seins. Il est vrai que j’étais terriblement excité. Et puis, il y avait cette odeur d’abricots mûrs, le parfum de ses aisselles…Comment fait-elle pour rester aussi fraîche ?
Après, quand elle est venue sur moi, je n’ai jamais bandé aussi fort de ma vie. Elle s’est assise sur ma…queue. Voilà, je l’ai écrit, c’est difficile. Mais c’est vrai que ça excite d’employer ces mots-là, elle s’excitait elle aussi en me les faisant répéter, et elle se frottait dans tous les sens, elle frottait son con sur ma queue, c’était fou, je l’aurais mangée, je n’aurais jamais cru que l’on pouvait avoir autant de plaisir sans jouir…Quand elle s’est redressée au-dessus de moi, c’était encore meilleur. Elle a mis longtemps à me laisser entrer jusqu’au fond et pendant qu’elle était au-dessus de moi, en attente, je sentais comme un souffle chaud qui s’échappait d’elle et qui m’appelait…Et puis elle s’est un peu abaissée, et j’ai senti son con humide sur mon gland ; c’était comme un baiser, mais en même temps comme une secousse électrique qui me remontait dans le dos, tout le long de ma colonne vertébrale, jusqu’à me donner des picotements dans le cou. Elle restait là, à me caresser le bout de la queue avec les lèvres de sa chatte, comme si elle voulait m’avaler. C’était merveilleusement doux, et, en même temps, presque insupportable ; je n’en pouvais plus, il fallait que je m’enfonce en elle. C’es alors qu’elle m’a forcé à employer tous ces mots et je sens bien qu’elle a raison, et que je m’excite rien qu’à les écrire…Puis je l’ai prise par les fesses pour l’attirer sur moi et elle s’est empalée d’un seul coup. J’avais les paumes pleines de cette chair souple et élastique et ma queue dans elle qui m’enserrait de toutes parts. Elle était chaude, ça glissait tout seul, il me semblait que je n’avais plus rien à désirer que de baiser et de jouir…
Mais non ! Elle trouve encore mieux. Elle se penche en arrière, et ma queue se tend encore plus fort, j’avais peur de lui faire mal tant la pression était forte, et elle pose ses mains sur mes couilles. C’était incroyable ! Je n’ai jamais connu une femme pareille. Elle prenait son temps, elle me palpait, je sentais ses ongles sur ma peau, elle avait ramassé mes couilles dans sa main et j’ai senti un doigt qui glissait, encore plus bas entre mes fesses, et ça m’a fait comme un picotement extraordinaire tout le long de la raie….Mais je n’en pouvais plus, c’était trop bon, trop fort, j’ai donné un grand coup de rein et j’ai joui au fon d’elle. Elle a joui en même temps que moi en criant. Comme elle a crié ! J’ai même eu peur que le père Sylve entende. Mais elle ne semblait pas y penser. Ses cheveux flottaient dans le soleil, j’avais du mal à la regarder. Elle s’est mise à rire, m’a tapoté la joue comme à un enfant qui vient de vous rendre service. Elle était assise sur moi, toute contente. Comme si elle m’avait joué un bon tour…Je parierais presque qu’elle savait ce qu’elle faisait en m’emmenant à la cueillette aux abricots, qu’elle voulait que je la fasse jouir. Elle avait besoin d’une queue, elle l’a prise. Au fond, elle s’est servie de moi…
A suivre
chauds bisous
bisous
Peter
bisous
bises