Le blog de Peter Pan
- Ah, ça c’est mieux, murmure-t-elle, les joue un peu rouges ; défais ma robe Jacques ; mais non, idiot, pas par devant, la fermeture est dans le dos…Là…Maintenant, fais la bâiller par devant et regarde…
Les doigts de Jacques se mettent à trembler d’impatience. Il a déjà aperçu les seins d’Hélène, mais très vite, furtivement…Là, il va pouvoir regarder tout à son aise, c’est Hélène elle-même qui lui demande…L’image de Lise, nue dans son solarium, passe dans son esprit : les seins superbes, exposés, exhibés…Mais Lise ne savait pas qu’il était là, à l’épier…Alors qu’ici, Hélène s’offre et y prend plaisir, cela se voit à ses yeux brillants, toujours rivés sur la page.
- Tu les vois bien ? demande-t-elle d’une voix sourde.
- Non, pas très bien, souffle Jacques en tirant à deux doigts sur le bord de la robe.
D’un geste des épaules, Hélène se dégage entièrement de l’étoffe qui glisse autour d’elle jusqu’à la taille et redresse fièrement le buste. Ses petits seins blancs, parfaitement formés, pointent devant elle.
- Tu crois vraiment qu’ils sont « à peine gonflés » ? demande-t-elle d’un ton de grande coquette.
- Ah, non alors ! s’exclame Jacques en saisissant dans ses paumes les fruits encore verts ; crétin de Philippe ! « A peine gonflés »…Tiens ! regarde !
Il les soulève, les rapproche l’un de l’autre. Ainsi ramassés, ils sont maintenant comme deux petites pommes séparées par un sillon sombre. Il écarte les doigts pour laisser apparaître les pointes brunes, il les tâte du bout du pouce.
- Elles sont rondes et dures comme de vraies petites perles, dit-il.
- Oui…Oh oui ! murmure Hélène, haletante ; c’est comme ça qu’il dit de faire…C’est bon…Maintenant, prends- en un dans ta bouche et suce- le…Oui, là…doucement…Ah !
Elle pousse une plainte sourde. Jacques se sent tellement excité qu’il en a mal. Il cherche la main d’Hélène, la pose entre ses cuisses, sur la bosse dure qui déforme son short.
-Pas tout de suite, souffle Hélène ; tu dois d’abord toucher mon ventre, non pas par-dessus la robe, par-dessous, passe la main dans ma culotte, descends-la…pas si vite…Là…Reste tranquille maintenant, la main bien à plat, comme ça…
Jacques obéit aveuglément. D’ailleurs il ne distingue plus grand-chose dans le brouillard fiévreux qui danse autour de lui. La voix d’Hélène, oppressée, chavirée, lui parvient à peine, à travers le bourdonnement intense qui lui remplit la tête.
- Laisse ta main sur mon ventre, suce bien le bouton du sein…oui…ainsi…Ah ! Jacques, Jacques…Viens m’embrasser maintenant, sur la bouche, mets ta langue entre mes lèvres…Caresse mes seins en même temps…
Jacques, éperdu, continue, se penche sur le visage tendu vers lui, plaque sa bouche sur celle qui s’entrouvre, enfonce sa langue entre les lèvres fraîches. Une autre langue s’avance à sa rencontre, le repousse, l’esquive, l’agace. Un goût de menthe s’insinue dans la bouche de Jacques. « Elle vient de manger un bonbon » pense-t-il vaguement…Puis il cesse de penser, attentif seulement à ce que fait la main qu’Hélène vient de poser sur sa bosse. Elle la serre, elle la presse. Jacques gémit. Les doigts d’Hélène défont un à un les boutons, glissent sous le slip, touchent la chair et se retirent comme s’ils s’étaient brûlés.
Un vertige s’empare de Jacques. Rien n’existe plus au monde que cette main si proche…Il pousse son ventre en avant, retrouve le contact des doigts qui, cette fois ne se retirent plus, s’enhardissent, palpent, enveloppent. « Sors-la ! Sors-la ! » prie silencieusement le jeune garçon. Et, comme s’il pressentait d’instinct qu’en excitant Hélène il en obtiendra d’avantage. Il appuie plus fort la paume contre le ventre lisse. Et glisse vers les cuisses qui, peu à peu s’écartent, s’offrent…
Soudain, Hélène se rejette en arrière, sur le lit. Jacques l’accompagne dans sa chute, s’étend sur elle, enserre une jambe de la jeune fille entre les siennes et se frotte frénétiquement contre elle. Par saccades, il tend les muscles de son ventre pour accentuer la pression. Une grande chaleur monte en lui, traverse ses reins, gonfle sa poitrine. Le spectacle d’Hélène, renversée en arrière, à demi nue, la jupe relevée jusqu’à la taille, le slip descendu sur les fesses, le remplit d’une fièvre presque intolérable. Il pose à nouveau une main tremblante sur le ventre lisse, si doux et si dur à la fois. Hélène tressaille longuement. Le contact de cette main chaude la remplit d’un bien être extraordinaire. Elle se sent prise, possédée, conquise, Jacques pourrait presque en rester là…Presque…L’onde chaude se répand, glisse plus bas, vers le triangle bombé que Jacques presse de la main, s’insinue entre ses cuisses qui s’écartent comme d’elles-mêmes, vers le creux gonflé, moite, brûlant, qui appelle impérieusement quelque chose, elle ne sait quoi…Hélène saisit la main de Jacques, la guide.
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Merci Armandie et bienvenue
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